Aller au contenu

Holbach2010

Banni
  • Compteur de contenus

    95
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Holbach2010

  1. Dieu n'est qu'un mot qui a la signification conceptuelle au quelle on peut ajouter les qualitatifs désiré et par le biais de la dite révélation faire dire ce que l'on veut. C'est cela que l'on rencontre dans les écrits de l'ancien testament, du nouveau testament, du coran et des autres gourous asiatiques.
  2. Là où nul ne hausse aller ! Unmonde imaginaire, non matériel, infernal où dit spirituelle paradisiaque, nonsubstantielle, qui vie en parallèle où il y a des anges, des séraphins,archanges, des chérubins, des angelots, des démons, un diable force du mal etun dieu ou fils de dieu force du bien, des trinités, des grandes prostituées, desMelchisédech, des livres dit sacrée, des objets sacrés, desfins du mondes, des apocalypses, des révélations divines des êtres surnaturelles ! Des esprits bon et mauvais, qui entent des lieux maudits, dessaints et des saintes, des bons et des mauvais. Et on s’étonne que le mondesoit subjugué par des sectes psychiques pareilles ne pouvez-vous pas voir quece n’est que tromperie ! Que ce n’est que superstition ! Nous sommes de lanature et tout comme elle nous, nous défendons, nous luttons pour vivre et vivrele mieux possible. Mais quelles aberrations que ces mondes créés par l’imaginaire ! Si cela n’est pas prèsde la folie alors dites-moi qu’est-ce que cela est ! Le trouble envahit dumental de la personnalité par des histoires chimériques tirées de mots dont lessignifications conceptuelles ne sont que leurre. L’explicationla plus simple est la suivante l’imaginaire des hommes et des femmes du passeret du présent s’affole devant l’inexpliqué et leurs instincts de survie cherchent une échappatoire àla peur de la mort et au désirent de sens de la vie et certaines personnalités cherchant àen tirer profit allant jusqu’à la mascarade la plus tordu : L’inventionde la foi en une chimère imaginaire. Fedayin Féal. Là où nul ne hausse aller !http://fedayin-feal.skyrock.com/
  3. lien Que tu n'aimes pas ce terme est une chose, mais il est correct de l'utiliser pour désigner la psyché. o-O Quel est le sens de cette remarque, peut-être n'as-tu pas compris ce que j'ai écris. Ou alors c'est une forme d'humour mais je pige pas. Ceci ne s’adresse pas à toi j’ai durespect pour toi et ce n’est pas de la lèche, tu es un être digne d’intérêt, intellectuellement honnête et tu n’es pas mentalement paresseux et je suis d’accord avec toi pour l’esprit mais je préfère un terme qui ne porte pas à confusion ou qui les encourage pas dans cette folie qui a bien assez duré c’est pour moi une nuisance a l’évolution de l’humanité qui nous empêche de voir les choses telles qu’elles sont et par le fait même nous empêche d’aller plus loin! Le terme esprit est pour eux (les religions) une autre façon de tromper! C’est une conception d’une chose imaginaire qui n’existe pas! Elle donne du pouvoir aux trompeurs en impliquant une chose non matérielle et c’est sûr c’est choses qu’ils fabricant un monde imaginaire comme le paradis, l’enfer, les anges, dieu et démons, un monde imaginaire complet fut créé pour servir les religions et les chefs d’États. À bon entendeur salutation!
  4. lien Que tu n'aimes pas ce terme est une chose, mais il est correct de l'utiliser pour désigner la psyché. o-O Quel est le sens de cette remarque, peut-être n'as-tu pas compris ce que j'ai écris. Ou alors c'est une forme d'humour mais je pige pas. Ceci ne s’adresse pas à toi j’ai durespect pour toi :) et ce n’est pas de la lèche, tu es un être digne d’intérêt, intellectuellement honnête :) et tu n’es pas mentalement paresseux et je suis d’accord avec toi pour l’esprit mais je préfère un terme qui ne porte pas à confusion ou qui les encourage pas dans cette folie qui a bien assez duré c’est pour moi une nuisance a l’évolution de l’humanité qui nous empêche de voir les choses telles qu’elles sont et par le fait même nous empêche d’aller plus loin! Le terme esprit est pour eux (les religions) une autre façon de tromper! C’est une conception d’une chose imaginaire qui n’existe pas! Elle donne du pouvoir aux trompeurs en impliquant une chose non matérielle et c’est sûr c’est choses qu’ils fabricant un monde imaginaire comme le paradis, l’enfer, les anges, dieu et démons, un monde imaginaire complet fut créé pour servir les religions et les chefs d’États. À bon entendeur salutation! lien Que tu n'aimes pas ce terme est une chose, mais il est correct de l'utiliser pour désigner la psyché. o-O Quel est le sens de cette remarque, peut-être n'as-tu pas compris ce que j'ai écris. Ou alors c'est une forme d'humour mais je pige pas. Ceci ne s’adresse pas à toi j’ai durespect pour toi :) et ce n’est pas de la lèche, tu es un être digne d’intérêt, intellectuellement honnête :) et tu n’es pas mentalement paresseux et je suis d’accord avec toi pour l’esprit mais je préfère un terme qui ne porte pas à confusion ou qui les encourage pas dans cette folie qui a bien assez duré c’est pour moi une nuisance a l’évolution de l’humanité qui nous empêche de voir les choses telles qu’elles sont et par le fait même nous empêche d’aller plus loin! Le terme esprit est pour eux (les religions) une autre façon de tromper! C’est une conception d’une chose imaginaire qui n’existe pas! Elle donne du pouvoir aux trompeurs en impliquant une chose non matérielle et c’est sûr c’est choses qu’ils fabricant un monde imaginaire comme le paradis, l’enfer, les anges, dieu et démons, un monde imaginaire complet fut créé pour servir les religions et les chefs d’États. À bon entendeur salutation!
  5. Holbach : Définie ce que tu appellesamour et en suite regarde tes actions!
  6. Quelle serait la cause à l'effet que toute cause a un effet... Réfléchissez bien à ceci et donnez-nous vos conclusions... Car si il n'y a pas de cause à cela alors c'est qu'une causse n'aurait pas d'effet ou qu'un effet ne serait causé par rien du tout... Or si il y a une cause produisant cet effet c'est alors que le principe voulant que cette cause produise cet effet existait avant que la cause ne produise cet effet... et que l'effet précède donc la cause. bonjour .le big bang reconnus par presque toute la communautée scientifique serait l ' effet d ' une cause inconnue , ou inexistante comme on la conçoit ou serait à découvrire en dehors de notre univers ? dernierement , un scientifique ou des scientifique proposent une colision entre deux univers d 'une autre dimention enfin, plutot de strades comme les couches successives d ' un milles feuilles ? çe qui , ferait que le déterminisme supréme de base n ' existerait pas dans notre univers et pourtant ,des causes produisent bien des effets , nous en voyont tous les jours ? bonne soirée . Qu’il y est d’autres univers ou pas la causalité existerais et le déterminisme aussi ! Le fait s’il s’avérait juste qu’il y est d’autre univers en parallèle ou pas n’invaliderait pas l’idée du déterminisme. Le mot causale veux justement dire qu’il y a une chose qui a une cause et un effet et cela de façon séparait du mot cause et du mot effet. C’est cette vision qui a étais transmise dans la célèbre phrase : Rien ne se perd rien ne se crée, de Antoine Laurent de Lavoisier, né le 26 août 1743 à Paris et guillotiné le 8 mai 1794 à Paris, est un chimiste, philosophe et économiste français. Il a énoncé la première version de la loi de conservation de la matière, identifié et baptisé l'oxygène (1778), démis la théorie phlogistique, et participé à la réforme de la nomenclature chimique. Il est souvent fait référence à Lavoisier en tant que père de la chimie moderne. La maxime « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » attribuée à Lavoisier, est simplement la reformulation d'une phrase d'Anaxagore de Clazomènes : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ». Dans son Traité élémentaire de chimie de 1789, Lavoisier parle de la matière en ces termes : « On voit que, pour arriver à la solution de ces deux questions, il fallait d'abord bien connaître l'analyse et la nature du corps susceptible de fermenter, et les produits de la fermentation ; car rien ne se crée, ni dans les opérations de l'art, ni dans celles de la nature, et l'on peut poser en principe que, dans toute opération, il y a une égale quantité de matière avant et après l'opération ; que la qualité et la quantité des principes est la même, et qu'il n'y a que des changements, des modifications. »[5] (à noter que pour Lavoisier, la « quantité de matière » signifiait le poids ou la masse ; de nos jours la quantité de matière est plutôt le nombre de moles, et il faut dire qu'il y a une masse égale avant et après l'opération). Ou encore dans celle si : Anaxagore de Clazomènes : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ».
  7. Qui sait... peut-être existe-t-il un équivalent de la décohérence quantique permettant d'expliquer cette transition, un genre d'effondrement déterministe. Mais l'effondrement du determinisme ne remet-elle pas en question les résultats scientifiques? Tu as la raison tu es donc un être raisonnable! Mais si le déterminisme est une simple illusion alors pourquoi dans presque tous les domaines de la vie il rend possible le travail des gens en général et des scientifiques en particulier ? Mais l'effondrement du déterminisme ne remet-elle pas en question les résultats scientifiques? La causalité est effectivement nécessaire à la logique elle est non seulement nécessaire mais indispensable à la logique le déterminisme causal est le premier principe de l’intelligibilité naturelle.
  8. Parce que c'est une illusion de croire que c'est le déterminisme qui fait ça. La causalité est nécessaire, mais elle n'a pas besoin d'etre partout : pour vivre, il faut effectivement que certaines choses soit prévisibles; mais tout n'a pas besoin de l'être. Quant à ce qui concerne spécifiquement les scientifiques, l'Univers n'a pas besoin d'être déterministe pour être intelligible. La causalité est effectivement nécessaire à la logique elle est non seulement nécessaire mais indispensable à la logique le déterminisme causal est le premier principe de l’intelligibilité naturelle.
  9. Nous avons ici affaire à une vidéo promotionnelle pour ne pas dire de propagandes pour la religion et la religion islamiste en particulier nous pouvons sentir la peur dans leur approche de prédateur et la déformation dans leur propos encore et toujours or du réel! Nous avons ici affaire à un environnement particulier et différentiel Pour Stephen Hawking, Dieu n'a finalement pas créé l'univers. Et pour (Albert Einstein / 1879-1955 / Comment je vois le monde / 1934) "Je ne peux pas imaginer un Dieu qui récompense et punit l'objet de sa création. D’après Lavoisier « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. », c'est le premier principe de la thermodynamique. La maxime « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » est injustement attribuée à Lavoisier. Celle-ci est d’Anaxagore de Clazomènes; le thème est l'énergie. Toute science a une base axiomatique non démontrable, même si certaines "percées" théoriques peuvent modifier cette base axiomatique. Il ne faut pas confondre les axiomes mathématiques qui sont vrais par essence dès lors qu'ils ne sont pas contradictoires et l'axiomatisation de la physique qui n'est qu'une couche d'abstraction de très haut niveau. Sans entrer les détails c'est quand on comprend les choses par accumulation de résultats expérimentaux (parfois par des expériences singulières particulièrement révélatrices) que l'on résume l'ensemble par un niveau d'abstraction plus ou moins élevé. Le niveau le plus élevé d'abstraction rejoint la formalisation axiomatique des mathématiciens. Ainsi le principe de Lavoisier exprime une abstraction sur l'ensemble des réactions chimiques par la conservation du nombre des espèces chimiques. Le principe de conservation de l'énergie est une abstraction d'un niveau supérieur qui touche la physique au sens le plus large (en intégrant la chimie, la biologie etc..). Le summum de l'abstraction est la formalisation de la MQ qui apparait comme une axiomatique telle que les mathématiciens aiment (et pour cause certains ont participé tel le mathématicien Von Neumann). Cela étant dit, cette axiomatisation n'est qu'un très haut niveau d'abstraction d'une collection de résultats expérimentaux.
  10. Parce que c'est une illusion de croire que c'est le déterminisme qui fait ça. La causalité est nécessaire, mais elle n'a pas besoin d'etre partout : pour vivre, il faut effectivement que certaines choses soit prévisibles; mais tout n'a pas besoin de l'être. Quant à ce qui concerne spécifiquement les scientifiques, l'Univers n'a pas besoin d'être déterministe pour être intelligible. Holbach : Quand tu résonnes ainsi tu résonnes par quoi? Par ce qui est déjà ! C’est ce qui est déjà qui détermine la suite de ton résonnement invalide ça maintenant de façon intelligiblement et sans faux-fuyants, merci a !
  11. Encore une non-réponse de ce cher Wipe... mais peut-être devrait-on dire Wipe le troll... Et une autre non-réponse de ce cher Wipe le troll... Et que pense tu de cela! Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp: Prendre pour réel une simple idée qui n’a d’autre fondement que l’imaginaire tire sa logique du mythe : Lou garou, fée, lapin de pâque, père Noel, etc. Arrêté l’es il répande il répandant la folie comme une contagion. Encore une non-réponse de ce cher Wipe... mais peut-être devrait-on dire Wipe le troll... Et une autre non-réponse de ce cher Wipe le troll... Et que pense tu de cela! Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp: Prendre pour réel une simple idée qui n’a d’autre fondement que l’imaginaire tire sa logique du mythe : Lou garou, fée, lapin de pâque, père Noel, etc. Arrêté l’es il répande il répandant la folie comme une contagion. Dite lui qu'il est libre! Qu'il est responsable, que cela est de sa faute. Qu’il est un pêcheur! S'il n'y a pas la volonté, n'y le déterminisme conscient, n'y l'intérêt réciproque, n'y les moyens, n'y la foi en ce qui a étais donné a l'homme de faire. Ne perdez pas votre temps et votre énergie dans le déterminisme inconscient, Car l'a est l'aspect végétatif du sous homme ou de la sous femme dont la fin est écrite des le commencement! Ils sont des morts en sourcil. Fedayin Féal
  12. Alors dit lui: Dite lui qu'il est libre! Qu'il est responsable, que cela est de sa faute. Qu’il est un pêcheur!
  13. Déterminisme. - On appelle déterminisme la doctrine qui soutient que toutes les actions des humains sont déterminées par leurs états antérieurs sans que sa volonté puisse changer quoi que ce soit à cette détermination. Les humains, dans ce système, n'ont donc pas de libre arbitre et, s'ils croit le posséder, ils n'en possède que l'apparence. On peut donner deux raisons principales du déterminisme : par l'une, on déclare a priori que toutes les actions humaines doivent être déterminées par les phénomènes antérieurs, en vertu du principe de causalité; par l'autre, on soutient que le libre arbitre ne peut pas être expérimenté, que l'expérience ne donne que des phénomènes qui se succèdent dans un ordre invariable et, par suite, que le déterminisme est le seul système qui s'accorde avec l'expérience. Le déterminisme peut être abordé sous un angle moral et religieux. Le poser alors comme hypothèse est une des formes du fatalisme , et, par le fait, c'est même la plus commune. Son caractère propre est d'arriver à la négation de la liberté, soit dans l'humain, soit même en Dieu, par la détermination absolue des causes qui meuvent l'univers. Ainsi, le déterminisme le plus complet est celui que suppose toute métaphysique panthéiste ( Dans ce système, la liberté des humains et la Providence ne peuvent subsister que par une inconséquence : la véritable loi et le véritable Dieu des Stoïciens, c'est la nécessité, le Destin . Le fatalisme est aussi dans la doctrine Épicurienne , où tout résulte du concours fortuit des atomes, du hasard, c.-à-d. de l'indétermination la plus complète. La plupart des mythologies anciennes, orientales et grecque, sont fatalistes dans le même sens que le Stoïcisme. L' Islam est considéré comme une religion hautement déterministe. Les conceptions déterminites ont également trouvé une expression dans le Christianisme , bien qu'elles aient été réfutées par les Catholiques qui ont condamné le prédestinatiens, calvinistes, jansénistes, etc., pour motif que refusant à la liberté humaine toute intervention dans l'oeuvre du salut, ont transformé la grâce en prédestination absolue. (B-E.). Quoi qu'il en soit, qu'on doive ou qu'on ne doive pas soumettre toutes les actions humaines au déterminisme, il n'en est pas moins vrai que le déterminisme est le postulat de toutes les sciences de la nature. Ce qu'on appelle loi, c.-à-d. le rapport invariable entre deux phénomènes, ne peut, en effet, être recherché que si l'on croit que tout phénomène est invariablement suivi et invariablement précédé des autres phénomènes. Or, c'est justement là la formule du déterminisme. Mais les sciences de la nature n'ont pas d'autre objet que la recherche des lois; il s'ensuit bien qu'elles sont toutes basées sur le déterminisme. C'est aussi ce que reconnaissait avec Aristote l'ancienne métaphysique lorsqu'elle donnait à la physique pour but la recherche de l'enchaînement des causes secondes et qu'elle disait que les causes secondes étaient univoques, c. -à-d. que les mêmes causes produisaient toujours les mêmes effets. En outre du déterminisme d'après lequel les phénomènes conséquents sont déterminés par leurs antécédents , et les ensembles sont déterminés par leurs parties, qui est le déterminisme mécaniste, Claude Bernard ( Leçons sur les phénomènes de la vie ) a proposé que, pour expliquer les organismes vivants, il faille faire appel à une autre sorte de déterminisme où les ensembles expliquent les parties et où les conséquents déterminent les antécédents. Ce déterminisme nouveau, que Claude Bernard appelle un déterminisme supérieur, peut aussi s'appeler un déterminisme finaliste.
  14. Non, pas un ensemble tout court : un ensemble qui constitue un être. Tout ce qui n'est pas moi, c'est un ensemble, mais ce n'est pas une entité, parce que ça ne constitue pas UN seul être. C'est clair comme ça ? Tu saisis enfin la nuance ? Une négation n'est pas une réponse, c'est nouveau ça... J'ai déjà donné des arguments dans le post précédent. Est ce que tu sais lire ? J'ai regardé, il y a rien a trouver (la preuve : des millénaires de recherche, et aucun croyant ne peut dire quel est le but de l'Univers). Hého le troll, tu te calmes, j'ai dit que j'y ai réfléchi à ton hypothèse, et qu'elle est stérile. C'est pas nouveau, Laplace expliquait déjà la même chose à Napoléon. Et des avortons mentaux dans ton genre qui pensent avoir des réponses alors qu'ils n'ont que des préjugés sont bien des exemples de la stérilité de la chose. Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp: Prendre pour réel une simple idée qui n’a d’autre fondement que l’imaginaire tire sa logique du mythe : Lou garou, fée, lapin de pâque, père Noel, etc. Arrêté l’es il répande il répandant la folie comme une contagion. Dite lui qu’il est libre! a) Etat de la question. ? 1) Aspects psychologique, moral, métaphysique du problème de la liberté ; 2) distinction entre fatalisme et déterminisme ; 3) ambiguïté des preuves de la liberté : par exemple, Kant et la troisième antinomie; Bergson : « toute démonstration de la liberté donne raison au déterminisme » (thèse apparemment inverse de celle que l'on doit analyser). b) Point de vue de la thèse à examiner. ? 1) Il n'est question que de la liberté de l'homme ; 2) liberté s'oppose ici à servitude, ce qui évoque des harmoniques d'ordre moral autant et plus que d'ordre psychologique : rapprochement avec les grandes doctrines morales telles que le stoïcisme et surtout le spinozisme; 3) intention de prouver indirectement la liberté en démontrant l'échec de l'intention adverse et le parti que l'on peut tirer de cet échec pour l'affirmation de la liberté. c) Intention et attitude de quiconque prétend établir la servitude de l'homme. ? 1) La servitude est la situation d'un homme qui est ou se sent écrasé par des forces contre lesquelles il ne peut rien. L'esclave se révolte un moment, puis il se résigne à son état et fiait par le trouver « naturel » (Voir Rousseau, Contrat social : l'esclave perd tout dans l'esclavage, « jusqu'au désir d'en sortir ») ; 2) pour prouver la servitude de l'homme, il suffira donc d'énumérer « les forces qui pèsent sur lui » : lois physiques, lois juridiques, tempérament, habitude, etc. d) Critique de cette attitude. ? 1) Si l'argumentation de l'adversaire delà liberté a une valeur, celle-ci tient tout entière à l'exactitude et à la précision des analyses où il décrit les différentes formes de la nécessité et explique comment ces forces entravent la libre activité de l'homme ; en d'autres termes, pour prouver la servitude de l'homme, il faut faire oeuvre scientifique ; 2) l'adversaire de la liberté offre ainsi à celui qu'il déclare esclave un moyen de libération, car la connaissance de la nécessité est déjà par elle-même liberté (voir l'Éthique de Spinoza) ; 3) de plus, la connaissance des déterminismes procure à l'homme la possibilité de commander à la nature : il lui suffit de mettre en oeuvre des déterminismes pour se libérer d'autres déterminismes ; il n'y a d'ailleurs d'action humaine efficace qu'à cette condition (c'est la leçon que l'on peut tirer du succès de la science et de ses applications) ; 4) on doit donc prévoir que plus sera rigoureuse l'argumentation déterministe, plus les chances de liberté s'accroîtront. e) D'où vient l'erreur de l'adversaire de la liberté ?<BR style="CLEAR: both" _mce_style="clear: both;"> Dite lui qu'il est libre! Qu'il est responsable, que cela est de sa faute. Qu’il est un pêcheur!
  15. Non, pas un ensemble tout court : un ensemble qui constitue un être. Tout ce qui n'est pas moi, c'est un ensemble, mais ce n'est pas une entité, parce que ça ne constitue pas UN seul être. C'est clair comme ça ? Tu saisis enfin la nuance ? Une négation n'est pas une réponse, c'est nouveau ça... J'ai déjà donné des arguments dans le post précédent. Est ce que tu sais lire ? J'ai regardé, il y a rien a trouver (la preuve : des millénaires de recherche, et aucun croyant ne peut dire quel est le but de l'Univers). Hého le troll, tu te calmes, j'ai dit que j'y ai réfléchi à ton hypothèse, et qu'elle est stérile. C'est pas nouveau, Laplace expliquait déjà la même chose à Napoléon. Et des avortons mentaux dans ton genre qui pensent avoir des réponses alors qu'ils n'ont que des préjugés sont bien des exemples de la stérilité de la chose. Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp: Prendre pour réel une simple idée qui n’a d’autre fondement que l’imaginaire tire sa logique du mythe : Lou garou, fée, lapin de pâque, père Noel, etc. Arrêté l’es il répande il répandant la folie comme une contagion.
  16. Non, pas un ensemble tout court : un ensemble qui constitue un être. Tout ce qui n'est pas moi, c'est un ensemble, mais ce n'est pas une entité, parce que ça ne constitue pas UN seul être. C'est clair comme ça ? Tu saisis enfin la nuance ? Une négation n'est pas une réponse, c'est nouveau ça... J'ai déjà donné des arguments dans le post précédent. Est ce que tu sais lire ? J'ai regardé, il y a rien a trouver (la preuve : des millénaires de recherche, et aucun croyant ne peut dire quel est le but de l'Univers). Hého le troll, tu te calmes, j'ai dit que j'y ai réfléchi à ton hypothèse, et qu'elle est stérile. C'est pas nouveau, Laplace expliquait déjà la même chose à Napoléon. Et des avortons mentaux dans ton genre qui pensent avoir des réponses alors qu'ils n'ont que des préjugés sont bien des exemples de la stérilité de la chose. Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp:
  17. Alors dit-nous qu’esse que dieu selon toi ? 1- Alors dit-nous qu’esse que dieu selon toi ? 2- Quelle son ses caractéristiques ?
  18. Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme. Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme... Si je voulais parler de laïcité alors oui... mais celui qui ne sait pas et qui est ignorant ne peut être qualifier d'athée par défaut... encore lui faut-il nier que Dieu existe au minimum... vous ne pouvez nier ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence... En autant que vous niez l'existence de Dieu alors vous êtes athée même sans le savoir... mais si vous ne le nier pas alors vous êtes tout aussi croyant sans le savoir. Mais n'oubliez pas que l'on ne parlait que du fait d'avoir plus ou moins d'imagination et du fait que la théorisation en demanderait plus que la pratique selon vous... pour le reste ça n'a aucun rapport. Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination... On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité. Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre. Ceci dit par l'athée qui a pris la peine d'apporter son athéisme jusque dans ce débat qu'il qualifie lui-même d'oiseux... Mais il n'est nul besoin de faire l'économie ou non de Dieu pour vivre... on peut même faire l'économie de la morale, de l'amour et de plein d'autres trucs... mais il y aura toujours ceux qui cherchent à donner un sens à leur vie et ceux qui n'en ressentent pas le besoin... ceux qui sans même le savoir affirmeraient que la vie n'a pas de sens par exemple. Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé. Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme... Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas.... Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple. Et votre manière de vous exprimez me faisant dire que vous n'en avez rien à foutre alors ne m'en veuillez pas si je ne me répète pas plus que je le jugerais nécessaire... Peut-être que vous devriez réfléchir un peu plus plutôt que de fantasmer sur mes propres attributs , étrangement pour ma part je vous imaginais avec un doigt dans la narine #2 ... ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté. Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent... Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté. Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. C'est uniquement une question de perception... en fait je suis l'effet dont vous êtes la cause. Une simple question de principe dont il ne faut même pas s'attarder à trouver un sens quelconque selon vous... alors pourquoi en chercheriez-vous un, ne faites qu'étudiez la cause et vous pourrez alors peut-être comprendre l'effet qui en résulte. Le mouvement perpétuel Le mouvement perpétuel est à la basse de la causalité et a la basse du circonstancielle et de la sélection naturelle et la célection naturelle est à la basse des intérêts divergents de par les beusoins et les désires en inter actions, il y a donc par nécessité conflit d'intérêt par endroit et réciprocité d'intérêt par autre endroits. ce qui crée le déterminisme c'est l'interaction causal du à la nature des choses et de se que l'on a l'habitude d'appeler des êtres. Le racisme, le sexisme, et les politiques diverses tous conflie d'intérêt, ect... ne sont que l'expression de la nature! Quand on à comprit cela ont ne se demandes plus si Dieu existe. http://fedayin-feal.skyrock.com/ Déterminisme Déterminisme Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité. Sommaire Définition Le déterminisme est la théorie selon laquelle la succession des événements et des phénomènes est due au principe de causalité, ce lien pouvant parfois être décrit par une loi physico-mathématique qui fonde alors le caractère prédictif de ces derniers. Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science. La distinction pourra sembler subtile, mais ce qui démarque fondamentalement le déterminisme du nécessitarisme, c'est que la nécessité déterministe n'est pas une nécessité philosophique ou spéculative, mais une nécessité calculable en fait, en droit ou, du moins, en hypothèse. On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. Est régional le déterminisme qui gouverne un nombre fini d'éléments (le système boulet/obus est déterministe en ce sens : une fois donnés la force propulsive de la poudre, l'angle du canon par rapport à l'horizontale, la masse du boulet et la résistance de l'air, on peut calculer avec une très grande précision la forme et la durée de la trajectoire ainsi que, par conséquent, le point d'impact). Le déterminisme universel, parfois qualifié de « déterminisme laplacien », est problématique : peut-on considérer l'univers dans sa totalité comme un système déterministe ? Le déterminisme régional semble a priori moins problématique (de nombreux systèmes obéissent apparemment à des lois qui les rendent nécessaires). L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach : « Dans un tourbillon de poussière qu'élève un vent impétueux ; quel qu'il paraisse à nos yeux, dans la plus affreuse tempête excitée par des vents opposés qui soulèvent les flots, il n'y a pas une seule molécule de poussière ou d'eau qui soit placée au hasard, qui n'ait sa cause suffisante pour occuper le lieu où elle se trouve, et qui n'agisse rigoureusement de la manière dont elle doit agir. Un géomètre qui connaîtrait exactement les différentes forces qui agissent dans les deux cas, et les propriétés des molécules qui sont mues, démontrerait que, d'après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu'elle ne fait. » — Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur : « Nous devons envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre, dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence. Ses découvertes en mécanique et en géométrie, jointes à celles de la pesanteur universelle, l'ont mis à portée de comprendre dans les mêmes expressions analytiques les états passés et futurs du système du monde. En appliquant la même méthode à quelques autres objets de ses connaissances, il est parvenu à ramener à des lois générales les phénomènes observés, et à prévoir ceux que les circonstances données doivent faire éclore. » — Pierre-Simon Laplace, Essai philosophique sur les probabilités (1814) En vertu du déterminisme universel, l'intelligence qui connaîtrait avec une absolue précision la position et l'énergie de tout objet dans la position initiale pourrait calculer l'évolution de l'univers à tout moment du temps. Déterminisme est dans ce cas synonyme de prédictibilité. Cependant, il existe des systèmes déterministes non prédictibles comme un ordinateur exécutant un programme. Le déterminisme social est le modèle sociologique qui établit la primauté de la société sur l'individu. Théorie de la calculabilité Article détaillé : Déterminisme (Calculabilité). Le déterminisme comme notion mathématique vit le jour avec la formalisation des mathématiques à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle et devint une notion centrale de la calculabilité avec l'apparition de la théorie des automates au milieu du XXe siècle. L'apparition de l'informatique quantique à la fin du XXe siècle et celle de la conception forte de la thèse de Church-Turing, baptisée thèse de Church–Turing–Deutsch, permet de concevoir une synthèse entre le déterminisme calculatoire et le déterminisme physique promus par l'école de la physique numérique dont la proposition « it from bit » est devenu l'emblème. Limites L'hypothèse du déterminisme universel a gouverné la science du XIXe siècle. Elle a été remise en cause par la physique moderne au XXe siècle : par la physique quantique, et plus précisément, par le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg (1927), qui implique l'impossibilité de connaître avec une infinie précision la position et la vitesse d'une particule, contrairement aux données requises par le « génie » de Laplace ; on ne peut les connaître qu'à l'aide d'une fonction de probabilité. Cependant, le déterminisme ne disparaît pas totalement en physique quantique, puisque ces probabilités peuvent être calculées exactement à partir de l'état initial du système considéré selon des lois rigoureusement déterministes (par exemple, l'équation de Schrödinger en mécanique quantique non relativiste).Toutefois, contrairement à l'hypothèse du déterminisme classique, le principe d'incertitude semble impliquer que l'Univers obéit au libre jeu du hasard et de la nécessité. Albert Einstein affirma à ce sujet : « Dieu ne joue pas aux dés », ce à quoi Niels Bohr répondit : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire ! » (selon d'autres : « Comment savoir à quoi Dieu joue ? »). Mais la physique quantique n'invaliderait que le déterminisme universel : le déterminisme régional reste un principe d'explication physique incontournable pour nombre de phénomènes.Le principe d'incertitude d'Heisenberg n'invalide pas (à lui seul) le déterminisme universel. En effet: une intelligence intérieure à l'univers ne sera probablement jamais en mesure de connaître exactement l'état de l'univers entier à un instant donné, mais cela n'invalide en rien la théorie du déterminisme universel, puisque la possibilité de connaître l'état de l'univers n'est ni un prérequis ni une conséquence nécessaire du déterminisme universel. La physique quantique est un modèle empirique et statistique qui décrit le comportement des particules et des rayonnements sans rien dire de leur nature intrinsèque. par la théorie du chaos, qui décrit dans quelles conditions un système peut sembler non « prédictible » (voire est non prédictible au sens de Poincaré, von Neumann et Lorenz).Le déterminisme est lié au principe de causalité (les mêmes causes produisent les mêmes effets) ; la théorie du chaos précise que des causes pseudo-identiques peuvent dans certains cas produire des effets totalement divergents et en ce sens, s'écarte du principe de causalité. Tel est le cas des prévisions météorologiques et du phénomène de « l'aile de papillon ». Le principe d'incertitude d'Heisenberg et la théorie du chaos remettent en cause la prédictibilité de certains systèmes, et non pas leur caractère déterministe. Ils ne contredisent en aucun sens le principe de causalité. Par contre ils réduisent considérablement la possibilité de confirmer l'hypothèse du déterminisme, en rendant inaccessibles à l'expérience certaines validations. En tout état de cause, le déterminisme universel n'est qu'une hypothèse. La démonstration de cette hypothèse nécessiterait en particulier d'être en mesure de prédire l'évolution de l'univers avec une absolue précision, ce qui n'est toujours pas concevable aujourd'hui, en particulier du fait du caractère non mesurable d'un certain nombre de phénomènes. D'autre part, le principe de causalité lié au déterminisme suppose l'identité des causes, ce qui n'est possible, en toute rigueur, que dans certains cas, comme une modélisation mathématique, et non en physique où l'on ne peut parler que de causes semblables (ou pseudo-identiques), ce qui suffit pour les constructeurs et l'industrie en général, mais non pour les phénomènes fortement sensibles aux conditions initiales (voir en particulier les cas mis en évidence par la théorie dite du chaos). Le déterminisme ne doit pas être confondu avec l'idée de prédestination des jansénistes ou de Blaise Pascal, qui est une idée purement théologique, concernant d'ailleurs moins la série des événements que le salut ou la réprobation de l'âme après la mort. Psychanalyse La psychanalyse repose sur l'affirmation d'un déterminisme inconscient absolu et a priori de la vie psychique. Selon Sigmund Freud, ce déterminisme psychique, tel qu'il le conçoit, exclut toute forme de hasard et de non-sens (Freud récuse formellement tout "hasard intérieur" et affirme que seul le superstitieux croît au hasard intérieur). Pour la plupart des critiques de son oeuvre, et étant donné sa nature même, cette affirmation ne devrait pas être considérée comme ce qui fut présenté par Freud, comme une "hypothèse", (Georges Politzer), mais bien comme un dogme a priori. Freud en donne de multiples illustrations dans toute son oeuvre, et particulièrement dans "Psychopathologie de la vie quotidienne" où il affirme que tous les mots et les nombres sont parfaitement déterminés pour des raisons qui échappent à la conscience. On trouve également des prises de positions explicites sur les options déterministes de Freud dans sa troisième leçon sur la psychanalyse. Selon de nombreux critiques de la psychanalyse, comme Jacques Bouveresse, Freud n'aurait pu imaginer investiguer les "associations libres" de ses patients, s'il n'avait posé, a priori, l'affirmation d'un déterminisme psychique qui lui semblait assez complet (absolu) pour le faire. Le secret des initiés La réponse au questionnement existantielle est dans la nature de l'éternel changement et de la constitution humaine ou autres qui l'observe et en est issu! La causalité menent au déterminisme est cela même dans le domaine de la pensée et des sentiments où et des émotions, chacun agissent celons sa constitution en rapport avec l'interaction avec son environnement. Le Très-Haut prophète du déterminisme en assure la garde et la garanti vient du déterminisme lui-même ce qui est pré-ordonner n'a pas d'échec possible. C'est les actions, les actes, les faits, les cosses et les effets qui témoignent de se qui est, non les paroles qui peuvent aussi bien être vrais que fausse. Qui sais se q'un être humain a dans ses dessins ? Les actions témoignent de la volonté! La volonté des être humains, comme celle des autres espèces est mue par des impératifs vitaux, des besoins naturelles, des désirs, mais elle est aussi mue par les informations, la connaissance, le savoir, et l'ajustement correcte ou non correcte; conforme aux réel, donc a ce qui est! Changer aise vivre ou mourir ? C'est la triste mais réel vérité celle que nus ne veux entendre et pour temps! C'est la seul vérité qui conduit peut-être a la survie éternelle et au bonheur humain. Je me suis posée cette question après bien d'autres; Changer aise vivre ou mourir ? Nous venons au monde et déjà nous commençons a mourir. Nous changeons jours après jours, d'instant en instant. Par ce que ainsi est la nature de l'univers, une succession de causalité un changement perpétuelle! Nous somme réel par ce que l'univers est réel, nous somme ce que nous somme, par ce que l'univers est ce quelle est! Dans la grande ordonnance de l'univers nous somme n'y bon, n'y mauvais. Nous agissons selon notre nature et conformément au circonstances! Le lion n'est pas plus mauvais que l'aigle, la brebis meilleure que le sers. Si nous désirons survivre alors nous devons réellement changé! Non seulement mentalement, mais physiquement! Notre vie prendras seulement un sens quand nous rechercherons a être éternelle, a vivre en harmonie, a atteindre le bonheur et a entamais la recherche du réel au-delà de notre compréhension actuelle et de nos limites présentes. Ce qui donne un ou des sens a la vie c'est le ou les buts que l'ont cherche a atteindre. Et c'est buts n'aurais aucun sens si la seul alternative étais la mort- la fin de notre être. Cars après la mort le néant suis ! Et ce néant est la fin et la fin rend inutile le sens même de la vie. La vie qui est changement, transformation, évolution! Il faut abandonné les superstitions, les croyances, la fausseté et l'erreur. Il faut comprendre que les concepts philosophiqaux- religieux sons des leurres issu de l'imaginaire subjectif. Au-delà du sens quotidien de notre vie, il est recelé un but ultime, suprême et même absolu. Celui d'être! Se que nous somme n'est jamais aussi importent que se que nous devenons jour après jours. Après tout ce que nous désirons être est plus importent que se que nous somme! Le désir, les bons désirs la bonne volonté est le fondement même de notre être, et non les besoins qui ne sont que l'aspect négatif de nos nombreuses limitations. Aspect négatif par ce qu'il nous empêchent d'atteindre au changement perpétuelle celle même de la nature de l'univers et par le fait même de la notre. Il semble que l'univers par la causalité et sons déterminisme est engendré des êtres qui dans leur réalité ont non seulement le potentielle de changé leur environnement mais aussi de se changé eux même ! La question est la suivante qu'est ce qui doit être changé ? Et qu'est ce qui doit être gardé ? Quand je dit que notre nature actuelle n'est pas bonne et que la nature actuelle n'est pas bonne! J'entend par la quelle ne nous sers pas bien n'y individuellement n'y collectivement! Et non quelle est mauvaise pluise quelle ne fait que répondre a sa propre nature n'y bien, n'y mal. Malgré cela elle nous fait courir droit au désastre, a la confrontation, a la concurrence créent de plus en plus de pression pour la survie et de moins en moins d'agrément pour la vie par la loi de la sélection naturelle. Notre Dieu (L'inconnue), Notre religion : (Nos idéaux), l'harmonie, la symbiose, l'osmose, l'homéostasie contrôlé, la vie éternelle et la recherche perpétuelle de la réalité globale Dieu. La science, la connaissance, le savoir (notre planche de salut), pour atteindre l'inconnue; Dieu. S'il n'y a pas la volonté, n'y le déterminisme conscient, n'y l'intérêt réciproque, n'y les moyens, n'y la foi en ce qui a étais donné a l'homme de faire. Ne perdez pas votre temps et votre énergie dans le déterminisme inconscient, Car l'a est l'aspect végétatif du sous homme ou de la sous femme dont la fin est écrite des le commencement! Ils sont des morts en sourcil. Que vos idéaux soit éternelle. Que votre volonté soit éternelle. Que votre déterminisme conscient soit progressiste et donc éternelle DE MEME QUE L’ENTROPIE EST UNE MESURE DE DESORGANISATION, L’INFORMATION FOURNIE PAR UNE SERIE DE MESSAGES EST UNE MESURE D’ORGANISATION OU DE DESORGANISATION. Dans la vie de tous les jours les croyants se fient à leur savoir pour faire des choix! Quelle hypocrisie ou ignorance quand ont les vois traverser le ru ou diriger leur vie en se servent de leur savoir et non de leur croyance! L'HUMANITÉ TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EN EST QU’AU STADE OÙ ELLE DOIT SE LIBÉRÉ DES ABERRATIONS RELIGIEUSE ET FRANCHIR LE PAS VERS L’ÉVOLUTION D’UN MENTAL VIVENT DANS LE RÉEL POUR ATTEINDRE À L’ÉMANCIPATION DU CONTRÔLE DE SON PROPRE POTENTIELLE PHASE PROGRESSIVE DE L’ÉVOLUTION. IL N’Y A PAS D’AUTRE THEORIES QUI RENDANT COMPTE DE TOUS LES FAITS EN LES LIENS LES UNS AUX AUTRES DE FAÇON A AJUSTE LES MORCEAUX D’UN IMMENSE (CASSE-TETE), (PUZZLE), CASSE-TETE, SYNONYME (DEBRIS-CERVEAU) Le (déterminisme), la causalité, la sélection naturelle, rivalités, concurrences est l’origine de tous les problèmes de métaphysique, des questions existentielles et de compréhension du réel. Nous savons que ce qui porte préjudice à la symbiose entre les êtres est la (sélection naturelle) et que la sélection naturelle est due au (mouvement du changement perpétuelle) du a la causalité et au déterminisme qui en est la signification conceptuelle philosophique de là la non existence réel du libre arbitre, qui n’existe pas dans le réel haute (l’environnement). Ceci est un système qui ne peut donner la paix, l’équité ou la justice entre les êtres, tant qu’à la liberté elle est une relative perspective du pouvoir de l’un sur l’autre, pouvoir qui provient de l’innée et de l’acquis qui eut proviennent du circonstancielle du a l’origine de la causalité physico-chimique de l’environnement Galactique qui en lui-même comporte des environnements différentielles dont l’un est la terre avec ses différant environnement et ou condition environnemental en changement et mouvement causale constants donc éternelle. Ce n’est pas l’environnement galactique ou terrestre ou système solaire, ou humain qui apparais éternelle mais les lois du -mouvement et du –contenant, lien toutes choses sur toutes choses ! C’est dans le contenant (l’environnement, système), que se forme le contenue et c’est d’un contenue particulier (système) humain, que résulte la capacité de jugement de valeur ou autres apportent le sens aux choses et a lui-même et même au contenant lui-même. Nous savons aussi que beaucoup profitants de l’innocence, de l’ignorance, des instincts et de la faculté de l’imaginaire subjectif pour intrigué et crée un monde mental irréel. Arguments contre l'existence de dieu, Dieu ou des dieux[modifier] Arguments liés à l'existence d'un dieu, Dieu[modifier] Argument de l'existence du mal : comment Dieu, être bon, aurait-il pu créer un monde dans lequel il y a du mal ? Argument qu'ont surmonté, entre autres, Leibniz et Saint Augustin, et qui est le cœur de toute théodicée. Argument de l'indigence de la création (rejoint le premier : comment Dieu, être parfait, aurait-il pu créer un monde imparfait) Argument de l'invention de l'idée de Dieu ou des dieux par les hommes (ou généalogie du divin) Arguments déductifs[modifier] Argument de l'univers incréé : la création de l’univers est impossible en raison de la nature du temps. Le temps cosmique étant une dimension de l’univers, la création de l'univers ne peut se faire qu'hors du temps cosmique, donc dans un temps absolu et indépendant. L’idée de temps absolu est aberrante dans le cas où le monde est unique et en transformation, car le passé ne peut être qu'infini (un monde doit son existence à l'existence d'un monde précédent). Or si le passé est infini, le temps ne peut logiquement pas démarrer, car son point de départ serait une valeur extrême inaccessible. Les instances du monde ne peuvent être que simultanées, ce qui signifie que passé, présent et futur existent définitivement dans un canevas d'événements localisables par quatre coordonnées spatiales, le temps n'étant qu'une illusion produite par des consciences. Si le monde est simultanéité et que le temps n'existe pas, l'univers n'a ni extériorité, ni antériorité. Il n'y a donc pas de création. Argument de l'impossibilité d'une déduction métaphysique : l'existence d'un être ne peut lui être prédiquée autrement que par le biais de l'observation empirique. Or, le Dieu des métaphysiciens (Descartes, Spinoza, etc.) n'est pas un être empirique. En conséquence, de l'idée d'un tel être, on ne peut rien déduire. Non seulement tout discours sur Dieu en tant qu'être est dénué de sens (ni vrai, ni faux), mais, ne pouvant rien non plus rien connaître des attributs de Dieu, nous ne savons pas réellement ce que nous disons en employant ce mot. L'intérêt de cet argument est qu'il supprime le débat concernant la possibilité de prouver l'existence ou l'inexistence de Dieu, puisque cela n'est pas démontrable, dans un sens ou dans l'autre. Argument de l'origine : si les hommes expliquent leur monde connu par une création divine, d'où provient la création de Dieu lui-même? Dans le même ordre d'idées, certains athées s'en tiennent à la phrase d'Euclide : "Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve". De même, certains sceptiques tournent en ridicule les religions révélées, qui affirment que Dieu existe bien qu'il soit invisible, caché, hors de portée des sens et de la connaissance humaine. Cette dérision prend par exemple la forme du culte de la Licorne rose invisible, qui reprend les textes sacrés (ou du moins leur ton) en remplaçant le mot "Dieu" par "la Licorne rose invisible". Argument du caractère contradictoire des caractéristiques prêtées à Dieu (par exemple dans la bible ou le coran), à la fois fondamentalement tout-puissant et fondamentalement éternel (or, s'il est tout puissant, il doit pouvoir se détruire lui-même, mais alors il peut donc ne plus être, et n'est pas fondamentalement éternel) Arguments logiques[modifier] Argument trivial: Dieu n'existe pas car il n'y a aucune preuve de son existence. Autre argument trivial: L'homme a créé le mythe des dieux, rien ne dit que ce soit le contraire. Argument de l'inutilité d'un dieu ou de dieux créateurs : pour la théologie naturelle, depuis au moins Anaxagore, il est légitime de passer de l'idée d'ordre dans la nature à l'idée d'un plan de la nature, formé et conçu par une intelligence créatrice. Cet argument pose deux a priori : la matière ne produit pas spontanément de l'ordre ; la cause de l'ordre de la nature est intentionnelle[note 1]. [*]Utilisation de la théorie de Darwin pour prouver que la croyance en une divinité n'est qu'une conséquence de la sélection naturelle : D'abord l'appartenance à une communauté, car un groupe est plus fort que des individus isolés, ainsi que l'illusion de contrôle que procure la foi permettent de réduire l'anxiété des individus[17]. *[*]Argument de l'évolution : cet argument est dans la continuité de celui de l'inutilité d'un dieu, puisqu'il s'agit de montrer que la nature a une histoire et un ordre qui ne nécessitent pas un démiurge.[*]Argument de la dimension de l'univers: la dimension de l'univers est telle (100 milliards de galaxies avec chacune en moyenne 100 milliards d'étoiles, un rythme de formation de planète dans l'univers atteignant 10 000 planètes formées chaque seconde, et une expansion de l'univers dépassant la vitesse de la lumière) que l'existence d'un dieu unique attaché à une planète appelée Terre, perdue dans l'immensité de l'univers est inconcevable.[*]Argument socio-politique: les religions ont été créées par des mouvements minoritaires et imposées ensuite par les pouvoirs politiques dominants à des fins de fédération des peuples. La foi accordée à l'existence de dieu est liée à la confiance envers les pouvoirs politiques ayant institué les religions correspondantes.[*]Thèse de Ludwig Feuerbach : cette thèse part de l'idée, supposée évidente, que Dieu est une création de l'esprit humain. Elle invalide donc a priori la question de la démonstration de l'existence ou de l'inexistence de celui-ci, et se propose seulement d'expliquer et de critiquer le besoin des communautés humaines à croire en l'existence d'un être transcendant. Selon Feuerbach, la singularité des qualités humaines manifestement exceptionnelles au regard du reste du monde connu - conscience, intelligence, créativité, liberté - conduit spontanément les groupes humains à attribuer celles-ci à une puissance supérieure qui en serait à l'origine: "L’être infini ou divin est l’être spirituel de l’homme, projeté par l’homme en dehors de lui-même et contemplé comme un être indépendant. Dieu est esprit, cela, veut dire en vérité : l’esprit est Dieu. Tel est le sujet, tel est l’objet."[18]. Il nomme ce transfert l'aliénation, dans le sens où les hommes attribueraient à un être extérieur et transcendant des qualités qui leur sont propres. Cette thèse a eu une influence importante sur la pensée de Karl Marx, qui étend notamment dans l'ouvrage posthume Thèses sur Feuerbach[19] le concept d'aliénation propre au christianisme à l'ensemble des rapports sociaux de production, à travers le travail et la marchandise, en prolongeant et dépassant le matérialisme de Feuerbach par ce qui deviendra le matérialisme historique. Arguments affectifs[modifier] De nombreux dogmes affirment que Dieu est un père, il est alors amoral et cruel qu'un père se cache pour laisser ses enfants croire ou ne pas croire en lui, on considère que l'Homme est aidé par la connaissance, nous laisser dans une ignorance n'est pas bienveillant. Le caractère invisible de Dieu qui pose plusieurs problèmes, s'il existe et qu'il se cache étant à l'image de l'Homme c'est qu'il a honte. Autre argument affectif, le plus souvent retenu : Si Dieu existe, pourquoi laisse-t-il faire tant d'horreurs et d'injustices? Arguments scientifiques[modifier] En guise de préambule, soulignons que la science et l'existence ou non de Dieu sont des choses indépendantes et non connectées. La science peut expliquer comment on croit. Elle peut étudier le phénomène de la croyance mais elle ne s'intéresse pas à l'existence de Dieu, aussi longtemps que celui-ci n'est pas "concrétisé" et qu'on n'attende pas de Dieu des effets potentiellement "observables" (par exemple, la genèse dans l'ancien testament). Son existence et la preuve de son existence ou non ne sont pas du domaine de la biologie, elles sont des domaines de la philosophie et de la théologie si on ne prête pas à Dieu une influence dans le destin biologique des espèces (voir la théorie de l'"intelligent design"). Cependant, la science montre que l'idée de Dieu est une émanation du cerveau humain. Le cerveau humain est prédisposé à croire. Selon les neuroscientifiques, la croyance est apparue au cours de l'évolution pour permettre au genre homo de résoudre les problèmes psychiques qui sont apparus avec l'émergence de sa capacité cognitive. Il est cependant important de noter que "Dieu" ou "les Dieux" sont souvent invoqués comme arguments par les hommes pour expliquer des notions qui les dépassent au moment de la définition de ce même Dieu, de la météo à la création de la vie en passant par le cosmos. Toute avancée dans la connaissance implique une confrontation entre l'hypothèse scientifique et celle de Dieu, confrontation qui jusqu'alors a systématiquement débouché sur une "dématérialisation" de Dieu (ou des Dieux). Cette dématérialisation en soi n'est pas une preuve de l'inexistence de Dieu, mais on peut toujours se demander si l'inobservable d'aujourd'hui ne peut pas devenir soudainement observable demain, rendant la frontière science - existence de Dieu subitement plus floue. La recherche en neurologie a démontré que la religiosité et la foi trouvent une explication physiologique au cœur même du cerveau. C'est la Théorie de l'esprit qui fait intervenir différentes parties du cerveau : le cortex préfrontal médian et orbito-frontal, les amygdales, la jonction temporo-pariétale et le pôle temporal. Depuis la fin des années 90, de nombreuses recherches en neurobiologie vont dans le sens d'une origine biologique de la croyance. Les travaux de l'équipe de Jacqueline Borg de l'Université Karolinska de Stockholm ont démontré que la religiosité, c'est-à-dire la propension à voir le monde comme habité par le divin, dépendrait du taux de sérotonine, un neurotransmetteur déjà connu pour être susceptible d'engendrer des états similaires à ceux produits par certains psychotropes : modifications de la perception sensorielle, hallucinations, sensation de fusion avec le monde. Soit les sensations que les mystiques éprouvent au cours de leurs états extatiques[20]. Pour autant, la sérotonine n'est pas une «molécule de la foi» : Si la croyance en Dieu peut être favorisée par l'action d'une molécule comme la sérotonine, elle ne peut en aucun cas se résumer à son action exclusive. Par ailleurs, une étude allemande de 2002 suggère que d’autres neurotransmetteurs, notamment les opioïdes (connus pour jouer un rôle important dans la sensation de douleur) pourraient être impliqués dans la cognition religieuse[21]. Ainsi le «spirituel» aurait une origine purement chimique, donc matérialiste, l'esprit est ramené à la matière. De fait, la structure du cerveau nous programmerait également à croire : c'est ce qu'a démontré en 2001 une expérience menée avec huit moines tibétains plongés dans un état de méditation débouchant sur une sensation de symbiose. On a remarqué que plus la méditation semblait profonde, et plus l'activité du cortex pariétal supérieur était ralentie. Or il se trouve que l'une des fonctions de cette zone cérébrale permet de distinguer son corps de l'environnement et de s'orienter dans l'espace. D'où l'émergence, chez les moines étudiés, d'altérations de la perception ainsi que de la sensation de fusionner avec l'Univers. Ce ne serait pas la seule zone du cerveau concernée. Les recherches du neurobiologiste américain Michael Persinger suggèrent «que la stimulation électromagnétique des lobes temporaux, ces aires localisées au niveau des tempes, déclencherait la sensation d’avoir à ses côtés une présence divine». Ces aires pourraient donc être impliquées dans l’aptitude à ressentir une présence divine. L'impression de sortir hors du corps est due à l'activation d'une zone très restreinte du cortex temporal, le gyrus angulaire. L'effet spectaculaire de l'impression de sortir du corps lors de l'activation du gyrus angulaire a été mise en évidence en 2002 par le neurologue suisse, Olaf Blanke[22]. La psychologie, pour sa part, a démontré que l'humain a une perception innée du monde qui fait la part entre le surnaturel et le réel. Si bien qu'en contredisant notre entendement, les croyances religieuses provoquent une réaction émotionnelle forte qui, paradoxalement, nous conduirait tout naturellement à leur attribuer un «pouvoir explicatif supérieur». Le cerveau humain est doté d’un mécanisme biologique et psychologique inné qui le rend sensible à l’idée d’existences divines. L'acceptation du surnaturel est favorisée par l'ambiance émotionnelle et collective des rites (musique, gestuelle, prière) et par le sentiment de sacrifice et de soumission. Au bout du compte, l'émotion est plus forte, plus convaincante que la logique et la raison.
  19. Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme. Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme... Si je voulais parler de laïcité alors oui... mais celui qui ne sait pas et qui est ignorant ne peut être qualifier d'athée par défaut... encore lui faut-il nier que Dieu existe au minimum... vous ne pouvez nier ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence... En autant que vous niez l'existence de Dieu alors vous êtes athée même sans le savoir... mais si vous ne le nier pas alors vous êtes tout aussi croyant sans le savoir. Mais n'oubliez pas que l'on ne parlait que du fait d'avoir plus ou moins d'imagination et du fait que la théorisation en demanderait plus que la pratique selon vous... pour le reste ça n'a aucun rapport. Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination... On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité. Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre. Ceci dit par l'athée qui a pris la peine d'apporter son athéisme jusque dans ce débat qu'il qualifie lui-même d'oiseux... Mais il n'est nul besoin de faire l'économie ou non de Dieu pour vivre... on peut même faire l'économie de la morale, de l'amour et de plein d'autres trucs... mais il y aura toujours ceux qui cherchent à donner un sens à leur vie et ceux qui n'en ressentent pas le besoin... ceux qui sans même le savoir affirmeraient que la vie n'a pas de sens par exemple. Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé. Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme... Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas.... Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple. Et votre manière de vous exprimez me faisant dire que vous n'en avez rien à foutre alors ne m'en veuillez pas si je ne me répète pas plus que je le jugerais nécessaire... Peut-être que vous devriez réfléchir un peu plus plutôt que de fantasmer sur mes propres attributs , étrangement pour ma part je vous imaginais avec un doigt dans la narine #2 ... ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté. Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent... Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté. Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. C'est uniquement une question de perception... en fait je suis l'effet dont vous êtes la cause. Une simple question de principe dont il ne faut même pas s'attarder à trouver un sens quelconque selon vous... alors pourquoi en chercheriez-vous un, ne faites qu'étudiez la cause et vous pourrez alors peut-être comprendre l'effet qui en résulte. Le mouvement perpétuel Le mouvement perpétuel est à la basse de la causalité et a la basse du circonstancielle et de la sélection naturelle et la célection naturelle est à la basse des intérêts divergents de par les beusoins et les désires en inter actions, il y a donc par nécessité conflit d'intérêt par endroit et réciprocité d'intérêt par autre endroits. ce qui crée le déterminisme c'est l'interaction causal du à la nature des choses et de se que l'on a l'habitude d'appeler des êtres. Le racisme, le sexisme, et les politiques diverses tous conflie d'intérêt, ect... ne sont que l'expression de la nature! Quand on à comprit cela ont ne se demandes plus si Dieu existe. http://fedayin-feal.skyrock.com/ Déterminisme Déterminisme Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité. Sommaire Définition Le déterminisme est la théorie selon laquelle la succession des événements et des phénomènes est due au principe de causalité, ce lien pouvant parfois être décrit par une loi physico-mathématique qui fonde alors le caractère prédictif de ces derniers. Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science. La distinction pourra sembler subtile, mais ce qui démarque fondamentalement le déterminisme du nécessitarisme, c'est que la nécessité déterministe n'est pas une nécessité philosophique ou spéculative, mais une nécessité calculable en fait, en droit ou, du moins, en hypothèse. On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. Est régional le déterminisme qui gouverne un nombre fini d'éléments (le système boulet/obus est déterministe en ce sens : une fois donnés la force propulsive de la poudre, l'angle du canon par rapport à l'horizontale, la masse du boulet et la résistance de l'air, on peut calculer avec une très grande précision la forme et la durée de la trajectoire ainsi que, par conséquent, le point d'impact). Le déterminisme universel, parfois qualifié de « déterminisme laplacien », est problématique : peut-on considérer l'univers dans sa totalité comme un système déterministe ? Le déterminisme régional semble a priori moins problématique (de nombreux systèmes obéissent apparemment à des lois qui les rendent nécessaires). L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach : « Dans un tourbillon de poussière qu'élève un vent impétueux ; quel qu'il paraisse à nos yeux, dans la plus affreuse tempête excitée par des vents opposés qui soulèvent les flots, il n'y a pas une seule molécule de poussière ou d'eau qui soit placée au hasard, qui n'ait sa cause suffisante pour occuper le lieu où elle se trouve, et qui n'agisse rigoureusement de la manière dont elle doit agir. Un géomètre qui connaîtrait exactement les différentes forces qui agissent dans les deux cas, et les propriétés des molécules qui sont mues, démontrerait que, d'après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu'elle ne fait. » — Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur : « Nous devons envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre, dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence. Ses découvertes en mécanique et en géométrie, jointes à celles de la pesanteur universelle, l'ont mis à portée de comprendre dans les mêmes expressions analytiques les états passés et futurs du système du monde. En appliquant la même méthode à quelques autres objets de ses connaissances, il est parvenu à ramener à des lois générales les phénomènes observés, et à prévoir ceux que les circonstances données doivent faire éclore. » — Pierre-Simon Laplace, Essai philosophique sur les probabilités (1814) En vertu du déterminisme universel, l'intelligence qui connaîtrait avec une absolue précision la position et l'énergie de tout objet dans la position initiale pourrait calculer l'évolution de l'univers à tout moment du temps. Déterminisme est dans ce cas synonyme de prédictibilité. Cependant, il existe des systèmes déterministes non prédictibles comme un ordinateur exécutant un programme. Le déterminisme social est le modèle sociologique qui établit la primauté de la société sur l'individu. Théorie de la calculabilité Article détaillé : Déterminisme (Calculabilité). Le déterminisme comme notion mathématique vit le jour avec la formalisation des mathématiques à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle et devint une notion centrale de la calculabilité avec l'apparition de la théorie des automates au milieu du XXe siècle. L'apparition de l'informatique quantique à la fin du XXe siècle et celle de la conception forte de la thèse de Church-Turing, baptisée thèse de Church–Turing–Deutsch, permet de concevoir une synthèse entre le déterminisme calculatoire et le déterminisme physique promus par l'école de la physique numérique dont la proposition « it from bit » est devenu l'emblème. Limites L'hypothèse du déterminisme universel a gouverné la science du XIXe siècle. Elle a été remise en cause par la physique moderne au XXe siècle : par la physique quantique, et plus précisément, par le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg (1927), qui implique l'impossibilité de connaître avec une infinie précision la position et la vitesse d'une particule, contrairement aux données requises par le « génie » de Laplace ; on ne peut les connaître qu'à l'aide d'une fonction de probabilité. Cependant, le déterminisme ne disparaît pas totalement en physique quantique, puisque ces probabilités peuvent être calculées exactement à partir de l'état initial du système considéré selon des lois rigoureusement déterministes (par exemple, l'équation de Schrödinger en mécanique quantique non relativiste).Toutefois, contrairement à l'hypothèse du déterminisme classique, le principe d'incertitude semble impliquer que l'Univers obéit au libre jeu du hasard et de la nécessité. Albert Einstein affirma à ce sujet : « Dieu ne joue pas aux dés », ce à quoi Niels Bohr répondit : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire ! » (selon d'autres : « Comment savoir à quoi Dieu joue ? »). Mais la physique quantique n'invaliderait que le déterminisme universel : le déterminisme régional reste un principe d'explication physique incontournable pour nombre de phénomènes.Le principe d'incertitude d'Heisenberg n'invalide pas (à lui seul) le déterminisme universel. En effet: une intelligence intérieure à l'univers ne sera probablement jamais en mesure de connaître exactement l'état de l'univers entier à un instant donné, mais cela n'invalide en rien la théorie du déterminisme universel, puisque la possibilité de connaître l'état de l'univers n'est ni un prérequis ni une conséquence nécessaire du déterminisme universel. La physique quantique est un modèle empirique et statistique qui décrit le comportement des particules et des rayonnements sans rien dire de leur nature intrinsèque. par la théorie du chaos, qui décrit dans quelles conditions un système peut sembler non « prédictible » (voire est non prédictible au sens de Poincaré, von Neumann et Lorenz).Le déterminisme est lié au principe de causalité (les mêmes causes produisent les mêmes effets) ; la théorie du chaos précise que des causes pseudo-identiques peuvent dans certains cas produire des effets totalement divergents et en ce sens, s'écarte du principe de causalité. Tel est le cas des prévisions météorologiques et du phénomène de « l'aile de papillon ». Le principe d'incertitude d'Heisenberg et la théorie du chaos remettent en cause la prédictibilité de certains systèmes, et non pas leur caractère déterministe. Ils ne contredisent en aucun sens le principe de causalité. Par contre ils réduisent considérablement la possibilité de confirmer l'hypothèse du déterminisme, en rendant inaccessibles à l'expérience certaines validations. En tout état de cause, le déterminisme universel n'est qu'une hypothèse. La démonstration de cette hypothèse nécessiterait en particulier d'être en mesure de prédire l'évolution de l'univers avec une absolue précision, ce qui n'est toujours pas concevable aujourd'hui, en particulier du fait du caractère non mesurable d'un certain nombre de phénomènes. D'autre part, le principe de causalité lié au déterminisme suppose l'identité des causes, ce qui n'est possible, en toute rigueur, que dans certains cas, comme une modélisation mathématique, et non en physique où l'on ne peut parler que de causes semblables (ou pseudo-identiques), ce qui suffit pour les constructeurs et l'industrie en général, mais non pour les phénomènes fortement sensibles aux conditions initiales (voir en particulier les cas mis en évidence par la théorie dite du chaos). Le déterminisme ne doit pas être confondu avec l'idée de prédestination des jansénistes ou de Blaise Pascal, qui est une idée purement théologique, concernant d'ailleurs moins la série des événements que le salut ou la réprobation de l'âme après la mort. Psychanalyse La psychanalyse repose sur l'affirmation d'un déterminisme inconscient absolu et a priori de la vie psychique. Selon Sigmund Freud, ce déterminisme psychique, tel qu'il le conçoit, exclut toute forme de hasard et de non-sens (Freud récuse formellement tout "hasard intérieur" et affirme que seul le superstitieux croît au hasard intérieur). Pour la plupart des critiques de son oeuvre, et étant donné sa nature même, cette affirmation ne devrait pas être considérée comme ce qui fut présenté par Freud, comme une "hypothèse", (Georges Politzer), mais bien comme un dogme a priori. Freud en donne de multiples illustrations dans toute son oeuvre, et particulièrement dans "Psychopathologie de la vie quotidienne" où il affirme que tous les mots et les nombres sont parfaitement déterminés pour des raisons qui échappent à la conscience. On trouve également des prises de positions explicites sur les options déterministes de Freud dans sa troisième leçon sur la psychanalyse. Selon de nombreux critiques de la psychanalyse, comme Jacques Bouveresse, Freud n'aurait pu imaginer investiguer les "associations libres" de ses patients, s'il n'avait posé, a priori, l'affirmation d'un déterminisme psychique qui lui semblait assez complet (absolu) pour le faire. Le secret des initiés La réponse au questionnement existantielle est dans la nature de l'éternel changement et de la constitution humaine ou autres qui l'observe et en est issu! La causalité menent au déterminisme est cela même dans le domaine de la pensée et des sentiments où et des émotions, chacun agissent celons sa constitution en rapport avec l'interaction avec son environnement. Le Très-Haut prophète du déterminisme en assure la garde et la garanti vient du déterminisme lui-même ce qui est pré-ordonner n'a pas d'échec possible. C'est les actions, les actes, les faits, les cosses et les effets qui témoignent de se qui est, non les paroles qui peuvent aussi bien être vrais que fausse. Qui sais se q'un être humain a dans ses dessins ? Les actions témoignent de la volonté! La volonté des être humains, comme celle des autres espèces est mue par des impératifs vitaux, des besoins naturelles, des désirs, mais elle est aussi mue par les informations, la connaissance, le savoir, et l'ajustement correcte ou non correcte; conforme aux réel, donc a ce qui est! Changer aise vivre ou mourir ? C'est la triste mais réel vérité celle que nus ne veux entendre et pour temps! C'est la seul vérité qui conduit peut-être a la survie éternelle et au bonheur humain. Je me suis posée cette question après bien d'autres; Changer aise vivre ou mourir ? Nous venons au monde et déjà nous commençons a mourir. Nous changeons jours après jours, d'instant en instant. Par ce que ainsi est la nature de l'univers, une succession de causalité un changement perpétuelle! Nous somme réel par ce que l'univers est réel, nous somme ce que nous somme, par ce que l'univers est ce quelle est! Dans la grande ordonnance de l'univers nous somme n'y bon, n'y mauvais. Nous agissons selon notre nature et conformément au circonstances! Le lion n'est pas plus mauvais que l'aigle, la brebis meilleure que le sers. Si nous désirons survivre alors nous devons réellement changé! Non seulement mentalement, mais physiquement! Notre vie prendras seulement un sens quand nous rechercherons a être éternelle, a vivre en harmonie, a atteindre le bonheur et a entamais la recherche du réel au-delà de notre compréhension actuelle et de nos limites présentes. Ce qui donne un ou des sens a la vie c'est le ou les buts que l'ont cherche a atteindre. Et c'est buts n'aurais aucun sens si la seul alternative étais la mort- la fin de notre être. Cars après la mort le néant suis ! Et ce néant est la fin et la fin rend inutile le sens même de la vie. La vie qui est changement, transformation, évolution! Il faut abandonné les superstitions, les croyances, la fausseté et l'erreur. Il faut comprendre que les concepts philosophiqaux- religieux sons des leurres issu de l'imaginaire subjectif. Au-delà du sens quotidien de notre vie, il est recelé un but ultime, suprême et même absolu. Celui d'être! Se que nous somme n'est jamais aussi importent que se que nous devenons jour après jours. Après tout ce que nous désirons être est plus importent que se que nous somme! Le désir, les bons désirs la bonne volonté est le fondement même de notre être, et non les besoins qui ne sont que l'aspect négatif de nos nombreuses limitations. Aspect négatif par ce qu'il nous empêchent d'atteindre au changement perpétuelle celle même de la nature de l'univers et par le fait même de la notre. Il semble que l'univers par la causalité et sons déterminisme est engendré des êtres qui dans leur réalité ont non seulement le potentielle de changé leur environnement mais aussi de se changé eux même ! La question est la suivante qu'est ce qui doit être changé ? Et qu'est ce qui doit être gardé ? Quand je dit que notre nature actuelle n'est pas bonne et que la nature actuelle n'est pas bonne! J'entend par la quelle ne nous sers pas bien n'y individuellement n'y collectivement! Et non quelle est mauvaise pluise quelle ne fait que répondre a sa propre nature n'y bien, n'y mal. Malgré cela elle nous fait courir droit au désastre, a la confrontation, a la concurrence créent de plus en plus de pression pour la survie et de moins en moins d'agrément pour la vie par la loi de la sélection naturelle. Notre Dieu (L'inconnue), Notre religion : (Nos idéaux), l'harmonie, la symbiose, l'osmose, l'homéostasie contrôlé, la vie éternelle et la recherche perpétuelle de la réalité globale Dieu. La science, la connaissance, le savoir (notre planche de salut), pour atteindre l'inconnue; Dieu. S'il n'y a pas la volonté, n'y le déterminisme conscient, n'y l'intérêt réciproque, n'y les moyens, n'y la foi en ce qui a étais donné a l'homme de faire. Ne perdez pas votre temps et votre énergie dans le déterminisme inconscient, Car l'a est l'aspect végétatif du sous homme ou de la sous femme dont la fin est écrite des le commencement! Ils sont des morts en sourcil. Que vos idéaux soit éternelle. Que votre volonté soit éternelle. Que votre déterminisme conscient soit progressiste et donc éternelle DE MEME QUE L’ENTROPIE EST UNE MESURE DE DESORGANISATION, L’INFORMATION FOURNIE PAR UNE SERIE DE MESSAGES EST UNE MESURE D’ORGANISATION OU DE DESORGANISATION. Dans la vie de tous les jours les croyants se fient à leur savoir pour faire des choix! Quelle hypocrisie ou ignorance quand ont les vois traverser le ru ou diriger leur vie en se servent de leur savoir et non de leur croyance! L'HUMANITÉ TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EN EST QU’AU STADE OÙ ELLE DOIT SE LIBÉRÉ DES ABERRATIONS RELIGIEUSE ET FRANCHIR LE PAS VERS L’ÉVOLUTION D’UN MENTAL VIVENT DANS LE RÉEL POUR ATTEINDRE À L’ÉMANCIPATION DU CONTRÔLE DE SON PROPRE POTENTIELLE PHASE PROGRESSIVE DE L’ÉVOLUTION. IL N’Y A PAS D’AUTRE THEORIES QUI RENDANT COMPTE DE TOUS LES FAITS EN LES LIENS LES UNS AUX AUTRES DE FAÇON A AJUSTE LES MORCEAUX D’UN IMMENSE (CASSE-TETE), (PUZZLE), CASSE-TETE, SYNONYME (DEBRIS-CERVEAU) Le (déterminisme), la causalité, la sélection naturelle, rivalités, concurrences est l’origine de tous les problèmes de métaphysique, des questions existentielles et de compréhension du réel. Nous savons que ce qui porte préjudice à la symbiose entre les êtres est la (sélection naturelle) et que la sélection naturelle est due au (mouvement du changement perpétuelle) du a la causalité et au déterminisme qui en est la signification conceptuelle philosophique de là la non existence réel du libre arbitre, qui n’existe pas dans le réel haute (l’environnement). Ceci est un système qui ne peut donner la paix, l’équité ou la justice entre les êtres, tant qu’à la liberté elle est une relative perspective du pouvoir de l’un sur l’autre, pouvoir qui provient de l’innée et de l’acquis qui eut proviennent du circonstancielle du a l’origine de la causalité physico-chimique de l’environnement Galactique qui en lui-même comporte des environnements différentielles dont l’un est la terre avec ses différant environnement et ou condition environnemental en changement et mouvement causale constants donc éternelle. Ce n’est pas l’environnement galactique ou terrestre ou système solaire, ou humain qui apparais éternelle mais les lois du -mouvement et du –contenant, lien toutes choses sur toutes choses ! C’est dans le contenant (l’environnement, système), que se forme le contenue et c’est d’un contenue particulier (système) humain, que résulte la capacité de jugement de valeur ou autres apportent le sens aux choses et a lui-même et même au contenant lui-même. Nous savons aussi que beaucoup profitants de l’innocence, de l’ignorance, des instincts et de la faculté de l’imaginaire subjectif pour intrigué et crée un monde mental irréel.
  20. Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme. Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme... Si je voulais parler de laïcité alors oui... mais celui qui ne sait pas et qui est ignorant ne peut être qualifier d'athée par défaut... encore lui faut-il nier que Dieu existe au minimum... vous ne pouvez nier ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence... En autant que vous niez l'existence de Dieu alors vous êtes athée même sans le savoir... mais si vous ne le nier pas alors vous êtes tout aussi croyant sans le savoir. Mais n'oubliez pas que l'on ne parlait que du fait d'avoir plus ou moins d'imagination et du fait que la théorisation en demanderait plus que la pratique selon vous... pour le reste ça n'a aucun rapport. Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination... On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité. Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre. Ceci dit par l'athée qui a pris la peine d'apporter son athéisme jusque dans ce débat qu'il qualifie lui-même d'oiseux... Mais il n'est nul besoin de faire l'économie ou non de Dieu pour vivre... on peut même faire l'économie de la morale, de l'amour et de plein d'autres trucs... mais il y aura toujours ceux qui cherchent à donner un sens à leur vie et ceux qui n'en ressentent pas le besoin... ceux qui sans même le savoir affirmeraient que la vie n'a pas de sens par exemple. Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé. Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme... Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas.... Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple. Et votre manière de vous exprimez me faisant dire que vous n'en avez rien à foutre alors ne m'en veuillez pas si je ne me répète pas plus que je le jugerais nécessaire... Peut-être que vous devriez réfléchir un peu plus plutôt que de fantasmer sur mes propres attributs , étrangement pour ma part je vous imaginais avec un doigt dans la narine #2 ... ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté. Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent... Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté. Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. C'est uniquement une question de perception... en fait je suis l'effet dont vous êtes la cause. Une simple question de principe dont il ne faut même pas s'attarder à trouver un sens quelconque selon vous... alors pourquoi en chercheriez-vous un, ne faites qu'étudiez la cause et vous pourrez alors peut-être comprendre l'effet qui en résulte. Le mouvement perpétuel Le mouvement perpétuel est à la basse de la causalité et a la basse du circonstancielle et de la sélection naturelle et la célection naturelle est à la basse des intérêts divergents de par les beusoins et les désires en inter actions, il y a donc par nécessité conflit d'intérêt par endroit et réciprocité d'intérêt par autre endroits. ce qui crée le déterminisme c'est l'interaction causal du à la nature des choses et de se que l'on a l'habitude d'appeler des êtres. Le racisme, le sexisme, et les politiques diverses tous conflie d'intérêt, ect... ne sont que l'expression de la nature! Quand on à comprit cela ont ne se demandes plus si Dieu existe. http://fedayin-feal.skyrock.com/ Déterminisme Déterminisme Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité. Sommaire Définition Le déterminisme est la théorie selon laquelle la succession des événements et des phénomènes est due au principe de causalité, ce lien pouvant parfois être décrit par une loi physico-mathématique qui fonde alors le caractère prédictif de ces derniers. Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science. La distinction pourra sembler subtile, mais ce qui démarque fondamentalement le déterminisme du nécessitarisme, c'est que la nécessité déterministe n'est pas une nécessité philosophique ou spéculative, mais une nécessité calculable en fait, en droit ou, du moins, en hypothèse. On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. Est régional le déterminisme qui gouverne un nombre fini d'éléments (le système boulet/obus est déterministe en ce sens : une fois donnés la force propulsive de la poudre, l'angle du canon par rapport à l'horizontale, la masse du boulet et la résistance de l'air, on peut calculer avec une très grande précision la forme et la durée de la trajectoire ainsi que, par conséquent, le point d'impact). Le déterminisme universel, parfois qualifié de « déterminisme laplacien », est problématique : peut-on considérer l'univers dans sa totalité comme un système déterministe ? Le déterminisme régional semble a priori moins problématique (de nombreux systèmes obéissent apparemment à des lois qui les rendent nécessaires). L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach : « Dans un tourbillon de poussière qu'élève un vent impétueux ; quel qu'il paraisse à nos yeux, dans la plus affreuse tempête excitée par des vents opposés qui soulèvent les flots, il n'y a pas une seule molécule de poussière ou d'eau qui soit placée au hasard, qui n'ait sa cause suffisante pour occuper le lieu où elle se trouve, et qui n'agisse rigoureusement de la manière dont elle doit agir. Un géomètre qui connaîtrait exactement les différentes forces qui agissent dans les deux cas, et les propriétés des molécules qui sont mues, démontrerait que, d'après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu'elle ne fait. » — Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur : « Nous devons envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre, dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence. Ses découvertes en mécanique et en géométrie, jointes à celles de la pesanteur universelle, l'ont mis à portée de comprendre dans les mêmes expressions analytiques les états passés et futurs du système du monde. En appliquant la même méthode à quelques autres objets de ses connaissances, il est parvenu à ramener à des lois générales les phénomènes observés, et à prévoir ceux que les circonstances données doivent faire éclore. » — Pierre-Simon Laplace, Essai philosophique sur les probabilités (1814) En vertu du déterminisme universel, l'intelligence qui connaîtrait avec une absolue précision la position et l'énergie de tout objet dans la position initiale pourrait calculer l'évolution de l'univers à tout moment du temps. Déterminisme est dans ce cas synonyme de prédictibilité. Cependant, il existe des systèmes déterministes non prédictibles comme un ordinateur exécutant un programme. Le déterminisme social est le modèle sociologique qui établit la primauté de la société sur l'individu. Théorie de la calculabilité Article détaillé : Déterminisme (Calculabilité). Le déterminisme comme notion mathématique vit le jour avec la formalisation des mathématiques à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle et devint une notion centrale de la calculabilité avec l'apparition de la théorie des automates au milieu du XXe siècle. L'apparition de l'informatique quantique à la fin du XXe siècle et celle de la conception forte de la thèse de Church-Turing, baptisée thèse de Church–Turing–Deutsch, permet de concevoir une synthèse entre le déterminisme calculatoire et le déterminisme physique promus par l'école de la physique numérique dont la proposition « it from bit » est devenu l'emblème. Limites L'hypothèse du déterminisme universel a gouverné la science du XIXe siècle. Elle a été remise en cause par la physique moderne au XXe siècle : par la physique quantique, et plus précisément, par le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg (1927), qui implique l'impossibilité de connaître avec une infinie précision la position et la vitesse d'une particule, contrairement aux données requises par le « génie » de Laplace ; on ne peut les connaître qu'à l'aide d'une fonction de probabilité. Cependant, le déterminisme ne disparaît pas totalement en physique quantique, puisque ces probabilités peuvent être calculées exactement à partir de l'état initial du système considéré selon des lois rigoureusement déterministes (par exemple, l'équation de Schrödinger en mécanique quantique non relativiste).Toutefois, contrairement à l'hypothèse du déterminisme classique, le principe d'incertitude semble impliquer que l'Univers obéit au libre jeu du hasard et de la nécessité. Albert Einstein affirma à ce sujet : « Dieu ne joue pas aux dés », ce à quoi Niels Bohr répondit : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire ! » (selon d'autres : « Comment savoir à quoi Dieu joue ? »). Mais la physique quantique n'invaliderait que le déterminisme universel : le déterminisme régional reste un principe d'explication physique incontournable pour nombre de phénomènes.Le principe d'incertitude d'Heisenberg n'invalide pas (à lui seul) le déterminisme universel. En effet: une intelligence intérieure à l'univers ne sera probablement jamais en mesure de connaître exactement l'état de l'univers entier à un instant donné, mais cela n'invalide en rien la théorie du déterminisme universel, puisque la possibilité de connaître l'état de l'univers n'est ni un prérequis ni une conséquence nécessaire du déterminisme universel. La physique quantique est un modèle empirique et statistique qui décrit le comportement des particules et des rayonnements sans rien dire de leur nature intrinsèque. par la théorie du chaos, qui décrit dans quelles conditions un système peut sembler non « prédictible » (voire est non prédictible au sens de Poincaré, von Neumann et Lorenz).Le déterminisme est lié au principe de causalité (les mêmes causes produisent les mêmes effets) ; la théorie du chaos précise que des causes pseudo-identiques peuvent dans certains cas produire des effets totalement divergents et en ce sens, s'écarte du principe de causalité. Tel est le cas des prévisions météorologiques et du phénomène de « l'aile de papillon ». Le principe d'incertitude d'Heisenberg et la théorie du chaos remettent en cause la prédictibilité de certains systèmes, et non pas leur caractère déterministe. Ils ne contredisent en aucun sens le principe de causalité. Par contre ils réduisent considérablement la possibilité de confirmer l'hypothèse du déterminisme, en rendant inaccessibles à l'expérience certaines validations. En tout état de cause, le déterminisme universel n'est qu'une hypothèse. La démonstration de cette hypothèse nécessiterait en particulier d'être en mesure de prédire l'évolution de l'univers avec une absolue précision, ce qui n'est toujours pas concevable aujourd'hui, en particulier du fait du caractère non mesurable d'un certain nombre de phénomènes. D'autre part, le principe de causalité lié au déterminisme suppose l'identité des causes, ce qui n'est possible, en toute rigueur, que dans certains cas, comme une modélisation mathématique, et non en physique où l'on ne peut parler que de causes semblables (ou pseudo-identiques), ce qui suffit pour les constructeurs et l'industrie en général, mais non pour les phénomènes fortement sensibles aux conditions initiales (voir en particulier les cas mis en évidence par la théorie dite du chaos). Le déterminisme ne doit pas être confondu avec l'idée de prédestination des jansénistes ou de Blaise Pascal, qui est une idée purement théologique, concernant d'ailleurs moins la série des événements que le salut ou la réprobation de l'âme après la mort. Psychanalyse La psychanalyse repose sur l'affirmation d'un déterminisme inconscient absolu et a priori de la vie psychique. Selon Sigmund Freud, ce déterminisme psychique, tel qu'il le conçoit, exclut toute forme de hasard et de non-sens (Freud récuse formellement tout "hasard intérieur" et affirme que seul le superstitieux croît au hasard intérieur). Pour la plupart des critiques de son oeuvre, et étant donné sa nature même, cette affirmation ne devrait pas être considérée comme ce qui fut présenté par Freud, comme une "hypothèse", (Georges Politzer), mais bien comme un dogme a priori. Freud en donne de multiples illustrations dans toute son oeuvre, et particulièrement dans "Psychopathologie de la vie quotidienne" où il affirme que tous les mots et les nombres sont parfaitement déterminés pour des raisons qui échappent à la conscience. On trouve également des prises de positions explicites sur les options déterministes de Freud dans sa troisième leçon sur la psychanalyse. Selon de nombreux critiques de la psychanalyse, comme Jacques Bouveresse, Freud n'aurait pu imaginer investiguer les "associations libres" de ses patients, s'il n'avait posé, a priori, l'affirmation d'un déterminisme psychique qui lui semblait assez complet (absolu) pour le faire. Le secret des initiés La réponse au questionnement existantielle est dans la nature de l'éternel changement et de la constitution humaine ou autres qui l'observe et en est issu! La causalité menent au déterminisme est cela même dans le domaine de la pensée et des sentiments où et des émotions, chacun agissent celons sa constitution en rapport avec l'interaction avec son environnement. Le Très-Haut prophète du déterminisme en assure la garde et la garanti vient du déterminisme lui-même ce qui est pré-ordonner n'a pas d'échec possible. C'est les actions, les actes, les faits, les cosses et les effets qui témoignent de se qui est, non les paroles qui peuvent aussi bien être vrais que fausse. Qui sais se q'un être humain a dans ses dessins ? Les actions témoignent de la volonté! La volonté des être humains, comme celle des autres espèces est mue par des impératifs vitaux, des besoins naturelles, des désirs, mais elle est aussi mue par les informations, la connaissance, le savoir, et l'ajustement correcte ou non correcte; conforme aux réel, donc a ce qui est! Changer aise vivre ou mourir ? C'est la triste mais réel vérité celle que nus ne veux entendre et pour temps! C'est la seul vérité qui conduit peut-être a la survie éternelle et au bonheur humain. Je me suis posée cette question après bien d'autres; Changer aise vivre ou mourir ? Nous venons au monde et déjà nous commençons a mourir. Nous changeons jours après jours, d'instant en instant. Par ce que ainsi est la nature de l'univers, une succession de causalité un changement perpétuelle! Nous somme réel par ce que l'univers est réel, nous somme ce que nous somme, par ce que l'univers est ce quelle est! Dans la grande ordonnance de l'univers nous somme n'y bon, n'y mauvais. Nous agissons selon notre nature et conformément au circonstances! Le lion n'est pas plus mauvais que l'aigle, la brebis meilleure que le sers. Si nous désirons survivre alors nous devons réellement changé! Non seulement mentalement, mais physiquement! Notre vie prendras seulement un sens quand nous rechercherons a être éternelle, a vivre en harmonie, a atteindre le bonheur et a entamais la recherche du réel au-delà de notre compréhension actuelle et de nos limites présentes. Ce qui donne un ou des sens a la vie c'est le ou les buts que l'ont cherche a atteindre. Et c'est buts n'aurais aucun sens si la seul alternative étais la mort- la fin de notre être. Cars après la mort le néant suis ! Et ce néant est la fin et la fin rend inutile le sens même de la vie. La vie qui est changement, transformation, évolution! Il faut abandonné les superstitions, les croyances, la fausseté et l'erreur. Il faut comprendre que les concepts philosophiqaux- religieux sons des leurres issu de l'imaginaire subjectif. Au-delà du sens quotidien de notre vie, il est recelé un but ultime, suprême et même absolu. Celui d'être! Se que nous somme n'est jamais aussi importent que se que nous devenons jour après jours. Après tout ce que nous désirons être est plus importent que se que nous somme! Le désir, les bons désirs la bonne volonté est le fondement même de notre être, et non les besoins qui ne sont que l'aspect négatif de nos nombreuses limitations. Aspect négatif par ce qu'il nous empêchent d'atteindre au changement perpétuelle celle même de la nature de l'univers et par le fait même de la notre. Il semble que l'univers par la causalité et sons déterminisme est engendré des êtres qui dans leur réalité ont non seulement le potentielle de changé leur environnement mais aussi de se changé eux même ! La question est la suivante qu'est ce qui doit être changé ? Et qu'est ce qui doit être gardé ? Quand je dit que notre nature actuelle n'est pas bonne et que la nature actuelle n'est pas bonne! J'entend par la quelle ne nous sers pas bien n'y individuellement n'y collectivement! Et non quelle est mauvaise pluise quelle ne fait que répondre a sa propre nature n'y bien, n'y mal. Malgré cela elle nous fait courir droit au désastre, a la confrontation, a la concurrence créent de plus en plus de pression pour la survie et de moins en moins d'agrément pour la vie par la loi de la sélection naturelle. Notre Dieu (L'inconnue), Notre religion : (Nos idéaux), l'harmonie, la symbiose, l'osmose, l'homéostasie contrôlé, la vie éternelle et la recherche perpétuelle de la réalité globale Dieu. La science, la connaissance, le savoir (notre planche de salut), pour atteindre l'inconnue; Dieu. S'il n'y a pas la volonté, n'y le déterminisme conscient, n'y l'intérêt réciproque, n'y les moyens, n'y la foi en ce qui a étais donné a l'homme de faire. Ne perdez pas votre temps et votre énergie dans le déterminisme inconscient, Car l'a est l'aspect végétatif du sous homme ou de la sous femme dont la fin est écrite des le commencement! Ils sont des morts en sourcil. Que vos idéaux soit éternelle. Que votre volonté soit éternelle. Que votre déterminisme conscient soit progressiste et donc éternelle
  21. Ce qui est un très sérieux manque d'imagination, c'est de supposer que tout ce qui est au delà de ma perception est une seule et même entité, et de ne pas lui trouver de meilleur nom que Dieu. Vous n'avez qu'à simplement partir un concours pour lui trouver un nom si celui-ci n'est pas assez original pour vous... tiens, pourquoi ne pas l'appeler le Nom... à moins que vous ne laissiez ce soin au hasard. le hasard il n'y an a pas juste de l'ingniorance! Mais encore, au-dela de cette phrase ''trollesque'' à souhait, que supposeriez-vous qu'il y aurait derrière votre perception et qui se révélerait être un petit trésor d'imagination... Régleriez-vous la question des débuts en disant : ''pas de début''... causalité et éternité! Régleriez-vous la question du but en disant : ''pas de but''... Humainement oui! Régleriez-vous la question de Dieu en disant : ''pas de Dieu''... Tout le démontre! Régleriez-vous la question de l'imagination en disant : ''aucune imagination''.. l'imagination expliquand l'univers très drole! Ici ont vois la différance: J'ai vu personnellement des travailleurs qui pleuraient en voyant leur usine partiellement détruite, car dans ce lieu de mort se détruisait une partie considérable de leur vie, qui, tout en étant misérable et méprisable, était la seule qu'ils connaissaient, la seule dont ils avaient fait l'expérience. - Alfredo Bonnano Il y a du sérieux au mal que fait la religion!
  22. On peut même lui faire dire que l'on peut faire dire ce que l'on veut à l'imaginaire... On peut même lui faire dire que les effets précèdent les causes et qu'il y aurait une cause à cela... que le déterminisme existe sans expériences pour le prouver faisant aussi que le déterminisme n'existe pas sans expériences pour le prouver... ou même que l'on comprendrait la nature alors qu'il n'y aurait rien à comprendre... que l'on comprendrait qu'il n'y a rien à comprendre à la nature et ce faisant qu'en y comprenant quelquechose on n'y comprendrait rien. Sans doute parce que je renverserais l'effet de compréhension... Non c’est simplement que pour toi tout semple être de l’amusement tu es un enfant immature dans une classe d’adulte! Tu joues au con. Tu ne désires pas réellement connaitre ou comprendre les autres! La folie entend la folie !
  23. C'est surtout sur le besoin de savoir et la quête de vérité méta-physique que tablent les religions... tout comme un marteau peut aussi bien servir à planter des clous qu'à tuer des mouches... sa nature première ne changera jamais, ce ne sera que l'utilisation qu'en font les hommes qui fera de lui un outil ou l'arme du crime. Il ne restera maintenant qu'à savoir si vous avez assez d'imagination pour aller au-delà des apparences quand à l'élaboration de l'idée que vous vous ferez de la chose... Ne sera-t-elle que ce qu'elle parait être et ce que vous en percevez... À L'IMAGINAIRE on peut faire dire ce que l’on veut ex : (la terre est plate) ! Pas à la causalité, n’y au déterminisme, n’y a l’expérience, n’y en particulier à la compréhension de la nature. Tu ne sembles pas comprendre l’effet de renversement.
×