Yucca in Bloom

Ce qui nous force à croire c'est précisément l'existence de ce en quoi nous croyons (mais convenons en, de manière assez hétéroclite sans omettre certaines contradictions évidentes qui bloquent parfois assez efficacement le dialogue).

En effet, j'ai cessé de croire. Pourquoi ? Parce que dorénavant je suis sûre. euh...

Tient : Si ça peut éviter de te répéter... Et voilà donc un débat qui redémarre sur les chapeaux de roue (comme prévu):)

Rho, bon. Tu fais un message type, genre celui ci qui fera très bien l'affaire, tu copie-colles et on en parle plus. Et de temps en temps, quand t'as une calomnie bien grasse à jeter sur le feu, tu rajoutes un paragraphe. Tu te rends compte que tu bloques littéralement tout dialogue avec ton attitude digne d'un môme de cinq ans: " c'est pas moi qu'ait commencé. C'est lui..." "vous êtes méchants avec moi et vous me dîtes que des méchancetés qui sont pas gentilles alors que moi je suis gentil avec vous". Oh ! On parle de végétarisme ou bien on procède à une psychanalyse de ton orgueil démesuré ? Faut savoir. En tout les cas j'ai appris beaucoup de cette attitude bloquante vis à vis du végétarisme. Je comprend maintenant que le mieux c'est de ne pas vraiment en parler. Boh, les diététiciens, les industriels de l'alimentation et les cardiologues savent de toute manière très bien quoi faire.

Ce qui est sûr c'est que vous donnez pas envie de vous étendre sur le sujet.:smile2:

Il fut un temps j'aurais sans doute répondu à ce genre de message. Mais déjà le ton de la première phrase laisse à désirer. Bon, le manque de politesse et la mauvaise humeur peuvent être excusable. Mais dans la deuxième phrase tu balances une espèce de vision toute personnelle, agressive et visant justement l'agressivité de ceux que tu cites. Bon, bref, un meli melo de rien du tout à la sauce bien haineuse, histoire de bien relancer le débat de manière complètement bidon. Bref, bref, bref....

Ça c'est un premier point. Ensuite, ce qui me gène le plus c'est le manque casi total de nuance dans les accusations contre les végétariens. Genre la grosse guerre bien bête carnivore vs végétarien. Pas de nuances, pas de compréhension, pas de diplomatie. Que de la haine , des propos toujours extrêmes et, selon moi, pas mal d'obstination.

La faille majeur c'est de vouloir comparer sans nuance le règne animal et le règne végétal.

Et vlan !:D

Oui, il est peu être en effet inutile de tuer pour se nourrir. Peut être, peut être, en effet... (et bon là j'attends toute la clique qui va s'empresser de parler de végétaux qu'il faut tuer pour se nourrir. Mais on apprend pas à une vielle yucca à faire la limace):D Sinon afin de tiédir mes propos brûlants et en attendant une terre végétarienne (ah, utopie, quand tu nous tiens), il faut peut être pas trop focaliser sur quelques insectes quand ce sont des trilliards de kilos de viande produit par année. Et pas des petites bêtes riquiqui. Des grosses, qui accouchent, respirent et tout et tout.

Je pense qu'il faut aller plus loin que le fait de se contenter de regarder le bout de son nez en se tripotant la stouquette... Car il ne s'agit pas là de penser à son colon, mais de dénoncer le fait d'user d'êtres "vivants" pour des conneries industrielles. Est ce que tu es au courant qu'il se jette des centaines de milliards de tonnes de viande par an de part le monde ? Je crois que c'est mille milliards de tonnes en fait. Et ça c'est juste ce qui passe à la poubelle. Alors le coup du "user d'êtres vivants" ça, comment dire, passe pas vraiment.

Je trouve que les vegans exagèrent un petit peu. C'est pas quelques insectes broyés qui vont leur encrasser le tube neuro-digestif. Mais d'un autre côté je trouve aussi cette polémique exagérée. En effet la suppression de matières d'origine animale ne va pas se faire une grande quantité de produit. Deux trois trucs tout au plus. Alors ça va, hein. Mais bon cela soulève lentement (et sûrement) le problème du végétarisme dans une société profondément omnivore. Et y'a qu'a voir comment les babines se retroussent et comment les canines pointes pour envisager le fait que répandre le végétarisme ne sera pas une mince affaire.

Bonjour, je voudrais un milk shake à la fraise mais sans merguez dedans, juste des tomates... Sivouplait.

L'air ? Il faudrait déjà commencer à en prendre avant de songer à arrêter cette drogue...

De toute manière je n'ai aucun doute sur la question. Le cannabis ne sera jamais dépénalisé et encore moins légalisé. La seule chose qui va changer au niveau des drogues dans nos sociétés (occidentales) c'est que le tabac va être de plus en plus cher, de plus en plus mal vu et de plus en plus chassé d'une consommation publique. De même pour l'alcool qui ne trouvera une place confortablement admise qu'au sein des repas. Et je sais ce que je dis. La drogue est une violence. Une violence faîte au corps et à l'esprit (je parle de toutes les drogues, même les légales). Et notre société ne va pas dans le sens de la violence. Au contraire, elle s'en éloigne. Cela se fait progressivement, avec parfois l'impression de recul, mais sûrement. Alors non, le cannabis ne sera jamais légal ! Intéressant. Le cannabis qui se veut anti-système ne fait donc que le renforcer. Alors bon....

Oui, voilà, c'est ce que j'aimerai approfondir. Est ce qu'au delà de trois pétards par semaine (en we ou en soirée), on pourrait pas considérer qu'il y a abus. D'autant plus que je crois que la substance active du cannabis reste très longtemps dans le sang.

Oui, est alors ? Le sevrage de l'héroïne se fait en trois jours. Est ce que ça en fait une drogue sans danger pour autant ? Je constate que beaucoup sont encore à confondre la dépendance physique et psychologique à une drogue avec les conséquences réelle de la prise de cette drogue sur son consommateur et sur la société dans laquelle il vit.

Un pétard, vu que c'est illégal. oui mais enfin bon, c'est un argument en effet irréfutable mais, tu en conviendra, qui n'ouvre pas beaucoup sur le dialogue. Parce que si le débat ne fait qu'opposer les contres pour qui le canna est mal et les pour pour qui le canna est bien, ça peut vite finir en dialogue de sourd. Je crois bien que l'intérêt de ce genre de débat c'est d'élaguer un peu, d'arrondir les angles, de comprendre les pourquoi du comment, non ?

Donc une consommation quotidienne est un abus ? Est ce que tous les fumeurs sont d'accord sur ce point ? Car il semblerait que pour beaucoup, l'abus ne commence qu'au sixième joint quotidien. Et est ce qu'il ne faut pas tenir compte de la consommation d'autres drogues (alcool, tabac, café) afin de définir le seuil d'abus ?

Cela fait plusieurs fois que je pose la question : à partir de quelle quantité considère t on qu'il y a abus de cannabis ?

J'sais pas...:)

La religion est donc un sentiment. Les moutons ont aussi des sentiments. Voilà pour le H.S.

Connaître, comprendre, savoir, apprendre.... Je crois rien de tout ça. En tout les cas pas au sujet de l'Amour.

L'amour ? Le bien ? Ah ! Mais d'accord à 1OO % ! Bon, même si je ne sais ce qu'est ni l'un ni l'autre...

Mais après tout, ce n'est pas une mauvaise chose d'être un mouton. Enfin, pourquoi pas, je veux dire. Là où ça coince un peu c'est quand le mouton se met à jouer au berger.