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Frelser

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Tout ce qui a été posté par Frelser

  1. Frelser

    Dieu comme Principe

    La contrainte vient de l'attente d'une suite en particulier. Or, à chaque lancer, la probabilité d'avoir le lot suivant est de 1/6. Tu as insisté durant des posts et des posts sur la loi des grands nombres pour affirmer que chaque suite n'est pas équipotentielle, maintenant c'est l'inverse qui RE-vient, comme au début. :p Plus une série est longue, plus les combinaisons violant la loi des grands nombres et les proportions équilibrées disparaissent. Donc, chaque suite n'est pas équipotentielle avec une quantité de lancers finie.
  2. L'idée de la supériorité du sexe masculin dans le Coran est du machisme, rien d'autre. J'ai déjà répondu plus haut cliquer ici pour lire.
  3. Frelser

    Dieu comme Principe

    Ton raisonnement est absolument impossible. Si l'Univers, ou le Multivers existe depuis l'éternité, comme j'existe, à moin d'une intervention extérieure, j'étais probable d'une façon ou d'une autre depuis l'éternité. Et cela vaut pour absolument tout ce qui est probable, d'un changement d'un seul état de spin d'une seule particule de notre Univers à un chanbardement absolu... Donc, il faut que tout ce qui est probable, se soit réalisé une infinité de fois depuis l'éternité. Dire que je serais unique signifie que je n'étais pas probable spontanément, et qu'il a fallu une intervention extérieure.
  4. Frelser

    Dieu comme Principe

    Non. Les possibilités de combinaisons ne tiennent pas compte de la loi des proportions équilibrées. Dans les essais réels, les suites tendent à équilibrer les proportions des faces à mesure des lancers. Sur six lancers, tu devras répéter tes lancers 6^6 fois, avant d'avoir une chance d'obtenir une suite 6, 6, 6, 6, 6, 6 et tu seras proche de (pex) 5, 4, 6, 4, 1, 3 les six premiers lancers. Pour obtenir, exactement la suite 5, 4, 6, 4, 1, 3, tu devras également lancer 6^6 fois ton dé. Sans condition sur la suite en particulier, tu auras un équilibrage proportionnel tendant à la perfection à mesure de la longueur des lancers. La contrainte évolue exponentiellment à mesure que les suites sont plus longues. Le paradoxe absolu devient de plus en plus concluant, à mesure de la longueur des lancers. Conformément à la loi des grands nombres. Après 60 lancers, on est déjà largement éloigné d'une série strictement aveugle (dans le sens du paradoxe voulant que toute série possible soit strictement équipotentielle à n'importe quelle autre série).
  5. La MQ est faite de pures lois. Elle précède l'espace et le temps. Le hasard découle de ce que les lois de la MQ sont non-locales et probabilistes.
  6. Frelser

    Dieu comme Principe

    Mais ces différentes copies de Frelser existeraient-elles dans le même univers, où il est effectivement probable qu'apparaisse un Frelser, ou dans les différents univers distincts et infinis obéissant à des règles dont nous ignorons tout? N'y a-t-il pas une contradiction à supposer que, si l'univers n'avait pas d'origine, il existerait vraiment une infinité d'univers? Car pour le coup, la comparaison avec une expérience aléatoire qui elle, admet une origine, ne tiendrait pas la route ; si l'univers n'admet pas d'origine, on ne peut le considérer comme le résultat d'une expérience aléatoire qui en admet une. Les Frelser ne pourraient donc exister que dans le même univers où nous sommes certains qu'il soit probable. Ne penses-tu donc pas que dans notre univers, où tout semble donc à la fois possible et probable (selon toi), le temps devrait être cyclique donc infini? Comment alors tenir la comparaison avec les religions monothéistes qui parlent d'une fin des temps? Ne serait-il donc pas possible et probable que Frelser obtienne les suites qu'il a effectivement obtenues au cours de sa vie? Et qu'elles se répètent donc une infinité de fois pour obtenir les même résultats? Mon raisonnement est pourtant des plus simples. Si l'Univers est éternel, il faut admettre qu'il devait être probable. S'il n'était pas probable, il ne pourrait pas exister. Comme il existe, il était probable... Donc, si il existe un pré-univers ou un Multivers éternel, il devra s'être reproduit une infinité de fois. On peut spéculer sur la possibilité de l'existence d'autre types d'univers, mais le notre est certainement probable, et si il n'y a pas d'origine, alors il doit s'être produit une infinité d'univers jumeaux depuis l'éternité. Comme il n'existe pas de loi physique d'anisotropie favorisant une face d'un dé, la probabilité à chaque lancer est d'une chance sur six pour chaque face du dé. Certainement pas simultanément en tout cas, puisque chaque Frelser sonnerait le résultat d'une expérience aléatoire (celle donnant naissance à un Frelser) qui devrait se répéter d'autres fois, donc nécessairement ultérieurement, dans un temps qui s'étend à l'infini. Il n'y aurait donc qu'un nombre fini de lancers ayant eu lieu à chaque instant dans un même univers ayant une origine, où Frelser est donc possible et probable. Il n'est pas nécessaire que ces infinies répliques aient lieu en même temps, ni dans le même univers espace-temps. C'est la quantité des tentatives infinie qui fait s'affesser mathématiquement les lois des proportions équilibrées et de suites aléatoires. J'ai assez expliqué cela, je ne reviens pas dessus. En simple, avec une infinité de tentatives, chaque suite apparait une infinité de fois, chaque suite une infinité de fois. Ce qui fait que les probabilités portent désormais sur les suites entières et plus sur les lancers un à un. Or, les essais montrent un respect rigoureux du respect d'un équilibre des proportions. Il n'y a qu'un Frelser à la fois suivant votre raisonnement, pas deux ni une infinité ; chaque Frelser devrait succéder à un autre dans le même univers exactement comme chaque lancer de dé doit succéder à un autre pour un même lanceur. Il n'y a donc aucune raison de devoir "se situer" dans les "infinités" de Frelser possibles. De plus, je le répète je sais, mais si toutes les suites peuvent être obtenues avec la même aisance, par contre le nombre de suites respectant les probabilités tout à fait ou très près seront toujours plus nombreuses. D'où la loi des grands nombres. Toutes les suites revenant une infinité de fois, chaque suite sera équipotentielle à n'importe quelle autre suite. Or, la probabilité des lancers tend à un équilibre dans les proportion des lots suivant la formule P=n! (n étant la longueur de la série) tandis que les suites possibles suivent la formule p=6^n, en sorte que les suites obtenues dans notre Univers suivent la formule P=n! conformément à une suite finie de tentatives. Si il existait une infinité de Frelser lançant leur dé, il faudrait que la loi des proportions soient violées conformément au paradoxe absolu.
  7. Si les scientifiques ont la description plus juste de l'Univers, toi tu te fondes sur quelle description pour rejeter cette description vérifiable ? @ Noureddine2. Sans un minimum de lois, pas de hasard possible. Et encore moins sans temps et sans espace.
  8. C'est pourquoi j'insiste sur la notion de démarcation et de réfutabilité. C'est ce qui différencie les sciences des superstitions et des mythes.
  9. Comment un processus quelconque pourrait être possible sans loi ?
  10. L'évolution n'est pas possible sans ces lois en question. Comment une quelconque évolution pourrait avoir lieu sans loi ? Avant le mur de Planck, le temps et l'espace disparaissent. Parler d'un avant est anti-scientifique car le temps disparait avant ce mur. Les spéculations sur un préunivers ne sont pas falsifiables.
  11. Non mais le risque de de couper en morceaux bien. Le train ne va jamais léviter pour épargner la personne qui reste sous les rails. Si on ne mange pas, on perd de la masse musculaire. Ce qui est laché de haut tombe... Je ne t'apprends rien là ?
  12. @ existence. Tu as écrit : "Là tu parles du dieu créateur. Celui là, on ne peut pas le vérifier en testant par l'expérience, on ne peut que faire des probabilités. Or il devrait être tellement compliqué pour avoir créé un monde si compliqué qu'il est encore moins probable que l'apparition spontanée de notre univers." Cela n'a absolument aucun sens. Parceque D.ieu précède le temps et l'espace. Donc, il ne doit pas être compliqué parcequ'indivisible. Au contraire, il doit être d'une pureté absolue sans aucune faille interne. Ce que nous concevons comme rien est ce qu'il y a de plus proche de la notion de D.ieu.
  13. Entre-temps, rasoir ou pas rasoir, les gens évitent de ce jeter devant un train. C'est une loi qui s'explique par d'autres lois.
  14. Frelser

    Dieu comme Principe

    Merci. Toi aussi. Amitié.
  15. Mais ton topic est dans la section philosophie ! :D Par contre je ne suis pas d’accord sur le "dogme religieux" C’est pourquoi j’ai précisé selon Aristote. Si je ne m’abuse, c’est la théologie qui par la suite, a eu recours au concept d’infini en un sens différent, pour aboutir au "parfait", à Dieu. Je parlais de dogme religieux au second degré, dans le sens d'accepter aveuglément comme on pourrait accepter un miracle faute de pouvoir l'infirmer. @ SN3, ces lois doivent exister, puisqu'on discute. L'illusion, c'est le produit de ces lois, comme la douleur, ou l'émotion qui ne sont pas des atomes... De même, le temps et l'espace sont générés par des matrices d'informations. Si je jouis de la vie, c'est que j'existe bien. Mais cette existence est le produit d'un processus qui la fait émerger du néant.
  16. Je ne comprends pas. Tu peux m'expliquer ? Ce que je veux dire c'est que si toute loi émergeait d'une autre loi, sans commencement, les contraintes seraient infinies, sans interstice, en sorte que la physique plante. Tu as entendu parler de la justice belge ? :p En outre, une telle idée est anti-scientifique. Parce qu'infalsifiable. C'est-à-dire qu'on ne peut l'accepter que comme un dogme religieux à simplement accepter à l'avance sans démonstration. Peut-être d'ailleurs que les générations futures parviendront à expliquer le comment de l'émergence des lois du néant ? La MQ n'en est plus très loin, on touche du doigt le graal. Mais la MQ n'explique pas la gravitation.
  17. Frelser

    Dieu comme Principe

    Parfaitement bien. Et toi cher Genesiis ? Les relations vont bon train ? :p
  18. Frelser

    Dieu comme Principe

    Alors essaye de faire lancer un dé dix fois à six personnes et teste ta théorie faite maison. Et passe mon bonjour à ton dieu. :p
  19. Frelser

    Dieu comme Principe

    Deux personnes qui lancent un dé sont indépendantes, mais leur chance à deux d'obtenir un 6 augmente à 1/3, s'ils sont à six, l'un des six aura très probablement un 6. Avec une infinité de lanceurs indépendants, les lois des probabilités s'affaissent mathématiquement. Si tu n'es pas d'accord, c'est ton choix. La démonstration est fournie plus haut. Alors, pense ce que tu veux. Mais laisse moi tranquille s'il-te-plaît. J'ai assez perdu du temps comme ça. Que tu ne parvienne pas à comprendre la démonstration ne change en rien les démonstrations. Si je ne répondais plus, sache que ce n'est pas par manque de respect, mais je suis franchement lassé.
  20. C'est une notion purement conceptuelle, absolument indémontrable, qui ne dirait rien sur l'origine des lois. C'est comme de dire qu'il y a des lois parcequ'il y en a, mais en transformant cela à l'absurde. Par contre, ton raisonnement prouve par une démonstration par l'absurde qu'il faut forcément une origine aux lois, autrement rien ne se déroulerait jamais.
  21. Frelser

    Dieu comme Principe

    La probabilité d'avoir 6 est de 1/6 à chaque lancer. Donc je devrai avoir un 6 sur six sur la suite de lancers, quelle qu'en soit la longueur... Mais si je lançais une infinité de fois, la probabilité se porterait non pas sur chaque lancer isolé, mais sur les suites possibles par longueur de suite. Puisque j'obtiendrais chaque suite possible de longueur N une infinité de fois, obtenir une suite de 120 lancers serait strictement équiprobable au fait d'obtenir strictement n'importe quelle autre suite possible de 120 lancers consécutifs : indépendament des lois de proportions équilibrées et de suites aléatores. La probabilité portant sur la suite entière, et non sur chaque lancer. Je ne sais pas comment je peux expliquer autrement. Et très honnêtement, je continue de répondre par courtoisie, je suis franchement saturé par le sujet d'une évidence flagrante.
  22. Frelser

    Dieu comme Principe

    Je suis saturé. J'ai répondu en détails plus haut. Si les lancers sont limités à 6 : la chance d'avoir un respect des proportions équilibrées et des suites aléatoires est effective, dans le cas de lancers infinis, n'importe quelle suite de 6 possible est strictement quiprobable et il n'y a plus de raison que les lois des proportions équilibrées et de suites aléatoires soient vérifiées, et encore moin systématiquement et pour toute longueur d'essais tendant à 3.000.000.000 sur toute une vie humaine.
  23. Frelser

    Dieu comme Principe

    Tu n'as pas lu les posts précédents. Si l'Univers existe depuis l'éternité, et que je suis possible puisque j'existe et que je sais lancer un dé, il faut que des répliques de moi existent depuis l'éternité. Des répliques à l'identique, qui réécrivent ce post à l'identique, mais aussi des répliques qui écrivent des posts variants d'une virgule, d'une lettre... Puisque après une éternité, tout ce qui est probable a du se répéter une infinité de fois. Y compris une infinité d'Univers absurdes. Or, dans un tel cas de figure, lorsque je lance un dé 6 fois. En réalité, je le lance une infinité de fois. En me focalisant sur ce moment dans lequel je le lance 6 fois, il faut que j'ai lancé mon dé 6 fois, mais que ces 6 lancers aient été répétés une infinité de fois. En sorte que je ne sois que l'une des infinies réliques lançant mon dé 6 fois... Là surgit le paradoxe absolu. Parcequ'alors, il faudrait que je puisse me situer dans une d'entre les infinies situations possibles. C'est-à-dire que je devrais avoir autant de chances d'obtenir 6 fois six que des suites 1, 2, 3, 4, 5, 6. Puisqu'en réalité j'ai obtenu chaque suite probable une infinité de fois. Mais chaque tentative aboutit à des séries de 6 lancers respectant la loi des proportions (1\6e de chaque face en moyenne) et de suites aléatoires (pas de suites ordonnées suivant d'algorithme). Ce qui est illogique, puisque pour une suite de 6 lancers de dé, je devrais obtenir 6^6 suites possibles avec strictement la même probabilité. Puisque j'ai lancé mon dé une infinité de fois six fois... Mais je n'obtiens jamais des suites violant les lois des probabilités. Qui ressèrent les résultats dans la marge des 6! possibilités, avec une équilibre entre l'apparition de chaque face de façon équiprobable. Ce qui est la preuve formelle, que je ne viens pas de lancer mon dé une infinité de fois 6 fois. Et ce paradoxe tend à l'infini à mesure que je prolonge la longueur de mes lancers. Jusqu'à l'absurde. Notre Univers qui respecte strupuleusement les lois des proportions et de suites aléatoires prouve qu'il ne se répète pas depuis l'éternité, et porte la signature mathématique typique d'un Univers unique ayant une origine dans le temps. Autrement, s'il avait une infinité de répliques, tout événement probable même de façon infinitésimale aurait fini par se produire une infinité de fois parmi l'infinité d'univers jumeaux et le notre ne serait qu'un de ces infinis univers sans aucne garantie de cohérence, or l'Univers est rigoureusement cohérent. Donc, la probabilité de se trouver dans un Univers sans incohérence tendrait asymptotiquement à zéro, et la probabilité de la réalisation d'absolument n'importe quelle chose probable même de façon infinitésimale tendrait exponentiellement à l'infini. Ce qui serait la mort de la science et que l'Univers réfute avec une puissance infinie.
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