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asptelte

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Tout ce qui a été posté par asptelte

  1. A choisir entre un bon plat et un de m-rde (le plat) je me demande quel libre-arbitre pourrait choisir ledit de m-rde … les gens qui rêvent de nul ne sait quel paradis le veulent négativement, n’ont pas la volonté positive de s’y rendre et comment le pourraient-ils nul n’étant jamais revenu du séjour des morts pour en parler ! Beaucoup rêvent de nul ne sait quel paradis comme d’une récompense par Le Vieux accordée en raison de la vie terrestre vertueuse qu’ils auraient pu avoir. De cette récompense ineffable si bien chantée par Robert, ledit «saint», s.j, assassin de Giordano Bruno : … telle la banane lancée au singe, la carotte pour faire avancer l’âne en somme ?
  2. Si je vous dis que le hasard préside à la naissance des individus et donc aussi concomitamment à leur mort puisque naître c’est mourir vous allez me traiter de chimérique ? Vous voulez nier le hasard ou la mort qui pourtant sont des réalités positives, rêver d’un monde au-delà de la mort ou de la naissance puisque naître c’est mourir voilà ce que vous cherchez à faire et maintenant à moi qui vous parle de la naissance ou de la mort comme autant de réalités positives vous me traitez de chimérique ? … euh c’est pas un peu le monde à l’envers votre truc ? Pourquoi, vous croyez que vous pouvez croire n’importe quoi n’importe comment, qu’il ne doit pas y avoir des raisons de croire ? Qui vous croit ? Si c’est indicible pourquoi chercher à l’exprimer ? Par définition l’indicible n’est-il pas ineffable, inexprimable ? A quoi bon chercher à expliquer l’indicible, l’inexprimable, l’ineffable ? Que veut dire « voir Dieu » ? Qui le sait ? « voir Dieu » est-ce une réalité positive, plus que la naissance ou la mort puisque naître c’est mourir ?
  3. Je vous avais pourtant posé une question simple à comprendre : « vous avez trouvé une autre théorie athée pour expliquer l’évolution des espèces vivantes de l’amibe jusqu’au cerveau humain, que vous allez développer ici j’espère » avais-je demandé … ? - Quelle explication (athée) mieux capable de prédire les résultats des mesures apportez-vous contre le darwinisme ? Pourquoi ne répondez-vous pas d'abord à des questions simples, vous embarquez-vous d'emblée dans des questions obscures autant qu'incompréhensibles, auxquelles jamais personne ne peut répondre ? A questions incompréhensibles réponses incompréhensibles : ici réside l'obscurantisme dans lequel les religions (toutes) n'ont jamais cessé de patauger !
  4. Non vous ne l’êtes pas en tout cas c’est ce que vous dites, comment pourriez-vous l’être en disant ce que vous dites ? Or si vous dites que n’êtes pas créationniste on est en droit de le croire ou penser encore qu’il ne suffise pas de dire quelque chose pour que ce soit vrai, mais alors vous êtes panthéiste en tout cas c’est ce que vous êtes censé être si vous dites que vous n’êtes pas créationniste car il n’y a pas d’alternative possible en dehors du panthéisme ou du créationnisme. Maintenant si vous dites que vous n’êtes pas créationniste, ce qu’on est en droit de croire ou penser si vous le dites, alors vous ne pouvez pas vous dire ou être chrétien car il est impossible à quiconque de se dire ou d’être tout uniment chrétien et panthéiste. Ensuite vous dites que vous n’êtes pas darwiniste or si vous êtes panthéiste alors si vous n’êtes pas darwiniste alors vous avez trouvé une autre théorie athée pour expliquer l’évolution des espèces vivantes de l’amibe jusqu’au cerveau humain, que vous allez développer ici j’espère, les panthéistes étant des athées particuliers. Ma position est que créationnisme et panthéisme sont deux couleuvres métaphysiques également indémontrables, deux systèmes de pensée également vrais ou faux en tout cas qui font jaser dans les chaumières, conversationner les doctes ignorants bah pourquoi pas ? Le coup du petit jésus sur la paille entre l’âne et le bœuf qui maintiendrait à tout instant l’univers dans l’existence avec ces petits bras musclés euh … honnêtement ça me pose problème ! … pas vous ? En attendant y’en a qui enseignent ça avec le plus grand sérieux dans d’obscurs instituts, catholiques et autres !
  5. Qu’est-ce que vous dites ? Ne savez-vous donc pas qu’en Dieu il n’y a pas de parties, que Dieu est tout en tous ou n’est pas ? Qu’en toute chose actuellement existante Dieu est tout entier présent non par quelques parties, comme la cause d’existence qui lui donne d’exister en étant ce qu’elle est ? … en tout cas que c’est ce qu’enseigne doctement, la doctrine créationniste ! Euh je ne sais pas si le bonheur suprême pourrait consister dans l’art de « contempler la face de Dieu » en tout cas pas au sens où on l’entend habituellement ! Comme si « voir Dieu » devait se comparer à la contemplation d’un beau spectacle, d’une œuvre d’art, ou autre … non je pense que « voir Dieu » doit être compris au sens d’éprouver Dieu, de voir comme Dieu voit en somme.
  6. Encore une fois je pense que toutes ces questions n’ont pas lieu d’être, du moment que s’opère dès le départ la distinction entre une ou des vérités et LA vérité. Ne pas faire cette distinction au préalable, mène aux graves malentendus dans lesquels vous vous fourvoyez ici. LA vérité c’est la réalité, inconnaissable comme telle, tout au moins peut-on postuler 1) qu’elle existe 2) qu’elle est inconnaissable comme telle 3) que donc par conséquent elle est par nature indicible. Une ou des vérités peuvent être « vraies absolument ». Ainsi il est vrai absolument de dire, à l’intérieur du domaine de cohérence mathématique, que la somme des n premiers entiers est n(n+1)/2 ; de même il est vrai absolument de dire, à l’intérieur d’un autre domaine de cohérence, que le soleil qui a existé hier a existé hier. ==> Peut-on dire sans se tromper qu’en réalité il en est ainsi, qu’en réalité la somme des n premiers entiers est n(n+1)/2, qu’en réalité le soleil qui a existé hier a existé hier ?
  7. Vous causez bien mais il faut analyser les concepts ! En 1609, quand Galilée pointa sa lunette naissante sur la lune, il vit des montagnes et ses collègues avec lui ne purent qu'y voir des montagnes. La proposition, vraie absolument, "il y a des montagnes sur la lune" naquit alors. Un qui louchait ou quoi que ce soit, n'y vit pas des montagnes mais nul ne sait trop quoi d'autre. Illico ce fut lui l'hérétique, lui dans l'erreur, qui n'y vit pas des montagnes mais nul ne sait trop quoi d'autre. D'autres disent avoir eu des lumières "surnaturelles" ou au moins telles qu'ils les nomment, qui leur en font voir de toutes les couleurs, des choses hallucinantes, des vies éternelles allons bon, ont connu ou connaissent perpétuellement des oracles dits divins, de prétendues "révélations", sont très forts en gueule et en angéologie ou alors déraillent complétement du ciboulot. Allez savoir ...
  8. Non le nihilisme mais le degré zéro de la connaissance, qu’affectionnent les imbéciles très bêtes : « Les choses sont ainsi faites. ». « Les Mathématiques sont très utiles aux sciences physiques et généralement l’utilité par elles générée est proportionnelle à leur degré d’abstraction, parce que les choses sont ainsi faites. » n’est pas une explication mais une absence d'explication, un aveu d’impuissance. La raison humaine ne peut pas se satisfaire d’une telle parodie d’explication. La question reste posée : « Qu’est-ce qu’un fait ? ». « Le fait est la vérité. » est une proposition en elle-même vide de sens, insensée. La hiérarchie crée la valeur de vérité, est établie par une communauté de raison, d’individus. La communauté scientifique (de raison scientifique) hiérarchise les vérités scientifiques. A mon sens il faut donc rajouter une réalité très méconnue par Descartes, l’intersubjectivité, pour espérer réussir à y voir plus clair dans cette difficile histoire de « faits ».
  9. Est-il vrai de dire : «Il y a des faits mathématiques. » ? Les Mathématiques sont évidemment un outil, mais c’est un fait à prendre en compte (retour au concret) qu’un plus grand degré d’abstraction mathématique appliqué à la Physique, produit généralement une plus grande utilité concomitamment à une plus grande précision des mesures. Aussi paradoxal que ça puisse paraître, la valeur des sciences dites « exactes » (ou« sciences physiques » pour faire court) est celle de l’abstraction. Une théorie scientifique culmine d’autant dans l’abstraction, jusqu’à paraître fausse aux imbéciles très bêtes qui « s’en tiennent aux faits », qu’elle est plus utile et concomitamment donne plus de précision dans les mesures. En témoignent la Relativité ou la Mécanique quantique, dont les concepts majeurs sont un défi au sens commun. Ici apparaît l’aspect intentionnel de la connaissance humaine. Toute connaissance humaine est projection anthropomorphique, à des degrés divers. Perdre de vue ce caractère intentionnel, c’est se fourvoyer dans l’erreur qui consiste à croire que la vérité absolue est à la portée du cerveau humain, comme si c’était lui qui avait créé l’univers !
  10. Il faudrait ne pas confondre un ou des «faits» avec la vérité, une ou des valeurs avec la valeur, une ou des vérités avec la vérité, une ou des histoires avec l’Histoire. Ces amalgames malheureux conduisent à de graves malentendus. Qu’est-ce qu’un fait ? Chez certains les «faits» veulent être des substituts faciles de la vérité, comme si les «faits» étaient la vérité. Mais, qu’est-ce qu’un «fait» ? Allez savoir. Les imbéciles très bêtes sont primesautiers, dans l’immédiat, «s’en tiennent aux faits» comme on dit. Pensez-vous que la raison humaine en général, celle scientifique en particulier, «s’en tiennent aux faits » ? Difficile à cerner cette histoire de «faits»! Les faits ne sont jamais faits, il faut les faire. D’un point de vue mathématique, il est vrai absolument de dire que «la somme des n premiers entiers est n(n+1)/2». C’est une vérité mathématique vraie absolument à l’intérieur du domaine de cohérence mathématique. Ne le croyez-vous pas ?
  11. Qu'entends-je par "le vrai absolu" ? J'entends par "le vrai absolu" la réalité, le réel, chose que je présuppose exister et être inconnaissable comme telle par l'intelligence humaine ("le faux absolu" concomitamment). Qu'entends-je par une vérité vraie "absolument" ? Qu'une vérité vraie "absolument" est vraie à l'intérieur de son domaine de cohérence. En ce sens toute vérité mathématique est vraie "absolument". A mon sens pour faire une "vérité scientifique" il faut deux choses, expérience et formulation mathématique. Comme toujours, tout tourne autour des significations verbales, l'importance à chaque fois de préciser le sens des mots, ici "absolu" doit être précisément précisé.
  12. Très probablement, le vrai absolu et le faux absolu existent mais, non moins très probablement, ils ne sont pas connaissables par l'intelligence humaine. Cependant quelques vérités vraies absolument ou fausses absolument peuvent être connues par l'intelligence humaine, comme l'idée que le soleil qui a existé hier a existé hier ou celle (d'un autre ordre abstractif) que la somme des n premiers entiers, comme toujours, est n(n+1)/2. Toute vérité vraie absolument entraîne concomitamment une vérité fausse absolument (sa négation) et inversément. Entre le vrai absolu et concomitamment le faux absolu qui probablement existent comme tels, navigue l'intelligence humaine finie et limitée qui dépend de la sensibilité. Une sorte de clair-obscur entre la lumière et l'obscurité parfaites. Les vérités scientifiques y participant, qui ne sont jamais vraies absolument ni fausses absolument.
  13. Conviction n'étant pas raison, il faut probablement raisonner le vrai et le faux en termes de possible et d'impossible. Ainsi il y a des choses dont la "description verbale" est fausse "par nature" (ou forcément fausse si vous préférez) et d'autres dont la "description verbale" est vraie non moins "par nature". Ainsi il est forcément faux de dire que le soleil qui a existé hier n'a pas existé hier car il est (forcément) impossible que le soleil qui a existé hier n'ait pas existé hier. De même il est forcément faux de dire que la somme des n premiers entiers n'est pas n(n+1)/2 pour la même raison. Même chose, il est forcément vrai de dire que le soleil qui existait hier existait hier, que la somme des n premiers entiers, comme toujours, est n(n+1)/2.
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