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babrius

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Tout ce qui a été posté par babrius

  1. Pocahontas, Jamais, je dis bien jamais aucune femme n'est venu me prendre la main, m'inviter à faire un tour, me parler sans m'avoir été présenté etc... J'ai toujours fais les premiers pas. Toujours. Et parfois dans de longs parcours, difficiles, de plusieurs mois, jours après jours. J'ai écris plus de lettres d'amour et de poèmes qu'une vie peut en rêver. J'ai marché, attendu, dormi dans la poussière de mes songes défaits, et rebâtit sitôt les ponts et les cordages avec tout mon courage. Et jamais aucune femme ne m'a quitté. Peut-être les efforts m'avaient-ils trop coûté, le port était amer, la terre déjà foulée, bradées à trop de mains, était nue et sans vie... Allez, Pocahontas, décris-moi tes efforts, combien de râteaux, combien de capitaine t'ont dit non, repoussé. Un homme t'a-t-il répondu un soir de noël devant trente invités alors que tu lui disais "tu es merveilleux" dans un tintement de verre "tu peux toujours rêver pour qu'il se passe quelque chose entre nous", comme ça, sans prévenir, juste pour sentir la poudre, le parfum de la mort, humilier d'un sourire ? Qu'as-tu connu, toi, Pocahontas, pour parler si HAUT !
  2. Tu te fais du fric dans l'immobilier et tu te fous du pognon ? ben oui, et elle aussi.. C'est sûr C'est marrant tu sais quoi, quand je suis en bonne santé je me fous de l'hôpital ! 100 m2 sur Paris ! Génial ! tu nous en a mis plein la vu, on a bien compris, t'inquiète...
  3. Quel libre arbitre masculin ? Vous dites oui à tous les hommes qui vous abordent ? En tant qu'homme, je ne peux que : - être ému par un charme et attendre que la dame me fasse comprendre : a que je lui plais et que je peux l'approcher b que je lui suis indifférent (et je n'ai pas envie d'être un pis aller) c que je ne lui plais pas, point. - chercher à voir si je plais. Ce qui est visiblement soit très rare, soit caché à un point qui doit me porter à penser que je suis aveugle. Et si je plais et que je me laisse émouvoir par ce seul fait, à faire, de toute manière une approche incertaine avec le risque d'une gamelle au final... Dites moi, mes demoiselles, combien de gamelles, réelles, vous êtes vous prises ? Je ne parle pas d'un gars qui ne vous aurais pas vu, mais d'une démarche active invitation, prise de main, mots doux, mails, travail de persuasion, fleurs, cadeaux etc... Vous le voyez mieux le libre arbitre masculin ? Mais peut-être préférez-vous le chasseur qui soulève à tout va au cas où. Mais qui est celle qui se sentirait ainsi unique et désirée en elle-même ?
  4. Pas de parano, Tu bosserais pas dans le culturel dés fois.. (musique, arts plas.....) ?
  5. C'est intéressant de penser en terme de blocage de la part des hommes, alors que la sélection du conjoint est opérée par la femme...
  6. Un homme qui ne va pas au devant des femmes manque d'assurance... Et une femme qui ne va pas au devant des hommes ??? ----- Toujours le même discours saturé sur la solitude féminine.. On recadre donc le débat : Hommes 20-29 ans : 88,34 % 30-39 ans : 42,83 % 40-49 ans : 18,89 % 50-59 ans : 9,64 % Femmes 20-29 ans : 78,75 % 30-39 ans : 33,01 % 40-49 ans : 14,12 % 50-59 ans : 7,83 % Et tu veux nous parler de ceux qu'elles veulent elles ? Pocahontas ? Tu as quel niveaux de diplôme ? Très exigeante en soit c'est déjà moche... Donc ca aide pas. ----- Etant diplômé et en côtoyant beaucoup, j'ai pu constaté pratiquement l'évidence théorique de l'exigence des femmes diplômées. Et j'ajouterais qu'elles passent en plus souvent d'une exigence à l'autre entre 25 et 30 ans. Avant (+-)30 ans elles sont exigeantes sur le physique et l'agressivité (se faire draguer, se faire soulever), après 30 ans elles baissent sur le physique pour hausser la barre sur les 'compétences' intellectuelles, sociales, et professionnelles. En pratique, ca veut dire qu'elles se sont bien amusées, avec des scores à faire pâlir parfois un animateur de club med' et qu'elles veut après 30 ans l'argent du beurre et le cœur du crémier. Le problème c'est que le crémier, même célibataire il a pas nécessairement envie d'être une cerise sur le gâteau, même quand la dame lui plait... rien que pour l'embêter, et NA !
  7. Le principe n'est pas de vous en foutre dans la G... mais à faire réfléchir (sans fioritures) Je ne respecte pas non plus les toilettes H / F mais je rabaisse le battant... Tu maintiens donc que de prime abord... tu fais tes courses.
  8. Je reprends quelques chiffres significatifs d'une étude de Michel Bozon en 1991 (on pourrait en prendre bien d'autre, le sens des résultats est constant) : N'avait pas d'idéal physique bien défini 38 % des H, 28 % des F Indifférent à la taille du conjoint 29 % des H, 16% des F Bozon interroge des couples mariés. De fait il diminue le biais de l'idéalisation vertueuse de soi. Et on le voit le physique du conjoint importe en réalité bien plus pour les femmes que pour les hommes. A cela s'ajoute le fait que les sociologues de l'intime savent bien que les femmes sous estiment leurs représentations alors que les hommes les surestime... en réalité nous sommes ici dans un rapport qui dépasse le simple au double. Certaines jouent le jeu de la franchise, le plus grand nombre pas. Pourquoi ? Certain(e)s avancent des explications culturelles : les femmes n'auraient pas appris à avoir le droit de dire leur choix, leur désir etc.. Je n'y crois guère, ou du moins cela me semble-t-il marginal. Le mensonge sur les critères de choix sert essentiellement à : - se justifier de n'avoir pas ce qu'on veux idéalement - pratiquer un eugénisme moralement douteux aussi discrètement que possible... La liberté de choix du conjoint avec la fin du mariage arrangé de la communauté traditionnelle ouvre au choix effectivement, mais au choix des femmes. A de très rares exceptions près ce sont en effet les hommes qui proposent et les femmes qui disposent. Celle-ci sont donc extrêmement sélectives car très courtisées quand elles sont jeunes (mais pour des actes sexuels) et s'imaginent avoir le droit de continuer à être aussi sélective ensuite. Là arrive le cauchemar car le prince est aussi rare que le princesse que toute par contre s'imagine être... L'espace médiatique est donc saturé du célibat féminin, désespéré. Un tapage médiatique étrange quand on regarde les chiffres de la solitude réelle : Hommes 20-29 ans : 88,34 % 30-39 ans : 42,83 % 40-49 ans : 18,89 % 50-59 ans : 9,64 % Femmes 20-29 ans : 78,75 % 30-39 ans : 33,01 % 40-49 ans : 14,12 % 50-59 ans : 7,83 % Pourquoi tant d'hommes sur le carreau ? Lorsque vous lisez : "je préfère un type pas beau physiquement mais tendre, gentil, attentionné etc.. plutôt qu'un grand beau mâle très con", il faut faire de l'explication de texte... En substance : Je veux un beau mâle grand, viril, tendre, gentil, attentionné, Pourquoi pouvais-je l'espérer avec mon physique et ma candeur à 16 ans et plus maintenant ? Bon, je veux bien faire un effort, si un type physiquement passable se démène suffisamment je veux bien consentir à étudier l'intérieur et si je n'ai vraiment plus d'autres possibilités je me contenterais de ça. La supériorité des chiffres de la solitude masculine s'explique par un nombre appréciable de femme qui préfère partager un homme plutôt que de déchoir vers un physique moindre (rarement partage-t-elle un intellect supérieur). La grande majorité des femmes ne se pose d'ailleurs jamais la question de ce qu'elles peuvent apporter dans une relation, de ce qu'elles sont, mais très essentiellement de ce qu'elles veulent de l'autre. Laquelle, ici, a parlé de ce qu'elle voudrait que l'autre puisse partager, accepter... ? L'hypocrisie du discours sur la beauté intérieure a, de plus, des conséquences graves. Il tend à persuader nombre d'homme que leur physique n'étant pas en cause, leur solitude est due à une nullité qui leur laisse le seul choix du silence, voire de la mort, au moins sociale... C'est un discours génocidaire, et qui ne sert personne.
  9. babrius

    mon mari me frappe !

    L'écrasante majorité des gens passe son temps à être positif en permanence.... par peur du réel. Les annonciateurs de crises sont nommés 'Cassandres'. Les septiques ennuient, je sais, je connais bien cette humanité qui aime l'illusion par faiblesse. Je m'emporte, mais le discours positiviste est une parole de société malade, d'individus craintifs. Une morale de la peur dirait Nietzsche. Une société, une culture, une civilisation qui tue par la mise à distance en toute innocence, candide, de la violence sur laquelle repose son confort, ses objets, son alimentation, etc... Une société de pleutres aveugles par une pudeur jouée. Et ici, comme ailleurs, la pièce est mal jouée, de mauvais goût, opportuniste, à la mode etc... Ce qui dessert le réel, et l'être humain qui le vit.
  10. babrius

    mon mari me frappe !

    Est-il normal que pas une seule personne ne se soit interrogée sur la réalité de ce témoignage ? Le climat social rend-il si impérieuse la nécessité de donner son avis sur la question, que toute réflexion critique s'évanouisse ? Mais je me trompe peut-être... Le lièvre a peut-être été soulevé et je ne l'ai pas vu. En ce cas désolé !
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