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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Ah ? C'est aussi élégant que @Paul hochon quand il décrit, avec beaucoup de poésie, l'arrière-train de ces dames... À l'inverse, des (jeunes) femmes auraient tendance à se "mémériser". Pour ma part, j'aime autant voir des femmes soignées, modernes et à la fois classes, quel que soit l'âge. Finalement, ce serait peut-être encore bien, une question d'individus.
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Entraide pour ceux qui entame un silence radio pour recuperer leur ex
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Moiiiiii dans Amour et Séduction
Bonjour Prométhée_Hadès, check, C'est sans aucun doute le meilleur moyen de se reprendre tout ceci dans les dents soit d'aller se faire pendre. Des personnalités authentiques, intuitives et/ou orgueilleuses ont tendance à détecter mensonges et tricheries. Enfin ça ne paye pas. -
Un morceau pour exprimer la lassitude ?
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Amour, réciprocité et abus
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Boutetractyxreqs dans Amour et Séduction
Nous avons tous appris ceci à la petite école et je vous mets deux points : Qu'est-ce que cela donne sinon une vie amoureuse sans routine ? Du palpitant. -
Amour, réciprocité et abus
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Boutetractyxreqs dans Amour et Séduction
Mais vous n'avez pas de virgule, l'ami, sur votre clavier ? La stabilité est tout à fait possible sans routine dans le couple ('reusement !). Deux bras, deux jambes, des signes sexuels primaires et secondaires, une tête plus ou moins bien faite... et tout un tas de possibilités. Promis nous ne sommes pas des monstres, encore moins des bêtes, enfin certain(e)s moins que d'autres. Ça va aller. -
Amour, réciprocité et abus
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Boutetractyxreqs dans Amour et Séduction
Davantage que la stabilité, c'est l'ennui qui me vient. J'ai aussi une image de charentaises en tête. À gros carreaux. Vert bouteille. Théorème intéressant, comment arrivez-vous à ce résultat ? -
Amour, réciprocité et abus
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Boutetractyxreqs dans Amour et Séduction
Alors cela c'est rafraîchissant (ça nous change !). Vous auriez su pour l'une, qu'il faudrait recommencer avec toutes les autres, de toute façon. Ces messieurs auraient tendance à vouloir nous décortiquer les boyaux d'la tête, comme on pourrait le faire avec les crevettes. Quel magnifique champ lexical ! -
Oh zut (!) Une chanson qui donne envie de paresser...
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Amour, réciprocité et abus
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Boutetractyxreqs dans Amour et Séduction
La routine, l'attendu est une des raisons des plus fréquentes de la mort du couple. Pour vous c'est tout neuf et vous avez donc bien le temps (comment ça va d'ailleurs ?). Deux écoles. L'ancienne, celle qui reste sur ses acquis, sur une constance, des habitudes qui rassurent. La nouvelle qui n'a de cesse d'être imaginative, de créer, de bousculer le quotidien, qui rejette tout ce qui pourrait favoriser l'ennui dans le couple. Il n'est pas question pour autant de se dénaturer pour l'autre. L'une et l'autre ne correspondent pas toujours à des générations, parfois davantage à des tempéraments. L'essentiel étant de trouver qui nous ressemble, qui nous convient. L'épée de Damoclès... je préfère y voir une force positive, un booster. Philosophie du verre à moitié plein. Il ne s'agirait pas d'une crainte, plus d'une lucidité. En ce sens et pour conclure nous nous rejoignons sur l'idée de vivre le jour présent. +1 -
Il y a une croyance très répandue selon laquelle nous autres avons été éduquées dans les soieries et les perles, alors que de pauvres femmes ont subi une éducation des plus rigoristes. " Entre les deux couleurs se cache une très grande différence : l’éducation Une femme blanche ne sera pas éduquée de la même manière qu’une femme noire. Pour la plupart des femmes blanches, leur éducation a été parfois très souple comparée à celle des femmes noires. On ne va pas punir sévèrement mais alléger la sanction : « Va dans ta chambre, et pas de dessert ! », au lieu d’une punition plus stricte comme rester à genoux pendant des heures dans un coin. Attention, c’est une généralité, tous les parents n’ont pas la même vision de l’éducation. La valeur des choses n’a pas été aussi perçue de la même manière. On dira que les noirs se font taper quand ils sont punis et que c’est une méthode de barbare, mais pourtant cela nous a appris le respect et nous ne sommes pas traumatisés pour autant. Avoir peur de ses parents et les respecter est une chose que nous portons dans le cœur dans la communauté noire. On arrive à s’endurcir face à toutes sortes d’épreuves. Puis une femme noire dès le plus jeune âge sera confrontée aux responsabilités, c’est-à-dire savoir quelques recettes de cuisine, s’habituer à s’occuper de ses petits frères et sœurs si elle en a et se dire que si jamais les parents ne sont pas là elle pourra assurer la gestion de la maison. Elle aura une prise de conscience sur la réalité des choses, entre 8 et 11 ans. Chez les Blancs, la fille aura aussi une prise de conscience mais elle ne sera pas assez poussée. Par exemple, on se dira qu’à un certain âge, l’enfant ne peut pas remplacer les parents et jouer un rôle qui n’est pas propre au sien, c’est tout à fait normal. Mais en l’habituant à prendre tardivement ses responsabilités, elle n’aura pas conscience au fur et à mesure qu’elle grandit et qu’elle aura des devoirs, en tant que femme. Souvent chez les Blancs, la fille va être chouchoutée, elle sera conviée dans sa chambre à faire sa petite vie. On ne l’applique pas trop à faire le ménage, en tout cas, c’est la mère qui se désigne à tout faire. Attention, toutes les familles de communauté blanche ne fonctionnent pas comme cela, mais en général il est très rare qu’elle se lève instinctivement pour gérer la maison (faire la cuisine ou le ménage). Au-delà des responsabilités, que deviennent les deux filles au point de vue de la société." Plus loin : "On sait que généralement certaines ont été dorlotées par leurs parents, et elles ne connaissent pas la spontanéité, comme cuisiner sans que maman ne le fasse ou prendre en charge une maison. Après, il ne faut pas oublier qu’elles sont moins rigides dans l’éducation et plus cool (voire trop cool). Il existe des hommes noirs aujourd’hui qui n’acceptent plus de vivre avec des Blanches. Il y a plein de raisons, parce qu’elles ne sont pas assez bonnes en cuisine par exemple ou que, selon eux, elles refont souvent les mêmes plats. Effectivement il faut souligner que les femmes occidentales sont plus ancrées dans la vie active que les femmes dans les sociétés traditionnelles. Cependant, les femmes blanches n’ont pas reçu la même éducation basée sur la conservation traditionnelle de la cuisine puisque vue le contexte dans lequel elles vivent, elles privilégient la « cuisine rapide » en achetant des surgelés ou autres ce qui remplacent les principes de base de la cuisine. Si elles veulent cuisiner un week-end elles se serviront des livres de recette ou d’internet parce qu’elles n’auront pas l’instinct et la connaissance approximative de ce qu’elles préparent. A l’inverse, les femmes noires dès le plus jeune âge sont grâce à leur culture, plus aptes à recevoir un héritage pour les plats traditionnels et être autonome sur ce plan, elles conserveront les qualités reçues même si la vie active prend une place importante. Ce n’est pas directement de leur faute car elles ne sont pas nées dans une culture où la cuisine est un élément primordial. La réussite est une chose importante et qui passe avant toutes sortes de distraction. Parfois, ces femmes blanches qui ne savent pas faire la cuisine comme la plupart le diront, ont été habituées à ce que leur mère fasse la cuisine pour tout le monde. Sans le vouloir, ce sont les mamans blanches qui font souvent l’erreur de mettre à l’aise leur fille et de ne pas les habituer au plus jeune âge. C’est une idée générale. On dit que les femmes blanches sont trop dépressives et fragiles. Elles n’ont pas été dans des contextes qui leur permettent de s’endurcir comme les femmes noires. Wonder woman devrait être cette icône, ce symbole de force pour toutes les femmes". http://lesconseilsdenionio.over-blog.com/2016/09/blanche-noire-clash-des-couleurs.html "Rester à genoux pendant des heures dans un coin", "se faire taper", traitement particulier qui relève d'une dinguerie certaine. Une raison supplémentaire de nous en vouloir #paye ta logique. Sans vouloir faire dans le cliché et malgré une conclusion qui se voudrait "open", au milieu d'un sondage pour le moins peu exhaustif, la blogueuse entretient ce qui se fait de pire en matière de stéréotypes, comme bien d'autres d'autres de ces femmes qui font des vidéos sur Youtube ouvrent des blogs comparatifs. Ce qui revient également, c'est que ces dames sont sous représentées à travers les médias, invisibles et méprisés, ce qui contribuerait encore à ce que leurs "frères" se désintéressent. Les médias mainstream leur façonneraient une image des moins flatteuses : "17% ce pourcentage introduisant les interventions donne le ton : c’est la part de personnes perçues comme non-blanches à la télévision en 2018 selon le CSA. Alors, quand on demande aux intervenantes de citer un exemple de femme noire qui a fait la une des médias dernièrement, la tâche n’est pas si simple. "J'ai encore dû chercher longtemps. C'est caractéristique, il y a pu ou pas de traitement des femmes noires", témoigne Léa Mormin Chauvac, journaliste à Libération." Ces stéréotypes suivent aussi les femmes noires, célèbres comme anonymes, sur les réseaux sociaux. Une des caricatures récurrentes : celle de la "angry black woman ", la femme noire en colère. Une façon de décrédibiliser la parole des femmes noires en les présentant comme toujours agressives ou mal élevées. Face à une parole raciste qui se libère, les afroféministes, ces féministes qui travaillent tout particulièrement sur les intersections entre le racisme et le sexisme, sont régulièrement la cible d'attaques sur les réseaux sociaux. Pour autant, la communauté afroféministe s'est réellement approprié ce domaine virtuel. "Twitter est un espace d'éducation. Les afroféministes arrivent à y vulgariser des concepts et des théories pas nécessairement connues", avance Mélanie Wanga. https://www.lesinrocks.com/2019/04/19/actualite/actualite/entre-cliches-et-invisibilite-les-femmes-noires-toujours-mal-representees-dans-les-medias Je me suis questionnée au sujet de la télévision indienne, de son industrie du cinéma très prolifique et de la représentation des minorités. Elle s'avère inexistante. Ce que l'on constate, c'est que ces femmes, délaissées du plus grand nombre (selon elles toujours) ont le sentiment de vivre la plus grande injustice de tous les temps, et sont très promptes à désigner des coupables, tant elles sont d'une autre ethnie. C'est fatigant.
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Votre servante lève un sourcil goguenard et d'autant au regard de la réponse du dessous. Si manichéen... Il semblerait, mon brave, que vous ayez été bercé trop près des postcolonial studies. Pour le reste c'est mignon de nous faire des faux-départs. Je suis bien-aise que le sujet vous plaise autant. Poursuivons.
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Entraide pour ceux qui entame un silence radio pour recuperer leur ex
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Moiiiiii dans Amour et Séduction
S'il y a bien un domaine où il ne faut pas mentir et tricher, c'est en amour. -
La gerbe aussi depuis interventions et invitation sur le fil de la grande secte de l'Ordre du Temple Soral.
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Oui c'est le discours habituel anti-élites. Sauf que les élus de la société civile font tout autant de courbettes à ces acteurs de la haute finance que vous dénommez brigands, entre apéritifs saucisson vin rouge et autres sorties de route. Un chef de l'État se doit aussi d'avoir une stature, de la prestance, en imposer. Le filtre parfois, ce n'est pas si mal.
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Mm, ça les empêche de récidiver... L'un et l'autre ont fait du business en exaltant les haines. L'amende est très certainement ridicule au regard des recettes. Qu'il est dommage de ne pas rendre utiles tous ces braves gens ! Les communes sont toujours en recherche de main d'oeuvre et manquent de moyens. L'un à nettoyer les graffitis et ramasser les papiers gras, l'autre à dos de pelleteuse afin de dégager les fossés et servir la compote dans les maisons de retraites... Artistique, my foot ! Nous connaissons fort bien les inflexions politiques de notre si belle justice... Comme l'écrit si poétiquement Goldnadel : "Le pire du pire, ce sont ces sombres idiots à la peau blanche qui tirent un masochiste et raciste plaisir de se haïr la peau". Nous pouvons transposer également à ces femmes, pires parmi les pires, sombres sottes et autres mémères qui tirent un masochiste et misogyne plaisir à se haïr le sexe. La belle saison amène en effet son lot de désagréments. De collyre, vous devriez vous rincer l'oeil.
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Ce serait donc une récidive et il s'en tire simplement avec 500(0)€ d'amende et du sursis... tout va bien.
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vos vieux titres ici années 60/70/80/90
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de hannibal25 dans Musiques
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Je regrette aussi qu'un brave homme tel que Syvain Durif ait été entravé par nos édiles ou autres conseillers... ah si seulement ! Sans rire, nous voyons actuellement ce qu'elle donne la société civile au pouvoir. Menés par des beaufs, nous ne méritions pas cela. Il n'est plus possible de mettre de tels novices aux manettes de la France. Nous avons testé, c'est un gros foutoir. Épurer la caste politique, mais très certainement. Un turnover serait souhaitable, mais pas avec n'importe qui. Il ne s'agit pas de gérer une baraque à frites. Instaurer une interdiction de se représenter par exemple, au bout d'un ou deux échecs aux élections. Supprimer définitivement et également le cumul des mandats afin d'offrir aux politiques qui restent dans l'ombre, qui bouchonnent, plus d'expérience, de compétence, encore.
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«Le blanc est stupide...»: chroniques du racisme anti-blanc tristement ordinaire Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Toutes les semaines, il décrypte l'actualité pour FigaroVox. Son dernier ouvrage, Névroses Médiatiques. Le monde est devenu une foule déchaînée, vient de paraître chez Plon. Le racisme anti-blanc, ou la détestation anti-occidentale, pour l'appeler moins crûment, présente une triple spécificité. La première, il est nié telle une pure chimère. La deuxième, celui qui l'évoque est réprouvé et frôlerait le racisme. La troisième, est qu'il est véhiculé largement par les blancs eux-mêmes. Dans mes derniers ouvrages («Réflexions sur la Question Blanche», «Névroses Médiatiques»), j'ai tenté de montrer que cette spécificité a pour fondement la redoutable croyance moderne que l'homme blanc, couleur d'Adolf Hitler, avait inventé le racisme et qu'il ne pouvait donc en être la victime puisqu'il en était l'unique auteur. J'ai également suggéré que ladite croyance, d'origine traumatique, avait pénétré profondément l'inconscient collectif occidental. Deux événements médiatiques de la semaine écoulée sont de nature à donner quelque chair à mon ingrate thèse. La dernière fois que je tentais une telle démonstration appuyée sur un exemple, il s'agissait de ce rappeur nommé Nick Conrad qui se proposait en chantant de pendre les enfants blancs. Mais un journaliste du soir, sans doute rebuté par ma thèse, me fit le reproche d'avoir rendu public un geste isolé commis par un total inconnu. Étrange reproche de la part de gens qui ne répugnent pas à publiciser le moindre tag raciste ou les éructations antisémites de deux gilets jaunes avinés dans le métropolitain. En réalité, qu'il s'agisse de Nick Conrad ou de «Nique la France», tous les prétextes sont bons pour ne pas les entendre et interpréter les indignations qu'ils suscitent pour les fantasmes pervers de la fâcheuse sphère. Au passage, on remarquera que la justice française, une fois encore, semble bonne fille avec les méchants propos sur les blancs, puisque le rappeur lyncheur se voit menacé par le parquet de la condamnation très platonique à 500 € d'amende avec sursis. Mais cette fois, mes détracteurs vespéraux auront quelques difficultés à prétendre que les exemples que je vais prendre auront été commis en catimini. Le premier dévoiement médiatique à décrire se situe en effet le 8 février dans le cadre de l'émission télévisée à succès «Quotidien» animée , on le sait, par Yann Barthès. Celui-ci recevait Nell Irvin Painter, écrivaine noire américaine et auteur d'une «Histoire des Blancs». Dans un français bien châtié, la dame noire fustigea bien les blancs. À partir de sa description de Donald Trump et des nombreuses turpitudes qu'elle lui prête, elle en déduisit expressément qu'on pourrait en conclure que: «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…» Mon imagination est impuissante à décrire la réaction médiatique, politique ou intellectuelle si, à partir des actes reprochés à l'acteur noir américain Bill Cosby ou plus récemment encore à l'élu démocrate afro-américain Justin Fairfax, tous deux poursuivis pour viols, une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs. Je gage, qu'à bon droit, sa réputation serait perdue à jamais. Or le plus terrible, le plus consternant, habite dans le fait que les animateurs et le public se pâmaient extatiquement. Pour faire bonne mesure, l'écrivaine célébrée expliqua ensuite tranquillement à son public acquis que les blancs, aux visages trop pâles pour se protéger du réchauffement climatique, devaient impérativement se croiser sans tarder avec des êtres à la peau plus brune. Et le gentil public, antiraciste forcément antiraciste, s'interdisant ordinairement d'accorder quelque importance à la couleur de peau ou à toute notion de race interdite de cité ou même d'être citée, d'applaudir à tout rompre cette injonction thérapeutique à la disparition d'une vile espèce humaine devenue trop fragile pour nos temps difficiles. En réalité, et à ce degré d'indigence intellectuelle et morale, cette scène tristement ridicule aura au moins le mérite de mettre le doigt très exactement sur le mal névrotique de l'époque présente. Une époque qui à la fois et en même temps traque le moindre soupçon, la moindre imputation d'a priori raciste lorsqu'il s'agit des peuples supposés victimes du racisme blanc et s'autorise les préjugés les plus grossiers et stéréotypés jusqu'à l'appel à la disparition lorsqu'il s'agit de ces gens supposément détenir le monopole du racisme pour l'avoir inventé. La même semaine, un autre exemple montre que cette pathologie névrotique de la dilection pour l'altérité ne concerne pas, loin s'en faut, la télévision populaire mais que le monde intellectuel ou qui se prétend tel est également frappé. C'est ainsi que France Culture considère désormais que le racialisme est une pensée politique dont on devait débattre tranquillement le 7 février, y compris avec cette dame noire d'Amérique qui n'aime pas trop les blancs. Mieux encore: sur son Twitter notre radio culturelle de service public reprenait à son compte la théorie racialiste: «Penser la question Blanche, c'est être capable de se questionner sur une partie de l'identité française. Prendre conscience par exemple qu'être blanc est un privilège, le blanc n'ayant jamais eu à se poser la question de la couleur de sa peau.». Racialisme obsessionnel, racisme anti blanc stupide sur la radio d'État: un «babtou» qui se fait frapper en banlieue ou des policiers blancs lynchés comme cela est arrivé un 31 décembre à Champigny, des fermiers blancs assassinés en Afrique du Sud ou au Zimbabwe, des privilégiés, vraiment? Et inversement, un noir au Togo, se pose donc tous les jours la question de sa couleur de peau? Suite de l'article, très bien écrit, ici : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2019/02/11/31003-20190211ARTFIG00097-le-blanc-est-stupide-chroniques-du-racisme-anti-blanc-tristement-ordinaire.php
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Si Wikipédia est très fiable, selon vous, alors c'est parfait... Vous pourrez noter en ouvrant le lien que vous nous avez fourni, que les temps du passé y sont employés. Mais également, un point intitulé "précision, refus et abandon de la notion de race". En aucun cas le terme "race" ne doit être employé afin de différencier les êtres humains entre eux comme le fait cette femme et comme vous le faites. Nous pouvons défendre les causes qui nous semblent justes avec sincérité et intelligence, mais attention l'Enfer est pavé de bonnes intentions. Bonsoir, Possible de se faire une idée d'ensemble en visionnant ses vidéos, certaines sont en anglais ce qui enlève toute ambiguïté quant à une possible mauvaise maîtrise du français. C'est parce que la recherche est "très sommaire" selon vos termes, ou que vous vous contentez d'une vidéo, que vous vous y laissez prendre, peut-être. Quand Nell Irvin Painter est interrogée au sujet de Trump, dans cette émission, nous voyons une mamie souriante, pétrie d'humour. Quand elle donne son avis sur le président des États-Unis, elle ne s'y attarde pas si longtemps et n'enchaîne pas sur "cet homme est menteur, stupide et harceleur" -il y a pourtant matière à étayer, donner bien des exemples- mais étend bien à "l'homme blanc", généralisant ainsi son propos : "l'homme blanc est menteur, stupide et harceleur". Préjugé hostile, méprisant, à l'égard des personnes appartenant à une autre ethnie. Il est aussi réducteur qu'absurde de se cantonner à une couleur de peau, ce qu'elle fait pourtant à merveille, sous vos applaudissements. Connaissez-vous beaucoup d'historiens qui encouragent très vivement le métissage ? Des historiens qui font de la politique, propagandistes ? Plutôt risible de dénoncer un racisme au service de la politique, quand elle fait exactement la même chose, sous vos applaudissements toujours (c'est un "vos" général). Un historien a aussi à coeur de ne pas travestir ni biaiser l'histoire, de respecter les faits historiques, de les retranscrire dans leur véracité. Ce qu'elle semble oublier de faire, fréquemment, quand cela l'arrange, pour servir son idéologie. Le multiculturalisme apporte, c'est vrai, en matière d'art précisément (culinaire, musique, peinture etc...), a t-on besoin pour autant d'encourager les gens à se reproduire, se mélanger ? J'aime beaucoup manger libanais, il y a des chances pour qu'une population libanaise reste assez significative en France ou que je n'ai pas nullement besoin d'ajouter mes gènes à celui du propriétaire du restaurant pour sauver une représentativité libanaise sur nos terres, de fait. Pareillement pour les États-Unis, et si son histoire est jeune -et non inexistante- il y a et il y a toujours eu différentes communautés. Ça ne décroît pas. Nous parlons de "minorités", c'est là que le bas blesse, et ce qui fait finalement tiquer Miss Painter. C'est toujours la majorité qui domine et même si les minorités semblent faire les jeux politiques. Tout est histoire de domination : "afin que nous dominions, reproduisons-nous, diluons cette "blanchité, gommons les particularités, pour créer tadam, le citoyen du monde". Dérive racialiste. C'est une forme de racisme, des plus fourbes et peut-être l'une des plus hystériques au final. Au sortir de la Première Guerre Mondiale, l'Allemagne fut ruinée. Le coût de la vie était trop onéreux, intenable, comme ce que l'on peut voir au Vénézuela actuellement. Les produits de première nécessité valent toujours de l'or dans ces moments-là. C'est principalement dans un climat où le peuple manque cruellement de tout, que les inégalités deviennent criantes, insupportables à vivre, que la grogne, la haine à l'égard d'un groupe d'individus monte, des individus dont on ne se sent plus solidaires, qui s'en sortent souvent mieux, différents, que l'on finira par déclamer étrangers. C'est ce qui s'est passé avec les Juifs. Le racisme "institutionnel" puise toujours dans un racisme ordinaire. Il y a toujours un terreau favorable au développement de ce racisme institutionnel, relayé par des personnalités et représentants oscillants entre le fou, le monstre, et le mégalomane ou les trois à la fois. C'est sans doute en cela que le racisme ordinaire n'est pas à prendre à la légère, puisque à l'origine du racisme institutionnel. Il est indicateur, annonciateur. Trump a servi au peuple ce qu'il voulait entendre -ou une partie du moins, les résultats étaient serrés et leur mode de scrutin est plus complexe- certains se sont très certainement retrouvés dans un discours raciste, alors que d'autres ont peut-être entendu ses discours en matière d'emploi ou n'ont pas voulu donner leur voix à une femme. Les américains n'échappent pas à la règle, chacun vote pour ses intérêts personnels en premier lieu, souvent avec son porte-monnaie aussi, plus qu'avec son coeur ou pour l'intérêt commun. Comme ailleurs d'autres pourraient voter FN puisqu'ils sont pour une sortie de l'Europe, par exemple, ou que MLP s'engage à inverser les courbes du chômage, ou pour son programme accès sur la sécurité. Toujours est-il, que pour l'électorat qui comptait sur Trump pour le protéger de la grande invasion, pour le moment, celui-là n'est servi que de sorties racistes. De la gouaille, c'est tout ce qu'il leur offre. Tant que cela fonctionne, en même temps, il aurait tort de se priver. Le racisme à l'endroit des "blancs" gonfle, en France il s'exprime pleinement et sans limite, couvert sous différentes idéologies de gauche (communisme, socialisme...). De récents dérapages nous l'ont encore démontré. Nous réconcilier, il faudrait. Tant que des individus auront à coeur d'imposer leurs lois au lieu d'entendre que s'ils ont des droits, ils ont aussi des devoirs, comme tout autre, et tant que les politiques feront leurs choux gras de ces différences, les sublimeront, y trouveront intérêt, ça ne se fera pas. Tout ceci est finalement très arrangeant pour notre caste politique. Cela fonctionne partout comme cela, depuis fort longtemps.
