Oh, je connais cette sensation. C'est un peu nostalgique aussi. — Je pensais en l'occurrence à quelque chose d'autre, mais c'est toujours bien si la poésie te parle et te fait former des images qui résonnent en toi.
Tu veux dire, le néant qui regroupe tout ce que l'on ne sait pas ou que l'on n'ose pas nommer? Le noir du placard, le noir du dessous du lit? Le noir des forces inconscientes qui jouent contre toi? — Pourquoi ne pas commencer par en nommer les démons?
C'est très rare. Les dernières fois, mélanges de musique et de poésie persane — je ne comprends pas le persan à part trois phrases — ; mais cela serait utile pour l'allemand. And you?
Je ne connais pas Silent Hill mais c'est inspirant ; j'aime ces ambiances horrifiques même sur Internet. Souvent j'ai pensé que sur la toile pouvaient se cacher des lieux hantés.