Noisettes

Inès et Sabrina sont des prénoms à consonance musulmane peut-être, comme ceux que j'ai cité ultérieurement....

Je n'avais pas fait attention à ce post après le mien, ce qui n'est pas pour me rassurer...

Ce n'est pas moi qui colle des étiquettes, car si les gens de la communauté musulmane appellent leurs filles Ludmila, Nadia, Larissa ou Sonia, c'est qu'elle s'intègrent...

Si j'ai bien compris, moi qui ai des origines tunisiennes, je n'aurai pas le droit d'appeler ma fille Ludmila ou Nadia...

Mais moi, vivant à Paris, il doit exister mais sous une autre appellation. Ce plus, avec le contentieux que j'ai avec les services sociaux en général...

J'utilise rarement les acronymes et je préfère employer le mot entier.

Qu'est-ce que le CCAS ?

Je me souviens avoir fait un exposé sur la prostitution à l'époque médiévale. Sujet intéressant, mais un manque de sources visible sur la question. Mais chose non taboue dans la société médiévale, à la différence de l'époque actuelle.

Les stages, possibles, mais après le mois de février/mars, mais dans le domaine prioritairement, mais dans celui qui me sert de plan B si je n'ai pas la formation que je vise après la licence.

Quand j'ai commencé mes études, j'avais un CDI à temps partiel, ce qui fait que j'étais sous le statut étudiant-salarié, ce qui me permettait une dispense pour ne pas assister aux TD (chose que je n'ai jamais utilisé, sauf quand je devais travailler pour une ou deux semaines sur mes semaines de cours). Mais à mon licenciement, je n'ai pas pu bénéficier de reclassement professionnel mis en place pour les employés d'une entreprise en liquidation judiciaire car il fallait disponible entretiens au Pôle Emploi et que la disponibilité, quand on suit ma formation universitaire, est difficile à trouver, surtout quand commence les cours avec une semaine de retard car les résultats des épreuves de septembre sont tombés avec du retard et que les profs vous regarde bizarrement quand on débarque en cours avec une semaine de retard. Alors leur expliquer qu'on doit rater des cours car on a rendez-vous avec son conseiller Pôle Emploi, là, ils ne comprennent plus rien. Tout comme le Pôle Emploi qui ne comprend pas pourquoi on ne peut pas être disponible pour leurs entretiens quand on suis en parallèle des études. On m'a aussi proposé un truc de réinsertion pour suivre une formation afin de retrouver un emploi dans mon domaine professionnel... alors que je suis des études.

Les plans sont pour les boursiers, quand ils en ont. Et comme j'ai un sérieux contentieux avec les assistants sociaux, qui m'ont un peu collés dans la situation que je connais actuellement, je ne tiens pas vraiment pas passer par la casse "assistant social du CROUS" Personnellement, je préfère le terme "équité" à celui d' "égalité" qui peut être galvaudé.

Si possible, quelque chose dans des tâches administratives, mais le problème est que j'ai de l'expérience dans ce domaine, par le biais de mon emploi de standardiste, mais pas les diplômes, ce qui bloque un peu. Apparemment, mon profil ne passe pas au niveau des emplois de caissière.

Mes parents ne peuvent pas jouer la banque dans la mesure où je suis je suis en rupture familiale et que je dois en plus gérer les conséquences des conneries de ma mère. Avec le caractère que j'ai, je ne passe pas plus d'une semaine à bosser dans un fast-food et avec les épines que j'ai aux pieds, je ne peux plus tenir debout pendant des heures.

Je refuse d’hypothéquer mon avenir avec un prêt étudiant qui a peu de chance de m'être accordé. Car pour moi, un prêt étudiant correspond à un prêt à la consommation.

Oui. Et c'est bien pour cela que je refuse de les lâcher. Pourquoi cette question...

Déjà, beaucoup mettent dans le même panier les bénéficiaires des aides minimas sociaux avec les fraudeurs. Alors, quand je lis "on écrase les classes moyennes (ce qui n'est pas faux) pour aider les assistés et les fainéants" oui, là je vois plus rouge par pour certains, l'argent à plus de valeur que l'être humain. Ensuite, la galère dans laquelle je suis actuellement depuis plus d'un an, je la dois à nos charmantes institutions. Que je n'arrive pas à trouver un temps partiel à cause de ma poursuite d'étude, je peux le comprendre même si par moment, je l'accepte de moins en moins. Mais que des personnes qui ne savent pas ce que c'est que se retrouver dans une situation précaire vous balance en pleine figure: "arrêtez vos études et allez faire des ménages pour remédier à cette situation", là, c'est quelque chose que je n'accepte pas car je n'accepte pas ce putain de déterminisme social qui me poursuit depuis des années.

Et toi, trouves-tu normal qu'une minorité de nantis osent dire que les gens qui vivent des minimas sociaux sont des assistés, des fainéants et des parasites ?

Je ne reproche pas au riches d'avoir l'argent qu'ils ont, au passage qu'ils ont gagnés avec celui des Français. Mais je reproche aux personnes n'ayant jamais eu de soucis de soucis financiers de refuser le système de solidarité qui existe via la Sécurité sociale et de balancer des clichés pour les bénéficiaires des minimas sociaux. Ensuite, les remarques qu'on m'a gentilement balancer à la figure ont été le fait de personnes qui n'ont jamais su ce que c'est de d'avoir un seul repas par jour et cependant, pendant quinze à vingt jours dans le mois. Et je mets au défi ces personnes de pouvoir vivre un mois entier avec un revenu de 220 euros... Ensuite, on en reparlera.

Je crois en la solidarité nationale, et quand je vois des gens comme Depardieu et consorts se préoccuper de leurs petits soucis avec le FISC alors que dans ce pays, des gens peuvent encore mourir de faim, oui, ça me révolte. Je suis révoltée quand j'entends dire que les bénéficiaires des minimas sociaux sont ds fainéants et des assistés. Je suis révoltée de m'entendre dire par des gens qui ne savent pas que ce c'est de sortir les poubelles pour pouvoir financer ses études, de devoir laisser tomber celles-ci pour faire des ménages et finir avec une santé défaillante. Je suis juste révoltée.

J'apprécie d'être taxée d'assistée, surtout que je ne touche rien de la part de l’État depuis mon licenciement et un recherche d'emploi à temps partiel qui n'aboutit à rien En gros, j'ai bossé huit ans pour financer les retraites de ce genre de type et que la seule réponse que je reçois, car je tiens à tout prix à finir mes études, c'est de laisser tomber celles-ci pour aller me bousiller la santé à faire des ménages. Je mets au défi ce cher Philippe Boulevard de vivre à Paris avec un salaire qui oscille entre 220 et 250 euros. Et ensuite, on verra s'il peut vivre avec une telle somme. Pourtant, je suis loin d'être contre les personnes vivant aisément, mais il y a des bornes à ne pas franchir et là, beaucoup se permettent de les franchir et ça me révolte plus qu'autre chose.

Je n'ai jamais d'impôts sur les riches, mais d'impôts en général. Merci d'éviter les interprétations à deux balles.

Il y a de nombreux sportifs, qui défendent les couleurs de la France lors des compétitions internationales ou autres, mais qui fiscalement, pour éviter de payer des impôts importants, vivent dans la Confédération Helvétique tous en profitant des avantages que leur offre la France. Et le gouvernement ne leur tombent pas de dessus. Gérard Depardieu veut quitter l'Hexagone pour des raisons fiscales, mais lui, il a le cran de l'annoncer, ce qui n'est pas le cas de toutes les grosses fortunes qui argumentent d'autres raisons. Alors, au lieu de leur tomber dessus, on devrait m'expliquer pourquoi la France, qui est l'un des pays à avoir un nombre impressionnant d'impôts, comme un nombre tout aussi important d'exonération ou de déduction sur tel ou tel service, est en déficit chronique depuis plus de trente ans...

Quand on balance des affirmations, et surtout pour un documentaliste, on donnes ses sources et les liens pour que les destinataires de tes propos puissent aller vérifier la pertinence de tes propos. Et si possible, des travaux récents et qui ne datent pas de trente ans, car la recherche médicale évolue tous les jours. Et un documentaliste, dans son domaine de compétence, doit être à jour sur les dernières avancées.

UN DOCUMENTALISTE DIGNE DE DE CE NOM, QUAND IL DONNE DES INFORMATIONS, IL DONNE LES LIENS DE SES SOURCES POUR QU'ELLE PUISSENT ÊTRE CONSULTABLES.

Sans chimiothérapie, un ami qui avait une forme rare de leucémie serait au cimetière actuel. Il a été soigné il y a plus de huit ans, et pas de rechute constatée...