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Couverture

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Tout ce qui a été posté par Couverture

  1. Je maintiens mon opinion, et je ne vois pas en quoi elle devrait changer. Ce n'est pas parce que les Nations Unies - malgré l'estime que j'ai pour elles - disent cela que hop, discrimination positive == POSITIF ! (Et je ne remettais pas en cause l'existence du terme, mais sa nature) D'un point de vue extérieur, ça peut paraître positif (ça a dû être fait aux Etats-Unis pour les noirs ; ça a été fait en Afrique du Sud ("l'embauche équitable") ), mais à vivre, c'est excécrable. EDIT : Correction sur l'AdS
  2. pocahontas > Tu ne vois pas un problème à ce qu'à un niveau de compétence égale, quelqu'un qui n'est pas d'origine française aie plus de chances d'être admis que quelqu'un d'origine française ? Si le contraire te choque mais pas ça ... Critiquer l'une pour promouvoir l'autre, c'est détestable. (PS : D'ailleurs, c'est marrant, comme s'il y avait deux discriminations : une bonne, et une mauvaise. La discrimination négative, celle qui va à l'encontre des personnes d'origine non française, ou d'une couleur de peau différente ; et la discrimination "positive", celle qui va en leur faveur. Bah nan, je suis désolé, mais la discrimination n'est jamais positive ; elle est toujours mauvaise. )
  3. Intéressant Moi je n'avais pas compris cela comme ça. Il constatait juste que les patrons ont le droit, non pas un droit moral, politique ou juridique, mais ils peuvent se le permettre, ils ont le pouvoir de le faire, et ça passe inaperçu. Pas de quoi fouetter un chat.
  4. Il n'a jamais dit le contraire. J'ai envie de dire que quand on ne sait pas ce que signifie le mot "individualisme", on se tait. (Et je m'excuse en même temps de dire ça, ce n'est pas aimable et pas sympa, je le sais, mais une envie insoutenable m'a pris. Je m'en excuse)
  5. Ouais, mais si c'est vrai ? Il y a bien des études sur la délinquance selon les CSP, selon les études, etc. Pourquoi ne pas le faire sur la couleur de peau, si ça mène à quelque chose ? Ne pas le faire conduit à une indécision : on occulte quelque chose.
  6. Ouais, comme les blancs. S'ils ont une bonne tête, s'ils sont vendeurs, ils sont là, sinon, ils n'ont pas de raison d'être là (c'est vrai pour 90% des présentateurs ; il y en a une minorité d'autres qui sont sûrement là pour d'autres raisons, dans des émissions très spécialisées je pense) Ouais, parce que les partis politiques veulent gagner. (En faisant fi des ambitions personnelles ^^)
  7. Pourquoi il n'y a pas de président noir en France ? Bah ouais, c'est du racisme. Pourquoi il n'y a pas de président noir en France ? Parce que personne vote pour lui. Et ça, quoi que tu en dises, c'est ta faute comme celle des autres. La télé, c'est pareil. Il y a des gens qui sont payés pour savoir exactement ce qui retient l'image du spectateur. Et ça, quoi que tu en dises, c'est ta faute comme celle des autres. Et encore, les gens de couleur sont présents à la télé maintenant : TF1 a mis Harry Roselmack à la tête de son JT, on voit pas mal de chroniqueurs probablement d'origine maghrébine, etc. (PS : Karl Lagerfeld qui recherche un mannequin de couleur blanche, c'est du racisme ?) (EDIT : Ne pas élire un cul-de-jatte président de la République, c'est de la discrimination aussi. ET C'EST NORMAL ?)
  8. Tu veux dire : pourquoi les maghrébins n'occupent pas les positions et les boulots cités ? Et tu dis que c'est de la discrimination raciale ? Eh bah ! Prenons l'exemple le plus évident : "# la plupart des adeptes de l'évasion fiscales sont blancs, c'est un fait." Ce ne serait pas par hasard parce que les riches français sont blancs ? T'appelles ça de la discrimination raciale ? Quelques raisons : - L'histoire : leur famille était riche, ils le sont aussi, rien à voir avec de la discrimination. - Enfin bref, finalement ma liste va s'arrêter à deux éléments ^^ Si les maghrébins sont globalement plus pauvres, ce n'est pas une discrimination raciale. C'est une raison sociologique, démographique, ce que tu veux, mais ce n'est pas de la discrimination. A la limite, tu peux parler de discrimination raciale (enfin, la couleur de la peau) pour les métiers fortement médiatisés, les métiers où l'image est importante (polémistes télé, élus, ...). Mais ça, c'est normal. Ouais, c'est une chance. Enfin, plus précisément, si des "blancs" émigrent, ils viennent souvent de pays développés, donc ils peuvent avoir une bonne situation dans leur pays d'origine, ils ont une bonne culture, etc ... S'ils partent, ils doivent avoir une bonne raison, il faut que ça vaille le coup. Pour d'autres, ils arrivent, ils n'ont rien. Donc forcément. Ouais, ils savent que ça ne tient pas, donc ils veulent juste un "symbole" comme punition, rien contre Eric Zemmour, en espérant que les jurys pensent qu'ils peuvent bien leur donner ça, car SOS Racisme, c'est contre le racisme ; le racisme, c'est mal ; donc on peut bien leur donner ça ... Ouais bah, avec une défense pareille, il ne va pas aller loin ... M. Zemmour n'a jamais dit ça ; et s'il n'est pas condamné, ça ne veut pas dire qu'aucun fait ne pourra plus être sanctionné pour racisme. Soit c'est un très mauvais avocat, soit c'est une affaire désespérée.
  9. Bon bah tant pis, je ne le saurai jamais Ils ont déjà tout expliqué, relis les pages précédentes.
  10. C'est marrant, tu viens d'expliquer pourquoi il y a autant d'exclus dans nos sociétés. Tes mesures conduisent à une telle difficulté à travailler que forcément, une grande partie de la population en pâtit quand une autre plus petite est totalement bloquée, ne peut plus rien faire. Mais bon, apparemment, la pauvreté n'est clairement pas ton problème à toi ... je ne sais pas si tu sais ce que c'est de ne pas pouvoir travailler, d'être totalement dans la merde (moi non plus vu mon âge, tu me diras, mais j'en côtoie quotidiennement, ne serait-ce que dans ma famille ...) Ah, et pour la "solidarité nationale". D'une, c'est triste d'une part que tu croies que le socialisme a inventé la charité, la solidarité, la vraie, c'est-à-dire le sentiment qui pousse à s'accorder une aide mutuelle (source Wiktionnaire). Si tu t'imagines solidaire quand l'Etat te prend des charges, tu ne l'es pas : la volonté ne vient pas de toi. Donc utilise plutôt le terme "aide nationale", qui renvoie au même résultat, la beauté du geste en moins. De deux, c'est vraiment triste que tu t'imagines que l'aide aux pauvres n'existe que grâce à l'Etat ... c'est historiquement faux, et ... enfin c'est vraiment triste, t'as une bien faible image de toi-même apparemment. Facile, mais on en attend un petit peu plus ...
  11. Je rejoins le topic, qui fait déjà 39 pages ... Je pose une question : Apparemment on ne peut pas savoir si c'est vrai ou pas : sur quels motifs l'attaquer, alors ? Il fait une distinction selon les origines des personnes, et on ne peut les vérifier (ce qui est un problème en soi, déjà). Alors, l'association SOS Racisme est-elle obscurantiste ?!
  12. Réponse typique de Supersocialo. Parlons de socialisme, et il nous répondra que l'on parle du mauvais socialisme. Parlons alors de socialisme, et il s'indignera, nous accusant d'être à côté de la plaque. C'est la défense parfaite pour Supersocialo et pour ses partenaires, leur permettant de refuser toute discussion, comme toute pensée n'ayant pas été à l'origine pensée par des propagandistes du système est annihilée. Le monde résiste, mais l'esprit de Supersocialo est déjà socialiste. Cette impossibilité de définir la société qu'il promeut - sinon par des explications vagues comme "le bonheur universel", "la fin de la propriété", ou "l'égalité" (le clonage social, oui) - traduit bien la mentalité de Supersocialo. C'est un utopiste, dans le mauvais sens du terme : un enfant, le roi du monde, de son monde, voulant contraindre le monde entier pour satisfaire ses projets mégalomanes. Ils veulent le bien ; tout le monde le veut. Mais il ne suffit pas d'éliminer des désagréments pour former une société parfaite, quand ses désagréments ne peuvent être remplacés par autre chose. Voilà donc le projet socialiste : l'échec. Ils nous promettent tant de grands soirs qui s'ils se produisaient produiraient la misère. Et à Supersocialo de s'écrier le premier : "Debout citoyens ! Demain, le grand soir !" ------------------------------------ T'en penses quoi rjv ?
  13. Effectivement, j'aurais dû parler d'interventionnisme (ou de réglementarisme ?). J'adresse mes excuses aux membres de ce tomiq.
  14. Je plaisante, je plaisante.
  15. Bah ça, c'est pas du libéralisme, c'est de l'étatisme ... Au mieux avec des lunettes de vision libérales, on pourrait oser dire que la crise marque l'échec de l'intervention de l'Etat. Surtout que l'Etat était généreux bien avant ce renflouement. En se proposant d'assurer les pertes sur les fameux subprimes, c'est normal que ça se soit passé comme ça s'est passé. Si je vais au casino et que l'Etat me dit : "Joue mon petit garçon, si tu perds, je te rembourse", moi aussi je n'aurais pas hésité à prendre des risques inconsidérés. Les banquiers ont tout gagné, mais n'avaient de toute manière rien à perdre. Merci l'Etat. Pourris. Déjà, qui est le renard ? Moi, je ne vois que des poules. On est tous des individus, avec les mêmes droits, on a tous le même statut. Personne ne bouffe personne. Et puis en fait, vu que tu prends un cliché, une image facile, je me permets de prendre une réponse venant d'ailleurs. J'ai trouvé cette belle citation : C'est l'Etat qui engraisse les petites poules inoffensives pour pouvoir bien bouffer.
  16. C'est quoi le néolibéralisme ?
  17. Oula ! T'es ouf, moi je suis de gauche hein !
  18. Dialogue de sourds, il faut trouver un nom à ce régime. Car pour n'importe quel gaucho, dès que quelqu'un est un tout petit peu plus à "droite" (classification inexacte, de toute manière) que lui, il est classé, casé, rangé : "libéral".
  19. Donc du calme du calme, il n'a manifestement rien compris. (Certes, il le fait exprès, et c'est une tête à claque, mais bon ... bon d'accord, j'avoue, j'avais moi-même envie de répondre "Débile profond", mais je me suis dit que ça allait être mal interprété ) Et moi, je ne réagirai pas tant sur la dernière phrase ("le merdier actuel") que sur la première partie : Dé..finitivement non ! Ce que voulait dire essayeur et ce sur quoi tu as visiblement mis de la mauvaise volonté pour comprendre comprendre, c'est que l'individu "doit s'occuper de lui-même, seul", c'est-à-dire : faire ses propres choix, être autonome. Si toi tu as envie de te laisser guider par la religion, par l'Etat, ou le groupe, tu peux le faire ; mais tu auras tout de même fait le choix de le faire. Cet individualisme (!= égoïsme, je pense devoir te le rappeler à toi) est l'unique manière de ne pas tomber dans un arbitraire centralisé et forcé. Corrigez-moi si vous n'êtes pas d'accord avec moi pilgrim et essayeur, je me suis peut-être exprimé en tort en votre nom
  20. C'est la loterie à Babylone, ça. (Et ne t'inquiète pas, exclu est un troll, il ne faut pas prendre ses messages trop au sérieux ^^)
  21. Moi je veux avoir des gosses, je veux devenir ... quoi d'ailleurs ?, je veux que mon oncle résiste à sa maladie, je veux une femme avec qui je partage quelque chose, je veux un appart' sympa, je veux avoir une grande bibliothèque remplie de bouquins, ... Désolé si toi, tu ne veux rien. polak87 > Essaie de naviguer sur le net, pour moi il y a souvent tout un tas de pop-ups qui s'ouvre et qui me propose d'en rencontrer. Tchao. Au fait, ce n'est pas un message blessant, mais comme j'ai répondu à la demoiselle sur ton sujet, il fallait aussi que je te réponde quelque chose ... ce serait comme allé dîner chez Jean et ne parler qu'à la belle Nadia : ça ne se fait pas, on doit respecter son hôte.
  22. On dirait moi :') Je t'aime. <3
  23. Post scriptum (au début, ouais) : ce message va être le gros bordel, avec plein de quotes, simplement car il est trop tard et que je n'ai pas envie de faire autrement, car ça m'embête. Si vous voulez ignorer ce message, il n'y a aucun soucis, on reste potes) Car il ne doit pas y avoir de pouvoir (ou un pouvoir très limité) Il me semble que je devais parler de l'Etat dans mon message. L'histoire. Vous avez une piètre image de vous-même, désolé. Misanthrope. Effectivement. Si 99% de la population est socialiste, ça ne me gêne pas. Ne faites juste pas chier le dernier pour cent qui reste. C'est possible, mais à mes yeux le socialisme l'ignore encore plus. Exactement : on laisse faire, on voit l'orientation prise. Ensuite, vous individuellement, vous pouvez la refuser, ou quoi que ce soit, ou vous organiser avec d'autres et tout produire vous même, ou quoi que ce soit, je m'en fous, mais forcément, l'environnement ne va pas s'adapter à votre volonté, vous n'aurez rien sans rien. Personne ne peut contraindre son environnement. On n'est plus dans une cité grecque, on ne va pas comparer la liberté des anciens à celle des modernes. Dans le cas de la dictature, il y a toujours une majorité (plus ou moins importante, d'ailleurs) qui fait chier une minorité en la privant de ces libertés les plus fondamentales. Dans l'autre cas, organisez vous comme vous voulez, ça ne me dérange absolument pas, vivez votre vie, mais ne me faites pas chier. Le socialisme est une domination forcée, celle de chacun par tous. Pour la première partie : peut-être, sûrement. Donner un tel pouvoir à l'Etat, c'est mal, car il est arbitraire et forcément imparfait. Ce n'est pas un ordinateur impartial ou des êtres vertueux, ce sont juste des hommes. Et pourtant, c'est ce genre de pouvoir total que vous prônez de céder à quelques uns. Pour la deuxième partie : ton pseudo me dit quelque chose, et je crois que tu en as déjà parlé avec quelqu'un ici sur ce forum. (peut-être que je me trompe) Les libéraux sont les premiers à refuser l'Etat comme vous l'entendez. D'ailleurs, vous, vous le prônez. Ce sont les premiers à refuser les groupes de pression, car sans pouvoir central politique capable de nous diriger à la baguette, ils sont inutiles, ils ne peuvent nous contraindre à quoi que ce soit. Encore une fois, c'est pourtant ce pouvoir politique que vous prônez. Est-ce une méconnaissance de la nature humaine ? S'il y avait une Vérité et une Morale bien connue, un modèle : le vrai, il n'y aurait pas de problème à l'adopter. Or, il n'y en a pas, ou alors nous l'ignorons toujours : c'est de l'aliénation de se plier à une pseudo-puissance supérieure qui guiderait nos vies, une puissance arbitraire, donc. Si c'est votre trip de vous agenouiller devant le premier gourou venu, ça ne me pose pas de problème, mais ce n'est pas mon délire à moi. Je ne peux reconnaître une entité en tout point supérieure à moi. (Ce qui n'empêche pas que je ne connaisse pas des gens de talent, des génies, ou quoi que ce soit ... mais il faut garder son esprit critique, et rien que ça ... plouf) Et ça, ça ne veut pas dire que je suis indépendant des autres. Je le suis (plus ou moins) moralement, dans mes habitudes, mon mode de vie, etc. Juste que je reste juge. Ca ne signifie en rien que je perds toute considération pour les autres : il y a des gens que j'admire par leur intelligence, il y a des gens que je suis prêt à aider n'importe quand, et je suis même prêt à filer du fric à des pauvres, pour te dire. Moi je peux comprendre quelqu'un qui ne voudrait pas filer son fric. Enfin normal, je peux tout comprendre. Mais je le prendrais effectivement pour une grosse raclure Donc tu as raison, il y a un tel devoir moral pour chacun de nous et un tel poids de la société qu'il n'y a aucunement besoin de lois pour obliger la solidarité. Faut juste oublier ce paternalisme, ne pas prendre les gens par la main pour leur montrer quoi faire. (Car même si je prends le type pour une grosse raclure, je le blâme, mais jamais je ne le forcerai à filer du fric par la coercition) MAIS, comme tu le dis ensuite : "on y croit" (que les gens donneraient énormément de fric sans impôt) : donc, tu admets que les gens s'ils avaient le choix ne donneraient pas leur fric. Mais tu les obliges. Tout le monde ne partage pas nos idéaux moraux, désolé, mais je ne vois pas en quoi j'irai moi les forcer à quoi que ce soit. Ou alors tu es un religieux fanatique. En gros, on pourrait dire qu'on est d'accord (danger de concentrer le pouvoir ; limiter ce pouvoir) Moi non plus, il faudrait que je retourne lire mon précédent message et voir à quoi je réponds. Tant pis. L O L Nawak. L'UMP, c'est socialiste (déconnez pas, j'exagère ... mais ce n'est pas plus socialiste que libéral) (enfin, quand je parlais de socialiste, je parlais du vrai socialisme, celui de Jimmy45 ... sinon, je pourrais poser UMP = PS, donc l'UMP est socialiste ... ça serait vrai) Ca fait autant de mal aux pauvres qu'aux riches. Bon, définissez une fois pour toute de quel socialisme on parle, sinon c'est normal qu'on ne se comprenne pas. Il y a le mec que j'ai pas arrêté de citer plus tôt qui est fidèle à sa pensée, certes, mais les autres, un coup le socialisme c'est Marx, un coup le socialisme c'est le PS (lol), un coup le socialisme c'est l'URSS de 192x à 19xx ... c'est du n'importe quoi. Soyez cohérents entre vous. Dites à Jimmy45 (ça y est, j'ai retrouvé ton nom ) que le PS est socialiste, même lui il va vous rire au nez. De toute manière, peu importe de quoi vous parlez, c'est à peu près le même combat
  24. Bonjour, Vouloir baser une société sur le partage ou une société sur l'avidité, c'est déjà contraindre à tout le monde ce que pense seulement certaines personnes. Et ça, c'est déjà trop. Vive l'arbitraire centralisé. Moi non plus. Heureusement, ça serait sûrement dangereux, car on ne peut que [g]prétendre[/g] le bonheur individuel, comme vous le dites. Tout ce qu'on peut demander à l'Etat, c'est de ne pas entraver notre bonheur. Et celui qui prétend n'assurer l'intérêt de personne et laisse les gens chercher leur bonheur eux-mêmes ? Tout le reste, c'est mauvais. C'est le mal. L'Etat, c'est un peu l'histoire du pompier pyromane. Pourtant, j'entends peu de personnes critiquer l'Etat : l'Etat américain a son rôle à jouer dans la crise des subprimes (incitations à l'endettement sur ces subprimes pour réaliser des politiques du logement, garanties de remboursement sur ces pertes, etc.), et ensuite il apparait comme le salvateur, en "sauvant le monde", ou je ne sais quelle formule qu'ils ont pu inventer. Avant, c'était déjà la merde, donc : avec l'Etat qui garantit les pertes, c'est normal que ça incite les gens à faire joujou en perdant le sens de la mesure.. Et maintenant, comme le dit mon collègue, c'est pire : les entreprises ne craignent plus rien : "Si on est en faillite, l'Etat nous sauvera !" Revoyez qui est l'ennemi, les mecs. (Au fait, ça existe encore Fort Knox, ou ça avait été fermé, et l'or vendu ?) Libéral = égoïste ? L O L Rien à voir. Ils disent juste que ce n'est pas à l'Etat de faire ça. (d'abord, problème de terme, malgré la propagande ECJS, ce n'est pas de la solidarité, puisque tu es obligé de participer, quand la solidarité est plus spontanée) Si l'Etat ne le prenait pas, tu donnerais un peu de ton fric (sûrement moins que les impôts, c'est sûr, mais bon, idéalement dans leur théorie, il y en aurait moins besoin puisqu'il y aurait moins de pauvres ...) quand même, à des organismes/associations pour les financer, ou à je ne sais quelle autre forme qu'on peut inventer tant qu'on n'est pas un gogol (mais bon, quand l'Etat s'occupe de tout, on est un peu un gogol, car on ne s'imagine pas la situation autrement) Tourné autrement, c'est un peu con de croire qu'il y a des transferts vers les plus pauvres parce qu'il y a un Etat Exactement comme toi* par rapport au libéralisme. * Pardon si ce n'est pas le cas, ce n'est qu'une supposition. Pour pouvoir affirmer cela, il aurait fallu que je fasse l'effort de regarder ton pseudo pour me rappeler de tes interventions précédentes. J'aime la suite de ton message, elle est intéressante. Néanmoins, je me permets de faire une remarque : si dans un régime libéral des gens ont envie de s'organiser en une "communauté socialiste", qu'ils mettent dans une caisse leur salaire et qu'ils le divisent comme ils veulent ... enfin bref, on se comprend, qu'ils s'organisent comme ils veulent quoi ... eh bien, qu'ils le fassent, mais qu'ils ne fassent pas chier les autres. L'inverse n'est pas possible. L'un est basé sur cette coercition, l'autre non. Je suis absolument d'accord avec toi, à la condition qu'on reconnaisse que tout ce qu'on appelle "progrès" (que ce soit un réel progrès ou une décadence, on s'en fiche) depuis le XVIIIe siècle (en gros) soit mauvais et néfastes, bref : nos malheurs. Je tiens aussi à signaler que j'aime l'ironie de ta conclusion, après un message aussi sérieux, ça vous rend plus humain une touche d'humour. (Le pire c'est que je dis ça gentiment comme je pourrais le dire à un pote socialo, sauf qu'écrit sur un forum, ça va paraître vachement méchant) Je n'irai pas jusque là, je ne sais pas si on peut dire qu'un système économie est dans le vrai ou dans le faux ... je préfère dire que les seconds n'ont rien compris. Voilà, j'avais envie de me distraire 10 minutes. Je pense ne pas avoir fait avancer le débat, et tant pis, car j'en ai rien à foutre, j'ai autre chose à faire ce soir. Une prochaine fois peut-être
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