Noisettes

J'interviens sur ce topic pour faire un point historiographique. Et quand on étudie l'Histoire, on parle de "réalités historiques" car des faits ont été admis après études critiques des sources et confrontation de celles-ci avec d'autres sources

On parle de réalités historiques...

Quand l'histoire est mise au service de la politique, on appelle cela de l'instrumentalisation.

Bonsoir par ici, Voici le dernier marque-page brodé que je viens de finir les fuchsias. http://www.uploadfr.com/image/F1N Pour l'anecdote, je ne suis un peu trompée dans les nuances de vert et les contours en noir.

Le débat sur la Shoah est possible, c'est sa non-reconnaissance qui peut conduire devant un tribunal.

Le devoir de mémoire n'a pas sa place dans la recherche historique. Et encore moins les lois mémorielles.

Seuls n° 1 et 2 doivent intéresser l'ex, et pas n° 3 et 4.

L'histoire est une science humaine dans la mesure où elle repose sur des confrontations de différentes sources, analyse et interprétation de celles-ci. Ensuite, dire que Vercingétorix a gagné la bataille de Marignan en 1944 est une ineptie sans nom dans la mesure où on ne trouvera aucune source sur ce fait. Et sur la Seconde Guerre mondiale, il y a encore beaucoup d'archives qui ne sont pas encore mises à la disposition des chercheurs. Tout ce que l'on sait sur cette guerre et qui est admis ne le sera peut-être plus demain...

Que sais-tu de la façon dont les historiens travaillent et des outils qu'ils ont à leur disposition ?

Le sentiment de culpabilité politique transmis à la population... Sans oublier certains lobbies.

Je me cogne du politiquement correcte, mais j'ai en horreur de voir l'histoire instrumentalisée à des fins politiques par des personnes qui ignorent comment elle se fait.

On peut débattre de la Shoah, le problème n'est pas là. Le problème est son instrumentalisation à des fins idéologiques (politiques, religieuses...).

Il a existé un génocide contre le peuple juif pendant la Seconde Guerre mondiale, sans oublier les autres victimes. Et on ne peux pas le nier.

Il y a déjà les tours génoises... Mais quand on est un Corse vivant sur le continent et qui fait construire sa villa en Corse par des continentaux, faut pas s'étonner que sa villa explose...

La mère de ma meilleure amie a 28 ans de carrière dans l'Education Nationale comme prof de maths au lycée. De plus, elle est de culture anglo-saxonne (avec un enseignement différencié) et elle n'admet pas que des parents viennent lui dire comment faire son travail. Et quand quand cela arrive, elle met le parent d'élève en question devant une classe pendant deux heures pour qu'il se retrouve face à une réalité qui est celle d'enseignée des savoirs à des élèves de niveau hétérogène tout en captant pendant ce temps leur attention. Un fois face à cette épreuve, le parent en question ne dit plus rien. Car enseigner est un métier qui s'apprend et tous les diplômés ne sont pas des pédagogues.

Est-ce de l'ironie ?

Et interdire également la kippa.

Ma mère n'a pas été au collège car cela ne l'intéressait pas. Et par conséquent, ne pouvait pas m'aider pour mes devoirs. Certains parents n'ont pas le temps en semaine d'aider leur enfants à faire leurs devoirs car ils rentrent tard du boulot, mais rien de les empêche de faire un bilan des connaissances en fin de semaine...

C'est l'instruction qui est obligatoire jusqu'à 16 ans, et non l'école.

Jamais j'aurais pu entrer en fac s'il y avait eu une sélection car, en plus d'avoir eu du mal à obtenir mon bac, j'ai été inadapté au système scolaire français en plus de ne pas être capable de gérer la pression scolaire (alors que je gère très bien la pression professionnelle). Je suis contre la sélection à l'entrée de la licence. Ensuite, le système éducatif français fonctionne par l'échec et en France, être à la fac est vue comme un échec pour certains étudiants ayant été refusés dans les grandes écoles ou en classes préparatoires. Ce qui est intéressant à voir, c'est la chute d'anciens élèves qui après avoir fais une année de classe prépa, se retrouvent à la fac car étant habités au travail intensif, mais pas du tout au travail de recherche qui se fait sur un temps plus ou moins long (car le plus gros du travail personnel se fait par des recherches pour approfondir les cours). C'est au master que la sélection se fait et que le couperet tombe.

La politique fait mauvais ménage avec instruction publique. Je ne suis pas outrée qu'on donne des devoirs à des enfants après leur journée de cours, ce qui me dérange, c'est que parmi ces enfants, les parents, pour des raisons Y ou X n'ont pas le bagage nécessaire pour suivre l'évolution scolaire de leur enfant (et j'en ai fait partie), ne puissent pas les aider. Il serait intelligent de généraliser les aides aux devoirs en fin de journées, quittent à réduire de quelques minutes les cours pour dégager un heure deux à trois fois par semaine afin d'aider les élèves dans l'acquisition de leurs connaissances et leurs apprentissages, en plus de les guider dans la gestion et l'organisation de leur travail scolaire, qu'ils reproduiront ensuite dans leur vie de tous les jours.

Après les marques-pages, je vous propose le motif d'un porte-clé http://www.uploadfr.com/image/sr4

J'ai l'impression qu'il ne fait pas bon d'être mère qui contacte les services sociaux ou judiciaire pour des soucis avec leurs enfants, en Haute-Savoie...