-
Compteur de contenus
12 807 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par ptitepao
-
OK. On va (re)tenter des exemples bien réels : Tu fais quand la douleur devient si intolérable que tout ce que tu souhaites c'est que ça s'arrête, peu importe comment ou pourquoi ? Tu fais quoi quand le malade vomit ses tripes tous les quart d'heure jour et nuit pendant des semaines ? Tu fais quoi pour combattre la faiblesse qui envahit tout, qui empêche de bouger, de parler, d'entendre, de penser, même ? Tu fais quoi, CONCRETEMENT ? Et nous restons bien dans le sujet : si tu prétends que toute maladie est curable, ce qui rendrait toute loi contre l'euthanasie caduque de fait, tu dois le démontrer.
-
L'urgence était de signaler le danger. C'est chose faite. Tu peux poursuivre ton "débat".
-
Charlatan S'attacher ici aux points 2 et 3.
-
Reste à espérer qu'aucune personne fragile ne passe sur ce forum...
-
Comme tous les charlatans...
-
Rien à voir avec la classe sociale. Merci de ne pas déformer mes propos.
-
Je pense que la "mauvaise réputation" de la philo provient en partie de l'enseignement qu'on en fait très lacunaire et rébarbatif quand tu as 18 ans et que tu découvres la matière. La philo est donc devenue difficile d'accès et ça donne à beaucoup l'impression qu'elle est réservée à une élite (celle qui a accès une certaine culture, a le temps de s'y consacrer un minimum...), et la mode est au rejet des élites comme à tout ce qui est différent, ne serait-ce que par ses connaissances (ce qui est, je trouve, aberrant) Comme tu l'écris, ce refus de la réflexion est inquiétant.
-
La médecine est exercée par de simples êtres humains qui sont, par définition, faillibles...
-
Je te renvoie ici :
-
Merci à Ocyto et Nonobonobo d'avoir apporté ici la nuance que je souhaitais y trouver. Quant à la question du coût, il me semble que nous avons encore la chance de pouvoir ne pas nous la poser et donc de faire passer l'humain avant ces considérations....
-
Pourquoi donc, si tu te sens bien ainsi ?
-
Si tu ne comprends pas que traiter un être humain de "légume" est dégradant et irrespectueux, méprisant et insultant...
-
Et moi, au moins pour ce soir, j'esquive, je me tire, j'ai tellement peur de vos arguments qui tournent en rond et refusent de lire et comprendre un point de vue différent que je file me planquer ailleurs !
-
De quoi permettre à ton admirateur/trice de t'allouer un nouveau +1. Et c'est tout le problème, nous sommes d'accord. Par contre, comparer un malade à un végétal reste d'un mépris inqualifiable.
-
J'ai l'impression que tu ne comprends pas : je ne parle ni de toi, ni de moi, mais d'une manière bien plus générale, ce qui exige donc d'envisager toutes les situations et d'y trouver une solution. J'avoue en être incapable, je l'ai dit, je n'ai pas les connaissances nécessaires. Quant à ma situation particulière, encore une fois, elle ne regarde que moi seule, je ne vois pas l'intérêt de la "déballer" ici.
-
Qu'en sais-tu ? Encore une fois tu personnalises et te permets de juger sans savoir.
-
Comme l'a dit Ocyto plus haut : est-il tellement inconcevable que certaines questions n'aient aucune réponse ? Inconcevable, la position autre que le "pour" ou le "contre" ? Inconcevable de réfléchir à un sujet autrement qu'en le personnalisant, le réduisant d'autant ? Inconcevable que de poser un problème et d'avouer "je n'ai pas les compétences nécessaires pour en trouver la solution" ? (en l'occurrence, mes lacunes se trouvent essentiellement au niveau éthique et médical, matières dont je n'ai que de trop vagues notions pour que je me permette un avis un tant soit peu "éclairé") Je te renvoie à ma réponse juste au-dessus (désolée je n'avais pas vu ton post plu tôt, sinon je l'aurais cité) : je n'ai aucune idée de ce que serait ma réaction dans ce genre de situation, est-ce si "mal" que de l'avouer ?
-
Je répondais à la question de Nina qui me demandait d'extrapoler ma propre opinion à la situation particulière de Monsieur Lambert.
-
Je l'ignore, tout comme j'ignore ce que ce homme désire maintenant. Et puis, quand bien même j'avais une idée de ma réaction face à cette situation, elle ne concernerait que moi seule et ne saurait en aucun cas avoir valeur universelle, ce qui exclurait toute possibilité d'extrapolation. Sur ce point, nous sommes d'accord.
-
A moins d'être une pro de la GRS, il semblerait que oui...
-
Si tu l'dis... et si on revenait au sujet : l'affaire de Monsieur Lambert qui, lui, est au centre du problème et souffre réellement ? Sera-ce vraiment une victoire que de le laisser mourir maintenant ? En sera-ce une plutôt de le laisser vivre ainsi ? Conséquences de l'atermoiement d'une famille qui se déchire...
-
Tout comme tes certitudes me laissent... de marbre, tant qu'elles ne concernent que toi seule. Pour le reste, je ne te permets pas plus qu'à quiconque de conjecturer sur ma "situation". Le respect, la base, quoi ! Bref, je laisse les "certains" à leurs certitudes. Pour ceux qui s'intéressent vraiment, je vous renvoie ici , ce topic étant (puisqu'il faut préciser encore) dédié à une affaire particulière.
-
Etant dépourvue de l'attribut que tu... m'attribues, je ne saisis pas bien l'allusion... Bref, passons outre le simulacre d'insulte et précisons : si je quitte le débat c'est d'une part parce que j'ai en partie répondu à ta question un peu plus haut, d'autre part, parce que ce débat a déjà eu lieu sur un autre topic et je n'ai nulle envie de me répéter une énième fois... Merci d'ajouter l'agressivité à la leçon de débat...
-
Si ce dont je parle importe si peu, je pense que je peux désormais me dispenser de te répondre. Merci de m'avoir rappelé la définition que certains peuvent avoir du débat, j'ai toujours tendance à croire qu'il s'agit notamment de prendre les propos de l'autre en considération, incorrigible que je suis !
-
Et moi même je les associe, ainsi que le personnel soignant, à la réflexion sur l'euthanasie. Où est le problème ?