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kentin345OO

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Tout ce qui a été posté par kentin345OO

  1. Si le fait d'avoir des cheveux crépu n'est pas propre aux noirs, que les dredlocks sont aussi porté par des blanco et donc que d'autres personnes que les afro sont dans la ligne de mire de nivéa, c'est pas du racisme... D'autant plus que c'est un noir bien friqué à l'évidence, qui balance un black des bas quartiers. C'est plus une attaque sur les classes sociales que sur l'origine ethnique je trouve. La couleur de peau n'est qu'un précurseur.
  2. Excellente définition! J'en suis du même avis Avec une forte subjectivité, sans doute. Englober une liberté universelle, ou donner à son sens une aussi étroite conception égocentrique, reviens un peu à ne pas savoir ce que l'on veut. Il me semble que quand l'on a le sentiments d'être heureux, l'on est tout simplement heureux... Alors oui, quand l'on est heureux l'on ne cherche pas à s'octroyer plus de droits, puisque la situation nous conviens. Mais ce qui est propre à la subjectivité, c'est qu'elle varie incessamment, le sentiment " renvoie à la perception de l'état physiologique du moment "*, autrement dit, il n'est relatif qu'à la période où il est ressenti. Si l’affaissement de ce sentiment n'est suivi d'aucune altération du statu social de l'individu, peut-il affirmer avoir perdu sa liberté, même si personne ne lui a porté atteinte ? Je ne partage pas cette vision. La liberté peut amener à la satisfaction, mais elle n'est pas seul facteur. La suffisance de notre position, consiste à oublier une éventuelle privation de liberté, j'imagine. En fait, je n'aime pas cette définition car elle ne repose que sur un fondement subjectif. Chacun peut donc crier à jamais son manque de liberté parce qu'il à des ennuis dans sa vie, se reposer sur une fatalité : "S'il est esclave, quelqu'un d'autre le contrôle". Une déresponsabilisation qui en plus de borner l'individu, peut constituer une véritable injure à ceux qui sont réellement dans une situation d'atteinte à la liberté. *Wikipedia
  3. Si tu la garde inaliénable, pourquoi chercher à débattre, c'est une entreprise fausse ou contre-productrice ? De plus, si tu ne parles pour ne pas apporter de nouvelles pensées, quel intérêt ? Démolir celles des autres ? C'est puéril, convenons-en. Enfin, quand on lis les réponses aux provocation, l'on se dit que l'un n'est guère mieux que l'autre. C'est trop de railleries pour moi, et j'en viens à penser que se cacher derrière une pseudo idéologie n'est qu'un moyen que vous trouver pour insulter vos différences. Aurevoir.
  4. C'est dommage de répondre par un parti que par une pensée.
  5. C'est inconscient de régler ses compte en public, quelle dignité on laisse ensuite ? Raciste ou pas il s'exprime bon dieu, et en restant correct. Si une lorgne de haine reste coincée au travers de la gorge, crachez la par MP, merci !
  6. Je ne l'avais pas compris comme ça, toutes mes excuses. :blush: Sinon, outre le rôle du système et des classes sur-chargée, je pense qu'il y a un travail de préparation, de conditionnement à faire. De la part des parents mais aussi des proches en général. Pour beaucoup, apprendre se résume à une activité au lieux d'être une attitude. Cela se résume à être assis pour écouter quelqu'un parler ou lire un ouvrage imposé. Il y a cependant des manières plus ludique quand on est enfant d'apprendre, de développer un esprit de curiosité qui sans doute est une clé dans la réussite, mais également dans la culture. Parce que ce qui est commun, je pense à l'éducation et à la culture, c'est le désintéressement ambiant qui se fait ressentir. Je veux pas trop aller dans le hors sujet, mais je pense que le conditionnement, ou l'influence que peut avoir un parent dans la poursuite des études, tout simplement en s'efforçant de donner la meilleure image possible à l'éducation, avec ses valeurs associés, pourraient produire des résultat plus qu'intéressants au niveau scolaire. Aussi, lorsque l'enfant est bambin le fait d'entendre une ou plusieurs langues parlés à développe son cerveau de manière à ce qu'il ait dans l'avenir certaines facilités en linguistiques. Les étranges, les bilingues, dans ce domaine ne sont que plus riche en culture que nous (soit dit en passant)... Dans des familles où l'on est médecin ou avocat de générations en génération (le cliché quoi :D), on peut se douter que l'influence des aïeux ont déterminés le choix des enfants. Alors quand je vois que renard79 (je crois que c'est lui), dis que la 3éme génération d'étrangers paient les actes de la seconde, je ne pourrait que lui répondre que ceux de la 4ème sera pire, jusqu'à qu'il y ait une vrai prise de conscience de leurs part. On commence à parler de racisme anti-blanc, c'est un début, mais si l'on pouvait plus parler de racisme du tout, ce serait mieux. Enfin, pour en revenir plus aux questions propres à la culture et moins à l’immigration, j'ai l'impression que l'on pointe du doigt les jeunes, leurs reprochant leurs goûts pour les programme 'débiles', ect. C'est vrai, la culture pâlis à mon avis aux nombre des secret story (pour le cliché :)), cependant, les niaiseries américaines ont encore un gros effet sur les plus anciens, avec les Feux de l'Amour pour ne citer qu'eux (Et surtout pour le cliché ). La culture semble se perdre sur toute catégories de personnes, de tout horizons et de tranches d'âges, et nous on prend 14 pages pour ne discuter que d'un de ses aspect : La gestion des étrangers (enfin, grosso modo) Négliger les autres points est dommage. D'ailleurs, a-t-on seulement parler des moyens de conservation et de rependre la culture, de s'interroger sur les valeurs qu'on veut défendre et comment les forger ?
  7. On voit bien la contradiction ici. D'une part, tu me dis d'aller interroger un prof en zone, tout en me disant que ce phénomène n'existe pas qu'en banlieue. Je vois pas bien l'intérêt dans ce cas d'aller en banlieue si c'est un problème national. Sans doute pas dans l'optique de faire d'un cas une généralité Soit dit en passant, il y a peu j'avais entendu dire d'un inspecteur de l'académie, avec qui ma famille était bien ami, que le collège public, le genre craignos du quartier malfamé Comme quoi zone sensible et échec ne sont pas toujours liée. Mais bon, je parle encore d'un cas précis pour contredire de vagues arguments, pardonnez moi :blush: Cependant, j'ai quand même envie de demander si le général ne se constitue pas de cas précis, et que par réciprocité les cas précis et isolé ne sont pas autant à prendre en considération que tout les autres ? Si pour un même programme dispensé, dans le milieu du public comme du privé, l'on observe toujours un lot de réussite tout comme d'échec, peut-on incriminer l'institution ? Elle a un rôle important que je ne dément absolument pas. Cependant, en toute logique, et quelque peu de rigueur, l'on peut aisément affirmer que le problème n'est pas exclusivement lié à l'éducation nationale pour ne pas dire majoritairement. J'ai plein d'exemples de personnes (parce que je prend aussi le temps d'écouter certains profs et élèves, il ne faut pas croire) d'élèves qui ont toujours entendu dans leurs propres foyers dire que l'école était mal foutu. Beaucoup le répétait sans pouvoir le justifier. J'ai une autre question, peut-on aller en cours en ayant entendu remettre en question par les personnes qui nous sont les plus proches, et y apprendre convenablement ? Non, assurément. Je voudrais ajouter avant de finir ce message, que l'on critique beaucoup le système, sans jamais reconnaître ses réussites. Aussi, qui parle du talents des médecins français, notamment dans le domaine de la recherches, ou bien des ingénieurs français ? Ils travaillent peut-être souvent à l’étranger pour des raisons bien connu, mais qui les as formé, sinon ce système branlant où l'on crache tous dessus ?
  8. Bah c'est sur que si l'enseignement est incompétent, et qu'on se retrouve avec des classes majoritairement peuplés d'étrangers, on se retrouvera avec une majorité d'étrangers mal-lettrés. C'est un peu hypocrite d'affirmer une choses tout en refusant ce qui en découle. Je n'affirme rien, je suis votre logique. Enfin, je suis désolé de décevoir pyrenne, mais je n'ai aucun étranger d'origine magrébine dans ma classe, juste des allemand et des anglais, qui soit dit en passant sont d'excellent élèves (on à jamais vu ça ) Je ne pense pas que ce soit l'enseignement qui soit à l'origine d'une perte culturel. Certes c'est lié, je pense aux enfants de 8-9 ans qui bougent dans tout les sens et au pauvre instit' qui aimerais parfois les baffer, un grande concentration d'enfants n'améliore pas les choses. Mais ce n'est pas au maîtres, aux professeurs, et autres de faire l'éducation des enfants, parce que la culture n'est pas un enseignement, c'est un mode de vie ! J'imagine qu'être parent est fastidieux, mais qui d'autres pourraient avoir la légitimité de transmettre le goût des valeurs aux enfants ? L'éducation nationale ? Je crois que l'on se trompe de monde là. Il y a beaucoup à apprendre, les méthodes sont contestables, mais en plus des connaissances théoriques, il faudrait que les profs enseignent la vie aux enfants ? Dans l'idéal, peut-être, mais c'est totalement dépourvu de sens de critiquer l’incompétence de l'éducation nationale dans ce sens, sans nous même tout mettre en œuvre pour qu'ils s’empreigne de la culture qu'on veut leurs transmettre. On peut critiquer les politiques si l'on veut, mais avouons que s'ils prennent des décisions d'envergures, ce sera toujours les parent qui seront responsable en toute chose de l'éducation de leurs jeunes pousses. Après, le problème ne porte pas exclusivement sur les jeunes, et sur l'éducation, parce que les adultes aussi perdent les valeurs culturelle. Aussi une étude montrait que 33% des plus des 18 ans n'avait pas lu de livre au court de l'année 2009 en France. Incriminerait-on encore le système ?
  9. Peut-on reprocher aux gens de redouter les conflits ? C'est naïf de croire pouvoir les éviter en tout point, mais c'est dommage de s'y résoudre. Mais lorsqu'un gros pays genre les states ou la chine ne sont pas d'accord avec une décision commune, l'on ne peut rien faire par crainte de conflit, et c'est exactement la même situation, le plus fort démographiquement l'emporte.
  10. " Traite les autres comme tu aimerais à être traité par eux dans des circonstances analogues " A condition que toutes les personnes partagent ta vision du monde, en tours points, en toutes choses. ...
  11. Un petit com pour un grand esprit... :)

  12. Tout dépend ce que l'on entend par "peuple mondial". En france réside plusieurs cultures en différentes régions, la bretagne, la corse, tout ce que l'on nous rabâche et qui ne nous plait pas forcément, pourtant la france existe encore. Un territoire qui recueille donc plusieurs cultures (puisque l'on viendra farouchement nous reprocher l'abus de langage "multiculturel"), dont les régions ne sont connu que par les français eux même, ou quelque étrangers qui s'en intéressent. Alors parce que les frontières ne sont pas connu, la culture qu'elle représente est morte ? Explique moi veux-tu, si je fais un contresens, mais parler de peuple mondial, ou de peuple français, ou encore de peuple breton, corse, cela n'est pas qu'un banal système de classe et d'attribut ? Si un corse est français, européen, pourquoi lui refuser l'appellation de terrien ? (Oui, comme peuple de la Terre quoi) Si dans l'absolu, il existait un état "mondial", il est raisonnable de penser que les pays existant de serait qu'une subdivision des différentes contrées. Outre la naïve limite imaginaire qui sépare deux terre, l'unification des états serait peut-être une bonne chose dans l'ensemble puisqu'il démontrerait la nécessitait d'intervenir pour instaurer un équilibre dans l'économie des diverse régions. Non ?
  13. Alex, je pense que restreindre nos libertés comme le fait l'autorité est essentielle. Après tout, si nous sommes libre de faire le bien, comme le mal (un peu gros dit comme ça et pourtant...), les plus cupides s'imposeront par la force, et finalement priveront les plus faible physiquement de leurs libertés, ou plutôt restreindra le choix à : servir ou mourir. Certes l'autorité qu'elle quelle soit restreint notre libertés, l'étendu de nos choix, par des lois, des éthiques et des sanctions. Dans le fond, éviter le règle du plus fort n'est pas si mal. Forcément il y a des mesures qui deviennent contraignantes, avec lesquelles nous ne sommes pas d'accord, et puis d'autre encore qui s'éloignent du but suggéré, certes. Mais après justement comme tu le dis, on restreint nous même notre libertés selon "nos devoirs". Mais dans la mesure ou la liberté est une valeurs abstraite, tout le monde peut dire tout et n'importe quoi, et je pense d'ailleurs que le sens depuis la révolution, puis plus tard l'abolition de l'esclavage, fortement changé. D'être libre de vivre "normalement", on retrouve souvent d'autres proposition ridicules. Du coup, l'on peut se demander si l'évolution de la liberté et si l'abus de langage de la part de la plupart des personnes qui crient pour toujours plus de droits/privilèges (paradoxal quand on sait que des années plus tôt, sous le voile de la liberté il en demandait l'abolition...), n'est pas lié avec une perte de valeur, le sens du devoir, ect.
  14. Je suis d'accord avec toi, aussi longtemps que l'on vit l'on donne une partie de soit en ce monde, et nous mêmes sommes en partie définie par notre culture. Seulement le problème, tel que je le vois, ce n'est pas de ne pas échanger, mais plutôt de ne pas partager suffisamment. Je ne jette pas la pierre sur les non français, qui le sont d'ailleurs bien souvent. Je pense d'ailleurs que les choses pourraient se passer avec des résultats totalement différents si notre monde "n'évoluait" pas si vite. Je m'explique, pour se sentir français quand on ne l'est pas à l'origine, il faut du temps. Seulement, il y a toujours des crises, révoltes, grèves,tant d'évènements que subit la société et qui retombe bien souvent sur les mêmes. Je comprend de plus en plus quand on me dit qu'on incrimine à tord les étrangers de la plupart des problèmes de sociétés. Et comme je l'ai dis, je commence à croire que si l'intégration se passe plutôt mal pour certains c'est en partie liés à toute cette machine que l'on peine nous même à contrôler. Je suis assez d'accord avec ce que tu dis. Seulement brusquer "l'unification des territoires" si j'ose dire, est vain. Les gens ne sont pas prêt et je comprend pour ne plus être "habitant de la terre", on le voit déjà quant à l'attachement qu'ils vouent à leurs origine, non pas en aimant et chérissant leurs pays, mais plutôt en revendicant avec orgueil leurs provenance. C'est encore plus difficile de parler d'Europe. Serait-ce possible que ce problème d'identité soit lié à une mondialisation trop brutale de nos sociétés qui n'ont pas eu le temps d'évoluer, culturellement, idéologiquement et économiquement parlant à ce nouveaux monde qu'ils façonnent encore ? Sans oublier les effet que la levé des frontières auraient comme effet. Les migrations de population vers les zone géographiquement ou économiquement préviligiés deviendront cauchemardesque en un rien de temps, avec entre autre, des paysage rasé pour construire des logement, sans doutes des cités pour ranger le plus d'humain en un minimum d'espace. La concentration engendrerait des problèmes de trafic monstrueux tandis que le niveau de vie général s'abaisserait. Et là, pour ce qui est du racisme... ce sera un carnage ^^' Non, il faut encore du temps, beaucoup de temps.
  15. Peut-on parler d'enrichissement si les diverses cultures ne font que cohabité ? Si la masse comporte plusieurs avis, plusieurs modes de vies, plusieurs histoires, mais qu'ils se contente simplement d'exister sans mettre en avant ce qu'ils sont et de prendre sur eux de partager et pour être marqué par la vie de l'autre, et que l'autre soit marqué par la sienne, cela ne sert strictement à rien. Si dans l'absolu c'est un signe de diversification qu'en reste-t-il pour nous ? C'est pas en mettant côte à côte plusieurs culture pour faire un ensemble riche en différences, que chacun pourra se satisfaire d'une diversité culturelle. Sans partage cela ne sert à rien. A quoi bon avoir plusieurs horizon si chaque reste cloitrer dans son coin?
  16. Mouais, en gros c'est pas qu'elle n'a plus d'identité, c'est carrément qu'elle n'a plus de personnalité... Franchement maintenant que vous le dîtes, c'est bizarre que l'on ne parle pas plus de "l'américanisation"... Parce que, le partage de culture c'est bien beau, vouloir que les autres l'adopte brutalement ça l'est un peu moins, mais le fait de la perdre pour en assimiler une autre c'est carrément moche. Et... juste pour info, il n' a aucun politicien qui a cru bon dans parler, voir de trouver un moyen, soyons fou, pour redonner un peu de vitalité à la notre ?
  17. C'est bien ça le problème, peut-être que ceux qui se plaignent que la France perde ses valeur/son identité, ne veulent pas de cette culture là... (Qui n'a rien avoir avec les étrangers d'ailleurs, c'est un bel exemple qu'on tien là )
  18. D'un autre côté c'est sûr qu'être influencé nous pousse à aller dans la direction choisi par celui qui nous influence. Mais peut-on ne pas être libre, simplement la croire, du simple fait qu'on se fait influencer/manipuler ? Ne pas se laisser gérer et se laisser suggérer ne sont tout de même pas la même chose, si ? Je sais pas... Je vois pas en quoi l'individu qui vient tranquillement dans son magasin pour faire des emplettes, quand il achète un produit dont on vante les mérites perd une partie de sa liberté parce qu'en l'achetant il pense améliorer d'une certaines manière sa qualité de vie. C'est lui qui achète le produit, personne ne l'y force, à moins que la tentation soit humainement impossible à supporter, mais j'en doute :blush: Ne pas se laisser influencer/suggérer/conseiller, reviendrait à dire que l'on ne peut faire confiance à personne. Du coup, avant de choisir quel produit convient le mieux, on serait obligé de tous les tester pour voir lequel nous conviens le mieux. Ça oui, on l'exercerait notre liberté de choix, mais franchement ne serait-ce pas une pertes de temps ? Parce que même si l'on conserve notre liberté, elle serait cruellement restreintes du fait que de faire nos propres expériences, tout redémontrer, simplement pour être sur de ne pas avoir été abusé par telle ou telle agence de pub, nous priverait d'un des plus beaux très de la liberté, je pense, le fait de pouvoir croire aveuglement et naïvement à ce que l'on nous dit. Au fond, l'on se priverait nous même d'un aspect de la liberté faute de vouloir la conserver à tout prix... paradoxal Mais bon, pour éviter ce désagrément, on peut aussi placer exclusivement notre confiance en un seul produit, au moins on serait ni sur le joug des campagnes marketing, ni sous la frénétique envie de choisir le meilleur produit à nos yeux. Mais bon, ce serait également dommage puisque l'on s'interdirait aussi de découvrir des nouveautés... Une liberté conservé tellement bien que certains aspect n'en ressortent même plus Si l'influence est liés à nos choix, et que le fait de pouvoir choisir définie notre état de liberté, peut-on pour autant s'écarter de toutes ces sources sans se priver nous mêmes de certains aspect qu'elle nous offre ?
  19. Tu critiques quoi là ? Que des personnes ayant des origines ne les oublient pas ? La dégradation ? La dégradation uniquement faite par des originaires d'ailleurs ? Merci de préciser que je comprenne où tu veux en venir. Non je ne critique pas le souvenir, ni même le fait de retourner régulièrement dans son pays natal, quoi de plus normal ? Mais il y a certaines personnes,(l'on remarquera le "certain"), pour qui cela passe par la dégradation*, mais également par le fait quelquefois, je parle de vécu donc ce que j'ai vu et entendu, même si c'est bien peu, qui bien trop souvent dans les lieux public parlent fort, ou plutôt crient, que la france est naze** et que l'x pays est meilleur, voire que la france est devenu l'x. * Concernant la dégradation, je conçois bien que tout les dégradateur ne sont pas étranger, (Heureusement/hélas ?), cependant vu la nature de la dégradation, je suppose que l'on ne peut m'en vouloir de l'associer au sujet. ** Je n'ai pas rapporté les propos exacts pour raison de bienséance. La plupart viennent pour bosser (oui, bosser), l'ouverture culturelle se fait de gré ou de force, en côtoyant de nouvelles personnes. Mais des raisons il y en a des dizaines, tu ne connais pas l'histoire de chacun (voyager, travailler, retrouver sa famille, étudier...) Tu te bases sur ce que tu vois, mais à ton âge j'ai envie de dire qu'on connait pas grand chose, pour ne pas dire rien. J'avoue que j'ai du mal à trouver les mots justes, disons que c'est dût à mon jeune âge Mais les intentions conditionnent grandement nos actions, aussi si l'on ne vient pas pour partager, je vois mal comment on peut parler d'échange culturel à proprement parler. Pour moi il existe une différence entre un minimum de vie sociale et un échange culturel. Fuir un pays c'est pour ne plus y retourner. Combien y retournent chaque année en vacances ? Enfin, beaucoup de gens issus de milieux modestes n'ont pas besoin de lois pour savoir vivre et respecter autrui, contrairement à ce que t'as l'air de croire, ce ne sont pas tous des sauvages assoiffés de sang qui ont besoin qu'on leur apprenne à vivre en société. Une fois encore, je suis désolé de ne pas avoir trouver le terme approprié. D'autant plus que quand je parle de loi, je ne veux pas dire que c'est des barbares, seulement que d'un pays à l'autre il existe des réglementations, des lois subtiles que la raison universelle ne prend pas en compte, et que seul ceux qui ont baignés dans la société en question on pour évidence. Voilà le clou de ton message. Ce que t'as l'air d'ignorer, c'est que la France continue de gagner beaucoup d'argent sur le dos de ces pays dans lesquels tu veux qu'elle investisse, via ses grands groupes. L'Afrique doit être le continent le plus riche en terme de ressource, c'est aussi le plus pauvre, paradoxalement. Bref, avant de jeter la pierre sur des victimes du système, plains-toi à ceux qui l'ont crée. Je ne vois pas en quoi l'exploitation (qui prend certains aspect malhonnêtes vu comme ça) des autres pays change quoique ce soit à ce que j'ai dis. A moins que l'on veuille se donner une identité de profiteur, je vois pas en quoi le fait d'essayer d'améliorer la situation ailleurs pour éviter que les problèmes découlent sur nous est une idée absurde. Je suis désolé si tu as mal interprété mon message, je ne cherche pas à jeter la pierre sur qui que ce soit, et si je le fait c'est que je suis franchement malhabile ! Je sais que le système est imparfait, mais je sais surtout que l'homme a une raison, d'où qu'il vienne. Je reprend tes mots : Dsl pour le HS.
  20. Bah le pire ce n'est pas qu'on dépense dans le social, c'est qu'on ne dépense pas dans l'utile. Ça revient un peu à réparer les pots cassé par les autres pays... Certes c'est bon pour la conscience des politiques, mais ça ne mène à rien. Si l'on investissait plus dans les pays étrangers pour éviter l'émigration non culturelle plutôt que d'essayer de faire sentir chez eux, peut-être aurait-on plus de résultats... je ne sais pas. renard : Bah déjà, je pense que la plupart du temps ne savent pas ce que représente l'identité du pays. L'on critique, moi le premiers quand j'ai de quoi à dire, non pas contre le pays mais pour ceux qui en bénéficient. S'il existe des failles dans le système, et il en existe, c'est normal de les critiquer, non ?
  21. Mais aussi quand on aborde la question on imagine l'émigré comme tout un chacun, un européen qui irait dans un autre pays découvrir sa culture, partager le sienne et vivre tranquille. Mais mes seuls clichés, seuls repères montrent que la plupart du temps ceux-ci ne sont que de pauvres paumés qui fuient une situation désagréable de leurs pays d'origine. Et c'est d'ailleurs là ou se fait la différence à mon avis. J'ai dans mes connaissances plusieurs étrangers, et l'on peut nettement faire la différence entre les européen, espagnols, allemand entre autres qui partagent vraiment, raconte les points commun et différences entre leur pays d'origine et celui-ci. On dit souvent que l'Europe même si elle est petite comporte des sociétés particulières et différentes les unes des autres, je veux bien le croire. Contrairement, il y en a d'autre que l'on voit plus démunie (je passe les détails pour pourrait être péjoratifs), qui eux taguent le plus souvent le nom de leurs pays d'origine sur les murs sur mes bus, ect. Le problème, c'est qu'ils sont souvent partie par nécessité, et non dans l'optique de partager quoique ce soit, ce n'est ni une pratique altruiste, ni une ouverture culturelle. Je m'égare un peu, mais ce n'est pas les lois qui formateront les étrangers qui fuient leurs pays, je ne suis même pas sur qu'ils les connaissent quand il arrivent. La maîtrise de la langue n'y changera rien, même si c'est un fléau de ne pas pouvoir communiquer convenablement. On le constate quand on lis un peu de témoignages, les émigrés dont il est questions viennent croyant trouver un beau pays riche ou ils pourront vivre leurs rêves, mais en fait non. Si l'on ne promet plus ce que l'on ne peut offrir, certes ça ne réglerait pas le problème, mais au moins l'on prendrait conscience qu'il y a des mesure à appliquer pour régler le problème.
  22. J'ai déjà posé la question sur un autre post, et je me permet de la rapporter ici puisqu'elle me semble plus approprié à ce sujet, qu'est-ce que l'identité dont vous parlez tant ? Parce que pour affirmer qu'une image se perd, encore faut-il la connaître savoir ce qu'elle est, ce qu'elle représente, et non pas seulement en avoir une image "flou" comme feuille le dit à juste titre. Je pose cette question parce que justement, j'ai souvent lu des contestation, mais très peu de définition de ce qu'est l'identité de la France. Si quelqu'un peut éclairer ma lanterne, merci à lui :)
  23. Justement, si l'on affirme qu'on est pas libre alors on peut excuser tout nos actes sous prétexte de ne pas en être responsable. Si en outre nous sommes libre de faire quasiment tout ce que l'on peut, l'on s'impose parfois des limites, ou plutôt on fait le choix de ne pas exploiter notre liberté pour faire des choses que l'on ne veux pas. Mais si le choix nous reviens de se poser des limites, il nous est aussi permis de les repousser, non ? Je pense que même restreinte, par la conscience, par une substance ou un quelconque autorité, la liberté existe malgré tout en chaque situation. Je pense par exemple à un rendez-vous professionnel dont on dit "qu'on ne peut pas manquer", comme s'il nous ôtait toute part de responsabilité. Cependant rien ne l'empêche d'annuler le dîner, si ce n'est la peur d'en être blâmer. La conscience nous limite, mais pourtant physiquement, le choix nous reviens encore de prendre le risque d'un blâme ou d'un somptueux et pompeux dîner. Se plaindre dans cette circonstance d'un manque de liberté reviendrait à mes yeux, à ne pas assumer d'aller contre sa propre volonté juste pour conserver un certain statut dans l'entreprise. (Un peu comme un problème d'orgueil, il se résigne sans toutefois accepter l'idée d'être soumis)
  24. Ce qui est bien avec les philosophes c'est qu'ils partent d'un concept très simple, pour en faire une superbe thèse que personne ne comprend ^^' Pourquoi la liberté ne serait pas le fait de pouvoir agir, tout simplement ? Même si agir à notre bon vouloir nous poussera forcément tôt ou tard à se battre pour conserver une liberté totale ou à se soumettre pour en garder une partielle, n'est-ce pas un schéma dénudé de complexité, une niaiserie enfantine, qui pourtant ne trahi aucun sens du mot ? (à mes yeux) Par opposition, le fait d'être emprisonner par exemple, serait une privation de liberté dans la mesure ou, physiquement, tu ne peux agir. Les grilles te retiennent, les gardiens essaient eux aussi. J'ai l'impression que souvent les gens se déresponsabilisent sous la mention de ne pas avoir été libre de faire autrement...
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