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Tout ce qui a été posté par Frelser
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@ kyrilluk. Superbe explication. Merci.
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Il faut plutôt voir dieu en dehors de l'idée d'un déterminisme ou de hasard. Puisque l'idée finaliste de dieu est une illusion anthopocentrée. Nous dépendons de dieu, pas dieu de nous...
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@ lonkori. J'ai compris le point de divergence. En réalité, un Univers unique fini (spatialement) et éternel, ou un Univers ayant débuté dans le temps mais infini (spatialement) produit les mêmes paradoxes... Puisqu'il peut exister des doublons de nous-mêmes à l'infini à travers un espace sans fin. Donc, si l'Univers n'a pas de commencement ou s'il a un commencement mais est spatialement infini, alors il devrait exister des répliques de la personne qui lance son dé à l'infini. Par conséquent, le paradoxe ne nécessite pas forcément une infinité d'Univers, l'irrégularité devrait être omniprésente dans cet Univers Hypothétique. Pour la question de savoir si dieu peut faire ce qu'il veut et changer les lois de la physique, c'est une pure spéculation. C'est encore un anthropomorphisme, tu attribues un attribut de détermination à dieu, qui étant hors du temps, est systématiquement hors du présent et du futur. Il est donc ontologiquement et logiquement inapproprié de concevoir un dieu qui décide, change d'avis, etc.
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@ Evasive, donc si j'ai bien suivi à 8 ans tu te prenais pour une sainte vierge ? :p
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un athée doit confirmer avant d'affirmer?
Frelser a répondu à un(e) sujet de Topden dans Philosophie
En règle générale, l'athée affirme s'en tenir aux faits observables... Dans la réalité, un athée ne vérifie évidement pas tout. Ainsi, il accepte comme n'importe qui les moeurs de son milieu comme évidentes, il accepte une théorie incomplète comme vraie, même si elle n'est pas vérifiée complètement... Si on lui demande pourquoi la polygamie est mal si les individus sont consentants, il ne pourra pas argumenter de façon claire. Il va accepter les théories physiques sans les cerner toutes, et se fonder sur la vérification d'autres, peut-être religieux pour argumenter. Le religieux quant à lui acceptera certains dogmes strictement infalsifiables. Que l'athée va rejeter puisqu'ils ne sont pas réfutables. -
Je vais essayer de réexpliquer encore une fois. Prenons la durée de vie d'un Univers jumeau du nôtre. Mettons qu'il s'y trouve des êtres intelligents faisant des lancés de dés pendant les 10 exp X secondes de la durée totale de l'Univers avant de devenir inhabitable par l'effet de l'entropie. Nous aurions dans l'hypothèse de l'éternité ou de l'infini une infinité de ces univers avec les êtres intelligents lançant leurs dés du début jusqu'à la fin de leur Univers, chacun lançant son dé 10 exp X fois. Eh bien donc, dans un de ces univers possibles la suite de tous les lancés par un joueur pourra être strictement n'importe quelle suite possible. Qu'il n'obtienne que 10 exp X six, ou 10 exp X suites de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 1, 2, 3, 4, 5, 6, ..., sera équiprobable. Puisqu'à l'échelle de l'infini 10 exp X lancés peuvent présenter n'importe quelle configuration possible de façon équiprobable à n'importe quelle autre configuration possible. Puisqu'il devra exister une infinité d'univers jumeaux pour chacune des configurations possible. Donc, que toute suite probabiliste et aléatoire sur de très courtes durées soit respectée strictement tendrait asymptotiquement à zéro pour un univers particulier. Donc la certitude de l'Unicité de l'Univers peut se vérifier par le respect stricte des probabilités aléatoires au lancés de dés. Si donc je prends 6000 dés, et qu'à chaque lancé j'obtiens environs 1000 fois chaque chiffre, je peux être certain que l'Univers a une origine dans le temps et une fin spatiale.
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Merci, c'est gentil. Pour ton écriture s'est de l'écriture spontanée. C'est un bon moyen d'écrire ce qu'on ressent vraiment. Amitié.
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Peut-être dans mon subconscient morphée. Je regardais également tantôt ce dessin animé, qui me permettait sans doute d'exorciser mes propres idylles... Ah le temps... Tu es le chemin qui rétrécit. Je te sens jusque dans moi. Dans mes cheveux blanchis. Au miroir poli qui réfléchit. Tu es un allié si fidèle, Un ami intime froissé, Comme une clé rouillée, Tu me prends sous tes ailes. Ah le temps, le temps, ... Tu passes et je l'attends, Tu glisses entre mes doigts, Tu régis ma vie telle une loi... Ennemi des coupables, Crainte des injustes, Tu es une délicieuse prison, Un ultime poison qui agit...
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Salut Lucy. San désirer offenser les autres internautes, je voudrais dire que ton post est le premier qui soit une réelle objection rationelle à mon topic. Ceci étant souligné, je voudrais préciser que la spiritualité de l'homme et son désir d'exorciser ses craintes ou réaliser ses attentes et espoirs est indépendant de la notion de création et d'un D.ieu créateur. Mon argumentation est fondée sur plusieurs approches. Le principe anthropologique : l'humanité témoigne de la création de tout au commencement par un Démiurge. Les dieux superpuissants qui vont organiser le monde sont un autre concept tenant donc de la sémiologie et de l'anthropologie. L'inviolabilité de la sémantique cognitive humaine. Le cerveau humain fonctionne en cherchant spontanément une logique optimale à tout. On évolue ainsi vers la quête d'une cohérence absolue, d'une physique du tout unique, et dieu se découvre spontanément au final de façon systématique. Le paradoxe absolu : l'unicité de notre Univers et son origine dans le temps est une certitude tendant exponenciellement à l'infini. Autrement s'il est infini (spatialement) ou éternel, la probabilité de la stabilité des lois à échelle limitée tend asymptotiquement à zéro. Le Logos : les lois de la MQ doivent avoir précédé la Genèse de l'Univers, mais pas de toute éternité, de par le paradoxe absolu. Ce qui se rapproche très nettement d'une création unique et ordonnée. Le principe sémantico-cognitif. On peut penser que dieu est absolument stable, indivisible, non mesurable... Donc, il est exactement comme ce que nous nommons volontier RIEN. De même, chaque accident probabiliste peut s'expliquer par RIEN. De sorte que l'évolution strictement aléatoire est gérée par RIEN par vacuité d'ordre déterministe. Le choix de nommer le RIEN originel D.IEU est un choix sémiologique et linguistique. L'approche mystique : dieu se manifeste directement à travers son oeuvre, qui n'est qu'une illusion. Dans la réalité il n'existe ni espace (non séparabilité quantique et non localité), ni couleur, si temps, ni odeur... Tout est simulé dans notre conscience à partir des lois immatérielles de la MQ.
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La nature est un témoin spontané de dieu, dans toute sa beauté et toute sa splendeur. Je voudrais que ce topic se borne à l'approche strictement réfutable. Je vais créer un autre topic pour l'approche mystique et métaphysique de D.ieu.
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Salut Elhyareno. Tu es intervenu sans lire mes posts supra. J'ai démontré qu'à l'échelle de l'éternité chaque série possible est strcitement équiprobable à toute autre série possible. De sorte qu'une série respectant les probabilités aléatoires de façon aussi précise a une probabilité de se produire s'approchant de zéro de façon exponencielle. Ce n'est pas une approche philosophique mais un effet purement mathématique... Si obtenir 1000.000 de 6 consécutifs est aussi probable à l'échelle infinitésimale d'un Univers particulier, que d'obtenir des suites 1, 2, 3, 4, 5, 6, 1, 2, 3, 4, 5, 6, ... alors cela signifie que le respect stricte et rigoureux des probabilités aléatoires à l'échelle de seulement 600 lancés suffit à prouver que la probabilité que l'Univers soit Unique tend exponenciellement à l'infini. Si néanmoins nous choisissions tout de même d'accepter cette hypothèse, la science entière est condamnée à mort : la stabilité étant acceptée comme un accident dont la probabilité tend asymptotiquement à zéro, il devient absurde de vouloir décrire des lois ou théories. Et la stabilité continue et si précise des lois de la nature témoigne constamment contre cette hypothèse, et pour affirmer l'hypothèse de l'infini, il faut accepter que cette stabilité peut à chaque instant biffurquer vers un désordre absolu... Comme la probabilité d'un désordre tendent à l'infini ou des séries absurdes tendent à l'infini est infini, l'Unicité de la genèse de l'Univers depuis le néant est la certitude scientifique la plus puissante jamais accessible à l'homme.
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Je voudrais que ce topic reste entièrement scientifique et rationnel. Donc je ne vais pas entrer dans des débats métaphysiques par ici. J'ai créé ce topic juste pour montrer qu'une approche strictement epistémologique, sémantico-cognitive et physique pouvait conduire à une réinterprétation purement scientifique de la notion de dieu chez l'espèce humaine. (Autrement, pour tout de même répondre à ton intervention, je voudrais souligner que notre conscience est également le lieu de sa manifestation. C'est un concept mystique universel. Lorsque tu entres en méditation profonde, ton moi fini par s'effacer, et tu sens directement la manifestation de dieu à travers toi. Il agit à travers toi, comme quand il déplace une feuille avec le vent.)
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La peur glaça soudain le sang de Juliette. Elle était incapable de ne serait-ce que cligner une paupière. Sa respiration s'était arrêtée. Elle ne sentait plus ses mains, et ses jambes se mirent à trembler... Quand le jeune homme sortit de l'ombre et la fixa du regard. Juliette sentit à ce moment précis une étrange chimie qui s'opérait en con corps tout entier. Elle avait reconnu le jeune homme qui lui avait offert une banane devant l'école l'an dernier. Elle sentait à présent une si voluptueuse légèreté qu'elle croyait léviter. Le regard perçant du jeune homme la déshabillait avec une telle puissance qu'elle se sentait entièrement à sa disposition et elle mourait d'envie qu'il s'approche tout contre elle. Quand le jeune homme s'approcha d'elle, elle l'attira machinalement contre elle, et ses mains se promenaient sur son corps brûlant comme une braise.
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Non lonkori, si l'univers a une infinité de répliques, alors il ne devrait logiquement pas respecter les lois des probabilités avec autant de précision. Se trouver dans un univers respectant aussi rgoureusement les probablités aveugles serait aussi probable que la probabilité que tu te transformes soudainement en loup garou. Je te prie de relire mieux l'explication de mes posts précédents. Tu confonds toujours "possibilité" qui n'est pas un concept mesurable et "probabilité" qui est une science de la mesure mathématique formelle stricte. http://www.youtube.com/watch?v=C2kzg1DdAd8&feature=related
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J'ai bien précisé que le paradoxe absolu implique une origine de l'Univers. Avant cela, il n'existait ni espace, ni temps, ni énergie, ni matière... Des lois purement immatérielles et non spatiales ont pu conduire l'Univers à se créer. Or, cela est exactement conforme à la notion de création. Etant donné qu'il faut mathématiquement que cela ne se produise qu'une seule fois, il devient évident que ces lois n'ont pas existé de toute éternité, autrement nous retombons exactement dans le même paradoxe absolu. Ces lois aussi doivent avoir une origine donc... Il faut donc qu'au début, il n'y ait RIEN. La vraie question qui est le coeur de ma conception absolue de dieu est que ce que nous nommons RIEN est précisément D.IEU. Il est en fait absolument stable, non mesurable, absolu et indivisible... Dès que nous nommons RIEN, D.IEU tout prend un sens... Qu'y avait-il avant tout ? D.IEU (RIEN), a quoi est dû chaque accident produit de façon strictement aléatoire suivant les lois de la MQ ? D.IEU (RIEN). La question de savoir, et qu'y avait-il avant D.IEU (RIEN) devient absurde. Car cela découle d'une mauvaise conception de dieu. Celui-ci se manifeste à travers sa création dans toute sa splendeur. Et les anthropocentrismes découlent de la confusion de dieu avec sa création...
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C'est tout simple lonkori. Sur une durée limitée il peut y avoir n'importe quelle suite possible, et chaque suite devient équiprobable. Il devient aussi probable de n'obtenir que des 6 que d'obtenir des suites 1, 2, 3, 4, 5, 6, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 1, 2, 3, 4, 5, 6, ... . Tomber sur une suite respectant ponctuellement la stabilité probabiliste strictement aléatoire est donc de 1/toutes les suites possibles x le nombre de suites strictement aléatoires respectant la proportion moyenne de 1/6 pour chaque valeur, selon le nombre de lancés de dé. Car toute suite est équiprobable. Ainsi pour six lancés, dans l'hypothèse d'une éternité d'essais, on peut obtenir n'importe quelle série d'entre les 6x6x6x6x6x6 possibles. Donc il devient équiprobable d'obtenir aussi bien 666666, que 666665, 666664, 666663, 666662, 666661, 666656, 666646, 666636, etc. Plus le nombre d'essais est élevé, plus la loi des probabilité serait violée dans un univers particulier.
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Comment les suites variées seraient "plus souvent stables" que les suites irrégulières ? Imagine moi un dé à la main, je le lance sans cesse... Au bout de 10 exp 1.000.000.000 exp 1.000.000 exp ... exp ... de lancés, j'obtiens une suite de 2.000.000 de 6. Logique, puisque j'ai tant fais d'essais que je suis tombé sur une telle suite. Or, si je comptes le nombre de 6 dans le lot entier, j'en ai toujours 1/6 en moyenne... Si je continues cela ainsi encore plus longtemps, j'obtiendrais des suites de 6 pendant 60 ans, pendant 60.000.000 années, pendant 10 exp 1.000.000.000 exp ... exp ... Etc. Si je fais cela depuis l'éternité, et que toi tu m'observes n'importe quand pendant 100 ans, tu pourras observer n'importe quelle suite possible... Car à une échelle éternelle, la variable infini détruit mathématiquement la stabilité ponctuelle à l'échelle d'une vie cosmique. A l'échelle de l'infini, toute suite possible est strictement équiprobable à l'échelle de la vie d'un univers jumeau.
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Il abuse de son épouse durant son sommeil
Frelser a répondu à un(e) sujet de doug dans Actualités - Divers
Apparemment ça passe mieux avec la jolie voisine de pallier. -
Tout au contraire, il existe même à travers toi quand tu écris cela.
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Un postlat imépratif sans lequel, la science devient irréfutable et invraisemblable. -Dieu est simplement un concept sans objet. C'est le concept des concepts. Il suffit de pratiquer une langue quelle qu'elle soit pour en avoir l'intuition ou disons la compréhension. C'est un couteau sans lame auquel on aurait retiré le manche. -Tous les concepts abstraits naissent de notre rencontre avec autrui : politesse, justice, science, etc... Dieu ne fait pas exception et n'est donc pas une idée innée. -Le polythéisme est le contraire de l'unité et l'universalité du Dieu auquel tu sembles tenir. Bonjour Quasi Modo. :) Pas si contraire que cela, ce sont des lectures et expressions parasitées des mêmes intuitions. La puissance du soleil peut le faire tenir pour un dieu, or dans le fond, on cherche le même dieu... -La logique concerne des relations entre des objets ou des phénomènes, tandis que le monde est composé d'objets et de phénomènes. Rien ne nous prouve que si nous pensons de façon logique le monde fonctionne de façon logique. -Nous ne connaissons la vérité que pour autant qu'elle se distingue du mensonge ou de l'erreur. Il n'y a pas d'ombre sans lumière et vice-versa. Si la logique est acceptée comme non conforme à la réalité, alors tout est insensé, mais la science prouve que la réalité suit une logique magnifiquement précise et rigoureuse depuis le big bang. -Ex nihilo nihil. Rien ne naît de rien. -Pourquoi un démiurge et non une loi physique? -Le démiurge en question est-il éternel? 'si oui : il aurait créé l'univers depuis une éternité donc l'univers est éternel. 'si non : d'où vient ce démiurge? pourquoi l'apparition spontanée d'un démiurge et non directement de l'univers? Non, selon la mécanique quantique, le vide matriciel peut produire de la matière par fluctuation quantique qui peut émerger du néant par effet tunnel et former notre Univers, j'ai explicité cela supra. La réalité est dans les faits. Les modèles la décrivent et en prévoient l'évolution. Ce sont deux choses distinctes. Au plaisir d'échanger quelques messages. L'énergie, l'espace, le temps, tout n'est qu'information... L'impression d'un Univers visible et sensible est un produit secondaire, la réalité est matricielle. Il n'y a que des informations hautement bien organisées dans le fond...
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C'est d'ailleurs le point central. La réfutabilité n'est possible que si nous acceptons que la stabilité est garantie à l'échelle de notre Univers... Si cette stabilité est perturbée même théoriquement, il devient impossible de réfuter quoi que ce soit, ni son contraire. S'il est par exemple parfaitement probable que la copulation d'un tigre avec une antilope donne une femme humaine, alors la science n'a plus aucn sens, cela signifie en clair que plus rien n'est réfutable, que tout est parfaitement probable. La stabilité des lois infirme donc l'hypothèse de l'infini, et confirme la réfutabilité de façon exponencielle. Tu réfléchis dans ton raisonement comme si cette stabilité était évidente dans l'hypothèse du paradoxe de l'éternité. A l'échelle de l'infini, il ne peut exister aucune loi moyenne, tout et son contraire seron obtenus dans une infinité d'univers.
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Nous tournons en rond lonkori. Je ne dis pas que notre univers respectant parfaitement les probabilités ne serait pas POSSIBLE à l'échelle de l'éternité et de l'infini. Je dis qu'il devient mathématiquement ivraisemblable de se trouver dans ce type d'univers. La probabilité de 1/6 peut très bien valoir à l'échelle de l'infini pour ce type d'univers, mais la probabilité de se trouver dans un univers respectant parfaitement les proportions de probabilités de 1/6 tend vers zéro asymptotiquement. Pour la science, la réfutabilité est anéantie dans cette hypothèse, car la stabilité des événements et lois n'est plus efficiente. Le fait que les lois sont stables témoigne de façon exponencielle de l'unité de l'Univers...
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- La probabilité d'obtenir un 6 dans un nombre limité d'univers est de 1/6 à chaque jet. - La probabilité d'obtenir tous des 6 toute sa vie dans le cas d'un nombre limité d'univers est de 1/(6x6x6x6x... autant de fois que le nombre de jets de dé). - La probabilité de se trouver dans un des univers infinis ou je tombe sur des séries absurdes est infinie. (On pique une infime partie d'une éternité de suites.) - La probabilité de trouver une série respectant parfaitement les suites de 1/6 pendant une éternité sans bifurcation à des échelles infinitésimales de la vie sur Terre tend vers 0 de façon exponencielle. - La probabilité de tomber sur un univers respectant les probabilités totalement sur une vie humaine insignifiante à l'échelle de l'éternité étant infinitésimale, la certitude qu'il n'y a pas une infinité d'univers tend exponenciellement à l'infini.
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Probabilité : Caractère de ce qui est probable. Calcul des probabilités: règles permettant de calculer les chances d'un événement futur. Possibilité : faisable, facile, réalisable, envisageable, éventuel, imaginable, permis, admissible, licite, autorisé, acceptable, convenable, virtuel, contingent. Ce qui est probable est possible, or tout ce qui est possible n'est pas probable. Par exemple il est possible que je meurs avant de terminer ce message, mais c'est très peu probable.
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Les martyrs de la langue française.
Frelser a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Langue française
Je te répondrais "été quoi? Reçu?" :D Deux liens intéressants: http://grammaire.rev...e_jai_ete.shtml http://www.academie-...tions.html#etre Un autre lien, à voir. :) Ok. Reçu. :D