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azad2B

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Tout ce qui a été posté par azad2B

  1. Expérience de pensée, à murir : Sauf, si on avait été roulés dans la farine ! et que nous nous trouvions en ce moment être les victimes des combats que se livrent des divinités, et que celle qui en ce moment a le vent en poupe, celle qui remporte toutes les victoires, fait le plus de victimes et conquiert le plus de territoires et de prérogatives à l'autre, ce serait celle de celui qu'on appelle Dieu, alors que notre vrai créateur, celui qui nous a vraiment créés à son image, c'est en vérité Satan. Nous sommes occupés par les soldats de Dieu, qui nous traitent comme des ennemis, voire, comme des terroristes en puissance. Leur Ministre de l' Information a fait brûler les livres d' Histoire, et celle que nous connaissons est celle qu'ils nous permettent de lire. Et bien entendu cela nous dépasse, car Dieu et Satan ne sont pas comme nous assujettis à notre calendrier. Vingt générations dans le nôtre correspondent à quelques secondes dans le leur.... Alors, on comprend tout. Essaies d'imaginer cela et tu vas constater que, mystères et contradictions disparaissent comme par enchantement.
  2. Oui, mais ça n'était pas qu'une métaphore, je l'ai vraiment vue. Peut-être était-ce celle que tu présentes ici ? Cela étant, Si je fus longtemps, moi aussi, enclin à l'indulgence face aux croyants, c'est l'Histoire qui m'a appris que ceux qui avaient le monopole de dispenser le Savoir choisissaient avec soin les esprits qu'ils estimaient propres à être éduqués. Les autres devaient payer la dime. Et au fait, cette histoire d' Abel et de Caïn m'a aussi perturbé jadis. Une fois Adam et Eve chassés de l' Eden, il leur a ordonné de travailler et de cultiver la terre d'où ils tireront leur nourriture. Et Caïn, l'obéissant, devint cultivateur, tandis que son frère fut berger et lui, ne se contentait pas de ce que les animaux pouvaient lui apporter, genre peau, lait, oeufs. Un petit barbecue de temps en temps, ne lui déplaisait pas trop. Et on sait la suite: Dieu l'injuste a préféré le menu de l'un plutôt que celui de l'autre. D'où l'origine de cette chose que personne ne souligne jamais : le premier homme à être né sur Terre ( j'entends à avoir été doté d'un nombril ) fut aussi le premier criminel de l'Histoire. Ce qui montre que notre omniscient a vraiment tout raté. Pour ses deux autres attributs, on voit Dieu chercher partout Caïn pour lui demander des comptes, ce qui fout aussi en l'air l'omniprésence. Et l'omnipotence a suivi, puisqu'il n'a pas pu empêcher le meurtre. Faut pas être très futé pour faire d'un tel individu, quelque chose d'Adorable.
  3. @Crabe_fantome: tu es trop parfait. Jamais je ne parviendrai à cette sagesse qui est la tienne. J'ai trop peur de voir toute cette armée de sauvages me jouer une Saint Barthélémy à l'envers et m'envoyer Ad Patres. Car je sais que ce qui arriva un jour tôt ou tard reviendra un autre jour. Et puis, aussi, j'en ai marre ! de tout ! Et pouvoir nommer celui que l'on juge, à tort ou à raison, le fautif de cette lassitude, est une petite consolation à ne pas négliger. Tu aurais fait un bon missionnaire, sais-tu ? Cela dit en toute amitié, bien sûr.
  4. Oui, mais ça n'était pas qu'une métaphore, je l'ai vraiment vue. Peut-être était-ce celle que tu présentes ici ? Cela étant, Si je fus longtemps, moi aussi, enclin à l'indulgence face aux croyants, c'est l'Histoire qui m'a appris que ceux qui avaient le monopole de dispenser le Savoir choisissaient avec soin les esprits qu'ils estimaient propres à être éduqués. Les autres devaient payer la dime.
  5. C'est vrai, H.Barbusse avait reçu une éducation Protestante. Mais tu sais ? J'ai vu un jour dans l'arrière-cour d'une ferme, un tas de fumier en train de fermenter à l'ombre d'une écurie, et là, sur cet amas infect, une fleur merveilleuse avait poussé. Plus belle que ce que j'avais pu voir ailleurs, que ce soit chez un fleuriste ou dans une encyclopédie. C'était il y a fort longtemps, et je n'en n'ai gardé que le souvenir... Comme quoi un ramassis de détritus peut engendrer de belles choses, quelquefois...
  6. En tout cas, je recommande la lecture de ce livre (grande nouvelle, plutôt) car il fourmille de petits trésors susceptibles de réveiller les neurones de ceux qui en ont encore. Et si l'on est très courageux ou allergique au papier je vous recommande ce site canadien qui possède une vaste bibliothèque d'ouvrages consultables en ligne. https://beq.ebooksgratuits.com H.Barbusse est chez "Les Classiques"
  7. @lumic Rassure-toi ! La crémation est une bonne échappatoire. Mais si le sens caché du post, ne t'es pas apparu c'est que tout simplement tu ne fais pas partie de la catégorie de lecteurs à qui je le destinais. Cela étant, j'aurais pu poster en littérature, car H. Barbusse mériterait d'être encore lu. Mais le titre m'a semblé plus évocateur de lumière et de chaleur ici.
  8. Après ??? Mais mon vieux, Avant d'en arriver à l' après, il serait bon de regarder de plus près ce qui l'a précédé. Et je pense que je vais être long. Accrochez-vos ceintures parce que je vais vous raconter ce petit bijou vieux de 120 ans, déjà, signé de celui qui a des Avenues partout en France : H. Barbusse. L' Enfer. C'est un livre qui ravira ceux qui aiment l'érotisme, l'adultère, l'éveil des sens, bref un truc très In dirait-on. Je vous passe les détails, mais en gros nous sommes dans une chambre d'Hotel et on peut savoir, voir et entendre ce qui se passe dans les chambres voisines... A part les passages croustillants, j'ai relevé quelques extraits, dont je vais agrementer mon texte. Un homme va mourir. L’homme déclinait. La mort était évidemment dans la maison..... Apparaît alors une jeune femme qui s'offre à lui, Je vous passe les détails ... Et quand elle s’est habillée et obscurcie à jamais, et qu’ils se sont quittés sans rien oser se dire, je suis balancé par un grand doute. A-t-elle eu raison, a-t-elle eu tort ? J’ai vu l’homme pleurer et je l’ai entendu se murmurer : – Maintenant, je ne saurai plus mourir ! A présent, il est allongé, fatigué. Il songe. Il cherche un sens à la Vie, et finalement, il n'en trouve qu'un : Qu’est-ce que je suis ? Je suis le désir de ne pas mourir. Ce n’est pas seulement ce soir, où me pousse le besoin de construire le rêve solide et puissant que je ne quitterai plus, mais toujours. Nous sommes tous, toujours, le désir de ne pas mourir. Il est innombrable et varié comme la complexité de la vie, mais c’est, au fond, ceci : Continuer à être, être de plus en plus, s’épanouir et durer. Tout ce qu’on a de force, d’énergie et de lucidité, sert à s’exalter, de quelque façon que ce soit. On s’exalte avec des impressions nouvelles, des sensations nouvelles, de nouvelles idées. On s’efforce de prendre ce qu’on n’a pas pour se l’ajouter. L’humanité, c’est le désir du nouveau sur la peur de la mort. C’est cela : je l’ai vu, moi. Les mouvements instinctifs et les cris libres étaient dirigés toujours dans le même sens comme des signaux, et, au fond, les paroles les plus dissemblables étaient ressemblantes et mensongères… Et cela le conforte. Le Mensonge a été son compagnon de route. Il n'y a pas d' après ! Pas d'âme immortelle. C 'est tout bonnement inconcevable... on trompe les gens pour mieux les contenir et on a tenté de m'abuser mais j'ai chassé le Mensonge. Mais je sais pour m'en être rendu compte en écoutant les Croyants raconter leurs espoirs que le doute, cette bête insidieuse existe aussi chez eux même s'ils ont tenté de l'écraser.. Et cela se voit dans leurs regards fuyants : ils n'y croient pas eux-même mais voudraient que vous, vous y croyiez pour ne plus se sentir les seuls à croire. L’homme reste maintenant couché. On circule autour de lui avec précaution. Il fait de menus gestes, prononce de rares paroles, demande à boire, sourit, se tait sous l’afflux des pensées. Ce matin, il a pris la forme héréditaire, a joint les mains. On l’entoura, on le regarda. – Voulez-vous un prêtre ? – Oui... non... dit-il. On sortit ; et quelques instants après, comme s’il attendait derrière la porte, un homme à la robe sombre se trouva là. Ils étaient seuls. Le mourant tourna la figure vers le nouveau venu. – Je vais mourir, lui dit-il. – De quelle religion, êtes-vous ? dit le prêtre. – De la religion de mon pays, orthodoxe. – C’est une hérésie qu’il faut tout d’abord abjurer. Il n’y a de vrai que la religion catholique romaine. Il continua : – Confessez-vous... Je vous absoudrai et vous baptiserai. L’autre ne répondit pas. Le prêtre répéta sa question : – Confessez-vous. Dites-moi ce que vous avez fait de mal – en plus de votre erreur. Vous vous repentirez, et tout vous sera pardonné. – De mal ? – Rappelez-vous... Faut-il que je vous aide ? Il désigna la porte de la tête. – Cette personne qui est là ? – Je suis marié avec elle, dit l’homme avec une hésitation. Celle-ci n’avait pas échappé à la figure penchée sur lui, les oreilles tendues. Le prêtre flaira quelque chose : – Depuis quand ? – Depuis deux jours. – Oh ! depuis deux jours ! Et avant, vous avez péché avec elle ? – Non, dit l’homme. – Ah !... je suppose que vous ne mentez pas. Et pourquoi n’avez-vous pas péché ? Ce n’est pas naturel. Car enfin, insista-t-il, vous êtes un homme... Et comme le malade s’agitait, s’effarait : – Ne vous étonnez pas, mon fils, si mes questions sont droites et nettes au point de vous faire crier. Je vous interroge en toute simplicité, et sous le couvert de la simplicité auguste de mon ministère. Répondez-moi de la même façon simple – et vous vous entendrez avec Dieu,ajouta-t-il non sans bonhomie. - Songes que tu vas mourir, pourrir, bégaya-t-il au misérable... Tu seras bientôt dans la terre. Dis : « Notre Père », ces deux mots seulement,rien de plus. – Dis-le... Dis-le... Dis-le... L’autre essaya de se dégager, et râla furieusement, tout bas, avec tout le reste de sa voix : Non. – Canaille ! lui cria le prêtre. – Tu mourras au moins avec un crucifix dans les griffes. Il tira un crucifix de sa poche, et le lui plaça sur la poitrine, lourdement. L’autre se remua en une sourde horreur, comme si la religion eût été contagieuse, et rejeta l’objet par terre. Le prêtre se baissa en marmottant des insultes : « Pourriture, tu veux crever comme un chien, mais je suis là ! » Il ramassa la croix, la garda dans sa main, et l’œil étincelant, sûr de survivre et d’écraser, attendit pour la dernière fois. D'ailleurs j'y pense: c'est quoi l'idée à la base? Une fois que dieu a tous les gentils au paradis, il se passe quoi après? Ca c'est la question de @Crabe_fantome Mais après. J’ai ouvert un livre que j’ai là. Je me plonge dans le détail. J’y apprends ce qui m’attend, moi ! J’y apprends mon histoire future. Les animaux des cimetières se succèdent par périodes ; chaque espèce vient en son temps, de sorte qu’on reconnaît l’âge d’un cadavre à la foule qui s’en repaît. Il y a ainsi à travers les corps abandonnés huit immigrations successives qui correspondent aux huit phases de la fermentation putride par laquelle, peu à peu, l’intérieur du corps s’extériorise. Je veux les connaître, voir d’avance ce que je ne verrai pas – et palpiter ce que je ne ressentirai pas. De petites mouches, les curtonèvres, hantent le corps quelques instants avant la mort... Je les entendrai. Certaines émanations leur indiquent l’imminence d’un événement qui va leur procurer avec une abondance débordante des aliments pour leurs larves, et lourdes d’œufs, elles s’acharnent déjà à pondre dans les narines, dans la bouche, et aux coins des yeux. À peine la vie a-t-elle cessé, que d’autres mouches affluent. Dès que le pauvre souffle de corruption devient sensible, d’autres encore : la mouche bleue, la mouche verte, dont le nom scientifique est Lucilia Cœsar, et la grande mouche au thorax rayé de blanc et noir qu’on appelle « grand sarcophagien ». La première génération de ces mouches accourues à l’affreux signal peut former à elle seule dans le cadavre sept à huit générations qui se prolongent et s’entassent pendant trois à six mois : « Chaque jour, dit Mégnin, les larves de la mouche bleue augmentent de deux cents fois leur poids... » La peau du cadavre est alors d’un jaune tirant légèrement sur le rose, le ventre est vert clair, le dos vert sombre. Ou du moins, telles en seraient les teintes, si cela ne se passait pas dans l’ombre. Puis, la décomposition change de nature. C’est la fermentation butyrique, qui produit des acides gras dénommés vulgairement gras de cadavre. C’est la saison des dermestes, – insectes carnassiers qui produisent des larves munies de longs poils, – et de papillons : les aglossas. Les larves des dermestes et les chenilles des aglossas présentent cette particularité qu’elles peuvent vivre dans les matières grasses « qui se moulent, comme du suif, au fond des bières » ; quelques-unes de ces matières cristalliseront et luiront comme des paillettes, plus tard, dans la poussière définitive. Voici maintenant la quatrième escouade. Elle accompagne la fermentation caséïque, et elle est composée : de mouches, les pyophilas, qui donnent ses vers au fromage – vers reconnaissables aux sauts caractéristiques qu’ils exécutent – et de coléoptères, les corynètes. La fermentation ammoniacale, la liquéfaction noire des chairs, appelle un cinquième envahissement : il y a là des mouches, les lonchéas, les ophyras et les phoras, si nombreuses que, sur les cadavres exhumés au cours de cette période, les débris noirâtres de leurs chrysalides apparaissent, selon l’expression d’un médecin légiste, « comme de la chapelure sur les jambonneaux » et que des nuées de mouches s’échappent de la bière quand il arrive qu’on la remonte et qu’on l’ouvre pendant cette phase. La décomposition déliquescente noire est préférée aussi par des coléoptères : les silphides, et les neuf espèces de nécrophores. Maintenant, la putréfaction a à peu près accompli son œuvre. La période qui s’ouvre est celle de la dessiccation et de la momification du cadavre sous les linceuls et les vêtements empesés par les liquides gélatineux de la période précédente. Tout ce qui reste de la matière molle,de pâte organique, farineuse et friable, et de savons ammoniacaux, est dévoré par une autre espèce de bêtes : des acariens, ronds et crochus, à peine visibles à l’œil nu. De quinze jours en quinze jours, leur nombre décuple : au commencement, il y en avait vingt ; au bout de deux mois et demi, il y en a deux millions. Aux acariens succède une septième immigration. Ce sont des sortes de mites, les aglossas, qui étaient déjà venues au moment de l’écoulement des acides gras, puis avaient disparu. Celles-là rongent, scient, émiettent les tissus parcheminés, les ligaments et tendons, transformés en une matière dure, d’apparence résineuse – ainsi que les poils, les cheveux et les étoffes. Le corps est d’une couleur dorée, bronzée, et répand une forte odeur de cire. Enfin, au bout de trois ans, la dernière nuée de travailleurs. Que dévorent-ils, ceux-là ? Tout ce qui reste, tout, jusqu’aux débris des insectes qui à l’état larvaire se sont succédé sur le cadavre. L’effaceur suprême est un petit coléoptère noir dont le nom scientifique est tenebrio obscurus. Après lui, il ne reste plus rien que, malgré lui, quelques débris de débris autour des os blanchis, et une petite masse compacte au fond de la boîte crânienne. Cette sorte de terreau brun, granuleux, qui poudre la pierre humaine et qu’on croirait être le dernier résidu des chairs, n’est même pas cela. C’est l’accumulation des carapaces, des pupes, des chrysalides et des excréments des dernières générations d’insectes dévorateurs. Trois ans se sont passés. Tout est fini. La créature qui a été adorée et a adoré est retournée tout entière en trois ans au règne minéral. La puanteur a disparu ; c’était la dernière marque de vie ; elle s’anéantit, hélas, et il n’y a même plus de deuil. Et tous les habitants du monde auront passé par là dans quelques années. Depuis que je médite, un quart d’heure peut-être, un millier d’êtres humains sont morts sur la surface du monde. ...... La religion... Elle dit avec raison : le bon sens ment, la science ne s’engage à rien ; elle ajoute : nous ne serions certains de rien sans la garantie de Dieu. Et la religion a ainsi arrêté Pascal, en interposant son double fond entre la vérité et lui. Dieu n’est qu’une réponse toute faite au mystère et à l’espérance, et il n’y a pas d’autre raison à la réalité de Dieu, que le désir que nous en avons. Voilà, j'ai rarement posté un truc aussi long et je ne me relis pas ... Bonne fin ..... de soirée
  9. azad2B

    Téléscope spatial

    C'est vrai que des gens capables de faire tant d'efforts pour obtenir tant de résultats, ça nous change de ce qu'on croise dans la rue, ou même chez nous pour ceux qui ne vivent pas seuls…
  10. Pour les sourds qui n'ont point d'yeux ou les aveugles qui ne veulent rien entendre, je suggère une petite visite sur le site d' Arte qui en ce moment diffuse en différé une série d'enquêtes sur ce que sont les ambitions de ces chers et tendres évangélistes ... si doux et si ... angéliques. Après avoir auditionné cela, vous allez pouvoir constater que ce grand mouvement prétendant s'inspirer de la morale de Jésus, va chercher ses modèles chez les Pinochets, les Hitler, Mussolini ou autres Staline. Lesquels à coté d'eux auraient pu être considérés comme des dictateurs très supportables. Et presque aimables. https://www.arte.tv/fr/videos/RC-023779/les-evangeliques-a-la-conquete-du-monde/ Evidemment, Trois épisodes, c'est long, Un peu comme on lit en diagonale, je vous conseille quand la monotonie s'installe d'user de la faculté de "regarder en diagonale" à l'aide des touches fléchées de votre clavier. Expérience très enrichissante, car après cela, mêmes les terroristes les plus acharnés vous sembleront appartenir à de doux agneaux. N'est-ce pas là le message que l'on prête à Jésus ?
  11. azad2B

    IA ChatGPT

    Personnellement, j'ai découvert ce portail il y a quelques jours. Au début cela m'amusait bien, mais j'ai assez rapidement compris qu'il faisait tout ce qu'il faut pour rester dans le "politiquement correct". Cela étant, j'ai découvert une utilisation pour laquelle il me comble parfaitement. Comme j'aime écrire des programmes informatiques parfois assez "pointus" (du genre "utilitaires" introuvables, parce que justement très incorrects sur le plan de la Morale () il m'arrive d'essayer de rendre l'algorithme le plus efficace possible. Et là avec ChatGPT je dois reconnaître que je suis particulièrement gâté . Principalement avec Python qui est un langage merdique au possible. La même requête tapée plusieurs fois de suite vous donne le code de procédures toutes fonctionnelles et testables en un clin d'oeil. Idem en C++. Et avec en plus l'avantage de lire quelque chose écrit en un français très correct et expurgé de ces fautes d'orthographes ou de grammaire dont les aficionados de Python vous abreuvent sans fin. A tel point qu'il faut être timbré pour accepter de croire qu'ils pourraient vous apprendre quelque chose.
  12. Hé... vous savez quoi ?Je suis allé sur chatGPT et je lui ai posé la question que je pose moi-même ici. Voici la réponse que j'ai reçue. (j'ai stoppé la réflexion de l' animal car elle semblait intarissable : La religion chrétienne a été largement influencée par le judaïsme, et il existe plusieurs éléments que l'on peut considérer comme des apports de la religion chrétienne au judaïsme. Voici quelques exemples : La croyance en Jésus-Christ comme le Messie : Pour les chrétiens, Jésus-Christ est le Messie annoncé dans l'Ancien Testament, qui est venu accomplir les prophéties et les promesses du judaïsme. Cette croyance en Jésus-Christ en tant que Messie est un élément central du christianisme et représente une divergence par rapport au judaïsme traditionnel. La notion de Trinité : Le christianisme enseigne la doctrine de la Trinité, c'est-à-dire la croyance en un seul Dieu en trois personnes : le Père, le Fils (Jésus-Christ) et le Saint-Esprit. Cette croyance en la Trinité est unique au christianisme et représente une différence avec le judaïsme, qui affirme la croyance en un Dieu unique sans la notion de Trinité. L'importance de la grâce et du salut par la foi : Le christianisme met l'accent sur la grâce de Dieu et la croyance que le salut est obtenu par la foi en Jésus-Christ. Cela diffère du judaïsme, qui met l'accent sur l'observance de la loi et des commandements de Dieu pour atteindre la justice et la rédemption. La diffusion de l'Ancien Testament : Le christianisme a contribué à la diffusion de l'Ancien Testament, qui est également considéré comme une partie sacrée de la Bible Et tout cela en moins d'une minute. C'est bluffant ce truc. Je crois que je vais définitivement déserter cette rubrique car je dois reconnaître que les enfants de la Silicone Valley sont plus intéressants que les culs bénis d'ici . Faites l'expérience c'est super ....
  13. En tout cas, si j'étais évangéliste, je ferais profil bas ! Leur maître à penser a de sacrés problèmes en ce moment aux States, même s'il a de quoi s'acheter des indulgences qui sentent le bidet d'hôtel de passe.
  14. Hélas, avez-vous perdu la vue au point de ne pas vous rendre compte que ce que je viens de citer peut s'écrire autrement, tout en gardant exactement le même sens et sans même vouloir contredire la suite : Sola Scriptura est la seule, et la véridique, affirmation selon laquelle la Bible est la seule autorité pour toutes les questions relatives à la foi et à la pratique: « Seul ce qui est écrit représente la Vérité, l'Écriture et seule l'Écriture constitue la norme par laquelle tous les enseignements et doctrines de l’Église doivent être mesurés ». A partir de là, la Messe est dite. C'est aussi ridicule que de dire "Je pense, donc je suis" Le Manifeste du Parti Communiste ou Mein Kampf ont à ce titre la même valeur que la Bible et les Évangiles.
  15. Il y a officiellement quatre Évangiles. Et ceux qui les ont étudiés se sont attelés à la tâche de les comparer. Ce qui n'est pas très facile, reconnaissons-le compte tenu des dates de publication de ces Évangiles. Nous devons au monde arabe la création de la Grande Bibliothèque de Bagad qui, pendant plusieurs siècles, s'est enrichie et s'est attelée à la tâche de découvrir, de traduire et de réécrire tout ce qui de par le monde entier avait été écrit et sur tous les sujets. Pour cela, elle employait plusieurs centaines de scribes, tous très lettrés qui classaient tout ce qu'à leur demande les voyageurs pouvaient ramener de leurs voyages. Cette magnifique entreprise a été réduite en flammes quand ceux, qui sont aujourd'hui les Turcs, sont venus pour tout piller et brûler. Plus tard, à Alexandrie (Tunisie) une tentative de propagation de la connaissance a été encore une fois tentée. Et ainsi est née la Bibliothèque d'Alexandrie. Et là encore, les pillards sont venus et ont tout emporté ou bruler. Cette fois, les pillards étaient les Catholiques de Rome. Les ennemis du Savoir et les inconditionnels de l'autodafé. C'était là un petit résumé de la situation facilement contrôlable. Les Historiens qui aujourd'hui tentent de retracer l'histoire de la genèse du Christianisme le font par recoupements entre les faits admis et les vestiges de ce qui subsiste aujourd'hui. La note de @Cressida est exacte, mais n'est pas étayée par toutes les sources disponibles. Jean a relaté l'épisode cité, c'est vrai. Mais au cours des siècles, les mots changeaient de sens. Et les tournures de phrase également. Et dire "Je suis celui qui parle" n'est pas tout à fait équivalent à dire "Je suis celui dont nous parlons" Et Jean dans son 4.28 est tellement cité qu'une telle insistance en devient plus que suspecte. Je dirais même indécente. (vérifiez vous-même)
  16. @hanssi https://fr.wikipedia.org/wiki/Goy#Emploi_du_mot_goy_en_yiddish En gros, et pour résumer un peu brutalement, inutile de perdre son temps avec ces goys, qui en plus de n'avoir plus rien à perdre, n'ont même pas la chance de pouvoir seulement rêver, pouvoir, devenir membre un jour au Peuple Elu. D'ailleurs, de quelle tribu pourraient-ils se revendiquer ? Je sais que ce n'est pas joli, joli, mais si comme moi tu vivais baigné dans cette Religion, tu serais habitué. Et crois-moi j'ai aussi peu d'amour pour elle que pour les autres.
  17. L'ignorance de la vraie raison qui pousse les Juifs à ne pas "convertir" ceux qui ne sont pas de Religion Hébraïque.
  18. Oui, mais bien que fréquenter des gens dont on n'a pas à craindre qu'ils puissent tenter de vous convertir ou de vous ramener dans le droit chemin soit somme toute assez sécurisant, il faut reconnaître qu'ils ne font pas vraiment cela par pure bonté d'âme. Lisez et vous comprendrez peut-être ce que je veux dire par là. Mais si vous avez un minimum d'amour-propre il vaut mieux pour vous rester dans l'ignorance
  19. Là comme ça ( j’ai les mains dans la pâte, ramadan oblige ) il me semble que dans l’évangile de Saint Matthieu Jésus est reconnu comme le messie par des gens de l’époque mais effectivement je ne sais pas si il s’est lui même présenté comme le messie. Bien sûr, c'est vrai. Mais, et c'est là toute l'ambiguïté de ce Jésus : il n'a jamais cherché à les détromper. PS Pardon pour mon clin d'œil ironique concernant les Musulmans.
  20. As-tu déjà, en période électorale, ouvert ta porte à la vermine aspirant a un titre ? Moi, je leur exprime mon dégoût et leur ferme la porte au nez, Cependant si je tombais sur un de ceux-là, déguisé en Dieu le Père, accompagné du fiston et de mignonnes angelettes, je crois bien que je leur demanderais d'entrer boire un café. Les croyants sont ainsi : cocus, et contents. Tiens, ça me fait penser à ces pauvres Musulmans qui ignorent que s'ils tendaient leurs culs vers La Mecque plutôt que leurs têtes, ils seraient peut-être exaucés…
  21. Cela est tout à fait exact. Mais, j'ai trois bibles à la maison, dont deux avec le Nouveau Testament, et même si leur merveilleux "papier bible" est agréable à feuilleter, nulle part je n'y ai trouvé, et quelque que soit l'auteur de l'Évangile, que Jésus avait déclaré être le Messie. Quand il l'évoquait, il ne faisait partout qu'annoncer sa venue prochaine. Et rien de plus. Car si le rabbinat de l'époque l'avait entendu affirmer cela, il n'aurait pas toléré trois ans de le laisser prêcher tranquillement. Et son dernier message, le jour de l'Ascension, intimait à ses Apôtres l'ordre de parcourir le monde et de prêcher ce message d'espoir. Le messianisme donc, comme tu le dis. Et pas de promouvoir une nouvelle religion. J'ai déjà signalé cela plus haut et plusieurs fois, mais toujours un usurpateur de Chrétien (Orthodoxe, Grégorien, Catholique ou Protestant) vient remettre ce mensonge sur le tapis. Citez-moi un verset qui puisse me contredire ! (pas une bulle puante de Pape !)
  22. Va savoir, si ça se trouve dans dix mille siècles, @Passifloreet toi, serez assis sur un banc du Paradis et batifolerez gentiment en évoquant le passé et que vous serez déçus tous les deux. Toi, parce que le Paradis c'est bien beau, peut-être, mais que parfois tu rêves un peu de ce que tu rates en n'étant pas en Enfer. Et celle avec tu papotes parce qu'elle pensait qu'elle allait pouvoir se taper à chaque repas le corps et le sang du fiston du patron des lieux alors qu'en fait, on ne lui donne que des fraises à la Chantilly et du Miel.
  23. @CURIOSUS23 Sur le coup, il me semble que tu extrapoles, et que @Passifloreest dans le plus probable. Cela permet de supposer que Dieu aurait donné à l'Homme l'aspect de ce qu'il aurait vu lui-même s'il s'était regardé dans un miroir. Et il faut même reconnaître, fait très rare chez lui, que l'on peut considérer cela comme un cadeau. J'exclus provisoirement le fait qu'il aurait pu aussi souffrir de narcissisme. Cela étant, il nous faut accepter que le fait d'être les sosies de Dieu, ne fait pas pour autant de nous des Dieux. Et parler de réciprocité est une erreur je crois, pas plus que de parler de transitivité. Tu la connais la définition de la transitivité, mais je t'en donne une version plus drôle : Le Duc de Bordeaux ressemble à son frère, son frère à sa sœur, et sa sœur à mon cul. Si bien que j'en déduis que le Duc de Bordeaux ressemble à mon cul, comme deux gouttes d'eau.
  24. @Blaquière C'est un peu court, jeune homme… et je sais ce que je dis moi qui suit de 37. Mais finalement tu m'as tout de même appris quelque chose : à savoir que le temps, en Occitanie, n'est pas plus clément qu'il ne l'est ailleurs et qu'après un certain âge, ses ravages deviennent de plus en plus manifestes. Et sans doute irréversibles. Allez je te laisse à tes études littéraires
  25. azad2B

    Pas de limite

    Pas d'inquiétude à leur sujet. Entre Prêtres, Politiques et Publicistes, il y a du monde qui les attend pour leur donner l'illusion d'une quelconque utilité...
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