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Tout ce qui a été posté par Genesiis
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Bien des autorités ont été cachées au fil du temps. Cette attitude défie l'autorité apparente quelle qu'elle soit. C'est donc une autorité révolutionnaire même si elle est conservatrice ou mafieuse... Veut-elle mettre en place une royauté où une république ? Sa structure est de nature élitiste puisque ne peut être caché à la majorité qu'une minorité ; Le caché relève donc du royalisme. Ca me semble dingue mais il semblerait que vous ayez posé la bonne question. Car en posant que Dieu caché comme Dieu révélé est royaliste alors il faudrait que Dieu ne soit pas raisonnable pour être républicain. Heureusement que Dieu est amour ! Merci.
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dubandelaroche : Se soumettre à un dieu c'est une chose, se soumettre aux hommes en est une autre. J'attendrais qu'un "dieu" me dise ce qu'il attend de moi..............les intermédiaires je les emmerde. genesiis : De profundis clama te tuo Deus dominum. Il nous est délicat, alors que nous sommes dans l'ombre, de s'ouvrir à la lumière. Les intermédiaires ont alors leur utilité ; mais, si vous êtes à l'écoute, vous pouvez vous adresser à Dieu ; Attention Il est souvent subtil car la fin des temps n'est pas encore venue !
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--- jean : Vous voyez des gens coupables. En quoi sont-ils responsables de votre malheur ? genesiis : Lorsque l'on me marche sur les pieds, je ne me laisse pas faire. Mais je reconnais avoir de grands pieds.
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jean : Faire culpabiliser là où le naturel a tout ce qu'il y a de plus sain, voilà qui relève du ressentiment, de la vengeance, comme dirait Nietzsche. Vous êtes donc du côté des vengeurs. Est-on coupable de vivre, c'est-à-dire de se développer, puis de rayonner dans la sphère de l'autre ? genesiis : Il s'agit d'être coupable, car, oui, nous sommes coupable de consommer une vie et ainsi responsable de ce que nous en faisons. Mais j'évite d'avoir du ressentiment injustifié ni désir de vengeance improductive. Dompteur de mots : non, nous ne sommes pas coupables de consommer une vie. C'est une absurdité de le penser. genesiis : Pourriez vous étayer votre opinion, je vous prie ? Ne consommez-vous pas toutes les ressources qui vous sont nécessaires pour vivre ou êtes vous mort ? Dompteur de mots : Que faut-il pour déclarer la culpabilité d'un individu ? Il faut, au moins théoriquement, que l'on considère que l'individu en question avait le choix de ne pas agir de la façon dont il a agi. Le meurtrier est coupable de meurtre parce que théoriquement, il pouvait choisir de ne pas commettre de meurtre. genesiis : Non, il suffit, qu'en toute justice, l'acte reproché soit responsable ; La défense de Ravachol (voir sa déclaration) l'a mené à l'échafaud. Dompteur de mots : Or, nous ne sommes évidemment pas théoriquement libres de venir au monde ni de continuer à vivre. Cela est une aspiration qui est plus forte que toutes les forces morales qui nous habitent. genesiis : Nous avons la possibilité de gaspiller notre vie de bien des façons, notamment en prenant des risques.
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La culpabilité est probablement un sentiment que vous niez mais qui n'empêche nullement d'être coupable. Je considère que vous devenez injurieux.
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cassandre : d'ailleurs on dit bien de DIEU quand on en parle: LE ROYAUME DES CIEUX genesiis : C'est bien là un des nœuds du problème : s'il y a bien un royaume céleste, pour autant certains prient "que Ta volonté soit faite sur la terre comme aux cieux". Il n'est donc pas évident que Dieu soit (actuellement) royaliste sur Terre.
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jean : Faire culpabiliser là où le naturel a tout ce qu'il y a de plus sain, voilà qui relève du ressentiment, de la vengeance, comme dirait Nietzsche. Vous êtes donc du côté des vengeurs. Est-on coupable de vivre, c'est-à-dire de se développer, puis de rayonner dans la sphère de l'autre ? genesiis : Il s'agit d'être coupable, car, oui, nous sommes coupable de consommer une vie et ainsi responsable de ce que nous en faisons. Mais j'évite d'avoir du ressentiment injustifié ni désir de vengeance improductive. Dompteur de mots : non, nous ne sommes pas coupables de consommer une vie. C'est une absurdité de le penser. genesiis : Pourriez vous étayer votre opinion, je vous prie ? Ne consommez-vous pas toutes les ressources qui vous sont nécessaires pour vivre ou êtes vous mort ?
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Mais, c'est intéressant ça ! Puisque le sophisme est suggestif en croyance ; il établi que la gestion des affaires du monde doit négliger Dieu, n'est ce pas ? C'est un coup à déclencher le Jugement.
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Bien, maintenant si on en revenait au sujet ?
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pascalin : La vie n'est là que pour qu'on la baise et que l'on fasse des petits sur son dos , de façon mesquine , de façon faux-cul, de façon faux-semblant bien pensant genesiis : Ainsi donc vous ne comptez pas élevez vos enfants ? Vous voyez bien que ça a un sens.
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Je suis désolé si mon expression incite au suicide, ce n'est aucunement le but, au contraire. Car il s'agit de faire quelque chose de nos vie, ce qui implique que la vie a un sens. Or la vie a un sens, et pas n'importe lequel ; on peu voir ce sens dans l'évolution mais aussi dans les religions de lumière : la conscientisation, l'accroissement de la prise de conscience (en opposition à l'accroissement de l'entropie). Ce qui fait que nous devons bien gérer les consciences qui sont sous notre influence pour ne pas gaspiller notre vie. Dans un premier temps il peut être confortable d'avoir l'opportunité de sauver une vie ; quitte a provoquer cette opportunité : faire des études de médecine, être pompier, s'occuper d'actes charitables... Mais surtout on ne doit pas négliger sa propre conscience, en étant ouvert au dialogue, en essayant de comprendre ; certains pourraient dire qu'il faut éviter la connerie. Parallèlement à ça, il ne faut pas consommer ce qui est surperflu : trop manger, ne pas utiliser les transports en commun, être orgueilleux...
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--- Genesiis, le 23 décembre 2013 - 02:59, dit : Revendiquez-vous (Permettez que je m'adresse à la conscience de chacun) la liberté de marcher sur les pieds de vos voisins ? jean : Faire culpabiliser là où le naturel a tout ce qu'il y a de plus sain, voilà qui relève du ressentiment, de la vengeance, comme dirait Nietzsche. Vous êtes donc du côté des vengeurs. Est-on coupable de vivre, c'est-à-dire de se développer, puis de rayonner dans la sphère de l'autre ? genesiis: Il s'agit d'être coupable, car, oui, nous sommes coupable de consommer une vie et ainsi responsable de ce que nous en faisons. Mais j'évite d'avoir du ressentiment injustifié ni désir de vengeance improductive. --- Genesiis, le 23 décembre 2013 - 02:59, dit : Car en fait ce que vous consommez, par jouissance de vos pulsions notamment, est autant que d'autres ne pourront pas consommer en espace-temps-énergie limité. Simplement, nous mangeons à la même table. Mais peut-être jugez-vous que vous en faites un usage des meilleurs. D'autres pourraient juger du gaspillage autrement, avec autorité ; comme vous pouvez juger de la bonne fortune d'autrui. L'humilité serait donc une optimisation de ce que nous faisons de notre vie. jean : Apparemment, vous avez un problème avec ceux qui savent mener leur vie (les "meilleurs", comme vous les appelez). Vous empêchent-ils de vivre votre vie ? Dans ce cas, regardez plutôt de votre côté, et vous résoudrez peut-être ce problème. genesiis : Votre sollicitude est touchante mais je décline votre offre.
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--- tison : Cet exemple m'intéresse parce qu'il atteste en outre que le musicien, en jonglant avec des sons, ne peut en aucun cas être suspecté d'empiéter sur la liberté d'autrui. genesiis : La pollution sonore existe. La liberté de jouir de la tranquilité du silence peut être mise à mal par le plus doué des musiciens.
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Genesiis, le 23 décembre 2013 - 02:59, dit : Car en fait ce que vous consommez, par jouissance de vos pulsions notamment, est autant que d'autres ne pourront pas consommer en espace-temps-énergie limité. Simplement, nous mangeons à la même table. Mais peut-être jugez-vous que vous en faites un usage des meilleurs. tison : Il n'est pas question d'aller manger dans le plat du voisin. Imaginons qu'il y ait une dizaine de convives à table, et que chacun dispose de la même quantité de nourriture. genesiis : Il y a plus de 7 milliards de convives à la table de la Terre ; et nombreux sont ceux qui consomment dans l'assiette de son prochain : par exemple, la France va chercher du pétrole en Afrique... et ses échanges se font souvent sous la menace armée, les fourchettes sont bien aiguisées.
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Revendiquez-vous (Permettez que je m'adresse à la conscience de chacun) la liberté de marcher sur les pieds de vos voisins ? Car en fait ce que vous consommez, par jouissance de vos pulsions notamment, est autant que d'autres ne pourront pas consommer en espace-temps-énergie limité. Simplement, nous mangeons à la même table. Mais peut-être jugez-vous que vous en faites un usage des meilleurs. D'autres pourraient juger du gaspillage autrement, avec autorité ; comme vous pouvez juger de la bonne fortune d'autrui. L'humilité serait donc une optimisation de ce que nous faisons de notre vie. Evidemment là aussi le terme liberté est galvaudé puisque il y a des conséquences à nos actes comme notre emprunte de cendre témoigne sur (pour/contre) nous.
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J'en vois qui en sont encore à confondre la liberté et le sentiment de liberté.
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Les langues sont parfois un peu trop vivantes ;-) Elles peuvent alors perdre la mémoire. Les animismes ne sont pas tous opposés au monothéisme. Car les esprits peuvent être soumis à Dieu. Ainsi parle-t-on de grand Esprit, de Terre mère, de Tout, de Panthéon... alors même que ailleurs on parle de sainte Trinité.
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Certes, aujourd'hui nous pouvons douter que le don de bien gérer les affaires publiques et sociétales n'est pas héréditaire. Mais il fut un temps où seul le roi pouvait dispenser une éducation royale. De plus, encore aujourd'hui, des fortunes passent de mains en mains avec pour seule raison que la filiation ; par héritage où legs. Ainsi le fils de Dieu n'est-il pas légitime à hériter de Dieu ? L'amour ne perpétue-t-il pas l'éternité de la sentience ?
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Quel dieu mérite d'être appelé dieu s'il n'est pas éternel, alors ne mérité t-il pas le nom d'Eternel ?
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La causalité peut effectivement n'être qu'une apparence ; mais alors il ne sert à rien d'en discuter puisqu'il n'y a pas de raisonnement valable sans raison.
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Il me semble que la causalité anéanti toute réalité de liberté.
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tison : Je soumettais donc à la critique ma tentative d'associer la notion de liberté avec celle de créativité. genesiis : Avez-vous le numéro de votre intervention où vous démontrez le lien entre les deux ? tison : J'ai déjà argumenté quant au lien. Je me suis même répété en te répondant. Et tu voudrais que je me répète une 3e fois ? genesiis : Nullement, ça vous arrive de lire avant de répondre ? --- tison : En revanche, je n'ai rien à démontrer, y compris pour parler de liberté en tant qu'état d'esprit, c'est-à-dire en tant que vécu subjectif, donc indémontrable. genesiis : Si vous vous excluez de la démonstration alors je dois prendre votre expression pour un témoignage ; Je respecte votre témoignage mais il ne fait pas le poids face au raisonnement sur la causalité. Ainsi vous définissez votre liberté et votre créativité comme un leurre ; une tautologie qui vous isole. Car voyez-vous, nous ne sommes pas vraiment seuls puisque nous sommes semblables, le fait que nous puissions communiquer prouve notre degré de cosentience. Le subjectif est alors un bien commun sur lequel on peut raisonner, faire des démonstrations sqfd. --- tison : La philo n'est pas une science, comprends-tu ? genesiis : Certains considèrent que c'est la première des sciences, dans le sens historique et dans le sens réflexif. Alors je comprends votre fermeture d'esprit mais je doute que vous m'autorisiez à ne pas la partager.
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tison : Je soumettais donc à la critique ma tentative d'associer la notion de liberté avec celle de créativité. genesiis : Avez-vous le numéro de votre intervention où vous démontrez le lien entre les deux ?
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Etre omniscient n'est pas tout savoir mais pouvoir tout savoir. Ceci dit, comment l'homme peut-il se transcender vers Dieu sans apprendre par la souffrance ? L'homme est souvent si fainéant , qu'il serait bien capable de rejeter sa spiritualité. Quand pensez-vous à la mort que face à la mort ? Pourtant la mort nous attend tous a terme. Vous moquer de Dieu ne vous aidera pas beaucoup face à Lui. Les atrocités vous révoltent ? Super ! Qu'attendez-vous pour les faire cesser ? Même Jacob c'est battu avec l'ange.