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Tout ce qui a été posté par Aglaglae
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Ces écoles qui sont désormais "Judenfrei"
Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Ridicule. Ce n'est pas parce qu'on réagit energiquement à ce qui se passe ici qu'on evacue ce qui se passe ailleurs. Il se trouve quand meme qu'on peut avoir une influence directe sur les evenements dans notre pays. Si, en plus, on baisse les bras en france, tu penses que la vie n'en sera que meilleure ? Faut arreter les argumentations à la noix. Tu vis en palestine ? Ou tu te fais juste plaisir là ? -
Ces écoles qui sont désormais "Judenfrei"
Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Oui, mais ils sont morts parce que juifs, pas parce qu'ils etaient français. Voir le monde avec des oeillères ? Parce que peut etre on prend conscience enfin de la résurgence violente de l'antisemitisme ? Tu préferes prétendre que non il ne se passe rien ? D'ailleurs il faudrait rajouter à la liste les Soral et Dieudonné, tous les théoriciens du soi-disant complot sioniste (comprendre complot juif) qui d'année en année font renaitre les théories les plus noires de l'antisemitisme. -
Ces écoles qui sont désormais "Judenfrei"
Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Demande toi plutot pourquoi les juifs font toujours partie de la liste des victimes. Pose toi les bonnes questions. -
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Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Parce qu'à force de tout mélanger, on finit par evacuer le problème. Et les assassinats continuent avec la benediction de tous ceux comme toi qui refusent de voir. Je répète : si nous ne sommes pas capables de proteger nos concitoyens juifs de ces meurtres, comment protégerons nous nos concitoyens musulmans quand ils se feront tirer comme des lapins ? Alors, de grace, regardons la réalité en face et arretons les grands amalgames destinés à faire croire que tout va bien. -
Ces écoles qui sont désormais "Judenfrei"
Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Et pourquoi ces 4 morts figurent ils sur la liste ? Pourquoi l'attentat au musée juif de bruxelles (3 morts) ? Pourquoi la tuerie à l'ecole juive de Toulouse (4 morts dont un enfant de 3 ans, un enfant de 6 ans et un enfant de 8 ans). Pourquoi le kidnapping, la torture et l'assassinat d'Ilan Halimi ? Les exactions contre un couple de juifs encore récemment (viol de la femme, agression de l'homme) ? A force de ne pas vouloir mettre un nom sur cette suite de meurtres, et de tenter de vider de leur sens ces faits, on fait tout simplement l'autruche pour notre confort personnel ou pire on laisse les habituels tenants du "complot juif" mener leur campagne centenaire. La haine monte d'un coté et la peur de l'autre. Si la république n'est pas capable de protéger ses citoyens de ces actes, à quoi est elle bonne ? Si nous ne sommes pas capables de proteger nos concitoyens juifs, comment protégerons nous nos concitoyens musulmans s'ils se font aussi tirer comme des lapins ? -
Des détails sur la dette allemande : "En entamant son mandat par la visite du site d'un massacre nazi, Alexis Tsipras a relancé indirectement la question des réparations. Voici un point sur les arguments des uns et des autres.OKDans les discussions très serrées qui vont s'ouvrir entre le nouveau gouvernement grec et les Européens, toutes les cartes seront importantes. Alexis Tsipras, le nouveau Premier ministre hellénique, n'a pas manqué, dès son premier jour aux commandes du pays, de rappeler qu'il en avait une dans la manche qui pourrait s'avérer délicate pour l'Allemagne. Visite symbolique Le premier acte officiel du nouveau Premier ministre a en effet été de se recueillir sur le site deKaisariani. C'est là que, le 1er mai 1944, 200 résistants grecs avaient été fusillés par l'occupant allemand en représailles à l'assassinat d'un général de la Wehrmacht quelques jours plus tôt. Cette visite est d'emblée une pierre dans le jardin de Berlin. Car, en rappelant les malheurs de la Grèce pendant l'Occupation - qui y fut une des plus sévères d'Europe -, Alexis Tsipras rappelle indirectement l'existence d'un dossier toujours ouvert : celui des réparations de guerre promises à la Grèce par l'Allemagne après sa défaite, et jamais payées. L'occupation Quelles sont les revendications grecques ? La Grèce a été occupée d'avril 1941 à octobre 1944. Certaines régions de Crète ont été tenues par les Allemands jusqu'à l'armistice du 8 mai 1945. La particularité de cette occupation est sa violence. Très tôt, la résistance grecque, notamment celle de l'EAM, émanation du parti communiste, a libéré des régions entières et les Allemands ont dû mener une guerre quasi ininterrompue afin de reprendre ces poches de résistances. La répression a été particulièrement sanglante. Les massacres de villages entiers ont été monnaie courante en Grèce: près de 900 ont été dénombrés. Les noms des "Oradour-sur-Glane" grecs sont innombrables : à Kalavyrta, 700 victimes; à Komeno, 317; à Distomo, 218; à Klissoura, 246... En tout, 70.000 personnes ont été tuées par les Allemands. Par ailleurs, la Grèce a été mise en coupe réglée pour participer à l'effort de guerre nazi. La population a été soumise aux pires privations. L'inflation et la famine ont suivi. La faim aurait fait 300.000 morts. Le bilan de la guerre est de 600.000 morts, soit 8 % de la population de 1940*. Le traumatisme restera longtemps dans les esprits helléniques. Les réparations Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, une conférence se tient à Paris pour évaluer les réparations qui seront demandées à l'Allemagne. Lors des accords de Paris du 14 janvier 1946, la Grèce reçoit 4,35 % du total des réparations en matériel et 2,70 % en numéraire. En tout, ces réparations s'élevaient à 7 milliards de dollars. La Grèce va recevoir un peu de matériel dans les années qui viennent, mais rien de comparable avec ce montant. Le pays est alors en proie à la guerre civile. Le régime monarchiste a besoin, pour combattre les communistes, du soutien anglo-américain. L'Etat grec ne réclame donc rien à l'Allemagne. D'autant que le plan Marshall est très généreux avec elle, politique d'endiguement communiste oblige. L'Allemagne débarrassée de son fardeau en 1953 Or, en janvier 1946, l'Allemagne n'existe plus en tant qu'Etat. C'est un simple territoire géré par les puissances alliées. La République fédérale ne sera fondée qu'en 1949. Et elle ne reconnaît les dettes passées du pays que dans le cadre de l'accord de Londres de 1953. Or, cet accord - qui suit une grande conférence sur la dette allemande qui sert aujourd'hui de modèle à Syriza pour demander une réflexion d'ensemble sur la dette européenne -, annule une grande partie des dettes allemandes et repousse le paiement des réparations à la signature du traité de paix. A cette époque, les Etats-Unis, dans l'optique de la Guerre froide, ont besoin d'une Allemagne fédérale forte et débarrassée du fardeau de la dette. La Grèce, on l'aura compris, se range alors aux arguments américains. Interprétations divergentes Or, c'est ici que les interprétations divergent. L'Allemagne rappelle que le traité "2+4", signé en 1990, entre les deux Allemagnes, l'URSS, le Royaume-Uni, la France et les Etats-Unis pour reconnaître la réunification allemande, avait valeur de traité de paix. Or, cet accord - qui a été accepté par la Grèce - ne faisait aucune allusion aux réparations. Berlin juge donc que l'Allemagne est quitte et n'a pas à payer les sommes décidées unilatéralement en janvier 1946. En Grèce, si on n'a jamais fait de demandes officielles, les partisans des réparations considèrent que le silence de l'accord "2+4" sur les réparations ne donne pas quitus des sommes prévues en 1946 qui, au contraire, devenaient exigibles du fait de la signature d'un traité de paix. Ils soulignent que la Grèce n'a pas participé aux négociations de ce "traité de paix". Reste enfin la délicate question du prêt forcé de la Banque de Grèce à l'Allemagne "accordé" en mars 1942. Ce prêt à taux zéro de 476 millions de Reichsmark (3,5 milliards de dollars) avait permis de "siphonner" les réserves d'or de la banque centrale hellénique. Et il n'a jamais été remboursé. L'accord de Londres ne prévoit rien le concernant. 1.000 milliards d'euros ? De combien, alors, l'Allemagne serait-elle redevable ? Les avis divergent. Durant la campagne électorale de juin 2012, Syriza avait estimé la dette allemande envers la Grèce à 1.000 milliards d'euros. Le calcul avait alors, très symboliquement été porté par Manolis Glezos, alors âgé de 88 ans, devenu depuis député européen de Syriza, et surtout, héros de la Résistance grecque. C'est lui qui, à 25 ans, avec son ami Lakis Sandas, a, le 30 mai 1941, décroché le drapeau nazi qui flottait sur l'Acropole. Son calcul est le suivant : les 7 milliards de dollars de 1946 représentent en valeur actualisée de l'inflation 108 milliards d'euros de 2012. A cela s'ajoute le prêt forcé (54 milliards d'euros de 2012) et un taux d'intérêt de 3%, soit 1.000 milliards d'euros. Certains avocats estiment que la facture pourrait s'élever à 600 milliards d'euros. Rapport secret Début mars 2013, une véritable bombe explose. Le quotidien To Vima publie un rapport secret du ministère des Finances. Ce rapport de 80 pages conclurait que la Grèce a légitimement le droit de réclamer des réparations. A ce moment, le montant de 162 milliards d'euros de Manolis Glezos aurait été confirmé. Mais, depuis, les choses ont changé. Le rapport n'a été remis qu'en fin d'année 2014 au ministre. Et, selon les rumeurs, il renoncerait aux réparations de 1946 et ne reconnaîtrait que le crédit de mars 1942, soit 11 milliards d'euros. Le président de la commission, Panayiotis Karakousis a confirmé au quotidien autrichienDer Standard que le remboursement de ce prêt forcé est parfaitement exigible : "Nous avons votre signature, vous nous avez payé même deux traites avant la fin de la guerre : ceci prouve qu'il s'agissait bien d'un crédit", et non du paiement des frais d'occupation qui avaient été acceptés par le gouvernement grec pro-allemand d'alors. Ce crédit n'a pas, quant à lui, été annulé en 1953. Une arme dans les négociations ? La question est désormais de savoir si le gouvernement d'Alexis Tsipras rouvrira le dossier. Puis, s'il reconnaîtra les conclusions du rapport commandé par le précédent gouvernement, ou s'il s'en tiendra à son premier chiffre. Si ce montant de 162 milliards d'euros est confirmé et avancé, il peut peser lourd. Ce n'est pas moins de la moitié de la dette publique grecque. Pour autant, cette question des réparations doit plutôt être comprise comme une arme morale que financière. L'Allemagne n'acceptera jamais de payer, ne fût-ce que 10 milliards d'euros. Le président allemand, Joachim Gauck, avait d'emblée fermé la discussion au printemps 2014 lorsque, en visite à Athènes, il avait répondu au président grec Karolos Papoulias, qui avait évoqué cette question : "Vous savez ce que je dois répondre : la question juridique est épuisée." Tout ce que peut espérer le gouvernement Tsipras, c'est la crainte de l'Allemagne de voir rouvrir une question délicate qui la ramène à son passé, renforce l'unité nationale grecque contre elle, et rappelle que l'Allemagne est un des plus mauvais payeurs de dette du 20e siècle. L'idée serait d'affaiblir Berlin dans les discussions. Mais cette arme doit être utilisée avec modération, de peur qu'elle se retourne contre un gouvernement grec qui serait accusé de faire le jeu de la xénophobie et de jeter de l'huile sur le feu. Autrement dit, cette question est, pour Athènes, à manier avec précaution..." http://www.latribune...a-la-grece.html Les faillites à repetition de l'Allemagne : "L’Allemagne joue les donneuses de leçons sur la question de savoir s’il convient d’accorder de nouvelles aides à la Grèce. Le gouvernement se montre inflexible sur le mode : “Vous n’aurez de l’argent que si vous faites ce que nous vous demandons.” Cette attitude est-elle justifiée ?Albrecht Ritschl Non, absolument pas. Dans toute l’histoire récente, c’est l’Allemagne qui a connu les pires faillites d’Etat, au XXe siècle. Sa stabilité financière et son statut de bon élève de l’Europe, la République fédérale les doit uniquement aux Etats-Unis, qui, aussi bien après la Première Guerre mondiale qu’après la Seconde, ont renoncé à des sommes considérables. Malheureusement, on a un peu trop tendance à l’oublier. Que s’est-il passé exactement ? Entre 1924 et 1929, la république de Weimar a vécu à crédit et a même emprunté auprès des Etats-Unis l’argent dont elle avait besoin pour payer les réparations de la Première Guerre mondiale. Cette pyramide s’est effondrée pendant la crise de 1931. Il n’y avait plus d’argent. Les dégâts ont été considérables aux Etats-Unis et l’effet a été dévastateur sur l’économie mondiale. Il s’est produit la même chose après la Seconde Guerre mondiale. Sauf que les Etats-Unis ont veillé à ce que l’on n’exige plus de l’Allemagne des réparations aussi exorbitantes. A quelques exceptions près, toutes les demandes ont été renvoyées à une future réunification des deux Allemagnes. C’est véritablement ce qui a sauvé l’Allemagne, cela a été le fondement du miracle économique qui a commencé dans les années 1950. Mais les victimes de l’occupation allemande ont dû renoncer aux réparations, y compris les Grecs. Quelle a été l’ampleur des défauts de paiement de l’Etat allemand ? Si l’on prend la puissance économique des Etats-Unis comme point de référence, le défaut allemand des années 1930 a eu autant d’impact que la crise financière de 2008. En comparaison, le problème de la Grèce est minime. Seul le risque de contagion à d’autres pays de la zone euro pose problème. La République fédérale passe pour être un modèle de stabilité. Combien de fois l’Allemagne a-t-elle fait faillite, au total ? Cela dépend du mode de calcul. Rien qu’au cours du siècle dernier, au moins trois fois. Après les premiers défauts de paiement, dans les années 1930, les Etats-Unis ont consenti une remise de dette considérable à la République fédérale, en 1953. A partir de là, l’Allemagne s’est portée comme un charme pendant que le reste de l’Europe se saignait aux quatre veines pour panser les plaies laissées par la guerre et l’occupation allemande. Même en 1990, le pays s’est retrouvé en situation de non-paiement. Pardon ? Un défaut ? Oui, le chancelier d’alors, Helmut Kohl, a refusé d’appliquer l’Accord de Londres de 1953 sur les dettes extérieures de l’Allemagne, qui disposait que les réparations destinées à rembourser les dégâts causés pendant la Seconde Guerre mondiale devaient être versées en cas de réunification. Quelques acomptes ont été versés. Mais il s’agissait de sommes minimes. L’Allemagne n’a pas réglé ses réparations après 1990 – à l’exception des indemnités versées aux travailleurs forcés. Les crédits prélevés de force dans les pays occupés pendant la Seconde Guerre mondiale et les frais liés à l’occupation n’ont pas non plus été remboursés. A la Grèce non plus. Contrairement à 1953, il s’agit moins aujourd’hui d’accorder une remise de dette à la Grèce que d’étirer l’échéancier du remboursement. Peut-on dire que le pays est menacé de faillite ? Absolument. Un pays peut faire faillite même s’il n’est pas complètement fauché. Tout comme en Allemagne dans les années 1950, il serait illusoire de croire que les Grecs pourront s’acquitter seuls de leur dette. Aujourd’hui, il faut fixer le volume des pertes auxquelles doivent consentir les créanciers de la Grèce. Et, surtout, il s’agit de savoir qui va payer. Et le premier des payeurs devrait être l’Allemagne… En résumé, oui. Nous avons été très inconséquents – et nos industries exportatrices s’en sont bien trouvées. Personne en Grèce n’a oublié que la République fédérale devait sa bonne forme économique aux faveurs consenties par d’autres nations. Les Grecs sont parfaitement au courant des articles hostiles à leur égard parus dans les médias allemands. Si le vent tourne dans le pays, de vieilles revendications liées aux réparations de guerre pourraient refaire surface, y compris dans d’autres pays européens. Et si l’Allemagne se trouve contrainte de les honorer, nous y laisserons notre chemise. En comparaison, le renflouement de la Grèce est plutôt une bonne nouvelle. Si nous écoutons les boniments dont on nous abreuve et si nous continuons à jouer les grippe-sous, le cigare aux lèvres, nous sommes condamnés tôt ou tard à voir resurgir de vieilles ardoises. Quelle solution serait actuellement préférable pour la Grèce – et l’Allemagne ? Les faillites qu’a essuyées l’Allemagne au siècle dernier nous enseignent que le plus raisonnable serait de consentir une remise de dette généreuse. Ceux qui ont prêté de l’argent à la Grèce seraient alors contraints de renoncer à une bonne part de leurs créances. Certaines banques n’y survivraient pas, et il faudrait alors mettre sur pied de nouveaux programmes d’aide. Cela pourrait revenir cher à l’Allemagne, mais, d’une manière ou d’une autre, il nous faudra mettre la main à la poche. Et puis la Grèce se verrait ainsi donner une chance de prendre un nouveau départ." http://www.courrieri...-dette?page=all
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Ces écoles qui sont désormais "Judenfrei"
Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
C'est tout à fait ça, parler de la montée de l'antisemitisme (et là je suis dans l'euphemisme au vu des derniers attentats) déclenche la concurrence victimaire comme tu dis. Il n'est pas envisageable pour certaines personnes de se faire "doubler" par d'autres "victimes", c'est insupportable. Reconnaitre qu'il y a un vrai problème est que les juifs sont, une fois encore, les cibles d'une idéologie meurtrière n'est juste pas audible. Nous ne sommes pourtant ni en Israel, ni en Palestine et n'avons aucuns lien avec ce conflit, pretexte aux dechainements de violence dans toute la planete. Par contre, nous nous devons de protéger nos concitoyens visés par les assassinats. Honte à ceux qui ne veulent voir que leur propre victimisation, à force de tenter de vider de tout sens ce qui se passe en ce moment pour tirer la couverture à eux, ils pourraient réellement être les prochains sur la liste. -
Ces écoles qui sont désormais "Judenfrei"
Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Je crois que tu mélanges pas mal de choses. Le genocide juif, par son ampleur est toujours d'actualité, c'est evident. D'abord parce qu'il a eu lieu pres de chez nous, ensuite parce qu'on a découvert l'horreur apres la guerre. Enfin, parce qu'il est largement documenté, que certains des responsables ont été jugés, et qu'il fait partie de ce qui a créé l'europe. Le génocide juif, néanmoins, n'etait que le point d'orgue de massacres perpertrés depuis bien longtemps, massacres qui s'acharnaient sur la meme population, au nom d'idée completement delirante de domination de lobby, etc... Ose me dire que ce n'est plus d'actualité ! Alors oui, d'autres massacres ont eu lieu, mais aucun n'a eu la "massivité" et la durée dans le temps de cet acharnement contre cette population. Et il ne s'agit donc pas d'empecher les critiques contre Israel et sa politique, il s'agit d'arreter de s'en prendre à des gens qui n'ont fait de mal à personne. Quand aux islamistes, ces cinglés, il convient de les empecher de nuire par tous les moyens, point. -
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Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Ca n'en est pas moins consternant. -
oui, mais plus simplement l'intolerance envers son voisin. Quelque soit sa couleur d'ailleurs, avant c'etait le village d'a coté, maintenant c'est le pays un peu plus loin.
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je crois surtout que c'est une question de situation economique. Plus l'incertitude de son devenir augmente, plus la tolérance baisse. La montée des partis comme le FN en ce moment et comme bien d'autres avant en est le reflet le plus evident.
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Aglaglae a répondu à un(e) sujet de Zelig dans International
Ce que je lis sur ce fil me consterne... Comment peut on en etre encore là, 70 ans après le massacre des juifs ? -
Si tu parles des elections européennes, un parti contre lequel plein de gens se battent. Au cas ou tu ne l'aurais pas remarqué. D'ailleurs, as tu voté ?
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On parlera plutot d'un régime oligarchique que d'un regime aristocratique, mais bon. Des doutes ? Disons que c'est pas gagné en effet, mais la partie va etre interessante à suivre, et il n'est pas certain que les choses ne s'arrangent au final, vu que c'est l'interet de tout le monde. En tous cas, Tsipras c'est l'honneur retrouvé de la gauche européenne, et rien que pour ça, chapeau !
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Tu as raison, j'aurais dire l'Afrique Noire. Mon propos etait surtout de dire que malheureusement le racisme est une des valeurs les plus partagées par l'humanité. Mais quand on le subit, c'est clair qu'on se rend moins compte qu'on le pratique aussi.
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ce posteur ne vient pas ici pour débattre.
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ben si, la France est un pays raciste. Mais ni plus ni moins que la plupart des pays, y compris ceux du Maghreb qui sont particulièrement violents avec les africains par exemple.
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non, c'est un type haineux qui ne cherche qu'à faire dégenerer la situation en rajoutant de l'huile sur le feu dès qu'il peut.
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et le départ des 150 000 juifs d'algerie en 62, soit toute la communauté, apres toute une serie d'assassinats commis par le FLN, ça te dit quoi à toi ? mmm ? alors garde tes leçons de morale pour toi et reviens au sujet, je te prie.
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"Le ministère grec des Finances a annoncé samedi après-midi avoir choisi la société Lazard pour conseiller la Grèce sur sa dette, dont elle souhaite effacer une grande partie. «Le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, annonce qu’il charge la société de conseil financier Lazard de conseiller le ministère des Finances sur la dette publique et la gestion de la politique fiscale», indique le communiqué. Ce choix ne tient pas du hasard, visiblement. Vendredi en effet, interrogé sur la radio BFM Business, Matthieu Pigasse, vice-président de Lazard en Europe, a préconisé une réduction de moitié de la dette détenue par des créanciers publics, soit une réduction d’environ 100 milliards d’euros sur les 320 environ que représente cette dette (ou quelque 175% du PIB grec). La banque a déjà conseillé la Grèce de 2010 à 2012 et elle est actuellement le conseil du fonds de restructuration bancaire grec. «Cette restructuration est absolument nécessaire. Elle est non seulement nécessaire mais elle est possible», a estimé M. Pigasse, en jugeant que «la Grèce est devenue le laboratoire de ce que peut être l’Europe demain». «Je pense qu’il faut réduire de moitié la dette détenue par les institutions publiques en Grèce», a-t-il ajouté." http://www.liberation.fr/economie/2015/01/31/la-grece-choisit-lazard-pour-la-conseiller-sur-sa-dette_1192840 "Le ton est donné avant la tournée qui doit emmener le ministre des Finances à Paris donc, mais aussi Rome, considérée comme un allié possible contre l'orthodoxie budgétaire. Initialement, il devait aussi passer par Londres dimanche. M. Tsipras commencera lui par Chypre dimanche, île divisée entre la Grèce et la Turquie. Il ira ensuite à Rome mardi, et à Paris mercredi. Ce plan de vol illustre la volonté du gouvernement de M. Tsipras de compter ses soutiens. Nul doute qu'il suivra aussi la manifestation annoncée samedi à Madrid du parti antilibéral Podemos, allié de Syriza. Mais avec son principal contradicteur, l’Allemagne, le gouvernement grec devrait continuer son dialogue de sourds par voie de presse. http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/20150131.AFP7239/le-ministre-des-finances-grec-attendu-a-paris.html Visiblement, il semble que le Portugal se range derrière l'Allemagne et refuserait tout compromis.
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Merci, je regarde. C'est interessant, mais on n'a pas accès au rapport. Dommage !
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Un lien ? Une source ?
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trop tard ! Je pense qu'il y a plein d'autres endroits ou tu pourras voir ces videos "interessantes" et lancer tous les débats que tu voudras. Ici meme, on en a déjà vu des centaines. Ramassis de conneries. Merci la censsure (:D) ça nous fait des vacances.
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Bon vent ! :D
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Varoufakis aujourd'hui et demain à Paris donc. Attendons les news :D