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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. T'crois quoi? Que j'vais plus te laisser descendre?! J'protège ton derrière et tu viens à te faire exigeante en plus? :smile2:
  2. J'suis un archer, gente demoiselle! J'te porte si jamais t'es trop lente :D
  3. Punaise, m'est jamais arrivé! Si tu veux, j'te protège, c'est pas un souci! Mes services sont pas trop chers, tu peux te l'permettre, je pense!
  4. Bah, les loups, t'en trouves pas beaucoup, donc ça va!
  5. Et moi, bah euh, j'ai la forêt :D
  6. T'as raison. Reste seule, là où tu es, plutôt que d'venir t'amuser avec nous
  7. Jedino

    un jour = une histoire

    Aujourd'hui, je ne sais pas quoi dire. Je dois surement manquer de matière, de consistance, pour trouver l'idée qui fera qu'un paragraphe sera rédigé. Il y a des jours comme ça. Tout simplement. Il faut faire avec, attendre que passe le vent. Dès lors, les mots ne seront plus emportés, et seront prêts à être récoltés, pour être utilisé dans la confection de quelques mots qui seront phrases, qui seront sens.
  8. Jedino

    un jour = une histoire

    Steph_ou, je vois pas mal de quoi tu parles. Mais la mienne est plus prêt :D Et bien moins stable que la tienne, je crois. D'ailleurs, elle est partie pour un moment, là. Je crois que j'aime pas la simplicité Frelser, c'est beau, vraiment. Je ne sais pas trop quoi dire..
  9. Punaise :D Quelque chose me dit que c'est dans la région, néanmoins
  10. J'connais de nom, mais je sais pas si c'est loin :D
  11. Jedino

    un jour = une histoire

    Steph_ou, je pense que tu devrais carrément de lui donner, pour la raison simple qu'elle ne préfère pas forcément tout savoir de ce que tu penses d'elle. Cela pourrait se retourner contre toi pour pas grand chose. Non, il vaut mieux t'exprimer comme tu le fais, et si tu le souhaites, lui faire part d'une idée ici et là, sans forcément lui dire que tu as écris tout ça. Hypocrite? Sans doute. Mais tu l'as fait pour te vider la tête. Tu l'as dit toi-même. Il n'est peut-être pas fait pour être inscrit dans sa tête pour autant. Néanmoins, tu feras le bon choix, j'en suis certain. Bonne chance à toi. L'amour, c'est un peu comme une recette de cuisine : faut y mettre les ingrédients, savoir les doser. Seulement, au début, tu ne connais pas toujours la recette comme il faudrait, et tu passes pour maladroit(la méthaphore était à chier, je sais!). Et puis, tu sembles vouloir être certain de son amour pour te lancer. Si tel est le cas, je le comprends. Mais je crois bien que c'est une erreur. Car avancer, en amour ou dans la vie, c'est avant tout prendre des risques, risquer ce qu'on a, pour obtenir mieux, que ce soit une leçon par l'échec, ou la satisfaction par la réussite.
  12. Jedino

    un jour = une histoire

    C'était un soir, un beau soir, malgré l'absence de la lune. Le ciel était clair, et aucun bruit ne venait déranger cette nuit paisible. Le genre de moment où l'on se sent bien, en osmose avec la nature, où l'on reste admiratif du charme du ciel étoilé. De temps en temps, une question me venait : "Qu'est-ce que la matière noire?", "Qu'est-ce qui se trouve au bout de ce minuscule point là?". Et ainsi, tout se passait pour le mieux, je reprenais vie face à ce paysage aussi mystérieux qu’enjôleur. Je me sentais si bien que j'en oubliais doucement de penser pour ne faire que regarder. Il me serait difficile de dire combien de temps je suis restais ainsi, mais cela m'importait peu : je voulais profiter au maximum de cet instant magique. Soudain, je fus surpris par une lueur immense, et pourtant si lointaine. Je n'avais qu'à peine eu le temps de l'apercevoir qu'elle s'en était déjà allée, comme pressée de retourner d'où elle venait. Si court et si beau. Cela était-ce possible? Je commençais à ressentir comme un manque, un étrange sentiment, celui de désirer la revoir encore une fois. Malheureusement, il fallait se faire à l'évidence que cela risquait de ne plus arriver de mon vivant. Et dire que je ne connaissais pas même son nom! Décidément, je n'avais pas de chance.
  13. Jedino

    un jour = une histoire

    Nan, t'as pas l'droit Bien sûr que si, et t'as intérêt à en avoir mis un aujourd'hui même, sinon je donne pas cher de ta peau :D Bonne journée à vous!
  14. Jedino

    Livres de romance

    Personnellement, je connaissais la fin du bouquin dès le milieu de l'histoire, chez Musso :D
  15. Jedino

    Livres de romance

    Ah, sinon j'ai lu effectivement la fille de papier de Musso. Celui-ci je l'aime bien!
  16. Jedino

    Livres de romance

    Ah, j'ai lu A tout jamais, de Sparks. Néanmoins, c'est sans plus. C'est simplement pour l'avoir lu, dans mon cas. Je ne suis pas à ma place dans ce genre là!
  17. Jedino

    un jour = une histoire

    Oh, pas le souci. Je lis tout. Comme j'écoute toutes les sortes de musique. Tant que je lis. Je ne me fais pas difficile
  18. Et puis, tout jeune, soit en primaire encore, ma mère me faisait écrire, et réécrire si nécessaire, des phrases, afin d'apprendre le français. Juste pour ne pas me jeter toutes les fleurs non plus x)

  19. Jedino

    un jour = une histoire

    Bizar, tu dis beaucoup pour quelqu'un qui prétend ne pas savoir quoi dire. Peut-être qu'à force de rester dans cette chambre, tu finis par te sentir déboussolé? Néanmoins, je sais qu'on peut sortir de la plus sécurisée de nos prisons : si ce n'est quelqu'un qui vient nous ouvrir la porte, c'est nous, en trouvant la clef. Allez, ne sois pas si dur avec toi-même, et ne te prive pas d'écrire, même si tu peux trouver ça futile ou niais. Il suffit parfois de peu pour s'en sortir. ----- Eva, tu souhaites tout le contraire, par rapport à moi. Tu souhaites souffler, profiter un peu de l'instant présent, quand je ne veux que courir, faire passer au plus vite le temps. La routine quotidienne semble ne pas te réjouir plus que ça. Moi, je ne demande pas plus qu'oublier un peu de penser, ou même de réfléchir. L'esprit occupé, et tout perd en difficultés. Autant le travail que n'importe laquelle, d'activités. Ah, et je n'ai encore jamais lu Lévy. J'en avais eu l'envie, fut un moment déjà, mais je n'ai jamais eu le courage d'aller à la bibliothèque en chercher un. C'est que j'ai encore à lire chez moi, et je souhaite finir ceci avant de commencer d'autres histoires. ----- Qu'importe l'histoire qu'on se met à imaginer, elle ne prend sens qu'à partir du moment où on sait la raconter. Si je n'ai jamais été un conteur de talent, je suis plutôt bon comme râleur, comme celui qui ne manque de rien et souffre de tout. Je suis d'un égoïsme sans égal, et on se prend pourtant à m'attacher une quelconque importance. Seulement, je ne me rappelle pas avoir fait souvent un sacrifice, le plus moindre soit-il, pour une personne autre. Et s'il y a bien des jours où je me donnerais tout entier à aider ceux qui sont démunis, il y a bien aussi les jours suivants où je me morfonds, me désintéresse parfaitement du bien-être d'elle ou lui. C'est néanmoins un rêve futile ou un désir enfantin que de se tuer à tenter de solutionner le malheur des autres. Cela est d'autant plus dérisoire que je ne sais pas même m'aider moi. Comment sauver, rien qu'un peu, quelqu'un de souffrant, quand on est incapable de le faire pour nous? Ne dit-on pas, au fond, que les questions trop nombreuses tuent les réponses? Ou n'est-ce là qu'un moyen de comprendre que nous ne sommes pas compréhensibles? Depuis que cette fille m'aime, ou dit m'aimer, je me sens mal. D'autant plus mal que je me sens comme obligé de l'accepter, de lui offrir ce qu'elle attend de moi. Je sais que c'est ce qu'il ne faut pas faire, mais je me sens impuissant lorsqu'on insiste, lorsqu'on va jusqu'à se faire du mal pour y arriver. Mais je me sens mal. Je sais qu'elle souffrira de mon ignorance, de ma résignation. Je crois que le plus dur est de le savoir. Ou peut-être de ne pas y croire? Car c'est bien un retour qu'elle attend. Retour que j'ai finis par lui donner, comme je le peux. Retour hypocrite. Seulement, que faire face à quelqu'un qui vous supplierait de lui mentir? Au final, je me sens plutôt bien. Je ne dis pas grand chose, mais j'écris tout de même pour rien. C'est surement parce que je crois encore en mes rêves, en ma capacité à gagner pour moi afin de le redistribuer. Je sais bien que tous ceux s'étant promis de donner aux autres une fois qu'ils seraient au plus haut de la société finissent par le garder, de peur de chuter à l'endroit d'où ils se sont extirpés. A défaut de sauver le monde, d'aider ceux qui en ont un réel besoin, je me contente de me lamenter pour un rien, de me plaindre d'une souffrance qui n'existe que parce que ça m'arrange bien. Est-ce là donc que se trouve mes limites? Difficile à dire. C'est, en tout cas, là où elles ont pris soin de s'installer, idéalement placées à l'endroit où j'aurais le plus de mal à les atteindre de mes propres mains. Elles se trouvent dans cette petite clairière sombre, au plus profond de cette forêt impénétrable qu'est mon esprit, s'éloignant au mieux de tout chemin, et s'isolant dans la plus mince parcelle, dans l'un ou l'autre des imperceptibles coins.
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