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Tout ce qui a été posté par Noisettes
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Le droit n'a pas à être égalitaire, mais juste.
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L'égalité en droit est une chimère. C'est bien pour ça qu'on devrait parler en terme qu'équité et non en terme d'égalité.
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Pour le savoir, faudrait localiser l'épave et là, on aura accès aux boîtes noires. Mais pour pouvoir localiser l'épave, il faut déjà délimiter une zone géographique de recherche et ce ne sera possible qu'après étude des courants marins et ce qu'il y a sur le débris retrouvé.
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Si je ne veux pas scolarisé mon fils, c'est moi qui ferait son instruction. Mais j'aurais le droit aux inspections pour évaluer son instruction et si cela ne va pas, on me forcera à le scolarisé même si j'argumente mon choix.
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C'est un choix quand tu t'en donnes les moyens, mais cela n'est pas possible pour tous. Mais alors qu'on arrête de dire que l'école est obligatoire alors que c'est l'instruction qui l'est.
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La température de l'eau des fonds marins est négatives. Il est possible de retrouver des dépouilles, comme cela a été le cas pour le vol Rio-Paris.
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Il existe des structures alternatives à l'école pour instruire ses enfants. Il y a des parents qui instruisent eux-même leurs enfants, il y a l'alternative du professeur à domicile, les cours par correspondance. Ensuite, c'est une question de choix personnel.
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Non, il existe beaucoup de type de coquillages qui proviennent des quatre coins du globe. A partir du moment où on pourra localiser la provenance de ces derniers, on pourra localiser une zone de recherche pour retrouver l'épave de l'avion, ainsi que les dépouilles des passagers et membres d'équipages (par contre, c'est l’identification des victimes qui sera difficile à faire sans recourir à des analyses génétiques).
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NON LA SCOLARISATION N'EST PAS OBLIGATOIRE, MAIS L'INSTRUCTION OUI.
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Dans ce pays, on parle plus d'égalité qu'équité. Il est normal de cotiser aux différents caisses selon ces ressources tout comme payer en fonction de ses ressources. Pour moi, il est normal que l’État s'assure que chacun bénéficie de prestations sociales. Il est équitable d'attribuer des allocations en fonction des revenus modestes du foyer. Il est vrai qu'on demande un effort aux revenus élevés, mais faut voir ce que cela donne sur leur avis d'imposition. De plus, le système ne les exclus pas et les devoirs qu'ils ont acquis envers la société se transforme en droits lors de retournements de situation comme un licenciement, par exemple. Je ne tape pas sur ceux qui gagnent bien leur vie, ce que je veux dire, c'est qu'en cotisant à la hauteur de leurs revenus (je parle des revenus issus de leur travail), le jour où ils auront un accident de parcours, ils auront des indemnités en conséquence de leur cotisation et personne ne pourra leur refuser. Au passages, les allocations familiales sont perçues jusqu'aux trois ans de l'enfant si un couple n'a qu'un enfant.
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A partir du moment où la pièce a été identifiée comme faisant partie de l'avion disparu, il ne reste plus qu'aux enquêteurs de reprendre la recherche de l'épave en délimitant une zone de recherches en utilisant la direction des courants marins. Faut aussi attendre la fin des analyses des coquillages qui se trouvent sur la pièce en question pour savoir de quel coin de l'Océan Indien vivent ces coquillages pour avoir une zone de recherche plus précise. Ça va prendre un peu de temps.
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Mieux vaut parler d'équité que d'égalité.
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Et non, l’Éducation Nationale est bien l'un des seuls corps de métier à ne pas disposer de médecine du travail (en général, quand je donne une affirmation, c'est qu'elle est vérifiée en long, en large et en travers) et ce n'est pas que beaucoup d'enseignants finissent en dépression car au final personne ne les soutient et les respectent réellement. Un manque de reconnaissance de la part de certains élèves et parents, mais aussi de leur employeur et c'est là que le bât blesse. Ensuite, si tu trouve merveilleux la vie de fonctionnaire, je t'invite vivement à passer les concours. S'il y a bien une chose qui m'agace, c'est de porter des jugements sans connaître la réalité sur le terrain, en plus des corporatisme de tout poil. Sur ce point, le Ministère devrait prendre des mesures quand cela s'avère exact (consultation du cassier judiciaire) car il n'est pas normal que des personnes étant en contact avec des enfants toute la sainte journée puissent exercer à leurs côtés alors qu'ils ont commis un crime sur enfant.
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Arrêtes d'écouter les chaînes d'infos en continue, Gilles Scott.
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Je n'ai pas l'ambition de devenir fonctionnaire, dont merci de la mettre en veilleuse, bien que j'ai les diplômes pour passer les concours de la catégorie A et B. Ce qui me use, c'est d'entendre toutes des âneries possibles et imaginables sur eux. Le seule privilège qu'ils ont, à son sens, c'est bien celui de l'emploi. J'ai une amie, fonctionnaire à la RATP, qui galère financièrement depuis qu'elle a été obligée de se mettre à 50% pour le boulot. Et à ce niveau, elle n'est pas aider. Une autre, prof, qui en a tellement ras-le-bol d'être méprisé qu'elle a décidé de se faire muter à la Réunion, tant que cela est encore possible. Et là, on perd un très bon prof qui est capable de motiver ses élèves pour les faire progresser et réussir dans leurs études (pas que des études généralistes). De plus, il n'existe pas une médecine du travail pour le personnel de l’Éducation Nationale, à la différence des autres corps de métiers et je ne parle pas du taux de suicide des enseignants que le public ne connaît pas, à la différence de celui des policiers. A croire qu'il y a des gens aigris au niveau professionnel.
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Ils n'ont pas besoin de ça pour faire un scoop, Le Piton de la Fournaise s'en charge à chaque éruption volcanique. Pour en revenir au débris, s'il fait bien partie de l'avion disparu, les recherches pourront reprendre sur les côtes africaines pour essayer de localiser l'épave.
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Si c'était la volonté de la défunte. Ma grand-mère a souhaité être incinérer après sa mort.
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Je connais le prix de l'immobilier sur Paris, j'y vis, et il est de plus en plus difficile pour les classes moyennes, voire populaires, d'y vivre car les propriétaires demandent des garanties exorbitantes.
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Ils le peuvent, mais au bout d'un certain temps d'ancienneté. Et en interne.
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Il me semble qu'il y a des concours pour la catégorie C (faut que je vérifie).
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Pou être enseignant, il faut un minimum de pédagogie et tout le monde n'est pas capable d'exercer en tant qu'enseignant.
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Elles ne se plaignent pas, on en parle, ce qui est différents et elles ne sont pas du genre à faire grève pour un oui ou pour un non. D'ailleurs, mon amie prof en a tellement marre qu'elle a décidé de se faire muter... à la Réunion tant qu'elle a encore ses points d'ancienneté. Quitte a exercer son métier, autant le faire dans un endroit où elle pourra toujours organiser des études de terrain pour la géographie. Pour mon amie machiniste, qui a du réduire son activité professionnelle car elle n'a personne pour garder ses deux enfants en semaine, elle a de lourdes cadences car elle conduit son bus pendant sept heures, devant avoir les yeux partout, sur la route comme dans son bus, car la circulation à Paris en week-end, c'est la jungle, entre les piétons qui traversent n'importe comme, les vélos qui se croient seuls au monde (et l'autorisation qu'ils ont de griller les feux aux carrefours n'arrangent pas les choses) sans compter certains automobilistes adeptes de la queue de poisson. Les pauses aux terminus deviennent de plus en rares car les trajets sont calculés au plus juste sans tenir compte de la réalité de la circulation. Et le plus drôle, c'est qu'on demande aux agents de se tenir au service des usager pour le moindre renseignement. Mais faudrait que les départements bus et métro communiquent sur l'état de leur trafic respectifs, ce qui n'est pas le cas. Je me souviens d'un dimanche où la ligne 1 du métro ne fonctionnait de Concorde à La Défense, depuis le petit matin. Les agents du département métro conseillaient aux voyageurs de prendre le bus pour se rendre à l’Étoile afin de récupérer le RER A pour aller sur La Défense. Mais les agents métro n'étaient pas au courant que la seule ligne de bus qui relie la Place de la Concorde à La Défense, en passant par l’Étoile en remontant les Champs Élysée, ne roule pas le dimanche. Et du côté des machinistes qui se demandaient ce qui se passaient, la régulation (qui est censée leur apporter les informations sur le réseau) n'étaient pas au courant du problème. Résultat des courses, ce jour là, mon amie en a bien bavé car les usagers n'avaient pas eu toutes les informations, a du géré seule la situation, vue que la régulation n'était pas d'une grande aide et elle a fini avec une demi-heure de retard, et une fois de plus, elle a récupéré des enfants à pas d'heure. Le pire, elle s'est fait tapé sur les doigts à cause de son retard.
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Que leur salaire soit faible, c'est une chose. Mon amie prof, après plus de 20 ans dans l’Éducation Nationale, a un salaire mensuel de 2000 euros (avec prime et heures supplémentaires). Ce qui l'agace au plus haut point, c'est qu'on lui demande de faire plus pour ses élèves sans avoir les moyens car ceux-ci sont rationnés. De plus, elle doit gérer des adolescents de plus en plus durs qui se foutent du collège, ne respectent plus leurs enseignants tout comme que leurs parents. Et en cas de soucis, les enseignants ne sont pas toujours soutenus, que ce soit par leur hiérarchie ou les syndicats. Pour mon amie bossant à la RATP, là aussi, même constat, on lui demande d'en faire plus, mais avec quasiment aucun moyen. On demande aux agents d'être aux petits oignons avec les usagers alors même que ces derniers ne sont pas fichus de dire " bonjour " en montant dans le bus, mais n'hésitent pas à prendre la plume pour se plaindre d'une conduite "chaotique" (il s'avère que le parc de bus de la ligne où qu'elle conduit doit être remplacer et que seul la maintenance minimum est effectué sur ces bus en fin de parcours, alors la conduite peut être folklorique)). En plus, la conduite à Paris demande beaucoup d'attention et les temps de parcours d'un terminus à un autre a été réduit, ce qui fait que le bus doit repartir aussitôt qu'il est arrivé pour ne pas perdre de temps. Et que fait l'agent qui a une envie présente : il prend cinq minutes pour aller aux toilettes (depuis les attentats de janvier, de nombreux toilettes RATP ne sont plus disponibles pour les agents) au risque d'avoir un blâme. C'est le pied la vie de fonctionnaire...
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Je ne suis pas fonctionnaire mais j'ai deux amies qui le sont : l'une est prof d'histoire-géographie dans un collège en ZEP en banlieue parisienne (après avoir été en ZEP à Paris, elle a fait le choix de se faire muter en banlieue) et l'autre est machiniste à la RATP. Et toutes les deux ont ont ras-le-bol de voir leurs conditions de travail se détériorer au fil des années avec du matériel obsolètes et les gens qui pensent qu'elles sont à leur service en leur manquant de respect. Sans compter le manque de respect de leur hiérarchie.