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Tout ce qui a été posté par Frelser
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On ne peut pas rejeter une théorie de cette puissance de précision (vérifiée jusqu'à cent écart type) avec l'a priori qu'elle peut être fausse. Pour la dire fausse, il faut la réfuter. Elle est infiniment plus puissante que la théorie de l'évolution par exemple... Ici encore, tu fais une lecture profane. Les inégalités d'Heisenberg ne consistent pas en l'idée d'une incertitude dans la mesure, mais bien d'une rupture physique irrévocable. La position d'une particule n'est ainsi pas déterminée jusqu'au moment de la mesure. J'ai plus haut mentionné la mesure du spin d'un neutron à 4 cm de la particule. Aussi troublant que cela puisse paraitre, les inégalités ne sont pas une erreur ou une perturbation due à la mesure. A de très hautes energies, la notion de masse, de spin et de position se dissipent. La masse est attribuée après le mur de Planck après la rupture de symétries. De telles ondes ne sont qu'une version moderne des épicycles de Cepernic. Les interférences rendraient impossible de vérifier l'état d'intrication de deux photons sur une distance de 17 km à tarvers une infinité d'interférences. Il s'agit d'une mesure statistique d'une très haute précision. Une précision qui n'a que très peu de concurrents, toutes théories confondues.
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Tu prends le problème à l'envers. Il faut d'abord avoir envie d'une physique déterministe, et le prouver. Mais cela est une erreur de raisonement. Ce sont les résultats qui déterminent la physique, autrement, les attentes ne signifient pas une démonstration d'elles-mêmes. Ton approche est simplement marquée par ton ignorance des détails théoriques et expérimentales sur la question. Il serait fastidieux de vouloir expliquer ici que l'idée de l'état des particules intriquées n'est pas fixé au moment de l'intrication. Cela est clairement vérifié comme faux. Non seulement la MQ est formelle, mais nous avons même réalisé en laboratoire la démonstration expérimentale confortant la réalité de la superposition des états. Par ailleurs, il n'existe pas d'autre physique que la MQ permettant de décrire ce qui se passe à cette échelle. Les inégalités de Bell consistent justement à vérifier l'idée que la MQ ne permettrait pas de prédire l'état des particules dès le départ à cause de l'ignorance d'une variable cachée. C'est très précisément cette idée que l'état serait fixé dès le départ qui a été infirmé par leur violation.
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Je voudrais néanmoins mentionner ici une expérience assez intéressante qui semble permettre de se représenter certains aspects de la théorie de l'onde pilote de Bohm. Quoi que la projection d'un processus en deux dimension à l'échelle macrosopique sur une réalité à plus de 3 dimensions à l'échelle quantique ( :D ) ne soit pas favorable à l'idée d'une physique réaliste et intuitive, ces expériences semblent permettre de simuler des effets analogues à certains effets contre-intuitifs de la MQ. Cette expérience ne constitue néanmoins pas à ce jour autre chose qu'une approche de type analytique qui ne conforte pas la théorie de Bohm. Le parrallélisme relatif entre différents phénomènes sans rappport direct étant connus depuis longtemps déjà. Mais cette approche permettra-t-elle un jour d'évaluer l'effet de telles ondes mystérieuses en démontrant une réduction de la prédiction des inégalités de Bell à mesure de l'éloignement des particules intriquées à cause de très nombreuses interférences ? Sachant que l'intrication a été confirmée sur une distance de plus de 15 km. Distance astronomique à l'échelle de deux photons... P.S. : L'aspect mathématique de la physique théorique permet en effet de développer des protocoles expérimentaux qui rendent possible de comparer par analogie (--> physique analytique) des événements inaccessibles en laboratoire sur base de parrallèles mathématiques entre les formules de phénomènes distincts. Comme la simulation de supernovaes dans des barils ou de trou noirs accoustiques pour tenter de tester les rayonnements d'Hawking. https://fr.wikipedia.org/wiki/Trou_noir_acoustique Ce type d'expérience fonde des parrallèles, mais ne constitue pas de substitut matériel d'un phénomène sur l'autre. Le tout coincidant en un parrallèle théorique plus ou moins remarquable sans autre effet positif. Un peu comme les différences entre organes analogues et organes homologues...
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En effet. Même le risque, voire la douleur intense peuvent devenir des valeurs supérieures. Et cela nous reconduit, par un autre chemin à la parfaite relativité des notions du bien et du mal. Ainsi, sur deux camps ennemis de soldats, mourir comme tuer peuvent constituer une chose recherchée. Est-ce une simple figure particulère de psychologie altérée de groupe ? Ou bien cela pourait-il éventuellement devenir plus étendu, voire une valeur planétaire ? Après tout, les deux grandes guerres ne constituent-elles pas un cas assez parlant ? Les spartiates étaient-ils complètement asociaux ? La répression de ce type de pulsions considérée comme pathologique explique-t-elle que nous existions encore en ce moment... Cela est-il garanti pour le futur ? Et si il y avait un jeu de balance ou d'équilibrage, comme un retours précisément à un instinct primaire en cas de surpopulation en sorte que cet instinct de mort garantisse la réduction de la surpopulation pour lui assurer précisément la pérennité ? Ou du moins sa longévité ?
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@ elbaid. Le premier à céder sous la faim ? @ nolibar. Si je tue une personne, je préfèrerait avoir une bonne raison. Et si j'ai tué, et qu'il faille me punir, sans possibilité de m'enfermer. Alors, je voudrais que cette exécution soit la moins douloureuse possible. Et toi ?
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L'intrication quantique a bien été démontrée de façon très puissante et expérimentalre jusqu'à cent écart type. Et l'onde pilote théorique ne change rien à cette réalité, quand bien-même elle serait confortée un jour (?)... Pour expliquer cela aux personnes qui n'ont pas encore compris de quoi il est question, je vais tenter d'expliquer brièvement comment nous en sommes arrivé à ce niveau de certitude expérimentale. Lorsque la MQ a conduit à la problématique de la contradiction avec le réalisme, le monde scientifique a été violement secoué. Bohr a proposé la complémentarité, Heisenberg l'incertitude, tandis que Schrödinger (avec son chat mort-vivant) Einstein, Rosen et Podlosly (avec la prédictibilité dans le cas de l'intrication) ont tenté de soutenir que la MQ serait Simplement incomplète. Lorsqu'Einstein et ses amis soutenaient l'effet EPR pour montrer que la MQ, dans le cas précis de l'intrication conduisait à un résultat rigoureux des états des particules intriquées par un effet considéré impossible à distance, ils n'imaginaient pas que cela allait un jour pouvoir être vérifié consolidant la complétude de la MQ. En effet, les réalistes comptaient sur l'existence de variables cachées permettant de rendre la MQ réaliste et prédictible, donc incomplète. Feynman démontra que si la MQ est incomplète, alors, il devait y avoir une inégalité entre ses prédictions et les mesures statistiques, et Bell transforma ces inégalités fortes en inégalités faibles en sorte qu'une une déviation de 41 % dans un espace de Hilbert d'une observable Δ devrait être mesurée par rapport à la MQ, si elle est incomplète. En effet, quoi que cela était irrévocable sur le papier, les limites de l'appareil expérimental réel ne permettaient pas à ces inégalités d'être vérifiées expérimentalement. C'est Bell qui eut l'ingéniosité de transformer ces inégalités fortes en inégalités faibles, en intruduisant les limites techniques des appareils de mesure (filtre, polarisateur etc.). Ainsi, il était devenu techniquement possible de vérifier que les particules intriquées possédaient bien un état superposé qui était modifié lors de la mesure, en sorte que la non localité ait pu être confortée avec une précision atteignant 100 écart type. Le chapitre de la localité étant définitivement tournée. Les réalistes ont du plier lorsque Aspect, et après lui de nombreux chercheur ont vérifié la MQ de façon toujours de plus en plus rigoureuse. On a néanmoins proposé l'existence de variables cachée non locales. Comme les ondes-pilotes, qui non seulement ne sont pas vérifiées, mais qui ne rendent pas à la physique la localité. Par ailleurs, l'idée d'onde imaginaire et immatérielle à action instantanée ne plairait certainement pas à Einstein et ses amis, par plus que l'onde vide de Schrödinger...
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Est-ce vrai qu'en réalité la vérité est une erreur d'appréciation. Et, si oui, cela ne signifie-t-il pas qu'en réalité toute appréciation est vraiment réelle, ou autrement dit que la vérité n'en dépend pas réellement ?
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Ah impénétrable sensation d'amour. :p
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Juste une parenthèse que je referme ensuite pour ne pas dévier du sujet. 1. La possibilité de trouver des variables cachées non locales signifie en clair, que la non localité ou la violation de la localité ou séparabilité demeure dans tous les cas acquise. Point important. 2. La mesure récente du spin d'un neutron à 4cm de distance de la particule, montrant encore une fois la puissance de la MQ contre toute attente. Cette première observation du "Chat de Cheshire" confirme si nécessaire encore une fois la solidité du principe d'incertitude et des inégalités de Heisenberg... Considérée par les profanes comme une faille dans la mesure, alors qu'il s'agit bel et bien d'une indétermination causale et bien physique, confirmée à Vienne expérimentalement. 3. La masse d'une particule ne lui appartient pas, puisqu'elle lui est attribuée par le champs de Higgs. De même, sa position dépend de la fluctuation paramétrique de l'espace et est donc également un leurre. N.8. : La physique macroscopique n'est pas plus "intuitive" que la physique subatomique. Puisque nous ne pouvons pas nous représenter une action à distance (de type gravitation) ou une courbure de l'espace-temps.
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La fascination face à la mort peut parfois avoir des conséquences inattendues. Il y a des cas de suicides tout à fait spectaculaires. Parfois la mort intervient lors d'auto scarifications et de pratiques masochistes intenses... Et parfois, dans le but contraire de faire cesser la souffrance qui est un instinct de vie en effet. http://www.insolite.ca/2011/08/11/une-maman-ourse-tue-son-bebe-et-se-suicide-afin-deviter-la-torture/
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@ Zenalpha. C'est plutot vrai que toute théorie continue de se vérifier dans le cadre de son paradigme. Mais c'est bien parcequ'elles sont prises en défaut aux limites du paradigme qu'elles tombent. Par ailleurs, si les prédictions continuent de fonctionner dans le même cadre fixé par le modèle dès le départ, souvent, la coercitivité des résultats des observations avec les prédictions de la théorie ne coincide plus avec l'explication du paradigme de départ. Comme dans le cas de la théorie du phlogistique, qui marche encore, ou du système géocentrique, ou héliocentrique qui marche encore, sans que la Terre ne soit imobile ni le soleil... Les théories sont des modélisations mathématiques visant à permettre de déterminer des constantes, des variables et des tendences statistiques avec un maximum de précision. Or, la réalité se fondant au niveau microscopique sur des probabilités aveugles et acausales, nous retrouvons toujours des failles. simplement, parceque la réalité telle que nous nous la représentons n'est pas fidèle à la nature-même de son essence, et n'est qu'une simulation elle-même aproximative de notre cerveau élaborée selon les aléas des nécessités et la coercivité de la lutte pour la survie.
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En principe, il est plus aisé de prendre une théorie en défaut, mais il est plus laborieux d'en concocter une meilleure. On en arrive à mesure de chercher des théories toujours plus élargies à des théories très variables dont de plus en plus de paramètres semblent s'évaporer. Au point que finalement, elle devienne absurde. :p
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Si il y avait une grande crise de criminalité et plus d'infrastructure pour entretenir des prisons, seriez-vous pour l'application de la peine de mort ? Ou sinon, que proposeriez-vous de faire ?
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Je ne parviens pas à me faire comprendre manifestement. Je vais encore reformuler autrement... Disons que la fin de l'existence c'est l'instant exact ou tu te trouves, ok ? Le futur n'existant pas, tu ne peux pas le considérer comme éternel ou infini. Tu peux juste l'imaginer, or cette image sera purement illusoire. La seule certitude étant l'instant exact ou tu te trouve. L'existence n'est pas éternelle, puisque le futur n'existe pas. Il est perpétuellement condamné à être limité par le présent. Oui, mais lorsque nous décortiquons tout, le temps qui est une mesure de la quantité d'événements n'existe pas par soi, l'espace qui n'est pas séparé et qui s'étend n'existe pas par soi, et les particules dont aucune des propriétés ne lui appartient n'existe pas en soi. Donc, tout émerge à partir du néant. Absolument rien n'est existant par soi. Mais le temps n'existe pas indépendament de l'émergence de l'espace. Donc, le tenir pour existant en soi est une erreur. C'est le fait qu'il s'écoulerait à la même vitesse et de façon synchronisée. Or, le temps ralentit, s'arrête, s'accélère... Par ailleurs il a besoin d'événement, donc d'espace pour surgir. Il n'existe pas en-deça du volume de Planck, qui est le point d'émergence de l'espace-temps.
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Ecoute, soit on se fonde sur la physique théorique et ses conséquences : espace non séparé, temps non synchrone, émergence de la matière et de l'espace après le big bang, ..., qui sont les conséquences de siècles de recherches et de travaux rigoureux. N'existant pas d'autre physique permettant de modéliser le monde en dehors de la MQ ou la RG. Ou biens, on fait table rase de ces théories et de leurs conséquences, et alors on doit accepter nos sens comme fidèles à la réalite. Ce qui conduit à d'autres paradoxes évidents. Si on accepte que l'espace est séparé vraiment, et euclidien alors pour faire un tour complet de ce flocon de Koch je dois traverser une infinité de points... Ce qui nécessiterait un temps composé d'une infinité d'instants. Distance [a,b] à parcourir en Δt : -- > distance composée d'une infinité de points et durée composée d'une infinité d'instants : ∞/∞=n Ce qui signifie que même avec une vitesse infinie, je ne devrais obtenir aucune vitesse stable permise mathématiquement, donc l'Univers devrait être totalement chaotique. Or, je regarde autours de moi : non, c'est même extrêmement bien cousu. Si on s'arrête sur la physique mesurable, alors, il faut s'arrêter au volume de Planck et au temps de Planck. Là émergent le temps et l'espace physique à la frontière du big bang. Quand la RG prédit l'expansion de l'espace, il s'agit bien de son émergence, puisque physiquement, rien ne présuppose qu'il existe un espace de type euclidien et séparé en dehors de l'Univers... Pour affirmer cela, il faudrait le démontrer de façon réfutable : or cela n'est non seulement pas le cas, mais l'annulation du temps au moment du big bang signifie selon la RG que même si il existait un espace potentiel en dehors de notre univers, il ne se situerait pas avant ou après notre Univers, comme le temps s'annule à cette frontière. Le raisonement voulant qu'un espace euclidien et un temps linéaire synchrone en dehors et antérieur au big bang est sans aucun fondement vérifiable, et même en contradiction avec toute la physique confortée par l'expérimentation scientifique. L'hypothèse d'un espace euclidien avant le big bang aboutit par ailleurs à une incohérence insoutenable, puisque dans un tel espace, un Univers avec un espace non séparé (intrication quantique violant cela au sein de l'Univers confirmé expérimentalement) serait impossible. Ou bien la physique est fondée par l'expérience, ou bien l'ordre de l'Univers est un non sens, puisqu'un espace de type euclidien ne permet aucun ordre possible sans l'imposition d'une finalité d'une précision infinie.
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Sans contradiction, pas d'avancement. Sans avancement, pas à l'heure. :p
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Si tu n'as rien à dire, tais-toi.
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Tu parles de ce que tu aimerais, or le sujet c'est ce que disent les mesures et observations très avancées de la physique théorique. Désolé je n'ai pas compris ce dernier post. Bon week-end. Amitiés.
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Les martyrs de la langue française.
Frelser a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Langue française
Parmi et non parmis. Parmi reste invariable. -
En fait, comme je l'ai expliqué, je suis pour une lecture purement mathématique et probabiliste de l'Univers. La seule physique qui fonde la base de toutes les lois est la Mécanique Quantique. Toutes les autres théories, y compris la Relativité Générale, sont des modélisations en fin de parcours des conséquences statistiques de l'émergence de l'Univers sur fond des lois de la physique quantique... Par conséquent, que nous interprétions la gravitation comme Newton, comme courbure de l'espace-temps, comme gravitation quantique à boucles, comme la théorie MOND ou comme une illusion comparable à la force centrifuge émergeant en 3 dimensions, on peut arriver à élaborer des moyens de réfutation, sans que l'une ne soit forcément plus valable qu'une autre. On obtient des mesures tendant à l'espérance itérée statistiquement, sur base de la manière dont on se représente les conséquences mesurées, un peu comme un aveugle qui cherche à se représenter un objet sans pouvoir la voir... Ainsi, à la frontière de la physique, les hadrons et surtout tout particulièrement les bosons de higgs nous rappellent comme l'interprétation des formules obtenues sur papier par des représentations mentales plus ou moins sophistiquées conduit à des résultats parfois surprenants. Ainsi, les bosons de Higgs sont un champ, qui confère une masse à toutes les autres particules. On touche du doigt les limites de la science. Je ne pense pas qu'il y ait un modèle unique qui puisse embrasser toutes les observations découlant de la MQ, et le théorème d'incomplétude de Gödel démontre que manifestement j'ai raison. Toute théorie sur l'instant zéro est condamné à demeurer hypothétique, comme en-deçà du volume de Planck, il n'y a plus de mesure physique possible. Puisque déjà en s'en approchant ont touche l'incertitude et perd les notions de temps et d'espace séparé.
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Ok. Je vais encore attirer des éclairs, mais je vais écrire cela ainsi. Disons que l'on part d'un principe abstrait comme le 0. Si je prends ce 0, je peux écrire : 0=1-1 --> Donc, de 0 j'ai obtenu 1 et -1. Cette information a donc généré depuis le 0 abstrait (inexistant en soi physiquement) une quantité d'information... Si je prends les (1) et (-1) Je peux en générer d'autres informations en fondant 1=1+0 et -1=0-1... Et ainsi de suite, générer une croissance d'informations, qui n'ont aucun corps. Mais si je pousse cela plus loin, je peux fonder un langage et générer un Univers probabiliste tel que je puisse obtenir un Univers comme le nôtre. Voilà en bref ma vision de la chose. La tentation de concevoir les frontières de la physique théorique comme une "chose" vient de ce que nous ne parvenons pas à penser un réalité sans chose spatialement représentable, donc abstraite... Mais la douleur ou la joie ne sont-elles pas des preuves que des "choses puissantes" peuvent émerger sans exister par elles-mêmes ? J'ai donné l'exemple de génération depuis 0 plus haut. En fait, si on peut générer une seule particule alors il n'y a aucune limitation à générer un Univers. Probablement. Mais dans le cadre physique de la calculabilité. Si nous envisageons un multivers avec une infinité de formes comme une infinité de points dans une sphère délimitée en taille, alors oui. Or, si nous envisageons un infini éternel sans limite, alors non. Un tel Univers serait totalement chaotique et ne permettrait pas de se trouver dans un Univers intelligible comme le nôtre. J'ai essayé de donner une explication accessible plus haut, qu'en penses-tu ? Il n'y a pas d'au-delà, ou alors seulement sous forme abstraite et potentielle. Logique, puisque la seule façon d'y accéder serait théorique et indirecte. Comme nous ne pouvons pas y accéder physiquement, la physique s'arrêtant à cette frontière.
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Eh oui, la partie pleine ou vide du verre, et l'extérieur du verre dans la soute à vin...
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Voilà toute la différence entre le raisonement en boite (crânienne j'entends) et le raisonement expérimental et réfutable.