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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Jedino a répondu à un(e) sujet de samah dans Aide et Suggestions
C'est beau de râler. Mais si tu pouvais au moins répondre aux personnes qui essaient de t'aider pour ton film malgré tout, ce serait pas mal. -
Je peux les juger, oui. Mais puis-je les juger comme il le faudrait? Et puis, la conscience n'empêche pas toujours le côté animal qu'on possède tous de s'exprimer. Ca amène à voir la conscience comme plus forte que notre nature. J'aurais aussi tendance à dire que non, mais tuer n'est pas un mal en soit. C'est un acte nécessaire pour préserver l'équilibre de l'écosystème en lui-même. Donc, la question n'est pas d'être mal ou non. La nature ne s'en préoccupe même pas.
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Quoi de plus beau que le miroitement, la clarté, de la vie? Si j'ai du mal à être touché par sa sympathie, je ne suis en rien aveugle, et vois bien qu'elle possède des côtés plutôt jolis, que d'autres se laissent tout simplement habiter par elle. Mais le fait est que je ne sais comment m'y prendre, comment m'agenouiller face à cette reine, afin de me faire à mon tour emporter. Est-ce normal d'affronter à ce point des difficultés? De se sentir comme impuissant, insensible, au bien être qu'elle peut nous céder? Est-ce ainsi qu'est la vie : une épreuve, et non un cadeau, Un combat depuis son commencement perdu? Je ne saurais le définir. Ma seule certitude reste que j'aurais probablement souhaité être touché par la poésie même de la vie.
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Je ne me sens aucunement supérieur aux autres animaux, non, si c'est la question. La preuve en est que j'aurais peur d'un fauve quelconque, et que ma réaction serait la fuite. Evidemment, on a les armes, mais ce n'est pas un droit offert à tout le monde. Bref, non, je ne suis pas supérieur au monde animal, étant animal moi-même.
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Tout cela étant subjectif, il ne s'agit pas de réalité mais de ressenti. Personnellement, je ne suis pas un juge des Enfers, mes jugements moraux n'ont d'importance que pour ma personne, et encore, je me fiche de savoir s'ils sont avérés ou si je suis complètement dans l'erreur. Mais je te souhaite bon courage pour pouvoir "juger objectivement". :p Si : Tu sembles d'ailleurs avoir une certaine logique, dans la contradiction. La loi interdit ceci ou cela non parce que c'est mal mais parce que ça nuit à la liberté d'autrui. La loi et la morale ne se chevauchent pas nécessairement. Aha :D On est d'accord sur ce fait là. C'est tout à fait utopique, et qui plus est donc, tout à fait normal de faire ce qu'on peut comme on le peut. On m'avait encore jamais dit que j'étais logique quand j'étais contradictoire. Mais c'est un compliment que j'apprécie Et parce qu'on nuit à l'autre, il faut l'interdire? La vie animale ne serait pas facile dans ces cas là. Et non, loi et morale ne se chevauchent pas nécessairement, comme tu dis. En gros, j'ai rien dit de plus, mais là j'ai du mal, se fait trop tard pour se retourner la tête.
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http://www.youtube.com/watch?v=VskUOPrkPqM&feature=related
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Personne n'est fondamentalement bon ou mauvais. Là-dessus, on est d'accord. Mais si je ne m'abuse, on parlait d'actes ; or, on peut juger si tel acte est bon ou mauvais, à la nuance près qu'un acte mauvais n'est pas un péché, c'est-à-dire qu'on ne le reconnaît pas à l'appartenance à une liste d'interdits préétablie mais, comme tu le dis par la suite, en considérant le contexte, le passif de son auteur, les mobiles, etc... Au dernier post, tu disais ne pas penser que les intentions peuvent être mauvaises... Rechercher son bien, ce n'est pas rechercher le bien. Il n'y a pas de contradiction à chercher satisfaction et à avoir de mauvaises intentions. Difficile - mais pas impossible -, je suis d'accord mais tu te contredis une fois de plus. Tu as défini le mauvais comme quelque chose de "désagréable, voire de nuisible". D'après ce postulat, il n'y a rien de difficile à juger tel acte comme bon ou mauvais. La loi ne prétend pas différencier le bon et le mauvais. Au contraire, elle prétend mettre les saints et les salauds sur un pied d'égalité. La justice condamne le vol quel qu'il soit bien que le vol ne soit pas toujours moralement répréhensible. On peut le juger, oui. Mais est-ce la réalité pour autant? Et surtout, la réalité pour tout le monde, y compris la personne qui en est l'auteur? J'ai jamais dit que j'étais logique, ni même aucunement paradoxal. On est d'accord. Mais les intentions sont tout de même influencées par la satisfaction pouvant être tirée. Sauf si la personne a des raisons plus fortes l'empêchant de le faire. Disons que mes idées dépendent pas mal de l'heure à laquelle je poste ... :D Oui, c'est facile de juger un acte. Néanmoins, je parle, peut-être à tort, de le juger objectivement (contradictoire, oui je sais). Mais un acte ne pouvant pas être jugé ainsi, c'est d'après moi, difficile, car on part d'une base subjective pour estimer la valeur d'un acte, d'un parole, etc. Donc, il est nécessairement difficile de juger l'acte comme réellement "bon" ou "mauvais", si tenté de dire que cela existe vraiment. La loi impose des limites. Partant de là, elle se permet un jugement de ce qui et ce qui n'est pas à faire. Donc, du bon et du mauvais. Et ceci, malgré la bonne intention de mettre sur un pied d'égalité tout le monde. C'est marrant, le cas est assez similaire avec elle... Selon notre vécu, notre connaissance, on juge ceci ou cela différemment des autres. Voir, on formule la même chose de manière différente. Ce qui fait que notre vision du bien et du mal n'est pas la même, que notre jugement même n'est pas le même. De là, comment savoir qui dit vrai? Les agissements de chacun peuvent-ils être punis de manière objective? J'en doute. Mais c'est la loi, la justice.
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C'est parce que ta sensibilité fait que la méchanceté sur une femme ou un enfant est particulièrement vu comme mauvais (barbare?). C'est tout à fait compréhensible, vrai pour plus ou moins tout le monde. Ca l'est aussi pour moi. Je ne suis pas aliéné. Mais bon. Sinon, nous sommes d'accord aussi à propos des causes
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J'aime bien conter, j'y peux rien :D Celui qui fait "le mal" n'est pas dans la même logique, n'a pas la structure & les valeurs mentales de la "norme" (ou telle que toi, Cosette, la définis)... Au delà des psychos en tous genre, chacun est capable du pire comme du meilleur.... mais ça restera encore tellement subjectif. Parce que ce qui est "bon" pour certains, sera ressenti comme "mauvais" pour d'autres... & heureusement, d'ailleurs. Nous sommes d'accord. Sauf pour le fait que nous ne soyons pas dans la même logique. M'enfin, mon point de vue est assez insensé, donc je vais pas faire chier mon monde éternellement
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C'est souvent le cas. Je suis illogique, et pourtant. Je n'ai pas dit que cela était excusable. J'ai dit que la personne pouvait juger ça comme le "bon" choix. Ou alors, que c'était un échappatoire à quelque chose pour elle. Comme ses pulsions. Je suis d'avis qu'on ne fait rien sans raison, y compris être cruel, ou tuer. Certes, ce n'est pas valorisable, et je ne suis pas à faire l'apologie du crime en disant que c'est "bien". Je dis simplement que ces actes trouvent un sens pour la personne, qu'il soit conscient ou inconscient. Après, chacun l'interprète comme il veut. On peut le voir comme mauvais, le haïr, le faire payer. Ca n'empêche que, c'est pas par sadisme nécessairement. Et là encore, le sadisme est une prise de plaisir de la souffrance de l'autre, mais qui peut tout à fait s'expliquer par un besoin de contrôle, de contact, ou de je ne sais quoi. C'est simple. Cette personne a fait un acte légalement non-permis. Il est donc reçu comme tel et puni comme tel. Après, c'est à la sensibilité de chacun de juger de ça. Je ne suis pas la vérité universelle (comme je peux peut-être en avoir l'air, avec mon air de). Je me contente simplement de chercher un "pourquoi" à tout, plutôt que de mettre de côté ceci ou cela, parce que c'est "mal".
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Oh oui
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Dans ce cas, dans la mesure où tu es conscient que ce que tu vas faire va nuire à quelqu'un et ne profiter qu'à toi, même si ton but n'est pas de nuire et que le mal s'ensuivant n'est qu'un dommage collatéral, comment tes intentions peuvent-elles ne pas être mauvaises ? Et quid de ceux qui malmènent autrui parce qu'ils tirent satisfaction de leurs souffrances ? Tout simplement parce qu'une action mauvaise ne rend pas quelqu'un mauvais pour autant. Parce que quelqu'un de mauvais, dans ma tête, ça n'existe pas vraiment. Personne n'est ni l'un, ni l'autre. Ses actes sont jugés ainsi. Il ne l'est pas pour autant. Ses intentions peuvent être mauvaises. Quoi qu'il est tout à fait possible que la personne, à ce moment là, juge cela comme le meilleur des choix, ou alors le plus facile. Et pour la satisfaction, j'en avais déjà parlé. C'est une bonne chose pour la personne qui justement trouve satisfaction. Et la satisfaction, c'est quoi d'autre que la conséquence d'une recherche de plaisir? Il est, je pense, difficile d'estimer à la juste valeur, un acte comme bon ou mauvais. C'est propre à chacun. A son vécu, à ses erreurs, ses douleurs. Néanmoins, elles sont orchestrées par la légalité de notre société. Et c'est en partant de ça qu'on discerne le "bon" du "mauvais", en ce qui concerne en tout cas les gens dits dangereux, comme c'est un peu le sujet.
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Tout dépend de ce que tu appelles "la tête". En admettant que nos actes répondent tous à une certaine logique, cette dernière ne nous est pas forcément connue mais peut être enfouie dans notre inconscient. Les actes manqués en sont une illustration. Je serais curieux de savoir quelle définition tu donnes à "mauvais" pour justifier tes dires. La tête, c'est l'inconscient, et le conscient, au minimum. Après, tout dépend des croyances de chacun aussi. Mais on est d'accord que ce n'est pas forcément conscient. Et "mauvais" est quelque chose de désagréable, voir de nuisible. En soit, c'est un acte, un fait, qui dérange la personne. Cette même personne dira de ça que c'est "mal".
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L'intention est rarement mauvaise. Je pense même qu'elle l'est jamais. C'est quoi, raisonner normalement?
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Il y a tout de même du chemin entre le fait d'y penser et de le faire. Faire du mal en trouvant du plaisir manifeste surtout une douleur profonde dû à un manque quelconque d'affection. Je maintiens le fait que ce soit un moyen, certes cruel, d'assouvir des pulsions qu'on a pas pu assouvir autre part, ou même retenir.
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Oui. On ne raisonne pas de la même manière. C'est ce que j'entends par l'exprimer de manière différente. Mais ça n'empêche en rien le fait que nous ayons tous une logique commune. Mais effectivement, les choix de la personne, son vécu, influent sur sa manière d'exprimer cette dite logique. Les événements agissent sur la manière de la percevoir. On peut donc très bien faire quelque chose d'illogique en pensant le faire de manière logique. Ce qui va à l'encontre de ce que j'ai dit et qui amènerait à être chacun en possession de sa propre logique. A mon sens, non, étant une illusion de la logique commune. (faut pas chercher, je suis délirant )
