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Tout ce qui a été posté par casdenor
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Racisme envers les témoins de Jéhovah
casdenor a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra2 dans Religion et Culte
Parler de l'âge de pierre quand j'ai fait référence à l'iran sur la question de l'adultère, je trouve ça savoureux. :cool: -
Pourquoi tant de conversions à l'athéisme ?
casdenor a répondu à un(e) sujet de Grenouille Verte dans Religion et Culte
Apathéiste, si on écoute /b/. (Apatheism: when you fucking don't care about god). L'autre j'ai oublié, mais il avait donné un nom aussi. -
Premièrement, en tant que parent, en règle général, on apprécie l'effort de l'enfant, donc ce n'est pas un mensonge. Deuxièmement, il existe une différence notable entre une relation entre adulte, et une relation adulte-enfant. Troisièmement, lorsque l'enfant découvrira que tu n'aimes pas son truc, il ne risque pas d'en baver mois ou années, voire de ne pas être capable de s'en remettre. En d'autres termes: strictement aucun rapport, mais c'est vrai que dévier du sujet, c'est tellement plus simple... Et au passage, l'infidélité ce n'est pas simplement mentir, c'est trahir, ce qui est un degré encore supérieur.
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Strictement aucun rapport. Pourquoi continues-tu d'essayer d'esquiver le sujet ? Et oui, je dis que tu es un salop, parce qu'en légitimant l'infidélité, tu te mets du côté des personnes qui en démolissent d'autres. Donc ouais, j'appelle ça être un salop. Le minimum de respect pour la souffrance induite par ce genre d'acte, c'est de ne pas dire "osef, ils ont le droit, tant pis pour ta gueule si tu souffres".
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Et poum, de la victimisation maintenant. Tu n'es pas un abruti, tu es un simplement un salop compte tenu de tes propos. Faut savoir assumer à un moment le fait de considérer l'infidélité comme acceptable, et de refuser de juger. Bah oui, tout le monde n'est pas irrespectueux en amour, même parmi les personnes libérées, tu vois. Surtout parmi les personnes libérées dirais-je même. M'enfin, j'imagine que c'est difficile à comprendre quand on considère qu'être libre, c'est tout autant être libre qu'être infidèle. Je suis pas inquisiteur, je ne suis juste pas dans un relativisme complet qui vise à dire que tout le monde fait ce qu'il veut, même si les personnes autour souffre comme pas permis.
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Mensonge. Tu ne fais que ça depuis le début de ce sujet. Qu'un couple ne démarre pas sur une discussion amphigourique paraît assez logique même. Mais il y a un moment où elle doit avoir lieu, et ça se passe le plus tôt possible. Le fait est qu'à l'heure actuelle le schéma normal (relatif à la norme, à ce qui est le plus courant) du couple est l'exclusivité sexuelle. Le fait est donc que si l'on veut changer ce schéma, il faut en parler, et c'est à celui souhaitant le changer de le signaler. C'est une forme de respect. Si on commence un couple par ne pas respecter l'autre, ça sent mauvais. Le coup du refus de juger, tu le gardes pour toi. Les personnes qui se permettent de manquer de respect aux autres en trompant sont des connards, et j'ai le droit de le dire haut et fort. Ce n'est pas un "choix de vie", c'est de l'égocentrisme complet, et un manque de respect total, c'est être un connard et un salop. Le fait est que justement, refuser de juger ces actes, c'est considérer qu'ils sont acceptables. Qu'une personne a le droit d'en démolir une autre. Non. Elle n'en a pas le droit. C'est un fait. On peut le tourner et le retourner dans tous les sens, le fait est que trahir, c'est dégueulasse, et ça le restera.
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Justement, il y a des torts et des raisons dans ce domaine. Encore une fois, trahir quelqu'un, on peut tourner et retourner, ça reste une trahison, et ça reste dégueulasse. L'amour a des règles: les règles du respect. Le chacun pour soi que tu prônes, c'est juste un bon petit moyen pour pouvoir dire "je ne suis pas un enfoiré, c'est ma manière de voir la vie". Bah non, c'est dégueulasse. Mon dogme n'efface pas les désirs des autres, tu n'as strictement pas lu. Un couple ça se met en marche sur une base. Un couple, ce sont deux personnes qui décident de la manière dont ils vont vivre une histoire d'amour. Cela implique que l'une propose une manière, que l'autre propose la sienne, et que les deux voient, si des points divergent, les modifications qu'ils peuvent apporter, et fassent un choix. Il est regrettable et écoeurant de voir que tu considères qu'au final, on a le droit de mentir à la personne en face, de la trahir, juste parce que "c'est chacun pour soi". L'amour se vit à deux, une phrase avec une saveur particulière quand elle est écrite par quelqu'un qui se fiche de la personne avec laquelle il vit un amour (rappelons-le, c'est "chacun pour soi", et l'infidélité n'est "qu'une manière de vivre"). Oui, l'amour se vit à deux. Cela implique, en fait, que les deux personnes soient d'accord sur les bases de leur amour. Et si elles ne le sont pas, elles font un choix. Si je me mets en couple exclusif, je fais un choix. Si je me mets en couple libéré, je fais un choix. De même pour la personne en face. Il est bien trop facile de dire "ah bah non, je te dis ce que tu veux entendre, mais je fais ce que je veux faire", surtout quand on le justifie par des phrases du genre "de toute manière, si je dis la vérité, je ne serai pas en couple avec toi, donc je préfère te mentir". C'est à vomir, comme la majorité de tes interventions depuis le début de ce sujet, qui sont soit de la justification de l'adultère, soit du pinaillage linguistique.
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Racisme envers les témoins de Jéhovah
casdenor a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra2 dans Religion et Culte
Boah, si on appliquait les règles de l'adultère en Iran dans le monde entier, on aurait plusieurs millions de morts par an. -
Et hop, encore un détournement d'attention en passant par la lexicographie, parce que ce serait dommage de montrer qu'on n'a plus aucun argument, et que justifier l'adultère et l'infidélité, c'est pas forcément si légitime que ça... au passage, Tu as donné la définition de salopard, pas de salaud, preuve une fois de plus que tu n'hésites pas à mentir quand tu postes. J'attire à nouveau l'attention sur le fait que tu continues de constamment esquiver et de constamment revenir à une tentative de légitimation de l'adultère et de l'infidélité, le tout appuyé par un amalgame avec les relations libres. Niveau mauvaise foi, c'est du grandiose.
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Le fait que tu ais vu l'image, plus, la chanson en elle-même. Vais faire une explication de texte, ça faisait longtemps que je n'en avais pas fait. Je la fais au fur et à mesure de la lecture, parce que flemme de faire une dissertation sur ce texte. Ce texte est séparé en deux partie. La première est parlée, la seconde est la chanson proprement dite. La première partie présente la situation. D'entrée de jeu, il y a le rapport à l'amour, et à l'infidélité. C'est le constat. On peut voir dans ce premier paragraphe plusieurs choses. Les quatre premiers vers ne permettent pas de voir l'adultère. il rentre pour "faire une surprise", ce qui évoque déjà une relation qui n'a pas été affadie, il y a un amour, déjà présent dans cette première phrase. Il y a ensuite référence à "l'autre type qui est en cours avec toi." Le qualificatif "autre", indique déjà un rapport de confrontation. Ce n'est pas le type qui est en cours, c'est l'autre type, indiquant un parallèle entre celui-ci, et, manifestement, le narrateur. Cependant, à cet instant, même si l'on devine, on ne sait pas encore ce qu'il se passe. Le vers suivant "je vous ai vu", permet de préparer à la scène. On sait que quelque chose se passe. La répétition permet d'ajouter à l'effet dramatique ("je vous ai vu, je vous ai vu vous jeter l'un sur l'autre"), et le caractère passionné de la scène décrite, à travers le fait que l'homme "passe ses mains" sous le pull de la femme, chose qui ne se fait généralement pas sans une passion, ajoute au drame de la situation. La réaction est immédiate: "putain j'avais envie de vous tuer, j'étais choqué". La première chose que l'on peut noter, c'est que ce texte parle donc d'un événement surpris, et masqué. En effet, il n'a pas agi sur l'instant. Il parle de cet instant du passé et de son ressenti. Il y a donc bien une différenciation très nette, ici, avec un acte qu'il aurait commis. Non, il parle juste de sa peine. Le terme choqué permet de mettre en avant la brisure qui se passe. Ce n'est pas simplement de la tristesse, c'est un choc. C'est une situation à laquelle il ne s'attendait absolument pas, et qui le perturbe profondément. La suite permet déjà de montrer que ce n'est pas la première fois que le narrateur se trouve dans une situation de ce genre. "différente des autres pétasses", indique qu'il avait retranché sa petite amie à un groupe de femme, groupe dans lequel il la place à nouveau suite à son infidélité. Le vers suivant, avec sa gradation, permet, non seulement de montrer les sentiments, mais également la difficulté du narrateur à se positionner. "Je te déteste", puis "je te hais". C'est la colère qui monte. La chanson commence, par ailleurs, juste après le "je te hais", et on peut, assez aisément, considérer qu'elle en est une suite. La première phrase fait référence, une fois de plus, à son dégoût. Le rapport à Lexington, fait référence à cette ville considérée comme capitale mondiale du cheval, pour rabaisser la personne en face, à une sorte de pratique de la bestialité, à une recherche, simplement, de bite à sucer. La phrase suivante continue dans la violence. On notera qu'elle serait conne, même si elle disait des choses intelligentes. Cette phrase montre bien l'ambiguité de la situation, car qu'est-ce qu'être intelligent, ici ? Il paraît assez facile de dire que c'est le fait de ne pas mal agir, ce qui explique que le fait de parler intelligemment n'empêche pas d'être conne, les actes ayant plus de poids que les mots. On peut remarquer une gradation dans la violence du narrateur. Au début, il fait des références à la bestialité, à une forme d'humiliation (se faire péter le rectum n'étant pas, ici, employé dans le cadre d'un rapport sexuel amusant, mais pour faire référence à la douleur), puis il y a le rapport à la mort (je veux que tu crèves lentement), et enfin, à la souffrance qu'il aimerait voir, tout d'abord une souffrance qu'il n'inflige pas: "je veux que tu tombes enceinte et que tu perdes l'enfant", puis une souffrance qu'il inflige "J'rêve de t'imprimer mes empreintes digitales". Au milieu de ce passage, une déclaration d'amour "avant je t'aimais", et une réflexion générale "les histoires d'amour ça commence bien, ça finit mal", qui permettent d'augmenter l'effet. Il y a un avant, un avant qui a bien commencé, un avant avec de l'amour, et un présent, qui est le moment où cela finit mal, le moment où il veut la cogner. Il y a ensuite une accumulation de trois titres, "avaleuses de sabres", "catin", "tapin", cherchant à nouveau à rabaisser la personne. On peut y voir, par ailleurs, un renvoi au début de la chanson, avec le rapport à la fellation, et à la prostitution. Mais, juste après, et ce, dans la foulée, il y a "tout ces mots doux c'était que du barratin". Ce passage met bien en évidence que c'est la confiance trahi qui est au centre de la situation, mais rajoute, encore une fois, cette distinction assez forte entre le passé (mots doux, avant je t'aimais, les histoires d'amour ça commence bien, on s'embrassait, on s'enlaçait, dans le vers suivant) et le présent (barratin, les insultes, les histoires d'amour ça finit mal). Ce petit passage sur cette brisure entre passé et présent s'accompagne ensuite, presque immédiatement, d'une nouvelle gradation dans la violence du narrateur. Il s'était arrêté à l'envie de la frapper, désormais, il parle de casser la jambe, voire de briser la mâchoire. Le rapport à la bestialité est évoqué une fois de plus par la truie, et l'abattoir, et prend une autre forme avec le rapport au démon (vers suivant) déguisé en femme. Le refrain continue sur la lancée, et explique la situation de manière simple. "Poupée" rappelle la relation qui unissait les deux personnes. Et les mots sont clairs: il y avait amour, mais l'infidélité a tout détruit. L'infidélité rabaisse la personne à la pute. On notera l'accumulation constante, comme si le narrateur n'avait plus, à vrai dire, de mots. Il n'a plus le vocabulaire riche (catin, tapin, pute, etc...) qu'il a dans les couplets. Non. Le refrain, est comme une respiration. On peut, par ailleurs, noter que cette respiration est difficile, et retranscris par des groupes de mots de petites tailles, et qui se font référence ("je t'aimais" "tu m'as trompé" "tu m'as trompé" "tu l'as pompé" "tu es juste" "une sale pute", le dernier étant répété plusieurs fois). On peut remarquer l’allitération en "p" au sein du couplet, qui permet de le lier, qui donne la sensation de la respiration de la personne, une respiration qui s'accélère avec "une sale pute", du fait de l'absence d'autre consonne "forte". Le second couplet reprends un terme, et montre bien que le refrain aurait pu avoir un langage plus riche, puisqu'un nouveau terme se rajoute "traînée". Le champ sémantique de la prostitution reste, tout au long, extrêmement développé, et l'on pourrait noter également la même chose pour la bestialité, à nouveau évoqué par "les petites chiennes". Un vers retient l'attention, le suivant "je rêve de la pénétrer pour lui déchirer l'abdomen". Deux choses sont à noter, l'envie de pénétrer, c'est à dire d'un acte sexuel, mis en rapport avec la volonté de faire mal, montrant bien le rapport ambigu du narrateur, à la fois amoureux et haineux. La gradation continue, puisqu'avant, il souhaitait lui faire mal, désormais, il lui souhaite le sida (le das en verlan). Sa violence est telle qu'il indique bien que lui "casser un bras" c'est une rupture en "bon termes", montrant bien qu'il a envie de beaucoup plus. Et juste après, reviennent les paroles d'amour. À chaque parole d'amour, on notera son pendant amené par la souffrance. "je t'aime", est suivi de "j'ai la haine", "j'étais trop fidèle", directement suivi par une insulte, laquelle se répète à trois reprises pour appuyer, une fois de plus. Désormais, il parle de la mettre enceinte et de l'avorter à l'opinel, donc une nouvelle gradation dans la violence. Un petit arrêt a lieu avec la phrase assez courante de "c'est ta faute t'étais jamais là pour moi", et la réponse immédiate, extrêmement violente, avec une référence au meurtre de Marie Trintingant par Bertrand Cantat (je te collerai contre un radiateur en chantant tostaky), ajoute à la gradation dans la violence: on passe au meurtre. Dans ce dernier quatrain, un vers est à noter "je veux que tu pleures tous les soirs quand tu t'endors", vers, qui, si l'on y réfléchit bien, n'a rien à faire là. Il parle de la tuer. Il parle de haine... et d'un coup, un rapport à la douleur morale qu'il lui souhaite. Cette douleur morale qui est la sienne. En vérité, c'est une nouvelle gradation dans la violence, car après la mort, il lui souhaite de souffrir comme il est en train de souffrir. Le rapport à la boite de pandore montre bien ce point, par ailleurs. Elle a ouvert une boite, et tous les malheurs du monde se sont échappés. La fin de la chanson confirme cette sensation: il veut qu'elle souffre... comme lui. Le fait qu'il continue à l'appeler "baby" montre bien qu'il y a de l'amour-haine dans ses paroles. En conclusion, on peut dire, principalement avec les dernières phrases, que cette chanson n'est pas une apologie de la violence, mais bien une manière de mettre en avant la douleur d'une personne trompée, et la gradation dans la violence qui peut la prendre, violence qui naît de l'amour détruit ("je t'aimais") et de la confiance brisée ("tu m'as trompé"). À aucun moment la chanson ne fait référence à des actes réellement commis, au contraire, à plusieurs reprises on peut voir que ce sont des mots adressés à la personne infidèle, et dictés par la souffrance. _______________________________________________________________ @Guitariste: Pas vraiment d'accord. On peut avoir une vie sans exclusivité sexuelle. Mais cela implique que les deux partenaires soient au courant. Si ce n'est pas le cas, on rentre dans l'infidélité, et là, ce n'est pas une vie différente, c'est de l'irrespect total.
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Je n'en fais pas des salop(e)s, vu qu'ils se feraient souffrir dans ce cas-là. C'est une chose différente. En revanche, je ne suis pas responsable. Pas plus que l'autre ne serait responsable si je décidais de me trahir en restant fidèle alors que je n'en ai pas envie. C'est ma faute si je prends une décision de ce genre. L'excuse de l'amour n'est pas pertinente. L'amour n'empêche pas de faire un choix. Trop facile de faire porter sur l'autre le fait qu'on fasse un choix qui ne nous plaît pas. Le principe de fidélité en tant qu'erreur morale d'un autre âge permet d'enfin voir ton vrai visage, merci beaucoup. Sauf que tu vois, c'est dégueulasse, parce que tu sais que la fidélité est le fonctionnement de base. Mais tu t'en branles. Le respect de l'autre ? Pourquoi faire ? Du moment que toi tu t'y retrouves ? Voilà encore une fois le problème. T'aimes pas la fidélité ? Tu le dis. Tu trompes ? T'es un connard et un salop. Tu considères ça juste et normal ? T'es un enfoiré en prime. Mais vas-y, continue de t'enfoncer dans la justification de l'infidélité et de l'irrespect. Continue de faire l'amalgame avec des personnes qui vivent simplement d'une manière différente. Continue de nous faire passer pour des connards, je pense qu'on est tous fan de l'amalgame.
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La religion la plus dangereuse pour la paix dans le monde
casdenor a répondu à un sujet dans Religion et Culte
Si, ça change tout, l'exemple devient valable. La persécution a lieu à cause de l'Islam, mais pas à cause de l'agnosticisme, ce qui permet de différencier très nettement les deux. -
Faux. Depuis le début de ce sujet tu considères qu'une personne infidèle est une personne libérée. Depuis le début de ce sujet, tu défends l'adultère et l'infidélité, en signalant que seul le mariage justifie la fidélité. Relis toi. Oh, je ne doute pas qu'il y ait des cas personnels. Mais la base reste celle-ci, quand tu trompes, tu es un(e) salop(e), et ensuite, on regarde le cas particulier. Mais de base, tu es un(e) salop(e). Le reste ne sont que des particularités. Et ça ne justifie jamais. Tout au plus ça explique. Quant à ma manière de voir l'amour, il n'y a pas de dictature. C'est dit dès le début, et c'est une chose claire et précise. Pour l'instant, les personnes avec lesquelles je suis sorti n'avaient aucun problème de ce côté-là. Cependant, encore une fois, on ne peut pas rejeter la faute sur celui qui est honnête. La personne en face a le choix. De même que je l'aurais si la personne en face me dit ne pas vouloir de relation polyamoureuse et/ou libertine. J'aurais le choix de dire "ok, go" ou de dire "non, ça me va pas." C'est ça le respect. Le monde n'est pas blanc et noir, je suis entièrement d'accord. Mais il y a du noir. Et l'irrespect total qu'est l'infidélité rentre dans le noir. On peut débattre de beaucoup de cas particuliers. Mais le fait est que tromper son partenaire c'est dégueulasse, et que justifier ça constamment, c'est encore pire.
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Je me fous du reste du monde. Et contrairement à ce que tu penses, l'avis qu'un mec qui trompe sa femme est un dom juan n'est pas si répandu que ça. Les "bonnes raisons personnes", c'est encore un moyen de dire "c'est pas ma fauuuuuuute". Si. Point. Et désolé, mais considérer que la fidélité ne tient qu'au mariage, c'est de la merde. Considérer que seul le mariage justifie qu'on soit respectueux vis-à-vis de quelqu'un, ça craint. et j'adore le côté "ouais, si je dis que je suis libertin, la personne en face veut pas de moi, alors j'ai raison de ne pas lui dire". Foutage de gueule, et encore une fois, méthode pour se dédouaner. Un couple c'est une relation de confiance. L'infidélité n'a rien à voir avec le libertinage. L'infidélité c'est trahir quelqu'un, et c'est être un(e) salop(e). Faut arrêter de se chercher les milles excuses à la "t'étais jamais là" (dédicace à orelsan) Mais bon, de toute manière c'est tellement plus simple de vouloir le beurre et l'argent du beurre. Être infidèle, faire passer ça pour du libertinage, et dire "ah mais j'ai le droit je suis pas marié". Non. T'es un connard qui se permet de jouer avec les autres, et c'est dégueulasse. Encore une fois, le libertinage, comme le polyamour, c'est une relation respectueuse. Ce que tu défends, c'est la trahison et l'irrespect total. Dans un domaine où la personne trompée peut mettre des années à se remettre, voire n'en jamais être capable. Ce qui fait chier, c'est que ce sont les discours comme les tiens qui font que certains prennent les libertins/polyamoureux pour des connards irrespectueux. Et ça me fait chier, parce que j'ai rien à voir avec ce genre de réflexion de merde. _____ Concernant seul contre tous, clairement ouais, cette scène... m'enfin le film entier est difficile à voir.
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Seul contre tous, c'est l'histoire du boucher non? La suite d'un court métrage (ou le court métrage lui-même) ? Je l'ai vu si c'est celui-là. Et effectivement, dans le genre, il est... fort. Néanmoins je ne vois pas très bien le rapport avec le sujet.
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Je pense que là, c'est de l’interprétation, Pheldwyn, parce que moi, au contraire, je vois de la violence servant à exprimer de la douleur. Je ne trouve pas que cette chanson parle de violence, mais bien de douleur. D'autant plus quand on regarde le clip. La chanson aurait parlé de violence, si elle avait parlé d'actes commis. Mais elle montre simplement l'état d'esprit d'une personne trompée, qui en vire complètement furieuse.
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Pourquoi tant de conversions à l'athéisme ?
casdenor a répondu à un(e) sujet de Grenouille Verte dans Religion et Culte
Parce que les gens aiment le troll. -
Non, non, tu seras un salop. point. Hors sujet. On ne parle pas de la manière dont on réagit une fois trompé. Blablabla. Hors sujet. Déjà vécu. Faux. C'est comme ça que les salops se donnent bonne conscience. Faux. Ton propos de départ est qu'une femme qui trompe n'est ni une pute, ni une salope mais une femme libre. Encore une fois, chacun fait ce qu'il veut de son cul, mais se la jouer coucou, c'est pas grave de trahir la confiance des autres, c'est pareil que le libertinage, ça pue, c'est un amalgame pourri qui dessert totalement le libertinage, pratique tout à fait respectable puisque CONSENTIE, là où ce n'est pas le cas de l'infidélité.
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... C'est là toute la différence entre un individu et un artiste. écrire sur la douleur n'a rien d'indigne
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Ou peut-être que ça permettra de rappeler que l'adultère n'est pas un acte innocent ? Remarque, c'est vrai que ça ne va pas dans la tendance actuelle.
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Dans le clip, en effet (visible ici: ), Orelsan a de l'alcool constamment, et montre évidemment qu'il est saoul.Moi, personnellement, cette chanson ne me choque pas, parce que... Comment dire ? Tout le clip montre bien que c'est "la pensée qui traverse l'esprit d'une personne trompée". Le refrain, c'est lui qui écrit le courriel. Et on sent bien la personne qui a toute sa relation qui tourne en boucle dans sa tête, et qui est folle de douleur. Ce n'est pas une incitation à la violence, encore moins envers les femmes, mais c'est un message parlant de l'horreur d'être trompé. Il n'y a pas de référence à ce qu'il fait, mais à ce qu'il voudrait. Cette chanson fait plus référence à la douleur je trouve. Une douleur que beaucoup négligent à l'heure actuelle. (comme on a pu le voir sur ce sujet) Ajoutons à ça qu'Orelsan... bah c'est un provocateur. Désolé de le dire, mais je trouve qu'il y avait nettement plus matière à s'offusquer du vers parlant du meurtre de Marie trintignant que du reste de la chanson. Sauf que je ne crois même pas que ce soit celui-là qui ait été repris lors du procès mais le rapport aux putes. Mais je comprends qu'on soit choqué par cette chanson, très sincèrement. pas qu'on veuille une condamnation, mais qu'on soit choqué/gêné, ouais...
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Oh oui, williama, la longueur de la vie est un argument tout à fait pertinent. Je suis sur que trahir quelqu'un est beaucoup moins grave vu que la vie est longue. non mais -_- @Zalazée: Si je me retrouvais dans cette situation (déjà arrivé) je réfléchirais, et je ferais un choix. Soit sortir avec, et effectivement ne pas coucher ailleurs, soit refuser. J'ai déjà été dans une relation exclusive pour ma part. Et considérer que l'adultère ne concerne que les mariés, désolé de le dire, mais c'est jouer sur les mots pour essayer d'atténuer la réalité. Faut arrêter de chercher des excuses constamment, une personne qui trompe a choisi de le faire. On peut voir des circonstances et autre, mais ça reste une trahison.
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Zalazée, ce n'est pas ce qu'il a dit au début, ça il ne l'a dit que par la suite. et, oui pasdeparanoia, tu as fait la distinction entre fornication et adultère;... SUR LE MARIAGE. En d'autres termes, à moins d'être marié, on s'en fout, c'est pas grave, c'est juste de la fornication. (forniquer signifiant simplement coucher hors des liens du mariages, donc rien de mal, allez hop, tromper c'est pas mal sauf si on est marié, amalgame foireux) Il ne t'appartient peut-être pas de les traiter, mais personnellement, si. On peut justifier ça de toutes les manières qu'on veut, l'adultère reste une saloperie faite à quelqu'un, saloperie qui peut démolir à tout jamais la capacité d'une personne à faire confiance ou à avoir des relations amoureuses. J'ai eu un haut-le-coeur en lisant le "tout le monde rêverait d'avoir ta probité amoureuse". Comme si c'était une fatalité. Que moi j'étais né fidèle, et "ohla, quelle chance", alors que d'autres n'en ont pas eu et sont infidèles. Connerie. Bullshit pour se sentir mieux. Je ne suis pas infidèle parce que je l'ai décidé. Je refuse les relations avec fidélité sexuelle parce que je sais que ce serait une connerie, parce que je suis suffisamment réfléchi pour savoir que ça ne me convient pas -du moins à l'heure actuelle-. Quelqu'un qui trompe reste un(e) salop(e). Une personne normal, sans aucun doute. Mais un(e) salop(e) quand même. Je ne suis pas du tout d'accord concernant le parallèle avec le goinfre et les enfants mourant de faim. Le goinfre n'ôte pas la nourriture de la bouche de l'enfant qui a faim. L'adultère détruit la confiance de la personne qu'il trompe, et la manière dont tu traites l'adultère est à vomir. L'amour n'est pas un jeu. La confiance qu'une personne accorde à une autre n'est pas un petit jouet qu'on peut laisser tomber quand ça ne nous amuse plus. C'est du verre. Et une fois brisé, recoller les morceaux, c'est pas aisé. Sauf que c'est pas le/la salop(e) qui devra recoller les morceaux, c'est la personne trompée. Et ça c'est dégueulasse. Quand on n'est pas capable d'être fidèle, on s'abstient de couple avec fidélité. C'est aussi simple que ça. Et encore une fois, l'amalgame entre personne libre et adultère je le trouve à vomir. C'est typiquement l'amalgame de merde qui exacerbe les tensions entre les relations libres et les relations exclusives. Parce que certains considèrent qu'une personne libre n'en a rien à foutre de son/sa partenaire. C'est faux. Dans une relation libre, la fidélité se trouve à un autre degré. Ça peut être le fait de ne pas être en couple avec quelqu'un d'autre (libertinage), ou le fait de dire la vérité à son conjoint, et ce pour toute situation (polyamour en tout cas généralement). Parfois il n'y a rien de tout ça, mais les relations libres n'ont rien à voir avec des relations adultère. Les relations adultères sont des relations malsaines et dégueulasse, qui trahissent la confiance d'un individu. Les relations libres sont juste un modèle différent de couple.
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Alors relis ce que tu as écris. Tu as écris qu'une femme qui trompe n'est ni une salope, ni une pute, mais une femme libre. C'est ce que tu as dit. Message 25, tu indique qu'une femme qui trompe n'est pas une pute mais une femme libre, et message 31, tu refuses le terme de salope, indiquant qu'elle peut "faire ce qu'elle veut". Voilà le problème.
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C'est bien mignon de noyer le poisson, le fait est que sur un sujet traitant de l'adultère, tu n'as pas précisé un seul instant que tu parlais "au niveau historique" et que tu faisais donc du hors sujet. Fatalement, il est logique que je te considère comme un réel intervenant étant resté dans le sujet, et qui, ici, promouvait l'adultère. L'égalité homme-femme, tel que tu la vois (tout le monde trompe, c'est pas grave) c'est une égalité vers le bas.