

Madame.
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Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits
Madame. a répondu à un(e) sujet de Hussard Noir dans International
Je dis pas le contraire. Je ne crois pas que l'adulte soit toujours conscient des conséquences que peuvent avoir ses actes. Un adulte peut très bien consentir à un acte sexuel et en garder des séquelles par la suite, pour diverses raisons. C'est d'autant plus vrai pour les enfants qui sont en général en situation d'infériorité, de soumission par rapport à l'adulte. Est-ce que c'est systématique, ça je n'en sais rien. D'autant plus que ce type de relation inégalitaire peut se rencontrer aussi quand on a dépassé les 16 ans. Peut-être qu'avant cet âge, il arrive que des ados soient assez mûrs pour mesurer les conséquences de leurs actes. Ça veut pas dire que je veux qu'on autorise les relations sexuelles entre un adulte et une personne de moins de 16 ans. Sinon, je sais pas s'il faut être tordu pour se poser des questions, faut surtout être capable de ne pas confondre curiosité et prise de position éthique. Oui et ça je ne le remets pas en cause. -
Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits
Madame. a répondu à un(e) sujet de Hussard Noir dans International
Il y a une grosse différence entre affirmer qu'un individu ne peut pas être consentant et dire qu'on ne peut pas prouver son consentement sur le plan juridique. Il me semble que tu te situais dans la première catégorie d'affirmation. Le consentement au niveau de l'animal, c'est tout con. Si c'est lui qui propose l'acte sexuel la réponse est vite trouvée. Mais je trouve bizarre de dire que ça n'a pas de sens de parler de consentement chez les animaux. Les animaux ont des joies et des peines, et quand on sait communiquer avec on peut très facilement le comprendre. Alors concernant l'acte sexuel je ne sais pas comment ça se passe, faudrait que quelqu'un aille brancher un animal et qu'il nous explique s'il a ressenti qu'il était consentant pour baiser avec, et comment il l'a ressenti. Ben... c'est pas un jeu, le sexe ? Concernant les enfants, je pense qu'il peut arriver que certains consentent réellement (c'est-à-dire qu'ils ne consentent pas pour faire plaisir à papa...), après les dégâts que ça peut leur causer psychologiquement, c'est une autre histoire. Ok, désolée. J'avais pas compris ça. -
Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits
Madame. a répondu à un(e) sujet de Hussard Noir dans International
Sur le plan juridique je suis d'accord avec la majorité des personnes sur ce topic, sauf que là je ne parlais pas de ça, Yardas non plus d'ailleurs (à moins qu'il ne se soit pas bien exprimé) puisqu'il affirmait qu'un acte sexuel sur un enfant ou un animal de la part d'un pédophile ou zoophile est un viol, parce que l'un et l'autre ne sont jamais consentants. Dans cette idée, Yardas ne reproche pas aux animaux et aux enfants de ne pas parler ou de ne pas être responsables de leurs actes, il affirme bel et bien qu'ils ne peuvent jamais être consentants. Au sujet de l'amour je sais pas trop, les animaux peuvent avoir des désirs sexuels et de l'affection pour autrui (enfin pas tous, je pense...), mais est-ce que ça peut être dirigé vers un être d'une autre espèce qu'eux, je n'en sais rien. J'ai jamais parlé d'enfants de 4 ans, tu transformes mes propos. En fait c'est vrai j'ai parlé d'enfants en général, sauf que dans cette catégorie y a des petits de 4 ans et des ados de 14. -
Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits
Madame. a répondu à un(e) sujet de Hussard Noir dans International
Non, face à l'affirmation aussi tranchée que Yardas a faite, je ne vois qu'une seule question à poser, c'est bien de savoir comment il peut être aussi sûr de ses propos. Quant à savoir si un enfant ou un animal peut être responsable de ses actes c'est autre chose. Je pense qu'on ne peut pas comparer enfant humain et animal (toutes espèces confondues, jeunes ou vieilles). L'enfant forcément est plus vulnérable que les adultes en général, ne serais-ce que parce que souvent on lui apprend que les adultes ont plus raison que lui et qu'il doit écouter leurs sages décisions. Les animaux cependant ne se sentent pas tous inférieurs aux humains, et quand ils agissent ce n'est pas forcément parce qu'un humain les en a incité. Dans l'exemple que j'ai donné, c'est la femelle bonobo qui invite Pascal Picq à venir copuler pour éviter un potentiel conflit, pas lui qui use d'appâts pour qu'elle écarte les cuisses. Et puis j'y suis pour rien si je te laisse une impression bizarre, le seul sous-entendu à percevoir dans ma question, c'est que je pense que Yardas se trompe, mais je n'ai pas d'avis tranché sur la question. -
Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits
Madame. a répondu à un(e) sujet de Hussard Noir dans International
Déjà, en eux-mêmes la pédophilie et la zoophilie ne violent rien du tout si ces types d'attirances sexuelles ne sont pas assouvis par des actes sexuels. Peux-tu par ailleurs démontrer qu'il n'y a jamais consentement quand un humain ou un adulte fornique avec un non humain ou un enfant ? (Juste au cas où : ce n'est pas de la provocation mais bien une question sérieuse.) -
Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits
Madame. a répondu à un(e) sujet de Hussard Noir dans International
Comment tu sais que ce sont nécessairement des relations basées sur la domination du plus fort ? Peut-être que parfois les chèvres qui se font enfiler par le fermier kiffent ça ? En tout cas, d'après ce que raconte Pascal Picq, il peut arriver que ce soit l'animal qui fasse une invite à l'humain, puisque lui-même aurait dû refuser les avances, tous fers en l'air, d'une femelle bonobo. C'était sans doute une perverse ! Le problème c'est que ça semble quand-même difficile de vérifier si l'animal souffre de la copulation -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
C'est sur que l'humain "occidental" qui vit dans le béton et y a toujours vécu ne saura pas trouver sa nourriture tout seul, à part dans les poubelles ou dans les magasins, mais je te rappelle qu'il existe encore des humains qui savent chasser, trouver les bonnes plantes, etc. Ce que tu ne sembles pas savoir, par ailleurs, c'est que bon nombre d'espèces animales, surtout les mammifères, apprennent à survivre dans leur environnement, notamment les techniques de chasse. Ce qui explique pourquoi, quand on relâche un animal dans un milieu sauvage alors qu'il a toujours vécu en captivité, il ne survit pas. On lui a toujours apporté la bouffe dans la gueule, comme quoi, "l'ingéniosité vient de la nature" si tu veux, mais elle s'apprend et elle vient aussi de la nature chez l'humain, ou alors je sais pas de quoi tu parles. -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
C'est une capacité partagée par d'autres animaux (dans une plus ou moins grande mesure), c'est ainsi que sont recensés des cas de chimpanzés apportant leur secours à un humain en train de se faire attaquer par un groupe de femelles chimpanzés (voir un cas dans Jane Goodall, Ma vie avec les chimpanzés), ou encore un autre chimpanzé sauvant un caneton de la barbarie de jeunes congénères (voir Frans de Waal, L'âge de l'empathie). Pour aller à la rescousse d'un être en danger, il faut bien que l'animal ait pris conscience de ce danger et de la souffrance qu'encourait la victime, et pour cela il faut de l'empathie. Ensuite, pour passer à l'acte de sauver l'être en danger, il faut bien juger qu'il serait bon de le sauver. D'autres chimpanzés, à la place de ces sauveteurs, auraient laissé le drame se produire, ou pire, auraient participé au carnage. Certains individus sont plus doués d'empathie que d'autres, à l'instar des humains, et donc ont une morale "meilleure" que ceux carencés. -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
Comment ça la différence saute aux yeux de ce martien, nous ne savons pas comment est cet extraterrestre, à quels ordres de grandeur il est sensible. S'il perçoit une fourmilière aussi bien qu'une mégapole humaine, qui te dit qu'il ne sera pas autant fasciné par l'un que par l'autre ? Il y a une différence de qualité entre les deux, forcément les méthodes de construction, les technologies, les organisations sociales ne sont pas les mêmes. Et je dirais même que si l'extraterrestre est gigantesque et très différent de nous, humains, alors il pourrait très bien nous percevoir comme nous percevons des fourmis, c'est-à-dire : elles sont petites, leur anatomie est différente de la nôtre, elles semblent n'exister que par et pour le groupe, comme la cellule existe par et pour notre corps. Alors, comment peut-elle avoir une conscience, éprouver des sentiments, ressentir la douleur..? L'extraterrestre qui nous observe, pourquoi penses-tu qu'il ne nous verrait pas comme le chercheur qui observe des bactéries dans des éprouvettes ? Peux-tu expliquer ce que tu entends par : "l homme qui est au final un etre dont la nature reste a déterminé car justement elle ne cesse de se ré-inventer" ? Est-ce que tu veux dire que l'espèce change ? Mais en fait c'est le cas de beaucoup d'espèces animales, la vie ne cesse de changer (mais ça prend beaucoup de temps, enfin c'est relatif à la vision humaine du temps), ça ne veux pas dire que la "nature" change. Je ne vois pas comment la "nature" d'un être peut changer. Qu'entends-tu par nature ? Ah tiens c'est intéressant, tu veux dire qu'il existe des espèces autres qu'humaines qui prolifèrent tellement qu'elles détruisent leur environnement ? C'est un argument à opposer à ceux qui disent que l'humain est le seul être à s'"autodétruire" ! (Y a ce discours dans Matrix, je l'ai regardé y a quelques jours, ça m'a énervée ) -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
Il n'y a certes pas d'institutions rigoureusement établies avec des règles strictes chez les animaux non humains, mais si chez les humains il y a ce genre d'institutions, cela ne signifie pas que la morale des individus change avec ces institutions. En fait, cela dépend de quoi on parle, la morale peut concerner les bonnes manières par exemple et là effectivement elle est basée sur des conventions. Mais quand elle touche à la souffrance, à la douleur, je pense qu'elle ne dépend plus de conventions. Par exemple un violeur sait très bien qu'il fait du mal à sa victime si celle-ci exprime sa souffrance et s'il ne lui manque pas une case, et cela, c'est valable que le viol soit proscrit ou non. Par conséquent je pense que chez les humains aussi il y a une sorte de "morale universelle". L'empathie n'a rien de construit socialement, c'est un mécanisme psychique que les humains partagent avec d'autres animaux. Cette faculté est plus ou moins développée selon les espèces (et selon les individus, bien entendu), par exemple un rat qui entend son congénère souffrir en aura conscience et sera dans un état de stress, mais n'ira pas je crois à la rescousse. Le sens de l'empathie chez les chimpanzés est bien plu développé, ce qui explique que certains tentent d'aider leurs prochains quand ils sont en difficulté. Cela, on le retrouve aussi chez les humains, indépendamment de la culture. Ça ne veut rien dire. Si le naturel n'est pas déterminé il est quoi, alors ? -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
C'est une distinction erronée, le langage tel qu'on l'entend habituellement (système de communication humain exprimé par des sons provoqués par une vibration du larynx, et peut-être d'autres choses mais je m'y connais pas suffisamment) est une forme de communication, et il permet aussi de transmettre des informations "élémentaires". En fait, on parle aussi de "langage" pour le langage des signes des sourds muets. Dans ce cas, la définition du mot "langage" reposerait peut-être plutôt sur le fait que ces systèmes de communication sont assez complexes pour avoir une organisation grammaticale, mais encore une fois rien n'empêche à un tel système d'exprimer une idée simple comme "J'ai faim". Je pense aussi que la distinction que tu fais entre la communication animale et le langage humain est erronée dans la mesure ou les recherches et surtout les trouvailles sur les langages animaux ne sont pas très fournies, cf ci-dessus : les chercheurs ont pu constaté des différences dans les systèmes de communication de cachalots qui correspondent à des groupes, donc on peut dire des cultures différentes, cela dit on ne comprend pas ces communications, on ne peut pas déterminer à quel point elles sont complexes, et peut-être qu'elles le sont tout autant que les systèmes de communication humains. Dans ce cas, pourquoi ne parlerait-on pas de "langage" chez les cachalots ? -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
PAROLES DE CACHALOTS Aujourd'hui, la preuve vient d'être faite que certaines espèces de cétacés peuvent s'exprimer en divers dialectes selon les régions du monde qu'elles habitent. Cette découverte ne manque pas de conforter, bien évidemment, l'hypothèse que ces animaux, tout comme les humains, disposeraient de plusieurs nationalités et de plusieurs cultures s'étendant sur d'immenses territoires marins. Une nouvelle étude canadienne démontre en tous cas que si un cachalot isolé voyage couramment sur de très vastes distances et rencontre à cette occasion d'autres individus de la même espèce mais s'exprimant en un autre dialecte, il ne formera néanmoins de liens sociaux forts qu'avec ceux qui partagent sa propre culture. "Nous avons pris l'habitude de croire que le comportement des animaux non-humains est déterminé par leurs gènes et par les conditions de vie de l'endroit où ils sont nés, et nullement par une quelconque " culture ", rappelle le professeur Hal Whitehead, biologiste à l'Université de Dalhousie. "Ce que nous avons découvert contredit cette idée : les cachalots appartiennent à des "clans vocaux" qui présentent nombre de parallèles avec les groupes linguistiques que l'on trouve chez l'homme " Jusqu'à présent, l'équipe de Hal Whitehead a déjà découvert l'existence d'au moins six groupes distincts : l'un résidant dans les Caraïbes et cinq autres dans le Pacifique sud, les territoires de ces derniers se chevauchant par ailleurs. L'une de ces " nations" semble occuper un espace compris entre l'Est du Pacifique sud et la Nouvelle-Zélande, alors qu'une autre existe seulement aux alentours des îles Tonga. L'équipe de l'Université de Dalhousie navigue dans ces régions du Pacifique sud depuis 1985, enregistrant avec soin les vocalisations des cachalots à l'aide de microphones. L'indice principal prouvant qu'il existe bien différents groupes culturels est le fait que les cachalots parlent de manières distinctes. Les cachalots plongent à des profondeurs impressionnantes afin d'aller chasser le calmar. Puis ils reviennent en surface pour se reposer et socialisent par groupe de deux douzaines d'individus qui bavardent entre eux. Ainsi, les membres d'un clan vivant non loin des îles Galapagos s'expriment verbalement à l'aide d'une longue série de déclics régulièrement espacés. Ceux appartenant à un groupe voisin utilisent une toute autre série de clicks, assortie cette fois d'une petite syncope à la fin de la phrase. Un troisième groupe, enfin, communique à l'aide d'explosions sonores beaucoup plus courtes, et ainsi de suite... Les cétacés parlent entre eux au sein de ces clans. Mais il semble que les groupes qui n'utilisent pas le même dialecte évitent de se mélanger et de socialiser. Peut-on dire que cette étude sur les cultures cétacéennes met à mal notre distinction traditionnelle entre l'animal et l'homme ? "Je le pense" affirme Luc Rendell, un doctorant de l'Université de Dalhousie qui a participé à cette enquête. "Nos résultats suscitent des discussions plutôt chaudes parmi des scientifiques, on s'en doute car nous pensons les cétacés se débrouillent pour survivre essentiellement grâce à leurs acquis culturels. La chose la plus impressionnante est la taille importante de ces entités sociales, de ces clans linguistiques : nous n'en avons sans doute trouvé que cinq sur toute l'étendue du Pacifique Sud mais il faut bien se rendre compte que nous parlons ici de près de 100.000 cétacés, soit une bonne dizaine de milliers d'animaux pour chaque clan" ajoute le chercheur, qui précise "Cela signifie qu'une même culture a été transmise d'une génération à l'autre par des milliers d'animaux vivant à des centaines de kilomètres l'un de l'autre et qui ne se rencontreront peut-être jamais. Dans le même temps, des cachalots utilisant des dialectes différents partagent parfois les mêmes zones du même océan mais n'interagissent jamais ensemble". Les chercheurs sont évidemment très prudents lorsqu'il s'agit de désigner ces différents groups de sons sous le terme "langage ", puisqu'ils ignorent encore s'il existe ou non l'équivalent d'une grammaire ou d'un vocabulaire au sein de ces modes d'expression. Génétiquement, il n'y a aucune différence significative entre ces différents groupes de cachalots. Ceux-ci vivent partout dans les océans, là où se trouvent des failles profondes et les chercheurs qui les observent découvriraient sans doute d'autres groups dialectaux s'ils poursuivaient leur travail sur l'ensemble des océans de la planète, dans l'Océan Atlantique ou dans le Pacifique Nord, notamment. Par ailleurs, certains indices laissent à penser que les cétacés peuvent parfaitement apprendre la culture et les dialectes d'un autre groupe que le leur. Il y a de cela quelques années, des scientifiques ont ainsi pu constater que des baleines à bosse, qui avaient émigré de l'ouest à l'est de l'Australie ont rapidement enseigné aux baleines présentes sur place à chanter d'une nouvelle manière. "Cela a du leur faire l'effet d'une révolution culturelle " conclut Luc Rendell, dont l'étude vient d'être publiée par le journal scientifique anglais"The Proceedings of the Royal Society" http://www.dauphinli...lot.htm#Nations Non effectivement ça me semble compliqué, mais pourquoi fais-tu cette remarque ? Et sur http://www.cetaces.org/thematique/etude-du-cachalot/acoustique/ Trop bien, on peut écouter des bruits de cachalots de méditerranée ! -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
Un signal d'alerte lancé par tel animal peut très bien être reconnu par un individu d'une autre espèce (alors d'une autre "race", je t'en parle même pas, enfin faut voir ce qu'on entend par race ), qui sera alerté à son tour et pourra se mettre sur ses gardes. Certaines espèces ont des langages suffisamment développés pour être différents d'un groupe à un autre. C'est pareil chez les humains, qui peuvent communiquer sur des choses bien plus subtiles que les autres animaux, et encore en fait c'est ce qu'on croit mais on n'en sait rien, on ne sait pas vraiment ce que racontent les cachalots entre eux, bref ils peuvent communiquer sur plein de trucs entre eux mais quand ils ne parlent pas la même langue là ça devient plus compliqué. -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
Ah oui j'avais lu ça aussi à propos d'éléphants capturés qui se suicidaient, je vais essayer de te retrouver ça. À part ça l'instinct maternel je sais pas comment ça fonctionne, ce que je sais cependant c'est que nous, les humains, n'apprenons pas tous les comportements que nous adoptons, certains de ces comportements sont donc instinctifs. Va donc voir ce que j'ai cité à la fin de ce post, ça pourrait t'intéresser. -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
Concernant les baleines je ne sais pas, mais les chiens c'est avéré, les oiseaux qui s'arrachent les plumes c'est assez connu, il y a des animaux qui se laissent mourir oui, ça arrive, j'ai déjà lu ça aussi au sujet de chimpanzés me semble-t-il, mais me demande pas la source, je sais plus d'où ça vient. J'aimerais bien savoir pourquoi selon toi "Les chiens se sont des animaux domestiques donc ce n'est pas tout a fait la même chose qu'un animal que l'on trouve dans la nature." Déjà les animaux domestiques aussi vivent dans la nature (faut voir ce qu'on entend par nature, hein !), d'autre part, ils ont beau être domestiques (donc côtoyer quotidiennement des humains), cela reste des animaux, je pense, non ? -
Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Madame. a répondu à un sujet dans Philosophie
Je sais pas trop de quoi vous parlez donc peut-être que je suis hors sujet, mais pour ceux qui savent pas, certains animaux non humains se suicident. Et puis, l'humain a des "pulsions" (comment ça ?), mais il a aussi un instinct ! C'est fou, hein ? -
Je crois que tu as mal suivi le fil de discussion Zarathoustra, en fait je ne parlais pas des femmes des publicités à ce moment là mais des nudistes !
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Tu as ta raison sauf que visiblement, en faisant ses randonnées nu, le bonhomme milite, puisqu'il est présenté comme un "activiste" dans l'article Wikipedia et que d'après ce dernier il serait lié au groupe "Freedom to be yourself" ("Liberté d'être soi-même", je suppose ?). Voici quelques extraits de l'article que j'ai mis en lien : Traduction approximative (je suis pas trop douée en anglais, mais c'est pour ceux qui sont complètement nuls) : "Le groupe, selon Vincent Bethell, défend 'le droit d'être nu en public' ainsi que le caractère non sexuel de la nudité en public." Idem : "En 2003, TFTBY fut renommé "Stop à la phobie raciste de la peau humaine" parce que selon Vincent : 'elle reflète clairement les préjugés irrationnels qu'il y a à l'encontre du corps humain nu.'" Bon, si tu veux. Mais ce serait quoi, des "habits de lumière" ?
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Je veux pas être désagréable mais tu réfléchis des fois ? Comment serait-il possible de ne pas voir la nudité de quelqu'un quand il est nu ? À moins de ne pas regarder la personne ou de ne pas être au même endroit, je ne vois pas, et puis l'histoire d'Adam et Eve, c'est un mythe, ça n'a pas réellement existé. J'ai pas compris. Ça par contre j'aime ! (Mais je ne connais pas le mot "pudité")
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Désolée moi aussi je suis hautaine quand je veux Mais je persiste, il me semble que tu n'as pas compris ce que je voulais dire : tu comprends que certains puissent trouver un intérêt à faire des randonnées à poils, c'est bien, mais comprends-tu les raisons d'une telle action ? Bon je vais pas dire que moi je comprends les raisons de ce couple puisque je ne connais pas ces gens, mais je comprends ce qui pourrait les motiver, j'y vois une forme de militantisme, puisque le mec passe son temps à se faire arrêter et que malgré tout il continue à se balader à poils. Alors, je me pose la question : "Tiens, mais quel message cet homme qui fait des randos à poils voudrait-il bien faire passer ?", et après je trouve des réponses à ces questions. À partir du moment où tu comprends que ces randonnées nues peuvent être des actes de militantisme, tu as 3 options, selon moi : approuver parce que tu trouves la cause juste, désapprouver parce que tu es hostile à cette cause, être sans opinion parce que le sujet te dépasse ou tu ne le comprends pas. Quelle que soit l'option que tu adoptes, cela ne t'engage ni à faire des randonnées à poils, ni à refuser d'en faire, c'est toujours comme ça d'ailleurs, on n'est jamais tenu de pratiquer des actes que l'on trouve juste ou utiles, enfin je crois pas. Effectivement j'ai peut-être mal compris tes interventions ! Mais je n'en doute pas une seconde.
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Si tu vois pas l'intérêt de quelque chose, quand quelqu'un d'autre peut y trouver un intérêt (ici faire des rando à poils), c'est bien que tu ne comprends pas l'intérêt, non ? Il s'agit pas de trouver ça super cool et tendance, juste de comprendre la démarche ! Et ce ne sont pas tes longs messages qui me gonflent, c'est juste que 50 lignes d'autosatisfaction parce que monsieur a été chatouillé dans son égo, je trouve ça relou, c'est d'autant plus chiant que tu te la pètes à fond alors que presque simultanément tu te montres assez limité en ne comprenant pas le sujet. Mais tu peux continuer à écrire des messages comme ça, après tout ça ne me regarde pas. Décidément ! Mais si y en a, quand quelqu'un est choqué de voir un corps nu, c'est souvent qu'il l'associe au sexe* ! (Ça peut être aussi parce qu'il le trouve laid ou des trucs comme ça) C'est pareil pour des femmes musulmanes ou juives ou d'autres religions aussi sans doute, qui par tradition souvent se cachent les cheveux parce que ce serait un atout de séduction, donc une partie du corps érotisée, qu'il faudrait cacher. Et si ce genre de traditions persistent c'est bien que certaines personnes continuent à voir les cheveux comme sexuels et donc à "voir du sexe là où y en a pas". * Par "sexe", je n'entends pas la partie du corps, pénis ou vagin, mais le mélange des viandes, la corruption des chairs, ou le Malin.
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Comment ça "phénomène de société" ? La nudité c'est plus qu'un phénomène, c'est un état de fait permanent, depuis que l'humain existe, depuis que l'animal existe, la nudité existe. L'intérêt qu'ont certaines personnes à se foutre à poils de temps en temps ? Peut-être qu'elles se sentent mieux comme ça, tout bêtement, qu'avec un tas de linge sur les épaules. Alors bien sûr, dans le tas, il doit bien y en avoir qui se baladent nus pour se rendre intéressants (en général quand on est tout nu parmi une foule de gens habillés on s'attend à se faire remarquer), comme c'est le cas sans doute de ce couple qui fait des randonnées à poils tout en se faisant photographier par des journalistes, mais en général quand on milite et qu'on veut faire passer un message dans les médias on essaye de se faire remarquer, c'est stratégique. Après, je suis peut-être à côté de la plaque, hein ! Elle est chelou ta question Mais je vais y répondre sérieusement quand-même : l'intérêt de regarder des corps nus, c'est qu'ainsi on sait à quoi ça ressemble et que c'est pas toujours aseptisé et standardisé comme dans les magazines porno ou chez certaines personnes qui ne sont pas modèles mais qui sont un peu timbrées quand-même. Ça permet de comprendre que finalement, un corps nu, c'est pas grave, non seulement c'est pas grave, c'est pas du sexe qui fait bander ou mouiller (enfin pas plus que n'importe quoi d'autre), et en plus c'est la nature, c'est comme ça, nous sommes faits de chair et d'os ! Ah oui, au fait, tu disais : Et en quel honneur ? C'est merveilleux tout ça, tu nous fais des tartines de flood sur un sujet que tu captes pas, bon ça m'étonne pas tu captais déjà pas le problème sur le topic sur le topless à la plage, ici c'est un peu le même problème : voir du sexe là où y en n'a pas, ça a des conséquences de merde, en gros. Je reviens au fait que tu captes pas, j'ai rien contre les gens qui captent pas, mais quand on capte pas on tourne sept fois sa langue dans sa bouche avant de dire qu'on est intelligent, et on remballe son amour propre aussi, ou alors on l'écrit en moins de lignes, parce que c'est chiant pour les autres. Et Giorgio Armani, t'oublies !
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Commentaire sur les articles qui causent de l'activiste nudiste : Bon, c'est vrai qu'il y a des règles à respecter, en société. Mais en y pensant sérieusement, je me dis qu'il faut avoir un sacré problème pour condamner un mec pour de telles broutilles, 6 ans en prison en plus ! C'est triste de constater qu'un simple corps humain puisse être considéré comme une agression, sexuelle je suppose ; je comprends alors qu'il puisse exister des gens assez épris de la liberté de faire ce qu'ils veulent de leur corps pour être prêts à faire des kilomètres à pieds à poils. Mais il doit pas toujours faire bien chaud.