Mel.bzh

Alors là, je suis scandalisée :blush: Je n'ai pas trouvée ce texte sur ce site mais sur girls.fr : içi Je suis désolée, je n'ai pas assez chercher la véracité de cette histoire. J'ai trop fait confiance au site et à la nana qui l'a posté.

Non, je n'ai pas trouver ce témoignage dans une chaîne de mail mais sur un site pour ados.

Alors, oui effectivement, je n'ai pas donner les sources parce que le témoignage est anonyme. Même moi ,je ne connais pas la fille. Après, rien ne me dit à moi aussi que cette histoire est vraie. Cependant, si elle l'est, c'est abominable ! Et comme le dit Christeleon, il faut porter plainte en donnant les vrais noms, merde ! On peut pas les laisser s'en tirer comme ça !

Ce témoignage n'est pas de moi, mais d'une anonyme. Je trouve important de le faire passer pour savoir que les agresseurs n'ont apparement pas de limites, qu'il faut être très prudent même si on connait les personnes depuis des années. Et je rajouterais que suite à ça : putain, il faut porter plainte ! Je n'imagine pas des pouritures pareilles s'en sortir ! Attention : le texte est particulièrement dur à lire (enfin moi j'ai trouver). Voilà, il y a 2 mois j'avais 16 ans j'ai été victime d'un viol. J'étais avec une amie et nous avions rencontré des garçons. Comme on était deux, on pensait qu'il y avait beaucoup moins de danger que toutes seules. En fait, je crois que même à deux il y a du danger, c'est encore pire : on se croit plus fortes mais ça revient au même. Donc, nous avions rencontré deux garçons de notre âge (17). Ils étaient vraiment sympas, mignons, tout. Nous avions totalement confiance en eux. On les voyait tous les week-ends, ils nous payaient tout le temps à manger et cela durant près d'un an. Nous sortions au cinéma, au bowling... seulement tout cela avait un prix et nous l'avons compris bien plus tard. Un jour, ils nous avaient donné rendez-vous (toutes les deux : on y allait toujours à deux : on se croyait plus protégées). Il pleuvait. Donc M... décide de nous amener chez lui, il n'y avait personne. Nous acceptons. Nous étions en train de regarder la télé quand S... prend ma copine à part dans la chambre. Cinq minutes après j'entends des cris : j'essaye de me précipiter dans la chambre, mais M... me retient et me plaque au sol. Il ouvre mon pantalon. Je lui demande "qu'est-ce que tu fais ?" J'étais paralysée. Il ne me répond pas et sort son sexe. J'essaye de me débattre et je crie, il me frappe, m'insulte. Je pleure. Je lui demande "Pourquoi ?" Il me répond "Parce que tu es une femme : tu es une salope !" et il me demande de le sucer. Je refuse. Je pleure. Je l'implore. Rien. Il enfile son putain de sexe dans ma bouche. J'étais humiliée puis il me prend par les cheveux et m'amène dans sa chambre. Là, je vois ma copine avec S... elle était en pleurs. Il la tenait et la frappait. Puis M... et S... sont partis et nous ont laissées toutes les deux dans la chambre fermée à clef. Pendant 5 minutes, on a cherché par tous les moyens à s'enfuir. Mais on était au moins au 10e étage. Quand ils sont revenus, ils ne sont pas revenus seuls. Ils étaient avec une dizaine de connards. M... a dit : " Les voici vous pouvez en faire ce que vous voulez, mais je prends mon pied en 1er" Puis il a dit : "Salopes vous êtes, salopes vous resterez." é ce moment-là, j'ai compris que ma vie allait tourner au cauchemar. M... s'est jeté sur moi avec deux ou trois autres keums qui m'ont tenue et a commencé à me violer. J'avais mal, je voulais crier : impossible. Quant à ma copine, elle a essayé de s'enfuir, ils l'ont menacée avec un cutter, puis l'ont violée. C'était affreux. J'ai dû avoir au moins dix pénétrations, les mecs me léchaient de partout, m'insultaient, rigolaient. Ils me frappaient et moi je pleurais. Ils sont allés chercher des objets pour nous les enfoncer. Tout y est passé. Ils nous brûlaient avec leurs clopes, puis ils ont pris des ciseaux et nous ont coupé les cheveux n'importe comment. Les mecs me pénétraient avec leur saleté de sexe et c'était à celui qui rentrait le plus vite. é la fin, ils nous ont lâchées et nous étions épuisées, mortes, ils nous ont demandé de nous lécher entre nous. Nous avons refusé. Ils nous ont frappées. Nous nous sommes exécutées. Je n'ai jamais été aussi humiliée de ma vie. J'étais souillée. Enfin ils nous ont laissé partir et ils rigolaient. Avant de partir j'ai dit à S... et M... que j'avais confiance en eux et que je n'aurais pas cru ça d'eux et ils ont répondu : "Maintenant que nous avons couché ensemble, nous aurons encore plus confiance, femmes". Nous étions épuisées. On ne pouvait plus marcher. Le soir, nous ne sommes pas rentrées chez nous, nous avions honte. Nous avons dormi une nuit à l'hôtel. Nous étions sans vêtements, les cheveux coupés n'importe comment, avec des blessures partout, les yeux rouges. Finalement, j'ai dû rentrer chez moi. J'ai porté plainte et raconté à mes parents, mais j'ai dit que je ne connaissais aucun mec de peur des représailles. Une semaine après, je reçois un texto de M... qui me dit : "Tu veux qu'on remette ça salope, ça t'a plu, hein ?" Maintenant je ne peux plus parler à un homme. Je ne peux plus vivre normalement. J'ai vécu l'enfer et je ne le souhaite à personne. Retenez ceci et dites-vous que ce n'est pas parce qu'on est plusieurs qu'il y a moins de danger. C'est ce que nous pensions et on osait faire ce qu'on voulait sous prétexte que l'on était deux. Maintenant, j'ai un psy et j'essaye d'oublier, mais je sais que je n'y parviendrai jamais. Cette histoire fait un drôle d'effet et on comprend que même à deux on n'est pas en sécurité.

Surveille bien aux abords de ton domicile. Les facteurs ont l'habitude de ne pas sonner pour les colis et de mettre directement l'avis de passage dans la boite :blush: Si c'est le cas, tu n'auras plus qu'a attendre lundi. C'est juste un ti conseil ^^

Attends, je te sers un plan, des idées servies sur un plateau et tout ce que tu trouve à dire c'est ça ? Ben demerde toi ! Naméo :blush:

Heu oui, tu peut aussi traduire ça comme ça :blush:

Nan la miss. Si tu met tout ça dans ton intro, tu réponds déjà a la question. Le plan le plus "passe partout" c'est de faire : - intro - thèse - anti-thèse - conclusion Si tu veux mon avis : je pense que les deux sont possibles. Pour illustrer, Victor Hugo à plusieurs fois démontré dans ses romans (par exemple Les Misérables) la réalité de la société. Idem pour Zola avec Germinal. Cependant, des auteurs ont écrit aussi des récits disons imaginaires voir futuristes comme Jules Verne avec Le tour du Monde en 80 jours et Voyage au centre de la Terre. Après, tu peux adapter à ta sauce^^ Bon courage :blush:

Je crois que c'est le délais d'attente pour avoir la papier rose, pas la réponse à l'examen. Je doute que des gens attendent jusqu'a 40 jours pour savoir la réponse.

Ben la dernière fois que je l'ai passé, c'était en Mai 2009. Et j'ai su la réponse aussitôt aussi.

Vous avez la réponse par courrier par chez vous ? :blush: Ben putain, trop pas de chance ! J'aimerais pas attendre moi ! Pour répondre à ta question : dès que tu sais que t'a le permis, tu peux conduire car normalement (bon chez nous l'inspecteur te le donne directement mais là ça doit être dans le courrier) il y'a un papier officiel disant que la personne à réussi l'examen du permis de conduire. Une sorte de laissez-passer quoi... Donc ouais, tout de suite après la réponse (si celle çi est positive) tu peux conduire. Le temps que le "papier rose" se fasse en préfecture.

sfc à raison, le piston c'est ce qui marche le mieux. Bon, c'est pas trop juste parce que y'en a qui restent sur le carreau faute de relation pour certains. Mais bon, tant que t'en as, profite quoi.

Ha donc celui de ma ville n'accepte pas çà alors :blush:

Je veux bien croire mais l'inscription même ne se fera que si tu as un patron. Ils ne peuvent t'inscrire au CFA sans maitre d'apprentissage. Après, effectivement, ils peuvent t'aider à trouver un patron. Mais c'est plutot rare d'après ce que j'ai vu. Aucun de mes 5 amis qui sont actuellement en apprentissage n'ont trouvés leurs patron grâce au CFA. Et ma cousine, malgré son année de recherche, n'a jamais trouver de patron coiffeur.

T'es fou ? Faut que tu le trouve avant. C'est super dur de trouver un maitre d'apprentissage de nos jours. Bon courage en tout cas.

1) il n'a pas écrit le mot attardé ! 2) Qui es tu pour juger sa personne sur la base de son parcours scolaire ? Avoir redoublé n'est pas une tare, d'autant plus lorsque l'on à des problèmes personnels. J'ai redoublé mon CE1 et ma 4°. Et tu veux que je te dise ? Ben j'ai pas honte ! ça arrive à environs 50 % des élèves de redoubler durant leur scolarité. Donc pour toi, tous ceux qui ont redoublés sont des attardés ? Joli... 3) Qu'en sait tu qu'il n'a "rien foutu pendant deux ans" ? Tu lis dans une boule magique toi ?

Hey, le topic date d'il y a un an ! Je doute que sa fille ai toujours besoin de conseils.

J'ai jamais eu d'argent de poche. Résultat : je ne m'en porte que mieux ! Et franchement, y'a mieux pour enseigner la valeur de l'argent ! Travailler par exemple, hum ? :blush: M'enfin, c'est pas le sujet. Cependant, vous m'avez donner une idée de débat à proposer sur le fofo ! Merci

Deja quelle idée de lui donner de l'argent de poche ? A 11 ans, comme si elle en avait besoin ? :blush:

[Réponse incohérente donc éffacée puisque le méssage de référence à été supprimé par la modération.]

Merci Valentin mais je suis déjà suivie par psychiatre, psychologue et infirmière à domicile pour trouble borderline, causé par ces évenements. A vrai dire, je n'en parle pas beaucoup aux professionnels. ça me fait mal de converser sur ce sujet. M'enfin, derrière un ordinateur et par écrit, c'est deja beaucoup plus facile. C'est nul, je sais :blush:

J'avais porter plainte pour viols et agressions sexuelles. C'est pour ça que je voulais me préparer avant de revoir cet "ami de la famille". Mais je n'ai eu AUCUN temps, même pas quelques secondes. j'avoue, je ne m'y attendais pas, de le voir aussi vite. Je trouve aussi que pour le respect de la victime, c'est pas top.

Bonsoir, Il y'a quelques mois, j'ai porter plainte contre une personne. Quelques semaines plus tard, le gendarme m'a contactée par téléphone en me demandant de venir immédiatement. Il ne m'a pas donner la raison. J'y suis donc allée, pleine d'appréhension et je me suis retrouvée face... au prévenu ! La confrontation à durer une heure et demi. Je l'ai très mal vécu, j'avais besoin de temps pour me préparer à le revoir, cette affaire étant pour moi, très dure moralement. Le gendarme à t'il eu le droit de me confronter à cette personne sans me l'annoncer avant, sans me laisser de délais ? Est ce que cela se passe t'il toujours ainsi ? Je sais bien que je ne pourrais rien y changer, que le mal est fait. Mais je voudrais au moins savoir si c'est "normal" cette attitude de la part du gendarme. Merci d'avance.

:blush: CMoiC à tout bien exliqué dans son post au dessus !

Je trouve ça hallucinant :blush: M'enfin ça existe c'est sûr ! Si ça m'arrivait, je serais totalement désemparée et à vrai dire, je ne garantis rien de ma reaction. Elle pourrait être totalement WTFesque !