Feuille

Bin j'aime pas non plus, et je ne l'ai JAMAIS fait. Et je me débrouille toujours pour m'habiller de manière à ne jamais dévoiler mes fesses/le bas de mon dos. :D Un jour, j'ai pas fait gaffe, et j'ai passé un après-midi à jardiner.. euh... ouille.

ElNix, veux-tu m'épouser ? Sinon, pour ma part, le sous-vêtement qui dépasse du pantalon, _ça aurait plutôt tendance à me faire fuir. :D

Euh... euh... euh... Je ne dirais pas qu s'épiler soi super original par les temps qui courent. :D Et puisque tu aimes être "alaise", voilà pour toi :

Zala, elle n'a pas dit "imberbe", elle a dit "qui s'épile". c'est pas pareil du tout... :p

L'épilation n'évite rien du tout. Enfin ça,ça améliore l'aérodynamisme quand on fait de la natation ou du vélo, mais c'est tout.

Gaetch : bah, s'tu l'enlèves, on le voit plus, le pantalon. Très franchement je ne vois pas le problème de porter, mettons, un jean marron, une chemise bleue et un slip noir. :D

Et pour fred33 : c'est beachboy qui accorde de l'importance au fait que ce soit coordonné... et c'est un homme...

Euh... je conçois qu'on ne porte pas de noir sous du blanc, mais c'est tout. Ton slip/boxer/autre il est supposé être sous ton pantalon : un jean ne laissera rien apparaître par transparence, tout est donc permis en matière de sous-vêtement.

@beachboy : tu m'expliqueras en quoi un slip peut être coordonné à des fringues ?

Euh.. alors, autant faire en sorte, quand on porte deux pièces de lingerie ou plus, qu'elles soient coordonnées, je le conçois... autant je ne vois pas trop comment on peut assortir ses fringues à ses sous-vêtements, ni même quel intérêt ça peut avoir... Ne pas mettre un slip noir sous un pantalon blanc, voui, et encore...

N ! ... je suis allée vérifier pour en avoir le coeur net... et... youhouhou ! Sais tu que la culotte que porte la madame est en fait coordonnée à un soutien-gorge d'allaitement ? Comme quoi c'pas si tue-l'amour en fait ? :D

Beurk. :D

Bah.. chanter, danser, ça peut se faire aussi sans alcool, heing. Et "chanter, danser" ça rentre dans les activités qu'on peut faire pour "passer un bon moment avec des gens que j'apprécie" En fait, je pense non seulement que l'alcool n'est pas indispensable à la réussite de la fête, mais encore que l'abus d'alcool risque plutôt de la gâcher.. pour soi ou pour les autres.

Bah.. désolée, mais là il va falloir que tu m'explique ta définition de "fête"...

Euh.. oui, carrément. Parce que pour moi, "faire la fête" signifie s'amuser, passer un bon moment avec des gens que j'apprécie, sans avoir besoin pour cela de recourir à des substances qui altèrent mes capacités...

Pas d'alcool, ça peut aussi être "jus de fruits, smoothies, cocktails de jus" ... et c'pas la présence d'alcool ou son absence qui fait qu'on s'amuse ou pas... +1 Nightwish (perso, je pense qu'un bon jeu de société, ça peut faire beaucoup pour l'ambiance ^^)

+1 ... rien à ajouter à ça. :D

Bon, désolée pour le HS, mais je souhaite continuer à répondre à Oulach -brièvement puisque c'est pas le sujet, donc. Effectivement, tu étais plutôt concis et j'avais mal compris... toutefois, là, tu extrapoles : si l'Eglise dit qu'il ne faut pas séparer artificiellement plaisir et procréation, elle dit cependant qu'il est "licite" pour un couple marié d'avoir des rapports en dehors des périodes ou la femme est féconde - et même de mettre à profit ces périodes pour ne pas procréer tout de suite et espacer les naissances. :D Si la recherche du plaisir seul était explicitement interdite, alors un couple connaissant ses périodes de fécondité ne pourrait s'unir que pendant celles-ci... :p (Bon, on est en HS, là... mais si tu veux continuer en MP, ma boîte est ouverte )

*soupir* Faux. Je sais que c'est une idée reçue qui a la vie dure... :D Ce n'est pas parce qu'on dit que sexualité et procréation sont liées qu'on bannit le plaisir...

La définition est en fait relativement large en France (« Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol », article 222-23 du code pénal), si tu compares avec la Suisse ou (il me semble) les USA...

Parce qu'il a fallu poser une limite, donner une définition juridique de ce qu'est un viol. Que la justice punit, à ma connaissance, en fonction des faits et pas en fonction du préjudice moral...

Donc, en résumé : Cas 1 : "X force Y à le sucer" => Y est victime de viol Cas 2 : "X force Y à se faire sucer" => Y est victime d'agression sexuelle Selon la loi française, en tous cas. Après, moralement parlant, j'avoue ne pas faire de différence...

Grenouille écrit : C'est moi qui mets en gras. En d'autres termes : Une personne "forcée de tailler une pipe" est considérée par la loi comme une victime de viol. Pas une personne "à qui on taille une pipe de force". Or toi, tu écris :

La_salade, je crois que tu n'as pas bien lu grenouille...