Feuille

Je ne vois pas ça comme ça. 'pis a priori, si j'ai bien lu, y'a pas que le sexe qui manque à monsieur, c'est un souci de contact en général... Alors bon, on peut effectivement faire plus délicat, mais je persiste à penser qu'arriver avec du "tu fais/ne fais pas ceci/cela" risque surtout de braquer la dame et n'est pas propice au dialogue...

Oui mais non. Ce que je veux dire, Gaetch, c'est que si il commence à lui dire "tu ceci, tu cela", ça risque de la faire se refermer comme une huître, de se "murer" face à une "attaque"... Ce que le "je ceci, je cela" permettrait de tenter d'éviter. (Bon, Tihaa a simplifié, merci Tihaa :D) Le but premier, là, c'est quand même de réussir à amorcer le dialogue...

Hébin tu profite d'un moment pendant lequel vous êtes seuls, et tu lui dis que TU ne vas pas bien parce que TU voudrais refaire l'amour avec elle. En évitant de lui dire des trucs du genre "tu me fais souffrir, tu me rejettes, etc..." : parle-lui de toi, de ton ressenti, pas d'elle.

Euh... avant de lui demander "pourquoi elle te fait souffrir", peut-être lui demander si ça va ? Visiblement, non, parce que je ne vois pas pourquoi elle te fuirait tout d'un coup... mais c'pas nécessairement en lien avec toi. Tu as pensé à aller voir un thérapeute ensemble ?

Bonjour, C'est avec ta femme qu'il faut parler, pour comprendre ce qui se passe.

Gratin de potiron et lardons. Et des pommes.

Bonjour, Tu peux le faire en allant dans ton profil à partir d'un certain nombre de messages - je ne sais plus lequel.

Ce n'est pas parce qu'un être n'est pas considéré comme une personne qu'il n'est pas humain... C'est la "personne" qui est potentielle, l'humanité du foetus n'est pas remise en cause. Et un avortement, c'est une interruption de grossesse, qu'elle soit provoquée (IVG et IMG) ou spontanée (fausse couche). Pourquoi réduire ce terme au seul IVG ?

Youpie ! Un message de Free : " nous venons de commander la portabilité de votre numéro [...] l'expédition de votre nouvelle carte SIM est réalisée aujourd'hui par courrier postal". Donc au final, c'est bien ce que je pensais initialement : vu les retards de traitement, ils ont préféré attendre un peu plutôt que demander la portabilité dès inscription de leur nouveau client. Ici, c'est la course au désimlockage, du coup... 1) Je vais sur Internet, ah bin ça marche pas, mon mobile n'est pas dans leur base 2) Je téléphone au serveur vocal, donne mes infos par SMS comme on me demande... mais je crains que ça ne se termine par l'envoi d'un mail similaire à celui de mon étape 1, et je ne serai pas plus avancée 3) J'hésite, par conséquent, à rappeler le service client sans attendre... Edit : bingo ! 'reste plus qu'à rappeler...

Pareil... ça me dépasse un peu.

C'est très triste ce que tu racontes. Tu préfères donc que des parents qui aimeraient bien garder leur enfant, se résolvent, à contre-coeur, à ne pas le faire faute de soutien de la société, juste par peur que ceux qui leur proposent des solutions n'en viennent à proposer autre chose qui te convient moins ? Certains pro-vie ont un idéal qui te hérisse, donc tu rejettes en bloc tout ce qu'ils peuvent bien proposer ?

Ah, parce que vouloir qu'on mette en place davantage de solutions d'accueil pour les femmes enceintes en difficulté, ou qu'on améliore la prise en charge du handicap, c'est dangereux ?

@som28 : pas voulu, pas voulu, il est quand même choisi, on peut quand même le refuser... mais je comprends ce que vous voulez dire. Ce qui me gêne, c'est le refus de voir utiliser le terme "avortement" dans un autre cadre que celui de l'IVG. Et si dans certains cas, l'IMG relève plutôt de l'euthanasie, dans l'autre (cas de la trisomie 21, qui est un handicap pouvant être lourd, mais qui n'est pas mortel à court terme), on s'approche quand même de l'eugénisme. Pas tellement au niveau des parents, d'ailleurs, plutôt à celui de la société (qui, quelque part, force la main aux parents en ne développant pas l'aide aux handicapés et à leurs familles, je synthétise à la hache). C'est plus une question de gros sous, au final, que de volonté d'améliorer l'espèce, mais le résultat est le même. Du coup, quelque part, la vie semble avoir un prix, et si on coûte trop cher à la société, celle-ci ne nous juge pas dignes de vivre...

Y'a quand même une crispation que je ne comprends pas, là. Un IMG, par définition, c'est une interruption de grossesse... donc un avortement. Une fausse couche, c'est également un avortement (spontané).

On ne cherche pas un "mode d'emploi" quelconque en cherchant Dieu. On cherche la finalité de sa propre vie. Le but de l'existence. A quoi cela peut-il bien servir de vivre s'il n'y a rien? S'il n'y a ni Dieu ni vie éternelle (dans la tradition catholique)? +1... la religion, c'est pas ça qui dit le comment des choses. En revanche, si on cherche une raison, un sens aux choses, c'est là qu'elle (ou la croyance en général) va pouvoir éclairer.

@vera : t'es quand même au courant qu'il y a des gens qui croient en Dieu... sans pour autant se retrouver dans les évangiles ? :)

Pour moi, c'est loin d'en être une... :) Que dans ta manière de concevoir le monde, Dieu ne trouve pas sa place, soit, mais que tu considères que ceux pour qui son existence a un sens, ou qui croient en un Dieu, sont des menteurs ou des gens de mauvaise foi (sans vouloir faire de jeu de mots :D) je trouve que c'est pousser le bouchon un peu loin. Pour moi, ce qui importe le plus, c'est d'agir selon sa conscience. Pas parce qu'untel nous le dit...

TU n'y crois pas, mais d'autres y croient, et contrairement à la saignée, aucune preuve ne vient contredire cette croyance (ni l'étayer). Alors pourquoi vouloir que les gens "admettent qu'ils sont dans l'erreur" quand, au fond, tu n'as pas de preuve que ce n'est pas toi qui y est, quand tout repose sur l'intime conviction de chacun ? :)

Bah... pourtant si, sur le principe, c'est un peu pareil. Cela dit, la différence fondamentale, c'est que justement dans le cas de Dieu les parents y croient, qu'il n'y a pas tromperie de leur part.

Mais il n'est pas laïc pour autant... :)

Donc la Grande-Bretagne ne compte pas parmi les pays les plus développés, selon toi ?

J'ai envie de faire des gaufres, mais pas la patience de me lancer. On va voir. Reste de quiche lardons/poireaux pour les enfants, yaourt et compote. Pour moi, je ne sais pas encore.

Tiens, j'avais jamais vu ça comme ça... Merci pour cet éclairage. :)

Merci pour ta réponse et pour les chiffres (la source, c'est Wikipedia ?) Donc au final, pour toi -je reformule pour être sûre d'avoir compris- peu importe le terme, à partir du moment où il y a prématurité/nécessité de réanimation, on en fait le moins possible et on laisse tranquillement l'enfant s'éteindre plutôt que de chercher à tout prix à le maintenir en vie, parce que c'est ça qui respecterait le mieux sa dignité ? Un détail me gêne un peu dans ton message : tu sous-entendrais qu'en donnant notre accord pour que notre enfant soit soigné, nous avons été égoïstes ? Ou tu parles en général ?

Cet article reflète-t-il entièrement ce que tu penses ? Je serais curieuse également d'avoir des chiffres : sur 100 grands prématurés, combien présentent un handicap lié à cette prématurité ? Est-ce que tu aurais une source, un chiffre ? Cela m'intéresserait. Dois-je comprendre qu'avant 30 semaines, tu considères qu'il vaut mieux laisser mourir le foetus plutôt que lui donner une chance de vivre qui aurait trop de chances de lui laisser des séquelles ? (NB : j'ai posté une réponse au-dessus de ton article - dont j'ai rapidement cherché la source. je ne sais pas si tu l'as vue, je te la signale à tout hasard.)