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Tout ce qui a été posté par Frelser
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La meilleure façon de vérifier si on a bien compris c'est d'essayer de l'expliquer à un autre. Si lui nous comprend, alors c'est qu'on a compris. Sauf si il croit avoir compris, c'est pourquoi il faut demander à la peronne à qui on a expliqué cela de nous le réexpliquer. Si on compren la même chose alors, c'est qu'on a bien expliqué ce qu'on avait compris. Or, la meilleure façon de s'assurer qu'on a compris la bonne chose, c'est de l'expliquer à la personne même qui nous l'a expliqué en premier, en espérant qu'il l'ait bien compris. Ce qui nécessiterait idéalement de l'expliquer à celui là même qui lui a expliqué à lui-même... Ah sacré Platon !
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La relativité n'interdit pas de parler de 0 secondes, donc, tu ne dois pas faire appel à une autre théorie quand tu es sur une formule relativiste simplement. C'est un peu comme d'utiliser de l'argile pour faire du pain. :p
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Si il veut étudier les courants de pensée en philosophie, il devrait essayer de tracer une ligne du temps avec les variations dans les courants et un graphique de polarités pour visualiser les embranchements et divergences. C'est l'une des meilleures manière de classifier mentalement les nuances et différents détails, proche du mode de fonctionement bayésien du système de mémorisation neuropsychique... Mais si il ne parvient plus à mémoriser, soit il a fait un AVC, soit il n'est plus motivé simplement. A moins d'avoir un problème de trouble de mémoire organique, alors mieux vaut pour lui consulter un spécialiste.
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Tu dois ne pas te suivre à cause du fait de tes bons logiques. Les boucles quantiques comme le cordisme se fondent bel et bien, ne t'en déplaise, sur la MQ. Par conséquent, la physique essentielle reste la même en terme d'annulation du temps des formules sur le papier, même si on s'aventure à une interprétation d'un super-espace à 11 dimensions avec des branes (en fait d'autres matrices de probabilités sur le papier). Quand au temps qui s'annule, il n'y a plus de mesure en-deça du temps ce Planck, donc plus de mouvement. Or, si il n'y a plus de mouvement, alors il n'y a plus de temps, sinon imaginaire. :)
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Si il y a une durée Δt égal à 0, alors la distorsion du temps sera également égale à 0. Donc, si il n'y a plus de mouvement, le temps sera strictement égal à zéro. Donc, plus d'écoulement mais un arrêt simple, ou un évanouissement total. La notion d'éternité est physiquement infalsifiable. On peut en revenche théoriquement travailler avec des infinis, mais avec des limites..
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L'éternité est une durée de temps. Si il n'y a plus de temps, il n'y a plus de durée. Si il n'y a plus de durée, alors pas d'éternité. Tu affirme confirmer les acquis scientifiques, alors, que comprends-tu de cette formule ?
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Concrètement, en thermes physiques, passons le soleil d'avant l'apparition d'observateurs doués d'intelligence, l'existence d'une chaise quand je lui tourne le dos devient douteuse, cela selon la version la plus dure et rigoureuse de la physique quantique. Même par la simple raison, je peux aboutir à ce constat, le fait de retrouver la chaise n fois ne garantit pas que ce sera toujours le cas. En outre, ni les couleurs, ni la texture, ni la résistance, ni la température, ni même les formes de la chaise n'existent pas en soi, tant que je ne pose pas le regard ou les mains dessus.. Ce que j'appèle chaise est juste une représentation intérieure dont aucun aspect n'existe en dehors de cette représentation-même. :) Si il n'y a plus aucun mouvement, alors le temps n'existe simplement plus, il s'annule simplement. Et avec lui, les dimensions spatiales s'évanouissent avec leur simulation en mon esprit. C'est le néant.
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Il n'y a pas à mon avis d'hypothétique théorie universelle unifiée, dans le sens ou on pourrait en déduire de façon linéaire toute la physique de notre Univers sans devoir élaguer. Et pour te répondre, les forces physiques ne sont pas des réalités en soi, mais une illusion statistique émergeant à mesure des brisures de symétries. Quand bien même, il serait élaboré une GUT qui semble fonctionner, je peux prédire qu'elle sera si souple qu'elle sera modulable à l'envi à mesure que des séries d'observations et mesures émergeront statistiquement au fil des avancées en puissance technologique et de calcul. Déjà maintenant, on a recours à d'innombrables constantes incontournables.
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@ Zenalpha. Je voudrais juste insister sur le fait qu'en soulignant que la RG consiste en une modélisation en surface de l'univers, je veux expliquer, que la RG se fonde sur le résultat statistique de la MQ, et qu'elle conceptualise et vise à modéliser l'univers macroscopique dont la causalite se rompt avec les inégalités de Heisenberg. Elle vise à théoriser et formuler des mécanismes dont le fondement profond est acausal. C'est pour cela que je parle d'appréhension en surface. Tandis que la MQ qui décrit la naissance de la matière et son organisation s'inscrit dans une logique épurée des conséquences macroscopiques, et se vérifie expérimentalement. Ce qui confère bien, à la MQ la priorité, à condition de ne pas faire primer les conséquences statistiques et le souci de représentation mentale sur les principes essentiels confortés par l'expérimentation.
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Il faut savoir que le cadre protocollaire des expériences réalisées est très rigoureux. La mesure est évaluée suivant les caractéristiques des appareillages, et la méthode d'évaluation est statistique et basée sur des moyennes. Jusqu'ici rien de neuf au panier. Maintenant, que les conclusions semblent diverger lorsque nous approchons les mesures autrement, cela mérite d'être mentionné. Mais cela n'implique pas que la localité soit garantie, du moins pas pour toutes les propriétés de la matière. L'inquiétude, toute naturelle, vient de ce que nous pensons la matière comme des corpuscules bien localisées dont tous les étas seraient intrinsèques à la matière. Or, cela est définitivement établi comme faux.
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J'ai mentionné l'émergence de l'univers et son organisation statistique ou probabiliste. C'est bien pour soutenir que la RG n'est qu'une lecture en surface de la physique de l'Univers après son émergence. J'ai soutenu que toute théorie se voulant décrire tout l'Univers sera définitivement incomplète selon le théorème d'incomplétude. Et un peu plus haut, j'ai comparé l'organisation de l'univers avec les attracteurs étranges. Je ne vois pas ou est la faille dans mon approche ? Pour l'émergence d'un objet macroscopique par effet tunnel, je serais tenté d'écrire que c'est bien davantage leur non surgissement qui interroge. Cela est parfaitement permis par la MQ, alors, la contrainte des attracteurs doit être telle que ceux-ci soient contenus dans l'univers des possibles. Mais nous tenons que l'effet tunnel existe de façon expérimentale. L'émergence de l'univers de façon acausale et son organisation probabiliste suivant des attracteurs étranges ou le théorème central limite ne conforte-il pas le bon sens. Ne nécessitant plus d'action mystérieuse à distance et correspondant très précisément au théorème d'incomplétude et à la complexité de la physique.
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Bien, mais ce petit poème n'est pas très parlant. Alors, disons que l'infini avec une limite existe et peut être représenté dans un ensemble ou par type. En sorte que les tenir pour identiques sans aucune injection est une croyance populaire sans grand intérêt théorique, philosophique ou mathématique. Néanmoins, si la MQ est un concept immatériel qui existe abstraitement indépendemment de quel que support, alors, un tel objet mathématique indépendant de l'espace et du temps et suffisant par effet tunnel à faire émerger notre univers est un acquis. Mais je conçois que comme pour la parfaite relativité des notions de bien et de mal, ce bouleversement intellectuel ou philosophique suscite des doutes, voire de la colère.
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Le vide signifie le vide dans la série décimale. Par exemple 1000 s'écrit 1 (millier) 0 centaine 0 (dixaine) 0 unité. Le lien du zéro avec l'infini signifie quoi pour ton raisonement ? Il y a des infinis avec des limites, et cela est mathématiquement permis. Mais un infini sans limite n'a aucune réalité possible.
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Là ça volle trop haut. Il faut redescendre. :p
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@ Loopy. Eh bien je dis à peu près la même chose. L'entropie permet à l'ordre d'émerger. Cet ordre est en réalité un désordre (brisure de symétries) qui tend vers des genres d'attracteurs étranges, expression à laquelle je préfère l'image plus intelligible de théorème central limite. Du O de Planck, on obtient un faisceau d'informations se complexifiant graduellement, jusqu'à aboutir à un degré d'organisation avancée. @ Zenalpha. J'ai déjà donné un exemple théorique plus haut, mais tu n'as jamais répondu à son sujet. Le 0 existe en soi, abstraitement indépendemment de tout support matériel. Du 0, je peux sortir 1-1=0, en sorte que 1 et -1 aussi soient existents en soi, sans support. Or, ces notions existent en soi, indépendament de leur conception, de manière abstraite et potentielle. De même, une sphère (forme géométrique) existe abstraitement, indépendemment de toute représentation... Ainsi, sur base de l'existence potentielle et abstraite de 0, de 1 et de -1, il est potentiellement permis d'envisager une infinité de combinaions purement abstraites, permettant (statistiquement) un langage du type MQ purement théorique, totalement abstrait... Un objet mathématique potentiel si tu préfère. Or, une telle mécanique théorique correspond très précisément à la seule base requise pour l'émergence du temps, de l'espace et de l'Univers. Ainsi, le Potentiel de l'émergence de l'Univers existe indépendement de tout support. Le Principe initial de ce processus est la seule source ultime nécessaire et suffisante à l'existence de ce Potentiel. A ce stade, il ne faut plus penser l'Univers comme l'espace-temps, mais comme la conséquence statistique (instantanée) de ce Potentiel, garanti par ce Principe, indépendemment des détails qui pour nous se déroulent dans une trame illusoire d'espace-temps. L'espace et le temps n'existant pas en soi. On se rapproche des pensées de dieu. Les mathématiques constituant un reflet de la logique pure et abstraite s'auto-déterminant autours du Principe initial fondateur.
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Comment conçois-tu un "autre chose" essentiel qui ne soit ni le temps, ni l'espace ? La tentation de concevoir néanmoins une réalité matérielle ou située dans un type d'espace est grande. Mais cela découle de ce qu'étant baignés dans ce type de simulation d'univers nous ne concevons pas que l'information immatérielle, intemporelle puisse conduire à l'émergence du temps et de l'espace. Conceptuellement, que serait un espace ou il n'y a pas de direction, pas de sens, pas de coordonée ? T'es-tu demandé ce qu'est par exemple une loi physique comme la gravitation ? Resens-tu le besoin de lui donner corps pour te la représenter ? Or, dès lors que nous comprenons et démontrons que l'espace n'est pas vraiment séparé, nous transférons l'impression d'une action magique à distance en une série de permutations matricielles. En réalité, ce sont bien les effets qui font que les particules semblent émerger, alors qu'elles n'on aucune consistance propre. Et que les fluctuations scalaires du fond de radiation cosmique donnent une impression d'espace métrique séparé.
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Pour tenter d'expliquer cela simplement, rappelons que la physique consiste en la mesure et la quantification d'objets : ok. Donc, je quantifie les événements et les mesure. A mesure que les mesures s'affinent, je perds d'abord l'idée d'un temps linéaire et le temps s'avère accélérer, ralentir ou s'arrêter [1]... Ensuite, dans les accélérateurs, je parviens à transformer les particules en masse, diamètre, moment magnétique, etc. Je parviens même à produire de l'antimatière à partir de matière[2]... Ensuite, je parviens à coordoner deux particules, à isoler chaque état d'une particule[3]. Jusqu'à ce que je n'aie plus aucune autre référence stable que chaque donnée isolée pris un à uns : y compris la masse d'une particule qui lui est octrotée après le changement paramétrique de l'espace par le champs de Higgs[4]. Je peux séparer le spin d'un neutron, réaliser un singleton par intrication quantique qui soit à deux endroits en même temps[5]. Transférer les états d'une particule à une autre, je peux même faire émerger une particule par effet casimir sans faire appel à de la matière[6]... Par conséquent, l'espace émerge aux échelles de Planck, il fluctue de façon paramétrique donnant l'impression de s'étendre. Le temps semble s'organiser et se tendre, se courber sur papier. Des ruptures de symétries s'opèrent qui permettent aux données brutes de s'organiser faisant émerger un Univers de probabilités. Jusqu'à ce que toute notion d'espace, de matière, de temps disparaisse : laissant juste de l'information. Cela ne dépendant pas de mes attentes, je me résilie donc à admettre que la réalité est faite de l'organisation d'informations. La source de cette information n'étant ni l'espace, ni le temps, ni la matière, qui émergent d'elle. ---------------- [1] La durée de vie de particules a bien augmenté en les accélérant confirmant cela expérimentalement. [2] Fabrication d'antimatière dans un accélérateur de particules. [3] Chat de Cheshire et mesure du spin à 4cm d'un neutron. [4] Mesure expérimentale du champs de Higgs au LHC. [5] Violation des inégalités de Bell. [6] Création de matière à partir du vide quantique.
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Bien, mais il s'agit bien de faisceaux de photons polarisés de façon stable analysés en masse. Et il existe désormais d'autres démonstrations de la non localité comme la mesure du spin d'un neutron à 4cm du neutron. Pour se faire une représentation de cela, un neutron mesure 0,5x10^-15 m. Observer son spin à 4cm, est comparable au fait de mesurer l'atmosphère terrestre à [8x10^13 x 12.000 km=]9.6x10^137 km, ou 1000 années lumière de la Terre. Tout cela montre formellement et tous le monde scientifique connvient à ce sujet la non localité de la physique, mais cela conforte en outre que toutes les propriétés des observables peut une à une être isolée sous forme d'information isolée. Ce qui rejoint les matrices de permutations de Heisenberg, et rend à la physique sa nature purement mathématique.
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Est-ce que ce qui est considéré comme pathologique dans une société peut être recherché dans une autre ?
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Il s'agit de la mesure de faisceaux de probabilités intégrant les limites de pertubations des polariseurs et filtres, afin de déterminer si la marge de déviation nécessaire si la MQ était incomplète se révèle, en sorte que l'existence de la variable cachée soit vérifiable. Or, les prédictions de la MQ ont été confirmées jusqu'à cent écart type infirmant l'hypothèse de variables cachées (locales).
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Un instant perpétuel c'est quoi si il n'y a pas d'observateur ? Rien... Par néant, j'entends ce qui est indépendant du temps, de l'espace et des lois qui émergent selon les processus quantiques.
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Exact. Les individus sont très profondément influencés par les groupes sociaux dont ils sont issus. De même que tout comportement individuel est la résultante statistique du traitement neuro-chimique de la situation individuelle en continu, les individus inter-agissent entre-eux et s'influencent mutuellement. Par exemple, le taux de suicide répond presque à une loi véritable dans les grandes métropoles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Épidémiologie_du_suicide
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@ nollibar. Je parlais bien d'une situation qui ne permet pas de recul à cause du chaos. Si il y a des dixaines de millions de meurtriers...
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Vérité tient de vérification, ou l'inverse. Une vérité se mesure par la garantie de sa part de vérifiabilité. A condition d'en extraire la marge d'interprétation.
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La mort même fait partie intégrante de la vie. Ne tue-t-on pas pour manger ? J'ai cité le cas des spartiates, mais les stoiciens ne considéraient-ils pas la vaillence comme valeur la plus ultime ? Sur un plan beaucoup plus d'actualité, les sports de combat ne constituent-ils pas une émergence de cette nature sauvage du superprédateur qui sommeille en nous ?