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Constantinople

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Tout ce qui a été posté par Constantinople

  1. Vous ne comprenez pas : ce n'est pas un argument. Un argumentaire est nécessaire pour débattre de solutions à apporter. La vous parlez d'une réalité qui n'existe que dans votre tête. C'est donc un conseil que je vous donne, vraiment, et derrière vos habituels smileys débiles, vous savez que j'ai raison, et peut être que vous m'ecouterez à terme. Un jour je raconterai ici mon expérience personnelle, dans une petite ville du sud à très forte population maghrebine et notamment pendant ma période lycéenne et le gap infranchissable avec "l'autre France" qui n'imagine pas ce que c'est, de l'intérieur. L'assimilation à l'envers que vous niez notamment.
  2. Voir la réalité, c'est fasciste ?
  3. À propos de l'indifférence, je suis quand même sceptique...en tant qu'homme si une femme crie pendant qu&un mec la viole je réagis et je connais aucun autre mec perso qui réagirait différemment.
  4. Je connais pas bien Paris mais je sais que "entre" et "en face" dans votre langage ça doit laisser une sacrée marge, où vous ne raconterez pas autant de merde au post 2. Arrêtez donc de prendre les gens pour des cons, n'importe qui ayant un semblant de vécu en la matière sera d'accord avec moi.
  5. Quand on commence à séparer les femmes pour éviter les agressions sexuelles, ça signifie qu'on est en train de virer quand même. À un moment donné, si tous les pays islamiques considèrent qu'une femme s'habillant de manière non pudique risquent le viol, y'a quand même un lien de cause à effet à envisager. Je vais pas rappeller ici pourquoi ces mesures ont été prises ni qui étaient les agresseurs.
  6. Bref, nos pays se transforment en pays islamiques, mais c'est fun.
  7. C'est bien pour ça que je ne réduisais pas tout aux moyens financiers, qui ont quand même une importance quoi qu'on en dise. Tout à fait, d'où l'idée de mieux articuler la vie de mère et la vie professionnelle en améliorant la proximité et la complémentarité des deux. Pourquoi pas repenser le temps de travail également, ou même les modes de scolarité de l'enfant. Il ne m'est jamais venu à l'idée de demander de faire des enfants par patriotisme, mais juste de considérer dans notre mode de solidarité social l’intérêt de la société elle même. Je ne comprends pas encore une fois vos raisons objectives de me contredire là dessus. je vois qu'on est épicurienne. C'est pas le genre de gène à éliminer ça. Surtout dans certaines régions de la péninsule italienne. Pire je crois est l'indulgence teintée de mépris de "celle qui n'a jamais trouvé chaussure à son pied, mais qui ne veut pas l'admettre en clamant sa non envie d'enfant..." Il faut reconnaitre aussi qu'il y a quelque chose de plus viscéral, biologique, animal dans le désir de maternité par rapport au désir de paternité qui tient plus à la responsabilité, à l'envie de transmettre, de ne pas voir ce qu'on a reçu, et accompli, s'éteindre. Chez l'homme le regard du non père, ce sera plus une sorte de dédain envers un enfant qui n'a jamais réussi véritablement sa mue, qui a failli. C'est vrai que chez la femme, on est dans quelque chose de plus "primal", comme celle qui a fait un pas en dehors de la meute, de la tribu, de sa nature profonde, qui tient plus de l'instinctif que de la critique rationnelle. Et qui résonne en elle, quelque part. Enfin je pense. Je parles des classes moyennes inférieures comme des diplômées, bref, ceux qui apportent quelque chose à la société. Il me semble plutot sain, normal, rationnel d'escompter que ceux ci réussissent mieux l'éducation de leurs enfants que les couples exclus, donc, pourquoi mettre le paquet sur ces derniers en faisant porter ce poids sur les premiers ?
  8. Ah c'est donc que toutes celles qui se plaignent qu'il est trés difficile pour une femme diplômée et/ou menant une carrière d'envergure de concilier la vie professionnelle et la maternité sont des connasses qui geignent pour rien. Je suis heureux de l'apprendre. Vous ne trouvez pas sérieusement que le fait de savoir que plus une femme est diplômée, et réussit socialement, plus elle est intelligente, moins elle se reproduit ? Vous ne trouvez pas ça un peu du gâchis, mème un tout petit peu ? Si elles ne veulent pas d'enfants, soit, mais si elle réduise leur nombre d'enfants à cause de freins qu'on pourrait lever, ca vaut eventuellement le coup de s'interroger? par ailleurs quid des classes moyennes dont les deux membres de la famille qui travaillent gagnant juste assez pour n'avoir droit à rien socialement, mais qui sont tenus de contibuer massivement à la maternité/paternité de celles et ceux qui n'ont que peu travaillé dans leur vie, et qui repoussent aux calaques grecques leur premier enfant parce que le crédit de la maison, les impots, l'invertitude pro, ce sont des pauvres cons qu'il convient de cracher à la gueule aussi en leur disant, crache le pognons pour la solidarité sociale et ferme ta gueule ? Et c'est moi l'anti humaniste parce que je ne veux pas privilégier massivement les cassos dans leur reproduction aux détruimens de couples potentiellement plus favorables pour éduquer des enfants...
  9. Vous prêchez un converti. Mais c'est précisément pour ça qu'il faut réfléchir sur ces situations concrètes. Rembourser pour les longues études les pratiques médicales coûteuses visant à allonger la possibilité de procréer par exemple. Faciliter la reprise des études pour une mère les ayant interrompues. Donner un complément de salaire pour les mères ayant interrompu leur carrière. Penser à aider la création de crèches et de lieux scolaires plus petits proche de la situation pro des femmes diplômées. Que sais je encore...mais ça nécessite d'accepter qu'une politique sociale positive pour la société n'est pas exclusivement dédiée aux foyer en rupture et au contraire, qu'encourager ceux ci à ne faire un nombre d'enfant plus raisonnable et ainsi mieux gérables pour la collectivité n'est pas un manque de générosité mais une pratique salutaire pour tout le monde on fine. Reproduire le gène des fans du PSG serait une grave erreur. Dans bienvenue à gattaca, ça aurait été le premier gène à éliminer. Pour réagir sur la différence en terme de pression sociale, un homme n'ayant pas d_enfants est considéré comme enfant par ses pairs pères si j'ose dire. La pression est moindre mais elle existe. Que vous soyez le seul homme pour transmettre le patronyme, ou que vous voyez vos frères élever une famille que vous n'avez pas, il y a pression virile et à terme disgrâce dans le milieu familial. Question pression sociale par contre je reconnais, c'est bien plus cool.
  10. Je ne suis pas en désaccord avec ce que vous dîtes, la provoc en moins. C'est bien pour ça que je pense qu'il faut faire évoluer radicalement notre modèle social pour s'adapter au rythme de vie de ses femmes aux longues études qui réussissent professionnellement. Qu' à titre perso ça ne vous intéresse pas ça vous regarde mais pourquoi vous opposez vous au principe pour les autres ?
  11. Oui, sur le tard principalement à cause de la difficulté à associer carrière et maternité, ainsi que le coût pour un couple désirant élever l'enfant dans de Bonnes conditions. Il est vrai que la pression sociale s'exerce très différemment sur un homme et une femme sur cette question, je ne peux pas le nier. Mais c'est aussi lié à une différence dans l'horloge biologique et souvent, une femme se met la pression aussi car elle sent la fin de sa fertilité approcher. Il y a une pression sociale indéniable, mais aussi une pression biologico instinctive. Raisonnez ainsi : si une femme diplômee et réussite pouvait vivre sa maternité plus tôt, elle ne repousserait pas la question de savoir ce qu'elle veut vraiment jusqu'au moment où l'horloge biologique et la pression sociale conjuguent. Un surcroit de liberté ne peut pas être nocif à celles qui décident que n'importe qui les remplaçant fera aussi bien l'affaire qu'elle spourvu que ça n'impacte pas leur vie. Et après elles le Déluge.
  12. Mais pas du tout. Je suis pour la mobilité sociale. Justement actuellement, un type naissant dans un contexte social peu favorable mais réussissant par son mérite ne bénéficiera pas de l'énorme prime sociale à la reproduction qu'il aurait obtenue si il avait été en echec, avait fait de la prison, n'avait jamais travaillé, etc. Je trouve cette logique dysfonctionnelle.
  13. Je pense à contrario que notre politique sociale actuelle est irrationnelle et produit les effets contraires que ceux escomptés. Vous savez pour prendre une cas différent, les lois anti expulsions sont moralement bonnes, mais dans la réalité, les propriétaires face au risque ont augmenté drastiquement leurs exigences envers les locataires quitte à attendre un peu plus pour louer. Exemple type d'une mesure produisant l'effet inverse recherche. Je ne vois pas comment on peut être d'accord avec le 1 et le 2 tout en niant la rationalité du 3. Et heureusement qu'on se sert de la biologie de manière pratique. C'est pour ça que 90 % des enfants trisomiques ne naissent pas. On peut être en désaccord moral avec cette sélection eugénique, mais guère sur sa rationalité. De même qu'il existe une bio éthique pour les possibilités que nous offre la génétique, pourquoi ne pas raisonner socialement en mesurant la question morale avec l'intérêt de la société. Je n'en suis pas persuadé. Beaucoup de femmes diplômées et en réussite sociale de plaignent bien souvent de devoir léser un des deux aspects de leur vie pour s'epanouir dans l'autre. Pourquoi seriez vous opposee à évoluer dans notre modèle social pour répondre à ces dilemmes inédits dans l'histoire ?
  14. Je ne prétends pas qu'un individu dépende exclusivement de son patrimoine génétique évidemment, mais en nier l'impact n'est pas non plus très réaliste. De toutes façons, quelles que soient les parts sociales et génétiques, les statistiques sont implacables et montre le cloisonnement social des familles en ruptures alors que nous n'avons jamais été aussi prolixe en matière de solidarité sociale. Je pose la question, pour le bien de la société, vaut il mieux encourager les probabilités d'échec et freiner les probabilités de réussite ?
  15. Je pense que l'impact sur la carrière professionnelle et le coût financier sont des freins très importants, oui, et qu'il est plus que temps de penser la société avec l'évolution de la condition féminine. La pression du coût social sur les salaires est en effet énorme. Ceux qui ne font pas d'enfants par choix ne sont pas concernés par ces mesures. Pourquoi les y inclure ?
  16. Je crois que vous ne réalisez pas bien le poids pour un ménage dont les deux parents travaille que représente, en terme financiers et de complication de vie, le fait de faire trois ou quatre enfants. Quand à moins de deux enfants par femme, il n'y a qu'a constater l'accroissement de notre population ces 30 derniéres années qui ne s'expliquent pas par le baby boom, et il s'agit d'une moyenne. Autrement dit, un couple qui fait 4 enfants en logement social et une classe moyenne travaillant pour le reste de la société n'ayant pas d'enfant à l'age de 30 ans, ca fait deux enfants par femme. Je trouverai ca mieux que le couple de classe moyenne aie deux enfants, ainsi que le couple vivant en logement social, ne travaillant pas et vivant dans un contexte socio culturel compliquant : la moyenne est sauvegardée, mais le matériel humain est meilleur. Je ne suis pas en désaccord avec ça : mais la mentalité catholique fonctionne sur la charité. Là on parle d’ingénierie sociale extrêmement couteuse qui favorise la démographie des cellules familiales en rupture, et décourage celle des classes moyennes intégrées. Il ne faut pas confondre solidarité chrétienne et système social défaillant produisant l'inverse de ce qu'il est supposé soulager. Encore une fois vous fantasmez totalement les conditions de vie des pharmaciens, par exemple, et du poids écrasant notamment de la solidarité sur leur revenus. Qu'ils ne volent pas au passage car ils ont fait des études, et travaillent pour cela, en ayant un rôle positif dans la société. Mais répondez à la question : trouvez vous que les nids à logement sociaux ou se nichent l'intégralité des cataclysmes sociétaux, échec scolaire, culturel, criminalité, comme un facteur positif à encourager, ou plutôt à résoudre sur le long terme ? La gratuité des équipements culturels et sportifs et omniprésente, ainsi que le coup de pouce données aux soit disantes "basses extractions", dans les quartiers qui concentrent 75 % des problémes de la France : Scoop, non seulement ça ne marche pas, mais ça aggrave le probléme qui devient endémique. A quel moment vous rendez vous compte que le niveau de l'école baisse précisément parce que le niveau général baisse et qu'il est devenu impossible de maintenir un tel niveau d’exigence sans un élitisme et une sélection, et donc, une casse sociale énorme ? Ce n'est pas par caprice que le niveau du bac ne vaut plus rien, mais bien parce que si il était maintenu, le taux d'échec serait vertigineux. Ce que vous proposez tout bonnement, c'est de continuer notre déséquilibre démographique en faveur des moins éduqués, en ayant parfaitement conscience que scolairement, ils vont aller droit dans le mur. Votre conception morale est trés belle , mais je ne sais pas si vous réalisez le type de société que vous nous préparer en terme de désastre social et culturel.
  17. Je ne sais pas, je n'ai pas la vérité sur ces questions je sais juste que les deux influent, et que dans les deux cas, ça ne change pas grand choses aux résultats concrets. Il ne s'agit pas d'interdiction, ou d’obligation, mais de réfléchir sur un systéme social qui encourage les couches sociales avec les plus fortes probabilités d'échec social, et décourage les classes moyennes ou les probabilités d'enfants qui réussiront avec un apport pour la société. Vous n'avez pas remarqué les villes à logements sociaux financées par les allocations, baissant le niveau scolaire, et peuplant les prisons ? Vous pensez qu'il est mieux de pousser ses habitants à faire beaucoup d'enfants ? A l'inverse, pensez vous qu'il est sage de ne pas encourager voire l'inverse aux classes moyennes qui réussissent à apporter un plus à la société ?
  18. Une précision : je ne lie pas la réussite sociale à la possession, il ne s'agit pas de richesses, mais de gens qui sont intégrés, bossent, évoluent dans leur carrière, se comportent convenablement socialement. Cela inclut principalement sur l'enrichissement de l'esprit et non le matériel, car les riches au dessus de la classe moyenne auront toujours les moyens de se reproduire, ce qui n'est pas le cas des classes moyennes précisément, pour qui avoir deux enfants est une charge extrêmement lourde qu'il faut assumer alors que précisément, la carrière (souvent de la mére) s’interrompt.. La définition est ainsi extrêmement large : ce que je trouve dommageable, c'est d'avoir un système social qui encourage les exclus à se reproduire et décourage les inclus. On passe ainsi d'un système qui veut être solidaire et aider a un système qui PRODUIT des exclus et encourage les inclus à ne pas se reproduire.
  19. J'en ai cité quelques unes d'idées à la fin du sujet. Mais la premiére étape serait de réduire les aides sociales sur le seul critère du niveau de revenus, et baisser ainsi les taxes sur les salaires de ceux qui financent cette solidarité aux dépend de leur propre foyer, voire les aider. Encore une fois, penser la maternité avec la carrière pour que des "trous" ne soient pas préjudiciables, les crèches et le scolaire mieux intégrées aux entreprises, ou au moins le lieu d'habitation en arrêtant cette politique de lycées géants, arrêter l'obsession égalitaire et de mixité sociale, pourquoi pas des processus médicaux améliorant ou prolongeant la fertilité remboursés, etc.
  20. Ca se discute, à mon sens, c'est un mélange des deux, mais quelle que soit la vérité le résultat est le même ; un enfant aura une trés grande probabilité si il né dans une famille avec des parents bien intégrés, intelligents, ou que sais je, et en capacité de les éduqués que dans une famille en rupture sociale. Il me parait donc préjudiciable pour la société d’encourager à l’excès les second à être sur actifs démographiquement, tandis qu'ils existe des poids pour les premiers qu'on pourrait lever pour les aider.
  21. Si vous ne niez pas le constat, vous vous contredisez. Évidemment qu'un enfant né de parents intelligents, stables socialement et en capacité de les éduquer auront plus de chances d'ebgendrer des enfants à leur image.
  22. On est vraiment con de fabriquer des frontières et des lignées familiales alors. Et que dire de ces idiots qui veulent que ses enfants aient une bonne éducation, réussissent et s'elevent dans la société. Il ne savent pas qu'il n'y a pas de bons ou mauvais ? Au moins vous ne niez pas le constat.
  23. Êtes vous en train de me dire que 1 le patrimoine génétique des parents concernant le qi n'a aucun impact sur celui de la progéniture ? 2 la capacité notamment par l'exemple de fournir une éducation aux enfants n'a pas d'impact sur le développement de cet enfants 3 qu'il est irrationnel de vouloir mieux aider les couples et notamment les femmes réunissant ces deux critères à avoir des enfants si elles le souhaitent, quitte à un peu moins encourager ceux qui ne réunissent pas ces deux critères ? Je ne proposais pas d'obliger les gens à faire ou ne pas faire d'enfant. Juste de modifier notre philosophie sociale pour adapter et encourager les couples et les femmes intelligentes, stables, et en réussite plutôt qu'encourager les cellules familiales en difficulté. Actuellement nous faisons l'inverse. Je ne suis pas alarmiste sur le numéraire non plus. Pas besoin d'études scientifiques, qui existent malgré tout, pour constater ce qui est devant nos yeux, de toute façon je ne dis pas que c'est un absolu irréversible juste une question de probabilités. Le but n'est pas d'ibterdire mais de moins encourager de toute manière.
  24. Vous trouvez que socialement, ça ne se vérifie pas ? Où est l'échec scolaire ? Pourquoi le niveau scolaire baisse ? Quid de la criminalité ? Ma question est simple, est il rationnel d'encourager démographiquement des cellules familiales susceptibles de produire des individus alourdissant le poids de la société et décourager les autres ? Plutôt que ne prendre en considération que le critère de pauvreté, pourquoi ne pas considérer aussi l'interet de la société elle même à voir naître des enfants ayant des bases augmentant la probabilité de les voir réussir ?
  25. J'yIl y à des années de cela j'ai vu un film, une comédie américaine bas de plafond, mais qui partait d'un constat très inquiètant que je faisais moi même, tabou dans notre pays qui a à cœur l'égalité sociale : idiocracy. Le pitch : un américain absolument moyen participe à une expérience scientifique concernant la cryogénie et se réveille accidentellement dans un lointain futur où l'intelligence est devenue dramatiquement faible. Pourquoi ? Résumé dans les 5 premières minutes du film qui en sont les meilleures, on voit un couple de scientifiques brillants par souci de carrière et d'éducation de leur futurs enfants attendre toute leur vie pour se reproduire et in fine, ne plus y arriver car pas assez fertiles. En parallèle on voit un type de bas niveau, dans un campement de caravane, fricoter à droite à gauche en ayant des enfants par manque de prudence contraceptive. Par sélection génétique, les idiots se sont multipliés et les gens intelligents ont décru. Évidemment c'est caricatural, et pas très bien vu en France de considérer qu'il est plus logique d'attendre d'enfants nés dans des couples stables, intégrés, et éduqués d'être plus prometteurs que des enfants de couples ou mono parentaux socialement en rupture et moins éduqués. Pourtant c'est une réalité incontestable. Et je ne peux m'empêcher de remarquer que l'occident, ou du moins la France puisque c'est ce que j'observe sous mes yeux, à un ordre social Favorisant une sélection génétique à l'envers : grâce à notre extraordinairement genereux système social, les gens exclus vivant sous perfusion d'aides notamment en logement social et en allocs ont une démographie très vigoureuse. Logique Ils ont moins de contraintes professionnelles, et puisque l'aide sociale est le revenu principal, plus ils ont d'enfants mieux ils vivent. À contrario, plus une femme intelligente réussit socialement, moins elle a d'enfants : contraintes de carrière, mais aussi d'éducation car plus elle a d'enfants plus les revenus doivent se répartir car n'augmentant pas voire se réduisant...et oui, un trou dans une carrière c'est moins d'évolution salariale. Remarquez que certains se réjouissent de cette vitalité démographique caractéristique à la France l'envisageant purement en terme de mathématiques pour la consommation et la capacité de payer des retraites. Pour la consommation peut être, celle ci fonctionnant grâce à la solidarité nationale. Mais cela à un cout en terme de pression fiscale et donc de compétitivité économique : pas un hasard que la France soit la moins bien classée de l'OCDE sur le plan de l'attractivité fiscale. Quand au financement des retraites je suis dubitatif, pour le moins... Cette sélection inversée est devenue plus aiguë encore dans ma réflexion par la conjonction de quatres facteurs : - la fin de l'universalité des allocations familiales qui montre qu'on va de plus en plus dans cette logique " si tu du boulot, que tu gagné ta vie débrouille toi et paie les enfants de ceux en rupture sociale car on les aide eux ". Ce qui peut se comprendre quand on est de gauche et que seul le principe moral et non les conséquences concrètes importent. - l'évidence de plus en plus patente de l'echec de l'éducation nationale à réussir ce qu'on appelle l'ascenceur social, avec en plus une dégradation dramatique du niveau car on ne veut laisser personne derrière. - une immigration massive venu de pays pauvres et peu éduqués, venu en plus en grande partie des couches sociales plus precaire et en difficulté là bas, et souvent jeunes donc avec un avenir de procréation devant eux avec un système francais Favorisant leur catégorie sociale. - des avortement qui s'élèvent à plus de 200 000 par ans soit un tiers des naissances. Les conditions de la femme en occident se sont extraordinairement ameliorees en occident et pour le meilleur, mais cette situation inédite dans l'histoire et dans le monde exigé peut être pour notre avenir de repenser notre modèle social. Inventer des mécanismes qui non seulement ne pénalisent pas mais aident les femmes réussissant socialement qui interrompent leur carrière pour avoir un enfant. Adapter les crèches et même le système éducatif aux entreprises les concernant. Pourquoi pas des solutions type remboursement des frais de processus visant à allonger ou améliorer leur fertilité. Repenser notre modèle social en intégrant en plus l'intérêt de la société en avatageant ceux dont on aimerait qu'ils pérennisent leur patrimoine culturel et génétique. L'idée ne serait pas d'empêcher certains de faire beaucoup d'enfants, mais d'encourager ou plutôt de créer les conditions pour les autres scène faire aussi si ils le souhaitent. Est ce que un soupçon d'eugenisme pratiqué positivement est inenvisageable ? Je me doute que c'est une vision taboue d'envisager les choses ainsi, mais pensez vous que l'éducation nationale peut tout faire ? Pensez vous que la dégradation du qi en France mesurée statistiquement n'a pas de causes et est due au hasard ? N'avez vous pas remarqué une pression fiscale assez compliquée dans l'optique d'élever une famille ? Croyez vous que la sur représentation des foyers en rupture et sous perfusion sociale dans la criminalité et l'échec scolaire pesant très lourdement sur la société soit un hasard, ou du au fait qu'on ne les a pas assez aidé par la solidarité nationale ? Je n'ai jamais vu les choses abordées sous cet angle et trouvais intéressant de le faire quitte à me faire conspuer, car je trouve le diagnostic juste.
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