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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. «Le blanc est stupide...»: chroniques du racisme anti-blanc tristement ordinaire Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Toutes les semaines, il décrypte l'actualité pour FigaroVox. Son dernier ouvrage, Névroses Médiatiques. Le monde est devenu une foule déchaînée, vient de paraître chez Plon. Le racisme anti-blanc, ou la détestation anti-occidentale, pour l'appeler moins crûment, présente une triple spécificité. La première, il est nié telle une pure chimère. La deuxième, celui qui l'évoque est réprouvé et frôlerait le racisme. La troisième, est qu'il est véhiculé largement par les blancs eux-mêmes. Dans mes derniers ouvrages («Réflexions sur la Question Blanche», «Névroses Médiatiques»), j'ai tenté de montrer que cette spécificité a pour fondement la redoutable croyance moderne que l'homme blanc, couleur d'Adolf Hitler, avait inventé le racisme et qu'il ne pouvait donc en être la victime puisqu'il en était l'unique auteur. J'ai également suggéré que ladite croyance, d'origine traumatique, avait pénétré profondément l'inconscient collectif occidental. Deux événements médiatiques de la semaine écoulée sont de nature à donner quelque chair à mon ingrate thèse. La dernière fois que je tentais une telle démonstration appuyée sur un exemple, il s'agissait de ce rappeur nommé Nick Conrad qui se proposait en chantant de pendre les enfants blancs. Mais un journaliste du soir, sans doute rebuté par ma thèse, me fit le reproche d'avoir rendu public un geste isolé commis par un total inconnu. Étrange reproche de la part de gens qui ne répugnent pas à publiciser le moindre tag raciste ou les éructations antisémites de deux gilets jaunes avinés dans le métropolitain. En réalité, qu'il s'agisse de Nick Conrad ou de «Nique la France», tous les prétextes sont bons pour ne pas les entendre et interpréter les indignations qu'ils suscitent pour les fantasmes pervers de la fâcheuse sphère. Au passage, on remarquera que la justice française, une fois encore, semble bonne fille avec les méchants propos sur les blancs, puisque le rappeur lyncheur se voit menacé par le parquet de la condamnation très platonique à 500 € d'amende avec sursis. Mais cette fois, mes détracteurs vespéraux auront quelques difficultés à prétendre que les exemples que je vais prendre auront été commis en catimini. Le premier dévoiement médiatique à décrire se situe en effet le 8 février dans le cadre de l'émission télévisée à succès «Quotidien» animée , on le sait, par Yann Barthès. Celui-ci recevait Nell Irvin Painter, écrivaine noire américaine et auteur d'une «Histoire des Blancs». Dans un français bien châtié, la dame noire fustigea bien les blancs. À partir de sa description de Donald Trump et des nombreuses turpitudes qu'elle lui prête, elle en déduisit expressément qu'on pourrait en conclure que: «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…» Mon imagination est impuissante à décrire la réaction médiatique, politique ou intellectuelle si, à partir des actes reprochés à l'acteur noir américain Bill Cosby ou plus récemment encore à l'élu démocrate afro-américain Justin Fairfax, tous deux poursuivis pour viols, une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs. Je gage, qu'à bon droit, sa réputation serait perdue à jamais. Or le plus terrible, le plus consternant, habite dans le fait que les animateurs et le public se pâmaient extatiquement. Pour faire bonne mesure, l'écrivaine célébrée expliqua ensuite tranquillement à son public acquis que les blancs, aux visages trop pâles pour se protéger du réchauffement climatique, devaient impérativement se croiser sans tarder avec des êtres à la peau plus brune. Et le gentil public, antiraciste forcément antiraciste, s'interdisant ordinairement d'accorder quelque importance à la couleur de peau ou à toute notion de race interdite de cité ou même d'être citée, d'applaudir à tout rompre cette injonction thérapeutique à la disparition d'une vile espèce humaine devenue trop fragile pour nos temps difficiles. En réalité, et à ce degré d'indigence intellectuelle et morale, cette scène tristement ridicule aura au moins le mérite de mettre le doigt très exactement sur le mal névrotique de l'époque présente. Une époque qui à la fois et en même temps traque le moindre soupçon, la moindre imputation d'a priori raciste lorsqu'il s'agit des peuples supposés victimes du racisme blanc et s'autorise les préjugés les plus grossiers et stéréotypés jusqu'à l'appel à la disparition lorsqu'il s'agit de ces gens supposément détenir le monopole du racisme pour l'avoir inventé. La même semaine, un autre exemple montre que cette pathologie névrotique de la dilection pour l'altérité ne concerne pas, loin s'en faut, la télévision populaire mais que le monde intellectuel ou qui se prétend tel est également frappé. C'est ainsi que France Culture considère désormais que le racialisme est une pensée politique dont on devait débattre tranquillement le 7 février, y compris avec cette dame noire d'Amérique qui n'aime pas trop les blancs. Mieux encore: sur son Twitter notre radio culturelle de service public reprenait à son compte la théorie racialiste: «Penser la question Blanche, c'est être capable de se questionner sur une partie de l'identité française. Prendre conscience par exemple qu'être blanc est un privilège, le blanc n'ayant jamais eu à se poser la question de la couleur de sa peau.». Racialisme obsessionnel, racisme anti blanc stupide sur la radio d'État: un «babtou» qui se fait frapper en banlieue ou des policiers blancs lynchés comme cela est arrivé un 31 décembre à Champigny, des fermiers blancs assassinés en Afrique du Sud ou au Zimbabwe, des privilégiés, vraiment? Et inversement, un noir au Togo, se pose donc tous les jours la question de sa couleur de peau? Suite de l'article, très bien écrit, ici : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2019/02/11/31003-20190211ARTFIG00097-le-blanc-est-stupide-chroniques-du-racisme-anti-blanc-tristement-ordinaire.php
  2. Si Wikipédia est très fiable, selon vous, alors c'est parfait... Vous pourrez noter en ouvrant le lien que vous nous avez fourni, que les temps du passé y sont employés. Mais également, un point intitulé "précision, refus et abandon de la notion de race". En aucun cas le terme "race" ne doit être employé afin de différencier les êtres humains entre eux comme le fait cette femme et comme vous le faites. Nous pouvons défendre les causes qui nous semblent justes avec sincérité et intelligence, mais attention l'Enfer est pavé de bonnes intentions. Bonsoir, Possible de se faire une idée d'ensemble en visionnant ses vidéos, certaines sont en anglais ce qui enlève toute ambiguïté quant à une possible mauvaise maîtrise du français. C'est parce que la recherche est "très sommaire" selon vos termes, ou que vous vous contentez d'une vidéo, que vous vous y laissez prendre, peut-être. Quand Nell Irvin Painter est interrogée au sujet de Trump, dans cette émission, nous voyons une mamie souriante, pétrie d'humour. Quand elle donne son avis sur le président des États-Unis, elle ne s'y attarde pas si longtemps et n'enchaîne pas sur "cet homme est menteur, stupide et harceleur" -il y a pourtant matière à étayer, donner bien des exemples- mais étend bien à "l'homme blanc", généralisant ainsi son propos : "l'homme blanc est menteur, stupide et harceleur". Préjugé hostile, méprisant, à l'égard des personnes appartenant à une autre ethnie. Il est aussi réducteur qu'absurde de se cantonner à une couleur de peau, ce qu'elle fait pourtant à merveille, sous vos applaudissements. Connaissez-vous beaucoup d'historiens qui encouragent très vivement le métissage ? Des historiens qui font de la politique, propagandistes ? Plutôt risible de dénoncer un racisme au service de la politique, quand elle fait exactement la même chose, sous vos applaudissements toujours (c'est un "vos" général). Un historien a aussi à coeur de ne pas travestir ni biaiser l'histoire, de respecter les faits historiques, de les retranscrire dans leur véracité. Ce qu'elle semble oublier de faire, fréquemment, quand cela l'arrange, pour servir son idéologie. Le multiculturalisme apporte, c'est vrai, en matière d'art précisément (culinaire, musique, peinture etc...), a t-on besoin pour autant d'encourager les gens à se reproduire, se mélanger ? J'aime beaucoup manger libanais, il y a des chances pour qu'une population libanaise reste assez significative en France ou que je n'ai pas nullement besoin d'ajouter mes gènes à celui du propriétaire du restaurant pour sauver une représentativité libanaise sur nos terres, de fait. Pareillement pour les États-Unis, et si son histoire est jeune -et non inexistante- il y a et il y a toujours eu différentes communautés. Ça ne décroît pas. Nous parlons de "minorités", c'est là que le bas blesse, et ce qui fait finalement tiquer Miss Painter. C'est toujours la majorité qui domine et même si les minorités semblent faire les jeux politiques. Tout est histoire de domination : "afin que nous dominions, reproduisons-nous, diluons cette "blanchité, gommons les particularités, pour créer tadam, le citoyen du monde". Dérive racialiste. C'est une forme de racisme, des plus fourbes et peut-être l'une des plus hystériques au final. Au sortir de la Première Guerre Mondiale, l'Allemagne fut ruinée. Le coût de la vie était trop onéreux, intenable, comme ce que l'on peut voir au Vénézuela actuellement. Les produits de première nécessité valent toujours de l'or dans ces moments-là. C'est principalement dans un climat où le peuple manque cruellement de tout, que les inégalités deviennent criantes, insupportables à vivre, que la grogne, la haine à l'égard d'un groupe d'individus monte, des individus dont on ne se sent plus solidaires, qui s'en sortent souvent mieux, différents, que l'on finira par déclamer étrangers. C'est ce qui s'est passé avec les Juifs. Le racisme "institutionnel" puise toujours dans un racisme ordinaire. Il y a toujours un terreau favorable au développement de ce racisme institutionnel, relayé par des personnalités et représentants oscillants entre le fou, le monstre, et le mégalomane ou les trois à la fois. C'est sans doute en cela que le racisme ordinaire n'est pas à prendre à la légère, puisque à l'origine du racisme institutionnel. Il est indicateur, annonciateur. Trump a servi au peuple ce qu'il voulait entendre -ou une partie du moins, les résultats étaient serrés et leur mode de scrutin est plus complexe- certains se sont très certainement retrouvés dans un discours raciste, alors que d'autres ont peut-être entendu ses discours en matière d'emploi ou n'ont pas voulu donner leur voix à une femme. Les américains n'échappent pas à la règle, chacun vote pour ses intérêts personnels en premier lieu, souvent avec son porte-monnaie aussi, plus qu'avec son coeur ou pour l'intérêt commun. Comme ailleurs d'autres pourraient voter FN puisqu'ils sont pour une sortie de l'Europe, par exemple, ou que MLP s'engage à inverser les courbes du chômage, ou pour son programme accès sur la sécurité. Toujours est-il, que pour l'électorat qui comptait sur Trump pour le protéger de la grande invasion, pour le moment, celui-là n'est servi que de sorties racistes. De la gouaille, c'est tout ce qu'il leur offre. Tant que cela fonctionne, en même temps, il aurait tort de se priver. Le racisme à l'endroit des "blancs" gonfle, en France il s'exprime pleinement et sans limite, couvert sous différentes idéologies de gauche (communisme, socialisme...). De récents dérapages nous l'ont encore démontré. Nous réconcilier, il faudrait. Tant que des individus auront à coeur d'imposer leurs lois au lieu d'entendre que s'ils ont des droits, ils ont aussi des devoirs, comme tout autre, et tant que les politiques feront leurs choux gras de ces différences, les sublimeront, y trouveront intérêt, ça ne se fera pas. Tout ceci est finalement très arrangeant pour notre caste politique. Cela fonctionne partout comme cela, depuis fort longtemps.
  3. Vous aviez sans nul doute oublié de chausser vos lunettes.
  4. Pour vous, il y aurait différentes races déterminées par différentes couleurs de peau et faciès caractéristiques : comment la couleur de peau, les traits sont-ils définis si ce n'est par un patrimoine génétique ? Salutations, Réponse à ces quelques remarques : Avez-vous peur du point Godwin ? Si les américains et canadiens semblent décomplexés quant à cette idée de "race", le terme étant toujours utilisé dans le langage courant et bien que la communauté scientifique le refuse ; il y a en Europe un passif, une mémoire historique avec le souci, une vigilance, de ne pas reproduire les erreurs du passé. Il serait trop aisé de se servir à nouveau de la science pour assoir une supériorité, une suprématie, cela s'est vu avec la "race aryenne". Il est préjudiciable de s'en servir afin de définir une diversité humaine, comme cette femme et d'autres, le font. Trump, aussi ouvertement raciste puisse t-il être, est-il vraiment efficient ? Adepte des punchlines, roi du superlatif, le sieur fait miroiter un mur, véritable pilier de sa campagne présidentielle, depuis 3 ans déjà et là où ses prédécesseurs ont tous contribué à ajouter quelques mètres de barrières nouvelles (même Obama). Nous pouvons en effet lui reconnaître un certain talent pour la provocation Lidl, la goujaterie ou admettre qu'il a une bouche grand comme ça. Il était dit déjà en 2015 qu'il était le plus grand troll que la Terre ait porté. C'est vrai, il a tout du troll : inefficace, bruyant et vulgaire. Que la détestation de cette femme puisse être dirigée contre Trump, est une perte de temps, néanmoins c'est son droit le plus absolu. Pas d'histoire ? Que des histoires... Au travers son livre, notre histoire est remaniée, il lui est reproché notamment de l'adapter afin de servir son idéologie, de pratiquer l'anachronisme avec récurrence, de dénoncer sans nuances aucunes "l'obscurantisme" blanc des Romains aux Lumières tout en omettant de mentionner les esclavagistes qui n'avaient pas la peau blanche. Le tout, en niant aussi, qu'il puisse exister un racisme à l'encontre des blancs et en s'attachant à répéter inlassablement, mécaniquement "whiteness". Ce n'est non pas seulement Trump qui est visé, ni encore ses concitoyens qui ne partagent pas la même couleur de peau, non, ce sont tous les blancs de la planète rassemblés sous ce terme blanchité. Dette éternelle envers les noirs ? Cette femme joue exactement des mêmes ficelles déjà bien usées et il paraîtrait que certains tomberaient bien docilement dans le panneau. Ça paie, toujours. Nous nous métissons déjà. Trop pour la jeune femme de la seconde vidéo -et bien d'autres encore- et selon son ressenti, il ne resterait plus d'hommes -de semblables- pour ces femmes, si bien qu'indigentes, elles en seraient réduites au célibat ou à devoir tenter leur chance auprès de ce qu'elles pourraient, devraient, dans la logique abhorrer tout autant, à savoir l'homme blanc (et en raison de sa couleur). Pourriez-vous nous expliquer en quoi encore plus de métissage serait-il porteur de maturité ? Ce racisme dirigé à l'endroit des blancs est constamment minoré, voire ignoré, ne s'agirait donc t-il pas là de construire une définition raciste du racisme au final ?
  5. Nous vivons tous avec cette épée de Damocles au-dessus de nos têtes. Il faut une sagesse certaine pour admettre que notre autre n'est jamais vraiment conquis, acquis et ainsi redoubler et renouveler les efforts pour lui plaire au quotidien. Se réinventer en permanence, tout en n'oubliant jamais ce qui a plu à l'initial et essayer d'évoluer bien individuellement. Bien en adéquation avec son couple, également. C'est un exercice difficile, peu maîtrisent. Le doute sera toujours bien présent, cela peut-être aussi un moteur. Vous avez eu récemment et en un laps de temps plutôt court, des rappels à l'ordre, douloureux. Vous auriez le sentiment d'aimer plus que d'être aimé en retour (?). Quelques pistes : Certain(e)s sont plus expansifs et loquaces en amour, ce qui ne veut pas pour autant dire qu'il y a peu ou pas d'amour. Juste qu'ils sont plus introvertis, pudiques, meurtris (peut-être). D'autres encore ont besoin de faire un tour d'ascenseur émotionnel souvent, ne sachant aimer autrement que de façon mélodramatique. Écoutez ce que votre "nana" a à dire, soufflez, ça va bien se passer !
  6. Il n'y a guère que l'extrême-droite, qui ait "ralôté" lors de l'adoption de la loi contre les violences éducatives ordinaires. Pour toute pulsion violente, prévoyez un sac de sable, au pire Bobonne et Jean-Marie soumis seront à disposition pour la petite fessée du soir. La loi ne promet hélas d'éradiquer les beaufs, du moins elle n'a pas obligation de résultat... c'est là que nous voyons que la Justice est encore bien perfectible. Comme le rappelle justement la députée Modem, Maud Petit, qui a porté cette loi : "Raillée par certains députés, qui dénoncent l’inutilité d’une « loi anti-fessée », la rapporteuse a défini, auprès du Monde, les VEO comme « toutes les violences physiques et psychologiques exercées à l’encontre d’un enfant sous prétexte de son éducation, et qui sont considérées comme ordinaires et banalisées ». « Il s’agit aussi des coups de bâton, des morsures, des humiliations diverses » infligées aux enfants, souligne-t-elle à titre d’exemple. "Souvent, trop souvent, ce qu'on pense n'être que des petites tapes sont le terreau des maltraitances", a rappelé la députée, invitant à plusieurs reprises à ne pas confondre "autorité parentale et violences". https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/11/30/l-assemblee-adopte-la-loi-contre-les-violences-educatives-ordinaires_5390553_3224.html
  7. Rien n'est jamais certain, ce serait ennuyeux sinon.
  8. D'autres également ne sont pas "personnellement" choqués de voir des parents flanquer une gifle à leur enfant de 4 ans ou encore de voir administrer des coups de fourchette sur les mains afin qu'il se tienne tranquillement à table (certains trouvent cela marrant), ou encore des coups dans les tibias. "Le coup est si léger, presque un effleurement". My foot ! Comment est accueilli le coup de l'adulte qui fait 1m83, 80kg, par l'enfant qui, lui, fait 15kg et moins d'un mètre ? Ces traitements font autant de dégâts sur le développement neurologique (la gifle précisément), l'estime de soi, laissent des cicatrices tant sur le plan moral, mental que physique. Vous ne trouvez pas une fessée déculottée administrée en public, choquante ? Vous êtes un vrai dur à cuire (féloches !). C'est spécifiquement ces fessées qui sont les plus marquantes et les plus humiliantes. C'est insoutenable. Il y a encore quelques temps, les coups de martinets étaient aussi très usuels et ne choquaient pas "personnellement", grand monde. Aujourd'hui nous assimilons cela à de la maltraitance, à juste titre. Ces comportement maltraitants, d'une extrême violence ont du être dénoncés, pointés du doigt. Un cadre a du être défini, afin de faire évoluer les mentalités. Nous savions déjà que les violences n'apporteraient rien. Aucune violence n'est éducative. Ce sont deux termes qui s'opposent, pleinement, par essence. Vos petits-enfants (et arrières) porteront sans doute un regard curieux, halluciné voire désapprobateur sur ces parents des années 2019 qui tapaient, giflaient, frappaient leurs enfants, par souci "d'éducation". Ils auront bien raison de le faire.
  9. Et vous rigolez jaune... Ce n'est pas parce que vous vous séparez -beaucoup- qu'il n'y a pas d'amour. Des relations peuvent débuter avec fracas, puis se stabiliser et devenir plus tranquilles. Il faut le vouloir. C'est avec votre "nana" qu'il faut en discuter.
  10. @Boutetractyxreqs Bien des individus ont vécu et vivent encore l'amour. Bien sûr que l'amour existe, c'est un sentiment qui pousse l'Homme à accomplir les plus belles choses de la vie. Ces individus ne sont pas meilleurs, plus intuitifs, plus brillants, plus charismatiques, mais sans doute moins (em)pressés simplement et positifs. Vous pouvez évidemment vous complaire au point mort, ne jamais rien risquer, vous construire une forteresse et/ou être adepte de la loi de Murphy. Nous n'avons qu'une vie, à chacun de choisir s'il veut se fermer au monde et vivre l'Enfer sur Terre ou bien avancer. Il faut un courage certain pour mettre un pied devant l'autre. Parfois nous tâtonnons, nous hésitons quant à la direction à prendre, nous trébuchons et puis nous nous relevons, toujours.
  11. Rassurez-vous, la trollette et son ami ne s'invectivent pas réellement. Comme larrons en foire... Ils donnent en effet, l'air au sujet, de ces centres sociaux malfamés où les gens sont appelés par un numéro, je vous l'accorde. Cela pourrait être divertissant... hélas. Êtes-vous confirmé au LOF ?
  12. Mais comment savez-vous que si peu connaissent cet amour véritable d'abord ? (Et vous croyez qu'Il va m'entendre de là-haut ? Peut-être qu'en chantant... ? Je chante très bien, en toute modestie).
  13. Vous m'en demandez beaucoup là, même si j'accessoirise avec un serre-tête et des mocassins (sic), cela semble aller bien au-delà de mes compétences.
  14. Un peu loin, c'est "comme même" dommage. (Cela ne s'applique pas à l'homo sapiens, sinon. Je vous l'ai déjà expliqué plus haut, les chiens, les chats, les oiseaux etc... et puis l'espèce humaine).
  15. Je ne suis pas croyante néanmoins je vais faire une petite prière pour vous en toute gentillesse -en essayant de ne pas trop me gourer dans le "notre père" ce sera mieux- afin que vous trouviez le chemin du bonheur, l'amour vrai de vrai, réciproque, qui n'est ni perversion ni abus, toussa, toussa.
  16. C'est simplement la propagande qui n'est pas de mise, ou l'appel (du pied) au lissage des particularités.
  17. Mélissa Theuriau est vraiment très jolie, beaucoup de classe. Si j'étais attirée par les femmes, ce serait mon type de femme (ou Rania de Jordanie, Juliana Awada etc...). Comment jeter la pierre à Jamel Debbouze ? Elle a sûrement pleins d'autres qualités, de surcroît. Les autres, je ne connais pas... aaah si mes confuses il y a bien Pamela Anderson : bon, no comment, hein. Je ne sais trop pourquoi les footballeurs attirent tant des femmes... L'angoisse ! Personne n'a forcé personne à s'orienter vers ces femmes sinon. Ces femmes qui mettent leur couleur de peau en avant au travers ces vidéos, sont dans le comparatif, ont du mal à plaire. Ce n'est pas le cas de toutes, il faut arrêter le misérabilisme, et avancer. Jenifer Aniston s'est faite machiner les lèvres ? Ah oui ? Enfin c'est censé être un trait qui nous vient d'Afrique les lèvres pulpeuses ? Béatrice Dalle a toujours su se faire remarquer pour son extrême raffinement... La laisser aux oubliettes, nous devrions, et penser à jeter la clé, aussi. Mouais, pas fan du style.
  18. Après quelques fouilles, j'ai retrouvé une réponse sur un autre sujet, que j'ai formulée à un autre membre, afin d'expliquer cette distinction entre être amoureux et aimer > "Non, pas vraiment. Je vais vous expliquer mon point de vue en espérant être assez claire et précise (ce qui n'est pas gagné après cette courte nuit). Si vous pouvez vous enticher de plusieurs femmes en une même journée, vous aimez, mais n'êtes pas amoureux. Le céleri m'a tapé dans l'oeil > il a une jolie robe verte > il sent bon > ses branches m'intriguent > je le goûte, cuisiné d'une certaine façon > le céleri, c'est bon > j'aime le céleri. Je tenterais bien de le goûter cuisiné d'une autre façon, ou pourquoi pas un céleri-rave ? Chouette, il en existe presque 180 variétés. Vous êtes un consommateur de céleri. Être amoureux, c'est bien plus complexe que cela et cela demande en plus, une certaine maturation. Love at the first sight, je n'y crois absolument pas. Le coup de foudre n'a rien de romanesque, c'est un coup de coeur, ou une pulsion, c'est physique, chimique. L'état amoureux, quant à lui, se construit, et à deux, c'est mieux. Ça ne veut pas dire non plus qu'un "serial fucker" (et son homonyme au féminin) ne sera jamais amoureux. Il pourra l'être à force de fréquentation. Les coups du samedi soir ou les "sex friends" (j'ai toujours trouvé cette appellation ridicule) glissent parfois ainsi. D'autres fois, seulement l'un des deux glisse et c'est ce que l'on appelle un amour unilatéral. Ou, tout le monde fini par bien se séparer en trou bien trou d'honneur (désolée, je n'ai pu m'empêcher ce vilain jeux de mots). Tout comme il sera toujours casse-figure ou risqué, pour le romantique (ou la) d'être amoureux d'une personne qui n'est pas en phase avec sa façon d'aimer. Je n'écris pas que vous avez tort de fonctionner comme vous fonctionnez ou que j'ai raison de fonctionner comme je fonctionne, simplement que ce sont des modes de fonctionnements différents (pouvant être réversibles) qui n'engagent que vous et moi et tout de même un peu les personnes qui croiseront nos routes".
  19. Une ou maximum deux phrases simples ? J'en ai retenu une volonté de réduire les effectifs des classes (24 élèves) là où c'est le plus difficile, pour les primaires, et renouveler ainsi 120 000 postes de fonctionnaires. Mais aussi, réduire les impôts sur le revenu des tranches inférieures à 14% voire 30% dans un idéal. Alors qu'auparavant père Fouettard, Macron devient père Noël. Il a remis en avant un vieux dogme de la V ème République : le Président lance des grandes lignes et c'est au Gouvernement de faire en sorte de. Mais où vont-ils trouver le budget ? Suspens.
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