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Tout ce qui a été posté par Feuille
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Beurk. Cela dit, je reconnais qu'ils sont logique en écrivant ceci : Seulement, ma conclusion, ce n'est certainement pas qu'il faut dire que la pédophilie n'est pas un crime, mais plutôt qu'il faudrait éduquer les jeunes de manière à ce qu'ils ne croient pas qu'il soit normal d'avoir une sexualité d'adulte quand on n'est pas adulte... :blush: Au secours.
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Merci pour l'information... et bonne fin de bidouillages ! :blush:
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Coincée dans les côtes, hein ? :blush: C'est mal parti pou une carrière de cycliste... Remarque, pour le mien, j'ai eu mal malgré la rachianesthésie : l'obstétricien a appuyé sur mes côtes pour le faire sortir... au-dessus du point d'anesthésie...
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Bah en même temps, généralement, les bébés sont "moches" (mais mignons à croquer quand même !) quand ils sont nés naturellement, alors que par césarienne, 'sont tout beaux... :blush:
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Je ne dis pas qu'il n'a pas augmenté chez les mineures, juste qu'il est plus important chez les jeunes majeures... +1 pour tes propos, donc. C'est préoccupant, à mon sens... (PS : on a le même lien :blush:)
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Y'a pas de quoi, titenath. Mais c'est pas évident de trouver des informations sur le sujet, je trouve. 'fin bon, l'Internet n'est peut-être pas le meilleur moyen pour ça... Oh que non, Mel. Je ne parle même pas d'Ogino. J'évoquais plutôt Billings et la méthode des températures (elles sont décrites sur le site www.contraceptions.org , elles sont fiables, mais contraignantes). :blush: Maintenant... même la moins fiable des méthodes sera toujours plus efficace que rien du tout. m'enfin bon, autant être sérieux dans sa contraception...
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Je te retrouves les chiffres, et j'édite. :blush: De mémoire, il me semble que c'était plus de 220 000 avortements par an, toutes raisons confondues, dont 30 000 liés à des raisons médicales, un viol, le pourcentage d'échec de la contraception utilisée... ce qui laissait 190 000 cas d'avortements liés à la non-responsabilité. A confirmer... [Edition] Je ne retrouve pas pour l'instant les chiffres que j'ai cités. Je ré-éditerai. Un tableau trouvé sur le site de la fondation Lejeune (publié dans "le Quotidien du médecin" du 26 septembre 06) fait état de 210 664 avortements en 2004, hors IMG (environ pour raisons médicales la même année). Sur mille femmes (enceintes et pas enceinte), quinze environ ont avorté cette année là. Lien vers la page Le taux d'avortement est plus important pour les femmes de 18 à 35 ans que pou les mineures. J'ai trouvé aussi des bulletins statistiques sur le site de l'INED, mais je les trouve tout sauf clairs. Un vieil article de La Croix (17 avril 01) : J'aurais aimé trouver des sites pro-ivg avec ce type de chiffres (même si celui-ci est objectif), mais j'ai pas l'impression qu'ils étalent beaucoup ce genre de données. Sur le site du planning familial "42% des femmes ont recours à l'ivg dans leur vie" : c'est énorme, je trouve. Est-ce vraiment un passage obligé ? La page Wikipedia en lien est également intéressante, en ce sens qu'elle pointe la non-diminution des avortements malgré la banalisation de la contraception.
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Merci pour le calcul. Hé bien je trouve ça énorme... et, à vrai dire, plus énorme que ce que j'aurais cru. :blush: 20 femmes enceintes sur 100 avortent plutôt que de laisser leur grossesse se poursuivre... alors qu'on a accès à la contraception, à plusieurs types de contraception, et que c'est pas si compliqué que ça d'être responsable ! Si on ne peut pas prendre une pilule par jour, il existe d'autres moyens : implant, stérilets (qui ne sont pas réservés à celles qui ont déjà eu des enfants), préservatifs masculin et féminin, anneau contraceptif, méthodes naturelles (y'en a plusieurs sortes), spermicides, diaphragme... Ok, aucune contraception n'est fiable à 100%. Il y aura toujours des grossesses imprévues. Mais là, sincèrement, je pense qu'on peut largement en diminuer le nombre. Bref, je trouve dramatique que le taux d'IVG soit si haut quand on a largement les moyens de faire autrement... Certes, quand je dis ça je pense à l'enfant. Mais également à la femme. Un avortement est tout sauf une partie de plaisir, surtout l'avortement à domicile qui est de plus en plus proposé... Et puis... une femme qui a déjà des enfants, qui sait qu'elle n'en veut plus, qui supporte mal les hormones et souhaite se faire ligaturer les trompes peut se voir refuser cette opération parce qu'elle serait "trop jeune". Je trouve ça idiot...
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Des claquettes rouges et une robe beige en coton tricotée maison. :blush:
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200 000 ivg par an, je trouve que ça va assez mal avec "dernier recours". Je crains que ça ne rime plutôt avec "refus de prendre ses responsabilités" et/ou "négligence". Il y en aurait dix fois moins, je n'aurais pas le même discours... D'accord avec toi (même si il n'y a sans doute pas, loin de là, qu'une seule explication) ... et je trouve dramatique qu'on ne se soucie que de son plaisir sans prendre des précautions élémentaires.
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D'accord avec tout ça ! Seulement, bin, il ne me semble pas que loi égale automatiquement droit. Mais bon, je joue sur les mots, je sais. Et ça reste une liberté. @ Femzi : je ne pensais pas que j'aurais eu un +1 de ta part, d'ailleurs. ^^ Le problème c'est que tous ces moyens ne sont pas forcément remboursés... En fait, j'évoquais uniquement le planning familial. Qui n'est pas tenu de donner ces informations. cela ne veut pas dire qu'aucun centre du PF ne les donne, et tant mieux si elles peuvent être obtenues par ailleurs ! Et (ouiiii, je sais je suis pénible :blush:) je crois que personne n'a encore réagi à ça : Je me demande à quel point le coût de la contraception y est pour quelque chose ou pas.
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Ah mais il y aurait eu viol, apparemment. Et la mineure avait 13 ans. >< Sachant que RP a dit aussi que "Il était attiré par les très jeunes femmes, et que pour celle ci, bin, elle était trop jeune, et c'est ça qui était pas bien". A vomir...
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Le pire, quelque part, étant qu'il ait reconnu les faits, dit qu'il ne pensait pas qu'il faisait quelque chose de mal et que ça pouvait faire souffrir des gens, mais que maintenant, hein, il sait que c'était mal. :blush: Et ça suffirait à justifier qu'on le blanchisse, qu'on renonce à le juger ?
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J'ai entendu ça a la radio c'matin... ça m'a écoeurée.
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"Pour toi". Pour d'autres, le processus est tellement continu que la vie commence à la fécondation, seul moment de "rupture". Et puis, bon, pour partir de ta définition... le cerveau est-il pleinement fonctionnel à la naissance ? :blush: Bref, tout ça pour dire que, lorsqu'il s'agit de dire si l'embryon est ou non une personne (parce que bon, un être humain, il en est un, même si on estime qu'il n'est pas fini, pas complet...), il n'y a pas vraiment d'élément objectif pour définir si oui ou non, et à partir de quel instant, il n'y a pas de consensus. D'où les positions très différentes des uns et des autres sur l'avortement. Maintenant, traiter de moyenâgeuses ou de criminelles les position des uns ou des autres, je ne trouve pas ça très pertinent, et ça fait tout sauf avancer la discussion... Et sinon, donc, j'aimerais bien qu'on réponde à ma question : est-ce qu'on n'a pas d'autres moyens que l'avortement comme moyen de régulation des naissances ? Puisque c'est le cas, pourquoi le nombre d'avortements n'a-t-il pas diminué ? Pour moi, c'est là qu'on a un GROS problème en France... parce que, quelle que soit la position qu'on ait sur le statut de l'embryon, je pense -enfin, j'espère- qu'on est tous d'accord pour dire qu'il vaut mieux ne pas tomber enceinte qu'avorter...
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Félicitations ! :blush: Comme quoi, même quand on "programme", on n'est jamais sûre de rien. ^^ Remets-toi bien, et profite de ta puce !
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Pour le meurtre, tout dépend du point de vue, on est d'accord. [Ré-édition : et en même temps, un nouveau-né n'est pas non plus conscient de tout ça et pourtant, si on l'élimine, il y a bien homicide. Toute la difficulté consiste à établir une limite, et celle retenue en France est arbitraire (prendre ce mot au sens neutre, je veux dire par là qu'on a défini un délai qu'on a jugé raisonnable pour pratiquer l'ivg, sans se baser sur un changement de nature ou quoi que ce soit)] N'empêche que ce n'est pas un "soin". [Edition : c'est mike02 qui a... sinon dit, du moins largement sous-entendu ça en écrivant "C'est quand même chouette de pouvoir décider de ce que l'on veut soigner ..."] Et est-ce qu'il serait possible d'avoir ton avis sur ceci, s'il te plaît ? :blush: Parce que c'est principalement ce point qui me dérange énormément, en France... parce que l'avortement tend à devenir, non pas une solution de dernier recours, mais un acte banalisé, un moyen de contrôle des naissances parmi d'autres... or, la loi précise bien que ce ne doit pas être le cas.
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L'adoption peut être une solution, une meilleure contraception aussi... et parfois, le problème est juste matériel. Je ne dis pas qu'il faut revenir avant 75. Simplement, je pense qu'une grande majorité des avortements pourraient être évités avec un peu plus de vigilance, de responsabilité... ce qui permettrait qu'il y ait suffisamment de médecins volontaires pour le reste... Si on sait qu'on ne veut pas d'enfant, on a un certain nombre de moyens à notre disposition. alors pourquoi y a-t-il encore autant d'avortements aujourd'hui qu'en 75 ? Est-ce qu'on n'a pas les moyens de réduire le nombre d'avortements sans que ça implique d'imposer des grossesses non souhaitées ?
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Jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas un droit mais une liberté. Je vais prendre l'exemple du suicide, qui est autorisé... mais qui n'est pas pour autant un droit, sinon une personne ayant fait une tentative de suicide pourrait se retourner contre les secouristes et les médecins qui l'ont soignée. De même, une femme a la possibilité d'avorter, mais elle ne peut pas poursuivre en justice un médecin qui refuserait de l'avorter.
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Bah non. Dépénalisation =/= droit, selon moi, et cette loi = dépénalisation et encadrement des pratiques (qui restent interdites hors cadre médical, et passibles de sanctions). Dépénalisation = Action de faire disparaître le caractère pénal qui était attribué à une infraction.
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On joue avec les mots, Là. Je ne suis pas juriste. Mais je ne vois rien qui dise noir sur blanc que c'est un "droit"... d'où mes doutes. Qui subsistent. Parce que je pense -je peux me tromper- que c'est à ce titre - entre autres - que les médecins ne sont pas contraints à avorter... Ton deuxième lien, Manhattan Story, ne répond pas à cette question : il se contente de faire un état des lieux avant/après. Oui, la loi Veil était nécessaire. Mas je ne crois pas que quiconque ici l'ait remise en question... Je vois une différence entre une dépénalisation et un droit... Pour prendre un autre exemple : si on autorisait l'usage du cannabis, est-ce que fumer du cannabis serait pour autant un droit ? Pour moi, non. Ce ne serait juste pas un délit. M'enfin bon, comme je l'ai déjà dit, je ne suis pas juriste. Je crois qu'en pinaillant sur la question "droit, ou pas" on (moi y compris, hein) s'éloigne du sujet. Qui -selon moi, hein- est : est-ce que l'avortement n'est pas devenu banal ? Alors que, pour ou contre, on sait tous que c'est loin d'être une partie de plaisir et que c'est pas toujours facile à vivre. Pourquoi ne met-on pas en place plus de mesures pour éviter d'en faire une contraception d'urgence ? Est-ce normal qu'il y ait toujours autant d'avortements aujourd'hui qu'il y a 30 ans ? Bref, que l'avortement soit parfois une nécessité... sans doute. Là où je suis contre, là où ça m'effraie, c'est quand il est banalisé.
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Et pourtant, c'est le sens donné par la législation qui compte.
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Non, avoir l'autorisation n'est pas avoir le droit. Si on a un droit, on peut porter plainte si on ne parvient pas à l'obtenir. Pas si on a une autorisation. Petit rappel (je cite le pdf dont le lien est dans le post de MS) On parle surtout du premier cas, dans ce sujet. et je constate que l'interprétation de la "situation de détresse" est très large. Et c'est ça qui me pose problème, en particulier. On devrait pouvoir faire autrement...
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Pour le droit... j'ai lu, en survolant le pdf lié à l'article, que l'avortement est autorisé. Pas que c'est un "droit". Selon moi, c'est très différent... Et, NON, ce n'est PAS un soin. Sauf cas très très particuliers (choisir entre la vie de la mère et celle de l'enfant). C'est pas une question de moyen-âge ou je ne sais quoi, juste que là, on est face à deux vies. Quelque part, le médecin se trouve face à deux "patients". Et il a le droit de ne pas vouloir en tuer un... certains donnent des valeurs différentes à ces deux vies et ne trouvent pas dérangeant d'avorter. D'autres, si. C'est leur droit, leur choix, et leur liberté... Et je répète ce que je disais : si on avait recours à l'avortement uniquement en dernier recours, et pas parce qu'on a oublié de se poser la question de la contraception avant, la question du manque de médecins ne se poserait même pas. Autant d'avortements aujourd'hui qu'avant que la contraception soit banalisée, ça ne vous interpelle pas ?
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L'avortement n'est pas un "droit", techniquement, il me semble... et il n'est pas un soin (sauf dans des cas très particuliers). Obliger un médecin à avorter, c'est du même niveau qu'obliger une femme à avorter, pour moi. Ou même choisir pour elle dans un sens ou dans l'autre. Et je trouve... grave, triste... qu'on ne propose pas d'alternative à l'avortement (autre que "démerde-toi s'tu l'gardes", hein :blush:) Et pour rester sur la contraception : je trouve dérangeant que certaines contraceptions ne soient pas remboursées alors que l'avortement, lui, l'est... quelque part, c'est une incitation à utiliser l'avortement comme moyen de régulation des naissances. Alors que ce devrait être une solution d'urgence, quelque chose d'exceptionnel, pas de banal...