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casdenor

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Tout ce qui a été posté par casdenor

  1. Voici le point sur lequel nous divergeons. Pour moi le référentiel "soi parmi les autres" n'a rien à faire ici. Le centre est l'individu, non sa relation aux autres. En fait, le problème est expliqué dans ta phrase " Les uns ou les autres chercheront à rétablir l’équilibre de cette relation en "aidant" celui qui en est la source et en tâchant de le ramener à la norme." Pour moi, ici, le problème indiqué n'est donc pas d'une pathologie, mais de l'anormalité. Or, l'anormalité n'est pas pathologique, du moins pas forcément.
  2. casdenor

    les poils et vous

    Je suis choqué par les personnes considérant que ne pas s'épiler est un manque de soin ou un irrespect envers les autres oO. Bordel, c'est violent quand même. Bon, personnellement, je ne dirais pas que j'ai du mal avec les femmes épilées, mais point trop n'en faut quand même. L'épilation intégrale, parfois, why not. Tout le temps, j'ai plus de mal. Sensation de manque de naturel.
  3. casdenor

    Suis-je autiste ?

    Vu le nombre de question, il est possible d'avoir moins de 50 ?Impression d'un test qui dit "aspie" à tout le monde...
  4. /thread, cet argument prouve le troll de Zara.
  5. Tu n'as même pas lu ce que j'ai écrit en fait fils de dieu ? Je me cite: Il a coupé contact avec tout le monde, pas particulièrement avec moi. Juste avec l'intégralité des personnes autour de lui.
  6. Le problème de cette manière de penser est qu'elle autorise toutes les dérives possibles. On peut, avec cela, interdire le divorce, interdire l'IVG, obliger une femme à se marier à son violeur, ou tout autre truc aberrant. Le consentement mutuel est une nécessité, et il doit être présent. Ce qu'il faut combattre, ce n'est pas, à mon sens, la commercialisation des ventres, mais les personnes forcées de commercialiser leur ventre, ce n'est pas vendre un rein, mais être forcé à vendre un rein. En d'autre terme, le problème, ici, c'est le système capitaliste, et non le système de liberté par consentement mutuel. La misère, à l'heure actuelle, rend la liberté problématique, mais ne nous leurrons pas, le problème n'est pas la liberté, mais bien la misère.
  7. ... ....... ........... Comment on fait pour rejeter quelqu'un qui décide de ne plus te voir fils de dieu ? Juste histoire de comprendre en fait, comme tu fais, toi, pour y arriver. Moi j'ai jamais réussi.
  8. **facepalm** Bon, fils de dieu, je vais arrêter là. Tu es buté, complètement incapable de réfléchir, et tu parles d'une situation que tu ne connais pas. Not sure if troll or...
  9. "ouin, on veut m'imposer de ne pas imposer mes dogmes, c'est trop injuste". Cette réflexion est la même que "ouin, on me refuse le droit de refuser les droits des autres." Vous n'êtes pas capable de comprendre ça ? Tant pis pour vous. J'arrête là, votre troll est fatiguant de bêtise. Vos références ne sont pas pertinentes, vous continuez de le nier constamment en cherchant à triturer les mots et les sens pour votre propre compte. Nier la vérité si vous le souhaitez, mais ne comptez pas que je dise Amen à vos arguments foireux. "Il est aisé de jouer sur les mots, cela permet d'oublier ce qu'ils veulent dire."
  10. Pré-scriptum: Existence: je ne suis pas un croyant Le problème en considérant qu'un texte est immoral, est qu'il y a une grossière erreur de contextualisation. C'est, encore une fois, comme traiter Scaron, mahomet ou Louis XIII de pédophile... Ça n'a aucun sens. On peut, certes, demander à un croyant s'il considère le texte comme d'actualité, c'est à dire à juger avec les principes moraux actuels. S'il dit oui (je ne connais que peu de croyants qui le diraient, et ceux-ci sont extrémistes), alors il y a matière, mais la majorité diront non. Juger, deux mille ans plus tard, un texte, un individu ou une civilisation sur les principes moraux contemporains... c'est de l'anachronisme, pur et simple. Ce qu'on peut reprocher à une chrétien catholique, par exemple, c'est la position du pape sur le préservatif (quoique, là encore, il y a matière à l'expliquer très simplement, mais le débat est justifié). Et très clairement, à l'heure actuelle, la violence, particulièrement en France, est du côté des athéistes matérialistes & scientistes comme Florent52 qui sont, tout simplement, les prêcheurs d'une nouvelle religion, une de plus, malheureusement.
  11. C'est ce qu'il cherche à prouver. Sauf que c'est faux. Je ne donne pas une évidence morale, je constate qu'une personne cherche à imposer son point de vue; On peut tourner et retourner le jeu dans tous les sens, c'est du niveau primaire que de dire "toi tu m'imposes de ne pas imposer mon point de vue", ce qui est du même ordre que du pipi caca et du "c'est toi qui l'a dit, c'est toi qui l'est". Désolé si vous n'êtes pas capable de voir une différence entre ces deux points. Utiliser le terme d'eugénisme ici est une aberration qui n'a de pertinence que si l'on est un grammar nazi. L'eugénisme c'est ceci selon wikipédia: "L’eugénisme peut être désigné comme l’ensemble des méthodes et pratiques visant à transformer le patrimoine génétique de l’espèce humaine, dans le but de le faire tendre vers un idéal déterminé." Or, l'IMG n'a rien d'un acte eugénique (puisque le but n'est pas de faire tendre vers un idéal, ni de transformer le patrimoine génétique de l'humanité), et l'IVG encore moins. Confondre, et là, c'est de la mauvaise foi, une autorisation avec une obligation "dites lui qu'il aurait mieux fait de ne pas naître" c'est truquer les règles et faire croire qu'on est devenu obligé d'avorter, ce qui est faux.
  12. On commence à aller vers une société qui ne le sera plus, mais oui, vous tirez vers cela. Les culs-bénis et emmerdeurs consentent peut-être, mais pas ceux à qui ils imposent leur vérité, donc cela n'a pas à être légal. J'ai dit le consentement, pas le "moi je veux".
  13. Peu importe votre morale, ce jeu de "t'as pas le droit, nanananèreuh" est stupide et inutile. Une société qui ne s'organise pas selon le refus que la morale d'un individu soit imposée à une autre est une société dégénérée et fasciste. Et si, pour ma part, tant qu'une chose est consentie elle doit être légale quoiqu'en pensent les culs-bénis et les emmerdeurs de toute espèces cherchant à imposer leur volonté aux autres.
  14. Je ne vous impose pas votre morale, je vous refuse de me l'imposer.
  15. Bien on va répondre une fois pour toute. Si on veut jouer à ce petit jeu là historiquement ce sont les croyants dans leur livre saint qui ont commencé à insulter les non-croyants en disant que les plus intelligents, ceux qui ont le bon jugement, ceux qui ne sont pas aveuglés, etc., sont les croyants, tandis que les non-croyants sont "égarés", "fils de perdition", "coeurs scellés", etc. Si on rajoute à cela les siècles d'intolérance et d'oppression des croyants sur tous ceux qui ne pensaient pas comme eux, intolérance toujours totalement active dans les pays musulmans et certains Etats chrétiens attardés alors il faut dire que les petits ennuis subis par les croyants du fait des non-croyants sont dérisoires, sauf cas particuliers des régimes politiques extrêmistes. Qu'aujourd'hui les croyants, pour la plupart attardés et moyen-âgeux, subissent quelques moqueries dans les pays occidentaux n'est donc pas grand chose, rien du tout à côté de ce qu'ils ont fait subir et font encore subir partout où ils ont le pouvoir.. Utilisation de l'historiquement. Mauvaise foi pure et simple, parce qu'historiquement, on peut trouver des exemples de tout et n'importe quoi. Vouloir justifier une conduite présente par la conduite passée d'un système va dans la pure droite lignée de traiter Mahomet de pédophile, ou de dire qu'être chrétien, c'est légitimer les croisades. La comparaison entre ce que subissent les non croyants dans certains pays, est d'une mauvaise foi aveuglante, puisqu'elle met dans le même sac la totalité des croyants, considérant que les problèmes subis à cause d'une petite portion des croyants justifie des actes de même nature, et ce, à l'encontre d'une plus grande portion. Le fait d'insulter les croyants à tout bout de champs dans vos discours, marque de mépris totale par ailleurs, et moyen de mettre dans le même sac, à nouveau, tous les croyants. Et non je ne répondrai pas à votre prochaine réponse qui justifiera par a et b toutes les stupidités que vous pouvez vomir à droite à gauche sur ce forum. Si de nombreuses personnes ont arrêté de débattre avec vous, c'est parce que vous êtes puant, hautain, méprisant, et idiot.
  16. Laissez les gens ruiner leur âme, et n'utilisez pas VOTRE conscience pour gérer LEUR science. Là est le véritable problème de vos propos.
  17. Vous omettez de préciser qu'auparavant il était seul et malheureux. Dorévanant il est marié, avec des enfants et n'est plus "au bout du rouleau". Les jéhovistes ne lui auraient-il pas apporté un mieux-être ? Toute personne manipulant quelqu'un pour le briser psychologiquement et en faire un robot au sourire béat pourrait avoir cette réflexion. À ceci, je réponds "non", donc. Fils de dieu tu es blasant de bêtise. Le pote en question a rompu contact avec tout le monde, et s'est isolé. Il est mort, il ne reste rien du type que j'ai connu. Je n'écoute pas les autres, je constate un fait.
  18. blablabla florent52, quand tu auras moins de mauvaise foi (haha), de mépris et que tu seras devenu quelqu'un d'apte à la discussion, je te répondrai. @Existence: Le fait est que je ne suis pas d'accord. Premièrement, il n'y a pas vénération de la Bible, de la Thorah ou du Coran, mais de Dieu / Yahvé / Allah. Deuxièmement, rien ne dit qu'on soit forcément d'accord avec tout ce qui est écrit, troisièmement, il y a une différence entre dire "je vénère Léo ferré" et "tous les politiques sont des chiens". Quand un chrétien se fait traité d'attardé moyen-âgeux, faut pas s'étonner qu'il se crispe. Quand les hommes de toutes religions confondues (science, christianisme, Islam, Bouddhisme et autre) apprendront à se respecter, on pourra commencer à discuter. Et croire qu'on est plus avancé que d'autres sans passer par le respect est une ineptie.
  19. C'est bien le problème. Foutez donc la paix à la population, et laissez chacun disposer de son corps.
  20. Si c'est pour éviter qu'ils fassent du mal à d'autres, alors c'est le législateur. Pour le reste, désolé, mais violer la volonté d'un individu, je trouve ça assez répugnant, même avec la plus grande envie de gentillesse. Qu'une personne trouve ça bien, soit. Mais moi je pense aussi à celle qui se retrouve légumisé "pour son bien" au tercian ou autre.
  21. Pas les miens. Je ne suis jamais allé en HP, j'avais pris soin d'avertir le psy d'une manière qui était suffisante pour qu'aucun ne prennent le risque de m'y mettre. Mais j'ai connu des personnes qui les ont eu bafouées. Et plus d'une. Mais bref, on a dévié mine de rien.
  22. En effet. Mais tu admettras que dans la situation actuelle, ce que tu dis est très loin de la réalité des hôpitaux et des soins prodigués par les psys. (pas tous, hein, y a des psys excellent, je ne crache pas du tout sur cette profession, je suis tombé sur du connard comme de l'excellent)
  23. Fuel4Life, comment une personne qui ne sait pas qu'elle a un droit peut user de ce droit ? Comment une personne à qui on a dit qu'elle n'a pas le droit de sortir peut savoir qu'elle en a le droit ?
  24. La réalité est toute autre Fuel4Life. Va dans un hôpital psychiatrique, et demande aux personnes s'y trouvant si elles y sont par leur volonté. Parmi tout ceux qui sont en hospitalisation libre (donc pouvant sortir à leur demande officiellement) combien ne savent pas qu'ils le peuvent car on ne leur a rien dit ? Combien, encore pire, croient qu'ils ne le peuvent pas, car leur psys leur ont dit "je décide, vous y allez" ? (réalité, hein). J'approuve le fait que sans volonté, l'obligation de soin ne mène à rien. En revanche, sincèrement, combien de personnes ont été obligées de gober des cachetons, et l'ont amèrement regretté ? Si je n'avais pas arrêté les miens, est-ce que je serai encore sous cette saloperie qui m'empêchait de me réveiller tous les matins, et me forçait à attendre une à deux heure dans un état végétatif que mon cerveau se rebranche ? J'ai eu de la chance, mon psy était compréhensif. Mais dans l'état de faiblesse où j'étais, aurais-je, avec un psy plus véhément comme j'en ai déjà vu, été capable ? Bonne question. (et j'approuve le fait que ça ne doit pas éviter un procès ni une peine de prison, hein, je disais juste que la peine de prison devait être dans un milieu adapté) @Théia En effet. J'aurais dit que c'est la souffrance qui naît d'une caractéristique individuelle qui fait naître la pathologie psy / mentale, mais ça revient strictement au même. Voilà ce que je n'aime pas. Typiquement cela. Volonté de forcer une catégorie de personne à se médicamentaliser, sans aucun respect pour leur volonté.
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