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Fuel4Life

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  1. Fuel4Life

    La colère est elle utile?

    :smile2: oui mais bon que ça se reproduise pas, je pense que lui et moi sommes d'accord sur ce point
  2. Fuel4Life

    La colère est elle utile?

    Mon dieu, je suis d'accord avec toi :smile2: (ça y est, je sombre du côté obscure de la force)
  3. Tu rigoles, j'adore les fatals, :smile2:
  4. Fuel4Life

    La colère est elle utile?

    Pourquoi nous mettons-nous en colère ? La colère nous envoie le signal qu'un obstacle s'oppose à notre satisfaction et que nos désirs et nos besoins ne sont pas comblés. La frustration apparaît lorsque quelque chose ou quelqu'un nous empêche de faire ce que nous voulons faire ou nous empêche d'aller là où nous désirons aller. Nous ressentons alors de l'impuissance et nous avons l'impression de perdre le contrôle de la situation. Pour illustrer ceci, pensons à l'étudiant ou l'étudiante qui a un exposé oral à faire le lendemain, qui désire se coucher tôt afin d'être en forme mais dont le ou la colocataire a invité amis et amies pour fêter à l'appartement. Nous pouvons très bien l'imaginer sortir de sa chambre et enguirlander les gens présents. Nous cherchons tous à atteindre certains objectifs, certains standards. Toutefois, si des événements ou des personnes, incluant vous-même, vous empêchent de les atteindre, vous pouvez être déçu ou déçue. Cette déception peut alors se transformer en colère. L'athlète qui s'entraîne depuis des années et qui, lors d'une compétition, fait une contre-performance peut être furieux ou furieuse et réagir agressivement. Si notre sécurité est menacée, nous nous sentons vulnérables et nous risquons également de nous mettre en colère. Un étudiant ou une étudiante qui obtient un mauvais résultat à un examen peut craindre l'exclusion et peut rager contre le professeur ou la professeure qui a eu l'audace de lui présenter un tel examen. Parfois, c'est notre environnement immédiat qui nous met en colère ou nous occasionne de la frustration. Les devoirs et les responsabilités peuvent peser lourd sur vos épaules et vous pouvez alors vous fâcher contre le fardeau qui vous incombe et contre toutes les personnes et toutes les choses qui constituent ce fardeau. Aussi, certains états comme la tension et le stress peuvent contribuer à l'émergence d'une telle émotion. Le style de communication adopté peut également influencer l'apparition de la colère. Si quelqu'un adopte un ton hostile et s'il fait preuve d'un manque d'écoute, il y a fort à parier que la personne ressentira de la colère à son tour. La colère peut donc être causée par des événements internes comme externes. Les gens, les situations, les inquiétudes, les ruminations au sujet de difficultés personnelles, des souvenirs d'événements traumatisants ou exaspérants peuvent faire naître la colère. Vous avez sûrement déjà constaté qu'il y a des gens plus enclins que d'autres à la colère. Les gens qui n'ont pas appris à s'exprimer avec des mots ou qui ont appris à tout garder en dedans sont plus vulnérables à l'explosion de la colère. Les personnes colériques ont un faible seuil de tolérance à la frustration et sont portées à entretenir des attentes élevées envers elles-mêmes, les autres et la vie en général. Qu'est-ce qui rend les gens ainsi ? Une des causes pourrait être d'ordre génétique. Il y a des faits et des évidences qui démontrent que, dès la naissance, des enfants deviennent facilement irritables, susceptibles et exaspérés. Une autre cause pourrait être d'ordre culturel. La colère est souvent perçue et regardée négativement. Nous enseignons qu'il est correct d'exprimer de la tristesse, de l'anxiété et bien d'autres émotions, mais pas la colère. Nous sommes donc nombreux et nombreuses à ne pas avoir appris à la gérer et à la canaliser de manière constructive. Les mécanismes de la colère Comme toute émotion, la colère est accompagnée de changements physiologiques et biologiques : le rythme cardiaque et la pression sanguine augmentent, tout comme le taux d'adrénaline qui envoie alors à notre cerveau le message qu'il y a menace et que nous devons réagir. Bien qu'il puisse s'agir d'une menace physique, le plus souvent c'est lorsque notre amour-propre ou notre dignité est menacée que nous réagissons avec colère. Le fait d'être traité injustement, d'être bafoué, ridiculisé ou humilié entraîne souvent de l'agressivité. S'ensuivent des ruminations qui, à leur tour, attisent notre colère. La colère se nourrit de la colère. On observe alors un processus d'escalade où une pensée en entraîne une autre, qui nous met davantage en furie et qui peut dégénérer rapidement en violence. Cette violence peut être refoulée et retournée contre soi ou elle peut exploser et être tournée contre les autres. Dans un cas comme dans l'autre, ces deux extrêmes peuvent entraîner des conséquences très fâcheuses. Ce phénomène d'escalade explique, entre autres, pourquoi un événement bénin peut provoquer chez une personne, déjà énervée et irritée, une réaction violente et disproportionnée. Reconnaître la colère et remettre en question notre façon de voir les choses. Lorsque ce sentiment vous assaille, vous devez, en premier lieu, en prendre conscience. La tension musculaire, l'augmentation du rythme cardiaque et de la respiration, la migraine, la fatigue, l'emploi d'un ton agressif, les gestes impulsifs sont des signes qui vous permettent de reconnaître la colère. Vous pouvez porter attention au moment où la colère fait son apparition, à sa durée et à son intensité. Prenez ensuite du recul vis-à-vis la situation et tentez d'identifier les pensées à la source de votre colère. Plus vous identifierez rapidement ces pensées, plus vous aurez de chances de mettre un frein à cet engrenage. Des pensées plus apaisantes permettent de réévaluer la situation à l'origine de la colère. Un automobiliste, par exemple, prend la place de stationnement qu'un autre automobiliste attendait déjà. Ce dernier sent la moutarde lui monter au nez et se dit que l'autre se moque de lui et qu'il se fout du fait qu'il était là avant lui. Il tente toutefois de se calmer en remettant en question son interprétation et en émettant l'hypothèse que l'autre automobiliste n'a peut-être pas vu son clignotant. Il se sent alors plus détendu et il arrive à lui dire calmement que cette place lui revient. La modification des pensées est une stratégie efficace lorsque le niveau de colère est modéré. Toutefois, si vous êtes en furie, cette stratégie ne vous sera guère utile puisque vous n'êtes plus en mesure de réfléchir normalement. Conclusion Nous ne pouvons rayer la colère de notre vie, et ce n'est d'ailleurs pas souhaitable. Malgré tous nos efforts, des choses qui suscitent la colère continueront toujours de se produire. La vie sera toujours remplie de frustrations, de douleurs, de pertes et d'actions imprévisibles de la part des autres. Nous ne pouvons rien changer à cela, mais nous pouvons changer la façon dont nous laissons ces évènements nous atteindre. Contrôler nos réactions de colère peut nous permettre d'être plus heureux ou heureuse, à plus long terme. Si vous sentez que votre colère est vraiment hors de votre contrôle, si elle a un impact majeur sur vos relations interpersonnelles et sur les aspects importants de votre vie, vous devriez considérer l'idée de consulter afin d'apprendre à mieux la maîtriser. Différentes ressources existent (psychologue, professionnelle ou professionnel de la santé mentale reconnu, groupes de soutien ou d'entraide) afin de vous aider à développer une gamme de techniques qui vous permettront de modifier votre façon de percevoir les choses et de vous comporter dans de telles situations. source
  5. Fuel4Life

    La colère est elle utile?

    LA COLÈRE Qu'est-ce la colère ? La colère est une émotion se traduisant par une insatisfaction relative à un manque, ou encore à un besoin non comblé. Quelle est son utilité ? La colère est un excellent indicateur pour prévenir que la limite d’un individu est dépassée, ce dernier ayant accumulé trop de non-dits. Dans la majorité des cas, le motif avancé pour justifier de ne pas avoir parlé plus tôt est la crainte de déplaire à l'autre. Comme pour toute émotion, la manifestation de la colère démontre clairement qu’une situation n'est pas encore bien vécue et intégrée, n'ayant jamais été exprimée. Comment exprimer la colère ? Une colère exprimée sans accusation, dans le seul but de s'affirmer, s’avère un moyen efficace pour se libérer de l'émotion. Une distinction doit être faite entre exprimer adéquatement sa colère et la déverser injustement sur autrui. Une personne aveuglée par la fougue de la colère aura tendance à porter des accusations exagérées contre un tiers et pourra même devenir violente. Manifester une colère «saine» implique qu’un individu prend le temps d’identifier, dans un premier temps, ce qui est touché en lui, et de cerner la source de ce retentissement soudain. Par la suite, son insatisfaction sera exprimée, mais sans en attribuer la responsabilité de son état émotionnel à l’autre. Lorsque vous cédez à la colère, adoptez ces quelques règles d’hygiène relationnelle : - Prenez donc l'habitude de vous excuser; bien sûr il convient de ne le faire que si vous êtes sincère, sinon la personne le détectera, risquant ainsi de brouiller davantage votre relation. - Nul n’est parfait sur cette terre, acceptez-vous d’abord comme être humain en vous pardonnant pour cet excès et prenez le temps de discuter dans le calme avec cette personne sur l’objet de votre conflit. Vous serez ainsi en mesure de constater combien il peut être facile de bien se sentir dans sa peau à nouveau. Les conséquences de la colère refoulée : La colère refoulée sur une longue période peut générer des conséquences néfastes, tant sur le plan psychologique que physique, et peut varier en gravité, allant du simple malaise à la maladie incommodante, du conflit banal au mal-être constant, etc. « Piquer des crises » à répétition n’est plus ni moins qu’un indice que la personne enragée a malheureusement attendu trop longtemps avant de contacter sa frustration, mais surtout d’avoir attendu trop longtemps pour exprimer ses besoins réels. *Psycho réflexion La colère est souvent envisagée comme une émotion tout à fait négative puisque n’étant pas très agréable à vivre. Elle est comme une rivière.Quand la résistance s’installe, vous dresserez un barrage. Qu’arrivera-t-il? L’eau inondera les environs, causant ses ravages sournoisement.La colère envahira le corps de l’individu frustré jusqu’à un débordement explosif, de façon telle qu’il ne lui sera plus possible de se contenir.Tout comme un débit d’eau, la colère doit pouvoir avoir le droit d’exister, être entendue et exprimée. CROYEZ-VOUS QUE … Montrer et exprimer sa colère = être imparfait Cette croyance se retrouve fréquemment chez des personnes perfectionnistes. Montrer sa colère = être faible Voilà une autre croyance bien ancrée chez les personnes perfectionnistes voulant faire bonne figure en tout temps, au point de ressentir une honte terrible lorsqu’ils dérogent à leur propre règle, allant par ailleurs à l’encontre même de la nature humaine. Montrer et exprimer sa colère = danger de conflit Pour les personnes aux prises avec une peur de perdre l’autre, la colère sera souvent refoulée. Parce que le risque encouru pour ce genre d'individu serait parfois trop pénible. La peur de perdre l'autre prendra alors le dessus sur l'expression des besoins de l'individu. Montrer et exprimer sa colère = politiquement incorrect C’est ce qu’a souvent enregistré un enfant issu d’une famille où l’un des parents était colérique. Il a alors intégré que la colère s’avérait quelque chose de très vilain. source
  6. QU'EST-CE UN GROUPE DESTRUCTEUR ? «Combatting Cult Mind Control» de Steven Hassan Résumé et traduction du livre par Roland Huckel, professeur de philosophie à Strasbourg. Peut-on apprendre à distinguer un groupe destructeur d'un autre non destructeur ? Quelles sont les caractéristiques décisives qui permettent de différencier une organisation banale d'une secte dangereuse ? Lorsque j'analyse un groupe dont je soupçonne qu'il s'agit d'un groupe destructeur, je mène mes recherches d'abord dans le domaine psychologique et non sur le plan théologique ou idéologique. J'examine les facteurs qui influent le contrôle de la pensée, l'hypnose et la psychologie de groupe. J'observe des faits et non des croyances. En ce qui me concerne, j'essaye de déceler si les cultes destructeurs et leurs membres communiquent entre eux (ou en sont incapables). D'autres analyses ou critiques basent leurs recherches sur la façon dont le groupe interprète la bible ou leur tendance politique. Les groupes que je définis «destructeurs» ont des caractéristiques très spécifiques qui portent atteinte a la liberté de choix de l'individu. Mon Modèle d'analyse de la destructivité d'un groupe ou d'une organisation quelconque est fondé sur trois critères de base : le chef l'enseignement la qualité de membre En examinant ces trois domaines vous serez vite capables de distinguer si un groupe peut être classé destructeur. Le Chef Les cultes destructeurs font tout pour camoufler leur identité, mais l'analyse de leur chef est un bon point de départ pour assembler des informations et s'en faire un jugement. Qui est le chef de groupe ? Quel est son passé, son éducation, sa for­mation, son activité avant de créer son mouvement ? Je suis tenté de croire que bien des gourous souffrent d'un complexe d'infériorité et mettent en évidence une personnalité asociale. Tous souhaitent un bonheur matériel, mais recherchent avant tout l'attention et la puissance. En effet, la puissance peut devenir une passion extrême, et elle le devient effectivement. Avec le temps, des chefs de cultes ont un besoin de plus en plus important de puissan­ce. Ces gens sont si dangereux, parce qu'ils sont psychologiquement instables et croient fermement à leur propre propagande. Ils ne sont pas seulement des artis­tes rusés et trompeurs pour gagner de l'argent, mais ils pensent être «Dieu» ou le «Messie» ou un maître illuminé. Un regard sur le passé et le style de vie d'un chef permet de tirer quelques conclu­sions générales au sujet du degré de confiance que l'on peut accorder à ce chef. Exemple : si quelqu'un enseigne comment réussir un mariage, le fait d'être trois fois divorcé est significatif. Si, dans le passé, un chef a fait usage de la drogue et a présenté un comportement bizarre, comme Ron Hubbard, je conseillerais la prudence en écoutant son affirmation d'être capable de résoudre tous les problèmes de l'humanité. J'ai aidé des personnes à quitter des mouvements dont le chef n'était pas avide d'argent, mais, qui, à mon avis, visait la puissance personnelle. Des chefs à la tête de bien des cultes destructeurs ne sont pas des jouisseurs notoires et respectent l'autorité supérieure de Dieu et de la bible, mais leurs interprétations de la bible et de la volonté de Dieu sont utilisées pour manipuler et contrôler des person­nes. L'enseignement Vu que nos constitutions permettent à n'importe qui de croire n'importe quoi, il est inutile de creuser l'enseignement particulier d'un groupe. En ce qui me concerne, je crois que la croyance d'un groupe devrait être transmise sans contrainte à un candidat. L'enseignement du groupe revendique-t-il publiquement quelque chose qui, en fait, n'est pas appliqué par le groupe ? Je pense à «l'enseignement pour initiés» (insider) et à «l'enseignement pour personnes extérieures» (outsider).Pour son image de marque, il est primordial pour un groupe que ses membres croient ce qu'on les oblige à croire. Des cultes destructeurs changent leur «foi» suivant les besoins de la situation et pensent que le but sanctifie les moyens. Le fait d'aider à «sauver» quelqu'un justifie mensonge et manipulation. En revan­che, les organisations conformes à la loi ne modifient pas leur enseignement dans le but de tromper le public. La qualité de membre C'est le dernier critère, le plus décisif. Distinguons trois composantes : Recrutement Maintien dans le groupe Liberté de quitter le groupe Le changement d'identité, de ses relations, de ses buts et intérêts sont les premiers effets sur un individu qui devient membre d'un groupe. C'est là le domaine principal de mes investigations, quand je juge un groupe. Le trait caractéristique de la plupart des manières de recruter est la duperie. Les groupes destructeurs ne se gênent pas de mentir. Ils travaillent en supposant que les gens sont trop bêtes et pas assez spirituels pour reconnaître tout seul ce qui est le meilleur pour eux. Ils se chargent ainsi de décider à la place des recrues. Lorsque l'esprit critique d'un individu est bien développé, les informations données par le culte sont parcimonieuses, dans le cas contraire elles sont plus explicites. Duperie signifie mensonge, mais aussi dissimulation et information fausse. La plupart des recruteurs nient leur intention de recruter. A la demande du but de leur action, ils répondent tout bonnement qu'ils désirent transmettre un message important pour eux et y intéresser d'autres personnes. Ils taisent le fait qu'ils ont un nombre obligatoire de conversions à présenter. La pratique de tromper passe par l'intermédiaire d'organisation parallèles. La Dianétique et Narconon font partie du team de la Scientologie. Dans la phase recrutement, le recruteur essaye d'obtenir le plus d'informations possibles pour trouver le chemin de la réussite. Il sait toucher les points faibles (problèmes avec le copain ou avec la copine, avec les parents, à l'école ou au travail, décès d'un proche, changement de résidence, etc.). Un bon recruteur sait se montrer agréable et soustraire des informations personnelles et confidentielles. Il ne dévoile que peu de sa personne et encore moins de son groupe, sauf en cas de nécessité. Ce sens unique du flux d'informations est un autre signal d'alarme. Le recruté a la plupart du temps, l'impression de gagner un ami. Dans la réalité, l'amitié a besoin d'un certain temps pour se développer. Chacun donne et chacun reçoit et il n'existe pas de plan secret. je répète : un culte dangereux recrute ses adeptes à l'aide du contrôle de la pensée. Ce contrôle est essentiel pour pouvoir détruire I'individu, l'endoctriner et rétablir selon le schéma du culte. source
  7. La scientologie Résumé: La secte nocive peut être juridiquement définie comme une personne morale à but philosophique, spirituel ou religieux dont les organes ou représentants commettent, pour son compte, des infractions pénales en tant qu'auteurs ou complices. La dangerosité de ce groupement est encore accrue lorsque la gravité de ces infractions augmente au fur et à mesure que l'adepte progresse dans le corpus spirituel de la secte. Les organisations françaises se réclamant de l'Eglise de Scientologie, obéissant strictement aux directives internes de son fondateur L. Ron Hubbard, sont le théâtre de tels faits répréhensibles. A la procédure de purification du corps physique de l'adepte correspond un exercice illégal de la médecine. L'assainissement du mental par la thérapie dite de l'audition relève pour sa part de l'escroquerie aggravée et du délit de tromperie. Une fois parvenu à ce stade, l'adepte désireux de poursuivre sa progression pour atteindre la dimension spirituelle de la Scientologie se verra proposer d'intégrer son corps d'élite, la "Sea Org", au sein de laquelle il appliquera l'"Ethique", le pouvoir disciplinaire de l'organisation. Jusqu'alors simple victime, l'adepte devient aussi auteur ou complice d'infractions (qui peuvent aller jusqu'au crime de séquestration arbitraire) à l'encontre de coreligionnaires, mais aussi d'opposants à la Scientologie. Toute organisation de scientologie implantée sur le territoire national est donc susceptible d'être qualifiée de secte nocive. Au même titre que les personnes physiques qui participent à ces actes prohibés, elle encourt des sanctions de nature répressive, en vertu d'une responsabilité pénale des personnes morales qui devra être systématiquement envisagée. Eu égard à la gravité des infractions commises, le juge pénal pourra, dans la quasi-totalité des cas, prononcer la dissolution du groupement. Arnaud Palisson source
  8. Pour Lefleys, elle me comprendra
  9. Tu ne sais pas de quoi tu parles, les médecins expliquent aux parents la malformation ou handicap ou maladie génétique auquels ils vont être confrontés, les conséquences éventuelles et laissent les parents choisir. Le choix est simple, soit la grossesse se poursuit et ils affrontent les conséquences, soit ils la stoppent. L'IMG n'est pas un meurtre. Il faut être idiot pour dire un truc pareil Et oui on va te ressortir le droit des parents à choisir, ce n'est pas toi qui va élever cet enfant ou le voir mourir. C'est eux, alors tu te tais et tu laisses les parents affronter ce chagrin et tu les respectent par la même occasion en ne ressortant pas le meurtre Il ne s'agit pas d'un enfant, mais d'un foetus ou d'un embryon, la loi est très claire à ce sujet. Que les cathos se taisent une fois pour toute.
  10. Le problème qu'explique très bien sylareen, c'est le long parcours qu'ils et qu'elles doivent affronter et les obstacles auquels ils et elles doivent faire face.
  11. Et bien tu te trompes aussi je te suggère la lecture de ce topic Mon lien à partir du message 19 de sylareen, qui explique très bien et très clairement ce qu'est réellement le transexualisme. Juste une précision, erreur trop souvent faite, les transexuels et les travestis, ce n'est pas la même chose.
  12. il faut mieux se renseigner, le transexualisme, ce n'est pas un individu avec l'attrait des deux sexes.
  13. L'Eugénisme est-il une évolution de la Race Humaine ?
  14. Tu penses que la clientèle de ce magasin de sex-toy est une bande de pédophile en puissance ? et la femme qui va s'acheter son jouet aussi ? Ben perso, j'aurais plus la trouille de confier mon gamin au cathé avec le nombre de prete pédophile qui s'y trouve. mmmm une bite en chocolat voilà une idée vendeuse pour les gourmandes :D
  15. Voilà. L'IMG n'a rien à voir avec une quelconque volonté de conformer l'espèce humaine à un hypothétique idéal génétique. Exactement. D'ailleurs ce sujet un doublon du sujet sur la dignité humaine, on va reprendre les mêmes arguments et contre argument, je ne vois vraiment pas l'intéret de laisser un doublon de ce genre. C'est curieux
  16. L'Eugénisme est-il une évolution de la Race Humaine ?
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