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Les religions n'ont pas prévu que la vie viendrait de l'espace[titre corrigé]
angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
FRELSER excuse moi, mais je n'ai pas bien compris ce que tu veux dire par : Moi, je me contente de donner les explications, car si on attend que certains contributeurs apprennent à discuter calmement, on est mal. Alors, je ne reviens pas sur des posts de forumistes qui n'ont aucun sens critique et sont pures provocations et insultes. t'aurais-je provoqué ou insulté ? si c'est le cas, mille excuses, je n'avais vraiment pas l'intention d'agir ainsi ! -
Les religions n'ont pas prévu que la vie viendrait de l'espace[titre corrigé]
angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
merle, mes sources sont dans n'importe quel dictionnaire hébreux, (vieux, et relatif à la torah) -
c'est terrible d'être aussi vindicatif avec les religions comme le sont certains. il y a pourtant de bon exemple à prendre dans ce domaine. je ne vais pas tout citer mais, les écoles que dirigeaient les juifs. les hôpitaux qu'ont créés les catholiques au moyen âge. l'altruisme que certains religieux ont matérialisé avec les soupes populaires, la croix rouge, et j'en passe d'autres. et que dire des croyances des indiens d'amérique du nord qui avaient développé un mode de vie en parfaite harmonie avec la nature. si les blancs n'étaient jamais allés là bas, il est plus que fort probable que la nature serait encore intacte et que les peaux rouges vivraient encore comme il y a 500 ans. les religieux (pas tous, c'est vrai) ont une chose que les athées n'ont pas (ou quelques rares personnes) c'est le développement d'un caractère spirituel tourné vers le sacré. combien de non croyants, de non religieux, vivent avec en eux la conviction de l'existence d'un sacré quelque part (ne serait-ce que la vie, ou la nature). et comme on dit, il y a des bons et des mauvais de partout. qu'est ce que cela peut bien faire qu'on croit ou non en dieu, à partir du moment que l'on vive en bonne intelligence ensemble.
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Les religions n'ont pas prévu que la vie viendrait de l'espace[titre corrigé]
angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
MERLE les ancêtres appelaient ciel tout ce qui se trouvait au dessus de leurs têtes, le ciel, les étoiles et le reste. comment auraient-ils pu savoir l'exact composition du firmament ? d'ailleurs le premier mot traduit par ciel dans le premier verset de la genèse (shamaïm) a un sens plus profond que notre ciel à nous (notre voute bleutée) car il signifie, espace, vide, étendue vide de matière. tu n'as pas tout à fait tord en parlant de sémantique, mais il faut reconnaître aussi que d'une langue à l'autre, les mots n'ont parfois pas tout à fait le même sens. il n'y a qu'à voir le mot aimer, en grec, en français ou en anglais, qui selon la langue démontre un parfait exemple. pense donc avec les langues anciennes ! -
en fait, on déblatère tous, mais personne n'a répondu à la question qui était simplement posée en titre de cette page du forum. alors je vais le faire le premier. pour moi, oui, dieu existe. et je vais même noter mon devoir, je mérite bien un 20/20, car celui-ci est clair, net, précis, limpide et ne souffre d'aucune contradiction, ni d'ambiguïté. rectification ! je suis le deuxième à répondre à la question, mais je trouve que j'ai mieux répondu que la benoite.
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ZARATHOUSTRA n'est-ce pas du nihilisme que de vouloir la mort de dieu et des religions ? j'ai pris quelques exemple de ce nietzsche disait dans ses œuvres. nihilisme vient du mot nihil qui veut dire "rien". peut etre que je me trompe, mais quand on veut cesser de faire exister une chose, qu'on veut l'anéantir, l'annihiler, ne sommes nous pas ainsi des ........nihilistes ?. Aucun Dieu n'est mort pour le rachat de nos péchés ; il n'y a pas de salut par la foi ; pas de résurrection après la mort tout cela ce sont les fausses monnaies du christianisme véritable et ces malheureux cerveaux brûlés sont responsables de cette supercherie." dans la volonté de puissance, 1884 "Serait-ce donc possible? Ce saint vieillard, en sa forêt, encore n'a pas ouï dire que Dieu est mort !" dans Ainsi parlait Zarathoustra, 1883 "Ce n’est qu’après la mort de la religion que l’invention du divin pourra reprendre toute sa luxuriance." dans La Volonté de puissance, 1884 Ce qu'il y a de meilleur dans les religions, ce sont leurs hérétiques." Friedrich Nietzsche "Que dire? L'homme n'est qu'une méprise de Dieu? Ou bien Dieu une méprise de l'homme?" Le crépuscule des idoles, 1888 à moins que je me trompe, mais ce que développait nietzsche n'était-ce pas une forme de pessimisme ? même si quelque part il espérait ou souhaitait in fine que le mieux pour l'homme. et le nihiisme me semble être la doctrine du pessimisme, peut etre le plus absolu, mais pessimisme quand même. maintenant, peut être aussi, que chacun interprète les mots comme il le veut, comme il le peut ou comme il l'entend. et peut être est-ce mon cas. (je n'ai pas la science absolue)
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POUR ZARATHOUSTRA2 Selon Nietzsche, le rapport de l'homme au monde, tant en ce qui concerne la volonté (désirs, aspirations, espoirs) que l'entendement et la raison (métaphysique, connaissance) fut jusqu'ici essentiellement le résultat de jugements moraux nés du ressentiment d'impuissants qui disent "non" à la réalité et la vie, tout en se parant des plus hautes vertus de la morale. C'est cette idée qu'il exprime, dans le Crépuscule des idoles: « [...] il y eut des moralistes conséquents avec eux-mêmes: ils voulaient l'homme différent, à savoir vertueux, ils le voulaient à leur image, à savoir cagot; c'est pour cela qu'ils niaient le monde. »[réf. incomplète] Et, plus loin : «La morale, dans la mesure où elle condamne dans l'absolu, et non au regard de la vie, par égard pour la vie, ou en regard des intentions de la vie, est une erreur intrinsèque... »[réf. incomplète] La théologie assura la pérennité de cette détermination morale de l'existence, et la philosophie s'en fit l'auxiliaire. Nul philosophe, en effet, ne s'interrogea sur la valeur de la vérité ; cette valeur fut toujours pour ainsi dire donnée par définition, et il en fut de même pour le bien. Que peuvent alors signifier de tels jugements ? Dans la mesure où ils se construisent en opposition à l'apparence, ils ne peuvent signifier que le néant : Dieu, l'être, le bien et tout pensée de l'en soi, de l'absolu, sont les symptômes d'une même volonté de vaincre le devenir, associé au néant, d'une volonté d'en finir qui, paradoxalement en apparence, se met à créer des valeurs. Ces valeurs, cependant, expriment la grande lassitude, l'épuisement de l'homme face au monde. Cela s'exprime de diverses manières dans le monde moderne : la guerre, l'ennui, le désœuvrement, la recherche d'excitations morbides ou de plus en plus violentes (alcool, érotisme), la recherche d'activités abrutissantes (travail), la vie au jour le jour et inconsistante de la vie publique intellectuelle (journalisme, opportunisme des universitaires rémunérés), les conflits psychiques (névrose, hystérie), etc.[réf. souhaitée] C'est pourquoi, le nihilisme est selon Nietzsche l'événement majeur de l'Europe, il en est même le destin depuis Platon. Mais ce nihilisme éclate aujourd'hui[Quand ?][réf. souhaitée] : il exprimerait alors un tournant historique dans la hiérarchie des valeurs reçues jusqu'ici. Cet éclatement du nihilisme pourrait être résumé par la formule célèbre : « Dieu est mort. », car si Dieu est mort, la morale n'a plus de fondement, bien que l'ombre du dieu mort (son influence axiologique) agisse encore fortement sur des hommes même athées : « La question du nihilisme " à quoi bon ? " part de l'usage qui fut courant jusqu'ici, grâce auquel le but semblait fixé, donné, exigé du dehors - c'est-à-dire par une quelconque autorité supra-humaine. Lorsque l'on eut désappris de croire en celle-ci, on chercha, selon un ancien usage, une autre autorité qui sût parler un langage absolu et commander des fins et des tâches. L'autorité de la conscience est maintenant en première ligne un dédommagement pour l'autorité personnelle (plus la morale est émancipée de la théologie, plus elle devient impérieuse). Ou bien c'est l'autorité de la raison. Ou l'instinct social (le troupeau). Ou encore l'histoire avec son esprit immanent, qui possède son but en elle et à qui l'on peut s'abandonner. » (La Volonté de puissance, I, I, 3). La critique de la métaphysique, en réfutant l'idée de la pensée d'un en soi, d'un être absolu, contribue à précipiter la crise nihiliste, en l'amenant à son point extrême où l'on ne peut esquiver de penser le problème hiérarchique des valeurs qui, privées de leur fondement, entrent en contradiction avec le monde dans lequel nous vivons : nos valeurs sont devenues insoutenables, et sources de contradictions psychiques. Le nihilisme signifie alors que les anciennes valeurs sont dépréciées. Ainsi, la critique de la métaphysique révèle-t-elle le nihilisme des valeurs humaines. Mais Nietzsche distingue plusieurs types de nihilisme, selon la force ou la faiblesse qui l'inspire. Les deux formes du nihilisme[modifier] Tout d'aborde, Nietzsche distingue deux types de nihilisme : « Le nihilisme, une condition normale. Nihilisme : le but fait défaut ; la réponse à la question "pourquoi ?" - Que signifie le nihilisme ? Que les valeurs supérieures se déprécient. Il peut être un signe de force, la vigueur de l'esprit peut s'être accrue au point que les fins que celui-ci voulut atteindre jusqu'à présent ("convictions", "articles de foi") paraissent impropres car une foi exprime généralement la nécessité de conditions d'existence, une soumission à l'autorité d'un ordre de choses qui fait prospérer et croître un être, lui fait acquérir de la force…) ; d'autre part le signe d'une force insuffisante à s'ériger un but, une raison d'être, une foi. Il atteint le maximum de sa force relative comme force violente de destruction : comme nihilisme actif. Son opposé pourrait être le nihilisme fatigué qui n'attaque plus : sa forme la plus célèbre est le bouddhisme, qui est un nihilisme passif, avec des signes de faiblesse ; l'activité de l'esprit peut être fatiguée, épuisée, en sorte que les fins et les valeurs préconisées jusqu'à présent paraissent impropres et ne trouvent plus créance, en sorte que la synthèse des valeurs et des fins (sur quoi repose toute culture solide) se décompose et que les différentes valeurs se font la guerre : une désagrégation… ; alors tout ce qui soulage, guérit, tranquillise, engourdit, vient au premier plan, sous des travestissements divers, religieux ou moraux, politiques ou esthétiques, etc. Le nihilisme représente un état pathologique intermédiaire (- pathologique est l'énorme généralisation, la conclusion qui n'aboutit à aucun sens -) : soit que les forces productrices ne soient pas encore assez solides, - soit que la décadence hésite encore et qu'elle n'ait pas encore inventé ses moyens. »[78] Lorsque le nihilisme consiste à dévaluer le monde naturel au nom d'un monde suprasensible, Nietzsche parle d'un nihilisme des faibles : le monde ne devrait pas exister pour le faible qui n'est pas capable de maîtriser les choses, de mettre un sens dans le monde. Le monde est pour lui une souffrance : il se sent supérieur à lui, et, partant, étranger au devenir. Ce nihilisme s'exprime par exemple dans le pessimisme, mais, essentiellement, il est d'origine morale, car les valeurs morales entrent en conflit avec le monde que nous vivons. C'est un nihilisme inconséquent, car il devrait logiquement aboutir à la suppression de soi : si la morale et le monde se contredisent, il faut en effet soit détruire la morale ancienne (mais pas toute morale : Nietzsche est immoraliste et non a-moraliste), soit se détruire soi-même : « Voici venir la contradiction entre le monde que nous vénérons et le monde que nous vivons, que nous sommes. Il nous reste, soit à supprimer notre vénération, soit à nous supprimer nous-mêmes. Le second cas est le nihilisme. »[78] En sens contraire, le nihilisme des forts est une sorte de mue : des valeurs sont abandonnées et d'autres sont adoptées. La volonté du fort n'est pas abattue par l'absurde, mais invente de nouvelles valeurs à sa mesure. Ainsi, le dépassement du nihilisme, à travers la pensée de l'éternel retour, est-il nommé transvaluation des valeurs. Ce nihilisme conduit alors au surhomme, qui est celui qui approuve entièrement le monde du devenir, son caractère changeant et incertain : on peut dire que le surhomme est ce monde, il le vit. De ce second sens, il est possible d'extraire encore un autre sens, réservé à l'élite des esprits libres : le nihilisme de la pensée, la négation absolue de l'être, négation qui devient selon Nietzsche la manière la plus divine de penser. Selon cette pensée, il n'y a pas du tout de vérité ; nos pensées sont alors nécessairement fausses. ceci provient de wikipédia
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Les religions n'ont pas prévu que la vie viendrait de l'espace[titre corrigé]
angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
l'univers est vie. la vie provient donc de l'univers. point final. qu'est que cela peut bien faire qu'elle soit apparue sur terre directement, ou que la terre fut ensemencée du ciel ? la vie est là ! la vie a besoin d'un environnement pour s'épanouir, au vu de l'immensité de l'univers, l'environnement ne manque pas. n'est-il pas plus intelligent de la préserver. l'humain cherche de la vie ailleurs que sur sa planète et il détruit celle qui se trouve sur terre. s'il trouve de la vie ailleurs, s'empressera-t-il encore de la détruire ? et bien sûr que les religions ont prévu que la vie venait du ciel. dans de nombreuses mythologies la vie est apparue de la copulation entre le ciel et la terre (ex : gaïa et ouranos). -
zarathoustra2 je ne dis rien de mal à propos de nietszche. mais le sujet de ce forum est le bien ou le mal. et tu dis plus haut que tu ne pense pas que la pensée de celui-ci ait pu influencé le nazisme. mais le plus grand des nazis, hitler, celui qui menait ses troupes en était inspiré, et encore plus inspiré par la musique de wagner, et très inspiré par les écrits prophétiques de la bible. c'est le propre de l'homme de se servir de quelque chose pour atteindre autre chose. ni nietzche, ni wagner, ni la bible, ne furent mauvais, au contraire, ils font partie de ce qu'il y a de bon chez l'humain. mais un autre humain peut se servir de ce qui est bien à d'autres fins, et c'est là..... qu'est le sujet dont on parle, là se trouve les notions du bien et du mal.
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PAPERMAN oui tu as raison, chaque chose a un rôle à jouer sur cette planète. tout vit dans une recherche d'équilibre parfait. cette recherche d'équilibre de la part de la nature, des choses existantes, forme un mouvement évolutif, au bout duquel est apparu l'humain, ici sur terre. mais de là à dire que chaque chose dans le monde est là pour servir l'être humain, je crois que tu déformes la réalité. la nature n'est pas là pour servir homo sapiens, mais elle a produit homo sapiens par certains aléas de la vie. le détendeur de la super-intelligence, de la conscience et de l'esprit aurait très bien pu être le représentant d'une autre espèce. mais sur terre, les choses ont voulu que cela soit homo sapiens. PAPY75 et maintenant homo sapiens, s'envole à la recherche de dieu. il n'est pas le seul dans l'univers à chercher le créateur. tout être doté de conscience se pose des questions, tout être doté d'intelligence cherche à répondre à ces questions. tout être doté d'esprit sait intituivement que l'univers ne montre pas tout. et de là nait la science qui emmène les êtres au plus proche du créateur. mais alors si dieu est, selon toi une invention, alors c'est une invention de la nature, pas de l'être humain !
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on en vient là au panthéisme. et en prenant cette direction, je veux dire en partageant quelques idées et quelques mots, on vient de mettre un terme à l'athéisme en révélant que ce dernier (étant basé sur le postulat qu'aucune divinité ou créateur n'existe) est dans l'erreur misant sur un fait qui n'est pas établi, puisqu'il existe, selon notre perception un créateur, l'univers-dieu.
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nietzsche était un nihiliste (au passage grand ami de wagner). les nazis l'étaient dans leur comportement. je dirais même qu'ils étaient annihilistes. leur gourou hitler ne disait-il pas lui-même pour haranguer les foules qu'il était un ange tombé du ciel et qu'il était venu pour détruire. tous ceux qui ont quelques notions de théologie comprennent à qui il faisait allusion en disant cela.
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si l'univers vient de dieu, on peut dire alors que dieu a engendré, puisque l'univers vient de lui. la bible dit par endroit que dieu connait chacune des étoiles à qui il donne un nom. elle dit aussi qu'il connait le nombre de cheveux sur la tête de chaque humain. et dans certains textes apocryphes que l'église catholique n'a pas voulu reconnaitre que dieu est dans le bois, dans la pierre que tu soulèves, de partout.
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et si l'univers n'était qu'un aspect visible, le seul aspect visible pour nous de dieu ? on se doute aujourd'hui que la matière a été produite et n'est produite que par une énergie primordiale. et si l'énergie qui compose les particules les plus élémentaires, cette énergie créatrice, était ce dieu que l'on cherche ? nous aurions là dieu de partout, omniprésent, puisqu'en toute chose de l'univers et en chacun de nous. nous aurions dieu omniscient, car apparemment l'univers sait où il va et fait tout ce qu'il faut pour cela. et nous aurions dieu omnipotent car d'une puissance totale et absolue.
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malheureusement, nous vivons dans un monde où chacun cherche midi à sa porte. chacun cherche à tirer la couverture à soi. chacun ne cherche que son intérêt. chacun tente d'imposer sa façon de voir, de vivre et de mourir. l'espèce humaine (d'une façon générale, car il y a toujours des exceptions bien sûr) a totalement oublié aujourd'hui ce qui lui a permis d'affronter la vie quand elle est apparue sur terre il y a quelques millions d'années. quand un homo x voyait un de ses congénères, il voyait en lui son homologue, il se voyait lui-même dans ses yeux. ensemble ils ont développé une vie d'union et d'entre aide, car même si la nature les avaient dotés d'une intelligence exceptionnelle, ils n'avaient aucune arme naturelle pour se défendre contre les prédateurs et les aléas de la vie. ce n'est qu'en restant et travaillant ensemble qu'ils ont pu survivre jusqu'à aujourd'hui. mais à l'heure actuelle, l'humain n'est plus au centre des activités de l'espèce. l'économie n'est plus basée sur l'humain, mais sur le profit. la société n'est plus basée sur l'humain mais sur la production. les religions ne sont plus basées sur le spirituel (le propre de l'humain) mais sur le pouvoir. idem pour les idéologies. la nature n'est plus vue comme une mère, mais comme une source de richesse que l'on pille sans vergogne. dans tout cela, on oublie complétement l'humain. l'intérêt n'est plus l'homme, mais devient national, devient corporatif, jusqu'au jour où une espèce de consortium occulte se met à manipuler les masses pour le profit personnel de grands privilégiés qui n'a que faire lui aussi de la couleur de peau, des religions ou autres. un jour il faudra que tout ce système s'écroule, et l'espoir réside dans le fait que l'humanité se souvienne de son expérience pour savoir quel chemin elle devra prendre pour construire un monde qui soit vraiment meilleur et basé entièrement , non seulement sur l'humain, mais sur le souci de la pérennité de la vie en général.
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peut être que je vais encore redire les mêmes choses, mais j'ai remarqué que les différents sujets de discussion reviennent toujours aux mêmes points, dieu, libre arbitre, le bien et le mal. les psychologues et les psychiatres analysent souvent leurs patients d'après leurs actes, leurs œuvres, leurs comportements. les zoologistes font pratiquement la même choses pour les animaux. idem pour les botanistes. les littéraires font pareil pour appréhender les vues, le caractère, etc, de l'auteur dont ils analysent le bouquin. et bien sûr, les astrophysiciens ne font pas autrement avec les étoiles et les particules. alors si dieu existe et qu'il est bien le créateur de l'univers, il n'y a qu'à analyser son œuvre pour soutirer quelques connaissances de ce qu'il peut être, de ce qu'il pense, etc. et ce que je vois dans l'univers c'est le beau, le magnifique et le majestueux, le grand, l'infini, le complexe, l'ordonné, des lois dont on ne peut s'affranchir et qui régulent tout ce qui peut exister, même le comportement social des êtres intelligents. j'y vois aussi que d'après l'évolution de l'univers, suivant une complexification toujours plus accrue le temps passant, tout semble être fait pour que la vie apparaisse, pour que l'intelligence suive, pour que la conscience émerge, et bientôt l'humain découvrira l'esprit. alors si dieu n'existe pas, c'est l'univers qui est dieu. en tout cas ......l'oeuvre est divine.
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croire en dieu ou on. existe-il ou on ? le débat qui dure depuis la nuit des temps et qui n'est pas prêt de s'arrêter ! tous nous avons notre idée là-dessus, et beaucoup ont la réponse à cette question. parmi vous quelqu'un a dit vrai. la réponse à cette question est relative avec l'expérience de vie de l'individu. et dans l'urgence plus d'un athée se sont mis à prier dieu, ou la providence, par ce que l'issue de la situation dans laquelle ils se trouvaient ne dépendait plus d'eux. chaque être humain a un espoir (même le plus des athée des athées), un dernier petit espoir de divinité, comme une ultime parcelle de lumière, un bout de chandelle qui attend d'illuminer tout le corps. quand cette infime lueur disparait, c'est que l'individu n'est plus qu'un cadavre. que la vie de l'individu sois dans le plus grand des périls, ou pire, que l'enfant de l'athée soit sur le point de périr, même s'il n'en est pas tout à fait conscient, son mental formulera une idée similaire à ceci : "pourvu qu'il existe un dieu qui sorte mon enfant de là !" si celui ci ne se met pas carrément à prier en disant : "dieu, si tu existes, fais ceci ou fais cela " mais, à tout ceci, la réciproque est vrai pour le croyant. combien de fois n'a-t-il pas douter de l'existencede celui en qui il croit ? combien de fois ne s'est-il pas dit : et si tout cela n'était que baliverne ? dieu, qu'on le veuille ou on, reste un espoir dans le fond de nos cœurs qui n'attend que le moment de surgir ou de ressurgir.
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très bien dit alywood. tout ce qui touche à la religion est une affaire qui se doit de rester personnelle. si l'individu se sent bien avec ce qu'il croit, c'est parfait à partir du moment qu'il s'abstient de l'imposer aux autres. si chacun respectait ce principe, nombre de troubles et de guerres disparaîtraient de ce monde.
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POUR ZARATHOUSTRA2 l'esprit, étant immatériel, ne possède pas de dimension (pas de poids, pas de largeur ni de longueur, ni de volume, etc). ceci étant dit, comment serait-il possible de le mesurer ? si l'esprit est mesurable ou quantifiable cela n'est certainement pas en terme de physique. mais alors probablement en terme spirituel. et là, je ne vois pas comment l'humain pourrait le faire. faisons un peu de métaphysique ! si dieu existe, et qu'il soit esprit, éternel et infini (comme la majorité le décrit). comment est il possible de mesurer un telle entité ? s'il avait une forme, c'est qu'il serait fini et donc qu'il appartiendrait au monde physique, c'est qu'il aurait un intérieur et qu'il existerait un extérieur qui n'est pas lui, et donc ne pourrait être omniprésent. idem pour les causes premières. si une cause était autre que lui-même quant à son existence, il ne serait pas éternel. toutefois tu as probablement raison de soulever un point "pourquoi une cause, et pas deux ou trois". il n'est pas interdit de penser que plusieurs causes soient nécessaires pour produire un effet. mais cela n'enlève en rien au fait que dans le monde physique que représente l'univers (au moins) une cause est nécessaire pour produire quelque chose.
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Les religions n'ont pas prévu que la vie viendrait de l'espace[titre corrigé]
angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
Rhooo... comme c'est joliment dit. Je ne pouvais espérer réponse plus complète et plus claire que la votre. Et je suis heureuse de vous entendre dire ce que je pensais mais que je n'osait vraiment exprimer : l'état de vie est tout de même propre à une perception humaine. Comme vous le dîtes si bien, la terre (ou autres entités que nous considérons comme inertes) possède une vie qui lui est propre avec également des processus d'échange au sein de ce que nous pourrions qualifier comme étant son organisme. heureux d'avoir provoquer un peu de joie en toi. tu as tout à fait compris ce que je voulais dire. si l'humain laissait son esprit regarder ce qu'il y a autour de lui, il comprendrait beaucoup plus de chose et son monde deviendrait tellement plus beau. -
Les religions n'ont pas prévu que la vie viendrait de l'espace[titre corrigé]
angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
un peut comme coupé en deux le néant. mais dans toutes les mythologies du monde la création de l'univers se fait par la scission d'un état primordial en deux entités devenant distinctes. -
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angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
POUR BELZEBUT on peut trouver des vérités dans toutes les écritures que l'on dit saintes. dans la torah le premier verset de la genèse dit similairement la même chose que le verset 21:30 du coran. "au commencement dieu créa les cieux et la terre". les deux mots utilisés pour cieux (shamaïm) et la terre (erets) ont été traduits pour des raisons de conception et compréhension comme nous le lisons aujourd'hui. mais leur sens originels pour cieux-shamaïm est : vide, impalpable. et pour terre-erets : solide, matière. donc une lecture plus juste de ce verset aurait été : au commencement dieu créa le vide et la matière. sous-entendu que d'un "néant" il extirpa deux choses distinctes. -
Les religions n'ont pas prévu que la vie viendrait de l'espace[titre corrigé]
angelot a répondu à un sujet dans Religion et Culte
POUR QUIET MIND un organisme vivant est défini comme suit : il se reproduit (transmission de ses gènes) pour la pérennité de son espèce, il échange avec son environnement par la nutrition et la défécation, la respiration, ou toute autre procédé pour s'approprier l'énergie dont il a besoin pour subsister et se régénérer. un organisme (considéré) non vivant (mais que nous devrions plutôt qualifier d'inerte), ne fait aucun échange dans la nature par lui même, ne se régénère pas et ne se (re) produit pas par lui-même, mais il est produit par autre chose que lui-même. donc ce qui différencie le vivant et le non vivant (l'inerte), c'est tout simplement l'état de vie que l'on observe dans le mouvement, la croissance, la naissance et la mort. mais pour l'humain, la vie n'est qu'une qualification d'une perception qui lui est personnelle. car la planète terre respire, recycle, transforme et échange constamment. il y a vie à son niveau. une étoile vie à son niveau. la matière même est imprégnée de vie. l'univers vit. la vie est un échange permanent et un changement permanent. quand tu observes le monde, tu ne vois que vie. -
on est obligé de croire en une cause première, qu'on lui donne le nom de dieu ou d'autre chose. qu'on soit philosophe ou non, scientifique ou non.
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pas mal cette idée nourredine . en tout cas c'est logique. l'esprit n'étant pas soumis au monde matériel, n'étant point mesurable ni quantifiable, il est logique de penser aussi que le monde de la pensée, le monde de l'esprit est infini. pour le "prouver" l'objet de la pensée peut être une planète, une galaxie, l'univers. on peut faire tourner tout ça dans notre esprit pour voir l'objet sous l'angle que l'on veut. pourtant nous faisons moins d'un demi-mètre cube. ton raisonnement semble juste, car l'univers n'est pas libre puisqu'il est soumis aux lois universelles et nous savons qu'il est (plus que très probablement) fini. mais en poussant plus loin nous pouvons dire : notre pensée englobe donc l'univers entier qui lui englobe tous les êtres vivants. cela sous entend un principe bouddhiste qui est l'inter relation, l'interconnexion et l'interactivité de tous les êtres et du fait que tous ensemble (êtres vivants, minéraux, etc) nous ne faisons qu'un et participons tous à un grand tout.
