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D'accord avec vous, on ne doit pas se détacher de certaines religion pour finir par s'abandonner à d'autres. C'est trop ahurissant, dégradant, rappelons encore et toujours ce qu'est la République et les valeurs qui fondent notre société républicaines: Faire le choix de la République c'est adhérer au contrat social républicain et respecter les règles républicaines ; c'est abandonner son passé pour inscrire sa trajectoire de vie au sein de la société républicaine, dans un espace dévolu aux comportements et aux valeurs républicaines. La République rappelons-le doit être un lieu d'asile et d'accueil pour tout individu pourchassé dans son pays pour des idées républicaines. Ainsi, la République ne peut-être le refuge de ceux dont le souci reste essentiellement, exclusivement la haine de l'autre par leur posture idéologique, confessionnelle, ethnique. La République s'est l'acceptation de l'autre parce-que chaque individu a accepté de construire sa vie sur le socle commun que sont les valeurs républicaines. VIVE LA REPUBLIQUE

Oui, en socialisme la condition ouvrière est deux fois inhumaine, privée d'argent, d'abord, de dignité, ensuite. VIVE SUPERSOCIALO

Il faut lire les témoignages des socialistes, victimes du socialisme réel , sur, notamment, la condition des ouvriers d'usine, dans le paradis socialiste, pour savoir à quel degré d'épuisement moral et de désespoir silencieux peut mener la socialisation du travail et de la société. VIVE LES SUPERSOCIALOS

Le socialisme revendique la cité universelle pour y parvenir il est prêt à rejeter les deux tiers de l'humanité et l'héritage prodigieux des siècles, en niant, la nature et la beauté, en retranchant à l'homme son libre-arbitre, sa force de doute, sa volonté de bonheur, de créativité, d'innovation sa grandeur en un mot. VIVE SUPERSOCIALO

La République, c'est le gouvernement des citoyens et non la dictature des syndicats. Les syndicats français sont, fondamentalement, des féodalités, jalouses de leurs avantages et privilèges comme de leur clientèle. Les syndicats profitent de nos divisions et s'efforcent de prolonger le système suivant lequel chacun d'entre eux cuit sa petite soupe, à petit feu, dans son petit coin, au détriment des gogos et des « gobes- mouches » qui les écoutent. Il est donc nécessaire d'arracher les syndicats à ceux qui en abusent au profit de leur politique et de les rendre à ceux à qui ils doivent appartenir, c'est à dire les professionnels. Quand les syndicats français seront redevenus libres et professionnels, la France pourra compter sur eux, non pas seulement pour assurer la défense des intérêts professionnels de leurs mandants, mais aussi pour concourir d'une manière directe à la reconstruction de l'économie française et à sa rénovation. VIVE SUPERSYNDICALO

Le socialisme se réduit à une politique de la résistance, résistance au progrès, résistance aux réformes, résistance à l'accomplissement des droits du citoyen, cette politique est celle du désespoir érigée en maître programme pour aboutir à la déconstruction de notre société, qui selon les inféodés du socialisme se reconstruira sur la base de l'idéologie socialiste qui n'a qu'un but: une société sans propriété, sans liberté ( on ne peut choisir on est socialiste ou on n'existe pas), le seul espace d'existence, de survie l'obéissance totale au guide suprême et au parti ( il n'y en a qu'un bien sûr)... Le socialisme n'a abouti qu'à livrer la société à des bureaucrates et à des doctrinaires qui manipulèrent sans vergogne des masses affaiblies, désorientées qui servirent de sujet d'expérimentation a des intellectuels totalement dérangés par leur obsession de la lutte des classes et de la haine totale de l'autre. L'autre qui ne pense pas comme eux et qui ose apporter la contradiction, crime s'il en est de lèse socialisme, insupportable, un seul moyen d'avoir raison qu'ils se taisent. VIVE SUPERSOCIALO il parait que Castro vient de rendre compte et d'avouer que le socialisme n'avait pas fait que du bien... Est-il atteint de démence sénile ou a-t-il ,enfin dans un éclair de lucidité, un peu tardif mais mieux vaut tard que jamais, parait-il...

Aux peuples, à ceux dont le présent est misérable et qui n'ont de consolation que dans la promesse d'un paradis céleste, le socialisme proclame, haut et fort, l'avènement du paradis terrestre. L'avenir est la seule sorte de propriété que les socialistes, leurs gourous et leurs intellectuels concèdent de bon gré aux militants et aux peuples asservis. Ces réflexions sont bien actuelles, en effet, nous vivons une époque de promesses, de foire à la promesse, qui n'engage véritablement que ceux qui les écoutent. Cette politique du bonheur sans arrêt reportée à plus tard ne lasse pas les électeurs gogos. Les socialistes sont passés maîtres dans cette politique du futur, toujours repoussé, du thème ambigu et commode d'un progrès qui s'éloigne plus on s'en approche. Quel que soit les échecs cuisant et retentissant du socialisme réel et vécu, les socialistes conservent cette idéologie de la marche en avant, forcée et obligatoire, vers un progrès social, qu'ils sont bien incapables de décrire avec précision,depuis les échecs retentissants et dramatiques de tous les socialismes réellement vécus. ET VIVE SUPERSOCIALO

Formidable, l'argument décisif, celui qui est sensé décourager, faire taire le contradicteur, est dégainé : fascisme, national socialisme. Chacun sait à la lumière de l'histoire et notamment de l'histoire des prises de pouvoir socialiste et de leur gouvernement, combien ces pays connurent les horreurs, les malheurs du fascisme à la mode gauchiste, et que dire du nazional socialismus, c'est à dire d'un socialisme ramené à la nation. Heureusement on peut être opposé au socialisme, lui dire sa vérité, même si elle ne fait pas plaisir, et ne pas être un tenant d'un totalitarisme, d'un parti unique quelconque ( car le socialisme ne peut exister dans la pluralité, en effet cette pluralité condamne toujours les socialismes à la minorité, c'et vraiment insupportable, n'est-ce pas...). On peut dire que le socialisme ne varie pas quel que soit les éclairages de l'histoire, il ne connaît que la politique du pire, politique du pire qui est toujours promis à ceux qui refusent les nécessaires réformes, qui renie, rejette les attitudes pragmatiques. Rejet de l'autre de celui qui est différent et qui pense différemment, le socialisme cultive donc, l'indignation sélective et la stigmatisation de l'autre, est-ce une idéologie du progrès que celle qui refuse les évolutions, qui nie la réalité de la vraie vie, qui ne tolère pas la contradiction, qui élimine tout ce qui s'oppose à sa vision. Le socialisme condamne systématiquement l'Homme et le citoyen, il doit se réduire au grain de poussière qui obéira au souffle incertain, capricieux du grand prêtre au pouvoir absolu ( on peut l'appeler lider maximo, genie des carpathes, petit père des peuples, grand timonier, lumière éternelle ou je ne sais quel superlatif délirant). tout cela au nom de la cité radieuse dans laquelle on s'aimera tous entre prolétaire, sans riches, ni paysan, ni cadre superieur, haut fonctionnaire juste les prolétaires donc et les militants- miliciens du parti qui veilleront à ce que chacun respecte, obéisse à l'idéologie et poursuive, condamne " l'ennemi du peuple idéologique" ( il faut protéger coûte que coûte le grand prêtre et l'idéologie, surtout quand chacun peut s'apercevoir qu'il a tort et qu'elle mène à l'impasse de la misère et du désespoir). TOUT CELA POUR LA PROMESSE DU BONHEUR ETERNEL PROLéTARIEN.... Raaaaah lovely..... VIVE SUPERSOCIALO PROLETARIEN

de l'intérêt de ce forum, le socialisme ne serait pas autocratie mais il est n'est que ça, il ne peut exister et survivre quà travers ce type de gouvernement, tout le reste n'est que bla bla, illusion. le socialisme n'est pas et ne peut pas être une démocratie, le pouvoir du peuple, mais qui est le peuple, a-t-on jamais vu un peuple décidé des choix sociaux, économiques, culturels, jamais et nul part. Le suffrage universel existe, la démocratie ? jamais vu et surtout jamais respecter la démocratie dont parle nos amis de gauche c'est les directives du parti, les interventions publiques du chef et de ses complices bureaucrates, syndicalistes journalistes inféodés au lider et au parti, qui nous l'opinion publique, le peuple pense mais au nom de quoi parle t-il pour un ensemble qui n'est jamais vrai consulté??? Il s'autorise à parler au nom du peuple mais je suis pas d'accord, comme beaucoup autour de moi, donc déjà un partie du peuple n'est pas d'accord.... mais il s'en foute ils ont raison, ils ont la force, et les médias et personne n'est autorisé à dire autre chose, sauf sur internet, merci internet et ce forum. En SOCIALIE sans le parti et son chef on ne peut exister.... on n'a pas le droit d'exister, de penser, de parler, d'ailleurs les commentaires de ce forum sont on ne peut plus évocateur de cette tendance. Comment, mais comment donc!!! on critique le socialisme cette idéologie qui nous promet, non qui nous apportera le bonheur sans faille, 1000 ans??? Non pour l'éternité, la cité radieuse sans fin où tout le monde s'aime, ou tous les prolétaires s'aiment oui parce-qu'apparemment ils ne veulent vivre qu'entre eux. plus de cadre, plus d'artiste, ni d'artisan, plus de politiques , plus de journaliste, plus de paysan ... plus de nomemklatura bien sûr... c'est quoi au fait un prolétaire, ça fait quoi, en attendant la cité radieuse sans fin Le prolétaire, ce doit être SUPERSOCIALO, celui qu'à tout compris, peut-être le seul digne de vivre ( les autres servent à rien, ou alors, vouais,vouais, vouais ces autres seront leurs esclaves parce-que " ennemi du peuple") Limpide les aspirations de SUPERSOCIALO, alias le PROLETAIRE On en rit ou on en pleure....

Aucune confusion possible, la vraie vie socialiste ne sera qu' une société dirigée par le grand prêtre socialiste, dont les intellectuels seraient les prêtres, et les militants les gardiens du temple, une société où la vie privée serait absolument identifiée avec la vie publique. Le socialisme sera la société de l'obéissance absolue , de la dévotion totale au grand prêtre qui régnerait sur tout, voilà le rêve des électeurs, des adhérents socialistes la disparition de l'Homme libre et du Citoyen, sa dissolution dans le magma universel malaxé sans fin ni contrôle par le Léviathan socialiste jamais rassasié. Le socialisme, une utopie monstrueuse parce-que convaincue du pouvoir illuminant de sa pensée, qu'il imposera non pas naturellement, mais par la force avec l'aide des militants délateurs, d'une milice fanatique, d'une police et d'une armée aux ordres. La vraie vie socialiste, une vraie vie d'avenir, le bonheur radieux infini, ou pour 1000 ans peut-être...... dans la cite du parfait socialisme. RAAAAAAAAH LOVELY ET VIVE SUPERSOCIALO

Faire le choix de la République c'est adhérer au contrat social républicain et respecter les règles républicaines ; c'est abandonner son passé pour inscrire sa trajectoire de vie au sein de la société républicaine, dans un espace dévolu aux comportements et aux valeurs républicaines. La République rappelons-le peut être un lieu d'asile et d'accueil pour tout individu qui adhère aux idées républicaines, nos grands anciens n'ont jamais dit autre chose. La République ne doit pas accueillir ceux dont le comportement est guidé par la haine de l'autre, ceux qui sont les esclaves ou les bras armés d'une idéologie, d'une religion, d'un peuple raciste. La République c'est l'acceptation de l'autre parce-que chaque individu a accepté de construire sa vie sur le socle commun que sont les valeurs républicaines. SINE IRA ET STUDIO

LE SOCIALISME ET DONC LE PROGRAMME SOCIALISTE EST SIMPLE: - la suppression de la classe bourgeoise - la nationalisation des biens et des moyens de production. - un travail pour tous par la fonctionnarisation de tous les emplois - la dévotion la plus totale au parti et à son chef - la dictature d'une classe par la constitution d'un appareil de répression efficace et sans état d'âme. Le seul miracle socialiste , parvenir à faire en sorte que les militants et électeurs appellent liberté la servitude totale. On pourrait rajouter comme l'a si bien exprimé un président de région socialiste après qu'on lui est demandé de parler de son programme, il nous dit : gratuité, gratuité, gratuité, c'est à dire dépense, dépense, dépense mais qui paye, qui paye, qui paiera quand on aura dépouillé tous les riches et que l'on ne se sera pas préoccupé des budgets futurs, on demandera des sacrifices à qui, à la nomenklatura, aux syndicalistes complices ou au peuple soumis et esclave. Finalement en SOCIALIE, la vie est simple et décidément VIVE SUPERSOCIALO

Pourquoi ces messages, mais pour dire ce qu'est le vrai socialisme; Il y a la théorie du bonheur que tout le monde recherche, depuis que l'homme vie sur cette planète et il y la vraie vie socialiste celle du malheur de l'injustice de l'élimination parce-que le socialisme à raison et que tous les autres ont tort parcequ'ils critiquent le socialisme... Le socialisme revendique la cité universelle pour y parvenir il est prêt à rejeter les deux tiers de l'humanité et l'héritage prodigieux des siècles, en niant, la nature et la beauté, en retranchant à l'homme son libre-arbitre, sa force de doute, de bonheur, de créativité, d'innovation sa grandeur en un mot. vive supersocialo

la raison est simple nous vivons encore dans une société ou l'expression est libre, contrairement à une société socialiste qui n'autorise que la célébration de l'idéologie, du guide suprême par les écrits, la parole, l'expression culturel. Ma question pourquoi certains veulent nier la vérité du socialisme, de son présent, de son passé, y-a-t-il quelque chose de très grave que le peuple ne devrait pas savoir?????

Les socialistes ont toujours considéré que l'histoire allait trop lentement et qu'il fallait pour la précipiter remettre le pouvoir non au peuple mais à une poignée d'intellectuels et d'activistes qui seraient les seuls à même de guider le peuple et à mener une action qualifiée de révolutionnaire. Par cette attitude de défiance à l'égard du peuple, et donc des individus le formant, les socialistes ont nié la capacité des individus à tirer fécondité de leur labeur et de leurs souffrances, y a t-il plus grande prétention et abus de confiance?? Les socialismes ont confisqué la liberté vivante de l'individu au profit d'une liberté idéale. Le socialisme ne peut que construire une société d'asservissement dirigé par une caste de doctrinaires jaloux de son pouvoir et aveugle à toutes ses erreurs et à toutes les misères qu'elle a engendrées. Les socialismes, depuis plus de deux siècles, trahissent ainsi militants et électeurs naïfs et confiants. le guide: notre supersocialo

reprenons le fil de nos commentaire sur ce qu'est le socialisme réel Le socialisme n'est qu'une sociolâtrie, qui ne peut s'imposer que par le "réalisme politique", c'est à dire que la fin justifierait les moyens. Les moyens: la négation du droit individuel, l'établissement de la dictature. Le socialisme ne sera qu' une société dirigée par le grand prêtre socialiste, dont les intellectuels seraient les prêtres, et les militants les gardiens du temple, une société où la vie privée serait absolument identifiée avec la vie publique. Le socialisme sera la société de l'obéïssance absolue , de la dévotion totale au grand prêtre qui régnerait sur tout, voilà le rêve des électeurs, des adhérents socialistes la disparition de l'Homme libre et du Citoyen, sa dissolution dans le magma universel malaxé sans fin ni contrôle par le Léviathan socialiste jamais rassasié. Le socialisme, une utopie monstrueuse parce-que convaincue du pouvoir illuminant de sa pensée, qu'il imposera non pas naturellement, mais par la force avec l'aide des militants délateurs, d'une milice fanatique, d'une police et d'une armée aux ordres. et vive supersocialo, bien sûr

Ce qui est formidable dans notre société c'est la capacité d'oubli des égarements idéologiques, de leurs impasses économiques et sociales de leurs échecs dans tous les domaines. Ces idéologies nient l'homme et son libre arbitre, une seule alternative : s'abandonner à une pensée, une vision, un homme qui sait tout , à tout compris mieux que les autres. Mais qui peut décemment accepter cela, on s'aperçoit malheureusement qu'il ya une majorité d!invidu qui sont prêts à se livrer à ce genre de gourou malsain et à leur conception simpliste du bonheur radieux sans fin dans une totale égalité de condition de vie. certain les plus "malins" nous promettent cette vie édénique aprés la mort, sacrifions nous de notre vivant et vous aurez le bonheur éternel, d'autres nous promette la même chose sur terre et donc de notre vivant mais ils disent il faudra du temps. Je vous montre le chemin , je vous guide " ayez confiance" pour ce faire faites tout ce que je vous dit. Ce génie, ce lider, ce petit père aura certainement un belle vie, les autres vivront l'enfer en attendant l'avènement de la société idéale que personne n'a jamais vu et ne verra jamais, bien sûr. Le désespoir des hommes naît de l'incompréhension à toujours voir repousser cet avènement, de toujours voir que cette nouvelle société se dérobe constamment sous leur pas, obligeant le "guide" et ces complices à repousser aux calendes grecques cette société paradisiaque. sine ira et studio

Le socialisme et toutes les idéologies du "bonheur (confessionnelles, ethniques, écolodémagogiques), ne sont capables que d'un despotisme délirant, car ils se veulent la conscience absolue d'un ordre nouveau, dans une société de l'obéïssance totale. Ce despotisme n'est jamais si redoutable que lorsqu'il prétend faire du bien, car alors il croit excuser ses actes les plus révoltants par ses intentions, qui sont qualifiées de " bonnes", bien sûr, mais comme le disait les anciens : "l'enfer est pavé de bonnes intentions". Vivre des décennies; en attendant le bonheur paradisiaque promis par le socialisme sous le joug, la discipline de fer du parti et de son chef suprême qui peut-être enthousiasmé?? J'aime encore mieux un peu de désordre républicain dans le respect des droits naturels et imprescriptibles de l'homme et du citoyen, plutôt que le déchaînement révolutionnaire et son cortège de malheurs et d'horreurs. VIVE SUPERSOCIALO