babrius
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Supprimer les allocations pour les absents à l'école
babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Rassure moi, c'est bien de la provoq à deux balles ? -
C'est bien ce qui fait que pour moi toute oeuvre est simplement un travail comme un autre, point. Il n'y a pas de grands hommes, ou alors il faut considérer Hitler et Staline comme de grands hommes parce qu'ils ont fait une grande oeuvre politico-historique, comme Alexandre, César, Philippe le Bel, ou Napoléon. De simples hommes qui n'ont aucun génie mais des qualités et des défauts, des productions qu'on peut aimer ou détester, ce qui est réducteur. On peut surtout justement les disséquer, en comprendre les cohérences, l'intérêt pour l'avenir, leur situation dans le déroulement de l'histoire. Il me semble d'ailleurs que l'un des points importants de divergence ici tourne autour de cette relation au temps. Rien n'est intemporel pour moi, même s'il y a des réutilisations possibles d'Homère ou d'Esope, ils sont surtout historicisé, pris dans une temporalité, dans un sens de la culture ou de la civilisation. Il n'y a pas de valeur intrinsèque universelle d'une ¿uvre. (l'ethnologie en avait fait la preuve avec la musique. Bach est 'génial' pour un occidental, pas pour un Dogon). J'éprouve en revanche un certain respect pour certaines vies (mais qu'en connais-je vraiment il est vrai), et un profond dégoût pour d'autres, et souvent, en observant bien, la production suit...
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En ce cas on dis qu'on aime, c'est tout. Pas que l'auteur est un génie novateur.. Ou il faut dire par rapport à quoi et en quoi... Sinon c'est comme parler des beautés intérieures d'un homme en s'arrêtant en réalité à son apparence... Un discours féminin courant, il est vrai....
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Si puisque tu me prends pour une andouilles. Et simple correction "il n'y a que moi qui en ait fait l'objet"... Merci !
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Supprimer les allocations pour les absents à l'école
babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Marinelou, Le principe de cette loi est de sanctionner l'abus dans l'usage d'un service public, pour ceux-là seuls qui l'utilisent. Ceux qui ne l'utilisent pas ne sont pas sanctionnés, ce qui pose un problème voisin : celui de l'équité d'éducation des con-citoyens à venir. Question surtout théorique (du moins du point de vue scolarisation/non scolarisation) car peu d'enfants sont totalement non scolarisés. Et pour les établissements privés non contractuels, l'absentéisme n'est pas un problème, pas même une question. -
Supprimer les allocations pour les absents à l'école
babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Belalex, Les allocations familiales sont pour moi des subventions. C'est la forme bourgeoise d'une socialisation opportuniste* des ventres. Les femmes (si elles étaient vraiment libérées de l'idéologie familiale) devraient d'ailleurs se battre contre cette vision familialiste qui favorise les naissances. Les politiques natalistes sont aberrantes dans une société ou une partie du travail est de plus en plus assumé par les machines, et où le besoin limité de main d'¿uvre rencontre aussi la taille critique de la population sur un monde fini avec des ressources finies. En gros, une population tertiarisée consomme beaucoup de ressources par individu, elle ne peut pas être très nombreuse sur notre planète, ne serait-ce que du point de vue alimentaire. Elle doit donc regresser (ce qui est sans danger, mais bien au contraire nécessaire, pour la survie de l'espèce. Une politique nataliste n'a pas pour but le maintien des retraites (celles-ci connaissent un problème de répartition des fruits de la productivité). Elle n'a pour but que de faire plus de consommateurs, sans se soucier de l'armée de réserve qu'elle créé (chômage). Et celles et ceux qui font des enfants dans ce cadre savent bien qu'ils mettent au monde des compétiteurs qui vont devoir se battre plus qu'eux, qui s'étaient déjà battu plus que leurs parents... C'est une logique du pire. J'ai déjà expliqué ailleurs les raisons du mensonge démographique, je n'y reviens pas plus. Mais Belalex, je ne parle aucunement des gens qui ne touchent pas d'alloc... Fonder un foyer, comme tu le dis bien relève d'une volonté ! Ils ont "voulu fonder un foyer"... Qu'ils l'assument. Je ne suis pas solidaire de ce CHOIX. Tu ne voudrais tout de même pas que l'état verse des aides à tous les projets individuels ou de couple.. ?? * ca me rappelle sur un autre registre la critique du plan soviétique et le délire planificateur de rationalisation de l'entreprise capitaliste depuis qu'elle a besoin de tirer toujours plus sur les coûts... La charité qui se fout de l'hôpital. -
Supprimer les allocations pour les absents à l'école
babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Ces raisons ne me regarderaient pas si nous vivions chacun sur une îles sans relations... Mais tu vis dans la même société que moi... Ne nous en déplaise à l'un et à l'autre. Et cela me regarde plus encore quand mes impôts participent, même de manière infime au conséquence de votre incapacité à toi et ton ex d'assumer solidairement et sans aide extérieure le choix que VOUS avez fait d'avoir des enfants ENSEMBLE... Faire des enfants, c'est savoir au minimum qu'on en aura pour 18 ans (et encore n'est-ce que l'obligation légale...). S'il y a accident, décès, chômage, maladie, je suis pour la protection sociale afférente et aides du fait de la présence d'enfants en plus, mais sinon, NON ! C'est très simple. Divorcer n'est pas un accident de la vie mais une décision ! Il faut être responsable, un minimum.. Je n'ai pas incriminé spécifiquement les parents solos sur ce point. Essai d'éviter de déformer mes propos pour t'en sortir, merci. Tu plaisantes j'espère ? Tu réduits la relation parent / enfant à un dépôt du 'colis' à l'école ? Pas de discussions intra-familiales ? Pas de perception psychologique des problèmes ? Des évènements annonciateurs ? Pas de cadre éducatif qui évitent ou atténuent les problèmes ? Tu ne verrais rien venir et tu trouverais ça normal... Tout n'arriverait donc dans la vie que par 'accident' ? On irait travailler par accident... On voterait par accident, etc... ? Amour ? encore, ca ne t'a pas suffit ? Amour de quoi ? de la possibilité qu'il soit un jour handicapé, chômeur, drogué, violé etc... ? Non, amour de ton plaisir à être mère, à avoir rempli une case de plus sur "les choses à faire" pour être bien intégré, à avoir des présences rassurantes, et des êtres sur qui déverser du sentiment pour éviter l'aigreur (mais le besoin vient de toi, pas d'eux...), et d'être aimé inconditionnellement, malgré toute les tares accumulées.. Belles raisons de faire des enfants ! Et tout cela résumé du voile pudique de l'amour ? Quel beau mensonge. Je reverrais mon jugement dés que tu aura revu le tiens.. Et que je saurais quelle est ta définition de ces différences... En fait tu ne lis pas du tout Hamourabi, c'est ça ? Soyons donc simple pour les simples : Aucun enfant n'est obligé d'aller à l'école... Mais lorsqu'il y va alors, jusqu'à 18 ans, les allocations des parents sont menacés par le comportement de cet enfant vis-à-vis de l'institution (dont ses éventuelles absences). On se bat les noix de l'obligation d'instruction qui n'est pas ici en jeu, et donc des 16 ans (cette discussion n'a pas lieu d'être). Il est problématique de ne pas avoir prévu de mesure dans le cas d'enfant unique. Là je suis d'accord pour y voir une difficulté dans l'égalité de traitement de l'enfant. Je serais pour des sanctions sur les parents. Pour la famille de 3,4 etc.. enfants. Il y a solidarité familiale. Mais cela implique de déplacer l'analyse du terrain théorique à l'application pratique. Car ton opposition semble plus de principe que pragmatique. Dans les faits, l'inspecteur d'académie ne va pas s'amuser à jouer le garde-chiourme à tout bout de champs pour une demi-journée de trop. Il a bien d'autres choses à faire, je vous l'assure. Cette mesure est stigmatisante, même si nécessaire, en particulier des familles nombreuses et d'origines étrangères. Je tiens une ligne dure dans toute réflexion sur ces sujets. Il faut critiquer et se battre contre la politique dramatique du gouvernement de réduction de poste, surtout dans l'éducation nationale. Mais ce ne doit pas être un prétexte pour ne pas agir sur le comportement consumériste de beaucoup de parents, et ce qui me gène dans cette mesure tient plutôt à sa stigmatisation des origines. Même si, et la encore c'est une ligne dure, le laxisme de beaucoup de parents d'origine étrangère est une réalité conséquente sur laquelle il faut agir. Celle-ci s'explique par le climat ambiant dans lequel les bourgeois donnent le ton par leur critique de la fonction publique, ainsi que par une guerre de tranchée des représentations des immigrés qui les oppose autant au système, à l'état qu'ils se voient mis en difficulté par celui-ci. Il y a souvent une montée des enchères de chaque côté qui ne peut se résoudre que dans ce type de mesure mais qui ne doit pas non plus s'en passer. C'est le même problème pour les pauvres dont le discours sur l'école est parfois tout aussi réducteur et inacceptable. Peu importe qu'ils aient des raisons objectives d'en vouloir à un système qui les berne souvent. Il faut tenir la critique du système et son changement sur le long terme tout en même temps que la rigueur avec celles et ceux qui contribuent par leur laxisme à le discréditer plus encore et à aggraver la situation... Ce sont surtout ceux-là que visent ce texte. -
Je trouve fortement dommage que les pro-Céline soient incapables de parler de l'¿uvre. C'est tout de même un art en soi que de défendre un auteur en considérant que seule l'¿uvre existe (dans ce cas là d'ailleurs pourquoi défendre l'auteur ?), mais sans toutefois jamais parler de cette ¿uvre en elle-même, sauf à en citer 10 lignes pour conclure que c'est beau, sans aucune analyse (tout en ayant soutenu qu'il était novateur, grand écrivain etc.. ). Et il serait vexant de souligner le manque de cohérence d'une telle défense ? En revanche on mesure bien la haine que provoque toute attitude critique à la norme de la reconnaissance littéraire et artistique bien pensante... Sans jamais aucun argument mais par de simples attaques ad hominen. Avec, insultes sarkozystes suprêmes, les belles qualifications d'intello, de branleur, de vaseux etc... J'y trouve, personnellement, une vraie beauté intérieure sidérale des amoureu(ses)x de "l'Art" ! Ce fil n'est pas sans intérêt de ce point de vue.
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Et que fais-tu de mieux que moi ici ?
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Luft, Je ne cherche pas ici du crédit, je ne viens pas ici comme toi faire ma court et chercher des amis... Je viens discuter, débattre. Ce qui implique de la vivacité parfois. Si cela froisse ta délicatesse tu m'en trouves ravi. Je cherche moins à 'casser' des personnes en tant que telle, qu'une habitude niaise de mouton de Panurge comme tu en proposais le terme. Tout ca n'a rien de drôle. Et même toi, ca ne te fait pas rire. Tu t'obliges simplement à le dire pour me mépriser et inviter à te suivre.. Tu crois que beaucoup s'aveuglent d'une telle ficelle ? Et puisque tu veux du débat plus serein, pourquoi t'attarder là-dessus plutôt que d'en profiter pour exposer les qualités de l'auteur incriminé, d'en faire une défense construite, concrète... ? Vas-tu ignorer aussi le fond ?
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Je suis désolé qu'il te faille me traiter d'intello masturbatoire pour la raison que tu n'as lu aucun auteur sur la question et que tu ne comprends pas mon discours. En être réduit à une telle lapidation pour cacher son inculture doit être handicapant... Mais j'attends toujours que tu me parle de Céline, que tes mots nous charment et nous donnent envie de le lire... Je ne suis pas le seul à attendre visiblement, mais en fait.. l'as-tu seulement lu ?
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babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Tu as bien de la patience, Hamourabi, avec Zazou. Autant de mauvaise foi et de handicaps à la lecture et à la compréhension me semblaient difficiles à atteindre.. Mais en même temps lorsqu'on entend que 2 jours ne sont pas un problème mais que 4 le devienne, que le choix du père des enfants fait parti des "accident de la vie", qu'un décès légitime de se bourrer et que les enfants en rate l'école, qu'on s'étonne qu'un médecin refuse de signer un certificat de plusieurs jours d'absence pour un décès... qu'une famille aussi importante et présente n'est visiblement pas capable d'aider beaucoup dans la gestion d'un quotidien en navigation à vue.... Et j'en passe et des meilleures.. Je connais ces rengaines par c¿ur. le site mamans solos a été un extraordinaire terrain durant plusieurs années pour ça. Tout est bon pour justifier une prise en charge, lamentation et réclamation de droits à tous les étages. Mais en revanche n'avoir jamais à se justifier pour ses choix (je fais ce que je veux quand je veux et vous m'assumez car j'ai des enfants, moi !). En réalité les enfants sont simplement instrumentalisés pour s'imposer à la société après avoir pris de mauvaises décisions dont les conséquences ne veulent pas être assumées. Je ne vais pas sauver le monde, mais je n'ai pas envie non plus de payer pour ton inconséquence. Et tu connais peut-être la critique de ta justification, mais elle n'en est pas moins fondée... Personne ne t'a obligé à te faire des enfants, et (à moins qu'il t'ait violé) à choisir un géniteur avec lequel tu n'es pas capable de les élever. Je veux bien que les gens divorcent mais là encore, c'est leur choix, pas un accident, NON ! Ta théorie des "accidents de la vie" est purement opportuniste, pour récupérer de l'argent collectif. Je suis d'accord pour qu'une partie de mes impôts serve à un système d'éducation, malgré le fait que je n'ai pas d'enfants, parce qu'il s'agit d'une organisation de la cité et de la formation de mes concitoyens. Mais assumer en plus tes inconséquences animales, non, désolé. Ca t'arrache peut-être les oreilles, et aux autres familialistes béâts qui régressent lorsqu'ils voient un bébé, ou sont convaincus que l'espèce va s'éteindre si la démographie baisse, mais je ne suis pas pour la collectivisation des ventres. Je suis donc contre leur subvention ! On voit très vite qui plus est ce à quoi cette logique aboutit : Des mères qui 'pensent' l'éducation à leur sauce, selon leurs convenances personnelles, familiale ou autres.. Et se permettent de critiquer les enseignants ou leur structure administrative. Des parents qui viennent injurier ou s'indigner auprès du personnel éducatif de la moindre note, remontrance, décision, comme s'ils étaient au service après-vente d'un vendeur d'électroménager... Qu'une institution scolaire prévienne en cas d'absence oui. Mais que des parents n'aient que cela pour s'apercevoir d'un désordre dans l'organisation de l'emploi du temps de leurs enfants, c'est une véritable démission. Lorsque ces mêmes parents ont besoin d'être prévenu par le système scolaire lors d'absences répétées et prolongées, c'est qu'il n'y a plus de parents, mieux vaudrait probablement recourir au placement familial. Mon idée de la reproduction est tout à fait fondée mais certes elle diffère de la ponte à laquelle tu souscrits et que tu pratiques... Mais là, bien sûr... il faudrait que le mot 'humain' est un sens pour toi... Et nous n'en sommes visiblement pas là. Les aides de l'état ne forment pas un droit existentiel ! Elles sont conditionnelles à des résultats sociaux et culturels. C'est une principe des finances publiques. Donc des suppressions sont logiques lorsqu'il est clair que les parents perçoivent ces aides abusivement en regard de leur Devoir d'éducation. -
Je pense effectivement que la notion d'Artiste, forgée, telle que beaucoup en ont plein la bouche à l'heure actuelle, au tournant des 18e et 19e siècles, et s'étant installée sur ces deux derniers siècles, est une notion pauvre. Elle réponds au besoin de particularisme, de singularité d'individu qui commencent à croire qu'ils sont au-dessus des autres par leur génie créateur. C'est un déplacement bourgeois de la noblesse de sang vers un élitisme tout aussi naturalisé mais individuel. Une forme méprisable (selon moi) de survalorisation de soi qui élimine soigneusement les conditions réelles de cette inégalité devant la création (éducation, rencontres, conditions physiques - des mauvaise pouvant parfois aider si les conditions matérielles parentales sont favorables-, apparence personnelle, réseau social etc, etc..). Je ne reconnais pas de grands hommes. Je ne connais que des hommes qui font ce qu'ils peuvent avec ce qu'ils ont, et qui parfois se laissent aller, trop, voire même beaucoup trop. Il y a une façon de régresser à l'état animal, de ne pas assumer son humanité, mais pas pour autant un gigantisme de ceux qui en assument une grande part (et encore moins de ceux qui en assume une petite part, opportunément valorisée socialement). Pas de grands hommes mais des 'petits hommes ' comme dirait Reich. D'autres part je reconnais l'art pour ce que la société bourgeoise (ce terme n'est pas ici marxiste, merci...) se donne comme définition, limite, contrainte, cadres formels. On apprends pas aux enfants le plus souvent à observer, à être critique sur ce qu'ils voient mais plutôt à aller dans des expos, à lire tel ouvrage, à identifier untel comme un classique, untel comme primordial, tel autre comme secondaire etc.. Un dressage socio-culturel qui n'a rien à voir avec la formation réelle du jugement. Est-il nécessaire de vous renvoyer à "La distinction" ? L'art n'est pas dans l'artiste mais dans la perception sociale, socialisée d'un cadre formel de production et de diffusion. C'était déjà la leçon de Duchamps. Ce besoin de figures fortes, de noms transfigurés, tout en faisant mine d'ignorer leurs vies, mais en allant y trouver malgré tout des excuses si besoin est, marque bien l'incohérence des 'adorateurs', tout à la logique de continuité religieuse de l'art, dés le romantisme, dés 'le génie du christianisme'... On retrouve la quête du père, ce besoin infantile d'un être humain qui ne veut pas réellement s'assumer en lui-même, être responsable existentiellement dans une liberté ontologique. Cet enfant qui est prêt à sauver le père avant la logique, avant la justice dirait Camus. La notion d'Art est une notion du sacré, je lui préfère l'artisanat, plus modeste, plus humain, plus subtile aussi sur la valeur sans cesse renouvelée du sens du beau pris dans le quotidien.
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Ais-je dit quel Klarsfled tu avais traité de con ? Tu avoues l'avoir insulté tu réitères, donc visiblement je comprends bien ce que je lis.. Et pour me parler de goûts convenus :p Après nous avoir démontré à quel point ton grand Céline était convenu par la terre entière... Tu es impayable, vraiment rafraichissante... Et n'oublie pas de nous en parler encore avec ta touchante naïveté littéraire de ton génie !
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babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Tu fais ce que tu veux mais lorsque tu as choisis de faire un enfant ce n'est pas un accident de la voie publique (enfin j'espère que tu n'en es tout d même pas là...) Alors en ce cas tu assumes... éa ne te plait pas hein ? Tu préfères faire semblant de ne pas le voir ? Ou alors ne sais-tu pas bien lire ? Ce serait dommage s'il te faut palier aux innombrables heures de cours que tes enfants auront passé dans la béatitude de la sollicitation de maman par sa nombreuse famille dont elle se sent le centre... Je parlais des célibataires sans enfant, et tu m'as très bien compris, tu peux toujours essayer de jouer, tu seras seule. Je connais bien les mamans solos, très bien, pratiquement et théoriquement. Et pour avoir travailler sur le sujet j'ai particulièrement pu apprécier le choix du conjoint qui amène aux situations les plus problématiques. Mal choisir le père de son ou ses enfants est bien plus inconséquent que de boire avant de conduire, ce que la majorité condamnera et responsabilisera... Après que tu te justifies pour faire assumer et supporter aux autres tes erreurs de jugements, on connait.. Et bien non il y a une façon humaine de se reproduire : y réfléchir , utiliser sa tête avant le bas du corps.. (si, si, c'est possible...) Mon opposition aux autres choses est juste exemplaire de ce que l'absence d'utilisation des fonctions cérébrales supérieures coûte humainement, socialement et financièrement. Mais je ne suis pas surpris que cela t'échappe. -
Et si je dis que "Mein Kampf est écrit avec les pieds" vais-je avoir des remontrances d'étudiantes ? Luft, Où ais-je injurié quelqu'un ? A la différence de Marinelou qui traite de con Klarsfeld... (sans avoir l'air d'y toucher). Et ce que tu prends, avec ta lecture rapide à l'emporte pièce pour du mépris du goût des autres, est un mépris de l'attitude moutonnante qui a consisté à n'étaler durant des pages que des apologies du génie bafoué, sans aucun argument littéraire, par la seule vitesse acquise du troupeau. Relis le début du fil et tu verras que les commentaires ne sont pas du type "j'aime beaucoup Céline mais tous les goûts sont permis" Donc si, il y a bien de l'incohérence à reprocher aux uns ce que tu tolères chez les autres, aveuglée que tu es par une tonalité que tu ne comprends pas et par ta soumission à la loi du plus grand nombre. Et il y a bien autant de condescendance dans ton post vis à vis de moi que j'ai ai pour d'autres, ce qui me permet de me passer de tes 'leçons' et plus encore sur un auteur sur lequel tu n'as rien à dire. Car lorsqu'on a si peu de chose à dire sur un sujet, oui, on peut se taire, ce n'est pas honteux. Et surtout on évite de chercher à jouer les gendarmettes, à distribuer les reproches perchée sur un petit ton de déléguée de classe. Mes piques sont bien légères et si tu n'as pas même compris l'ironie de la mention L1, je ne peux rien faire d'autre pour toi...
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Le même mépris que tu sembles alors défendre de ceux qui ne veulent pas lui reconnaître de valeur.... Mais apparement il y a des positions plus acceptables que d'autres, des affirmations du goût supérieures au dégoût, n'est-ce pas ? éa ne semble pas te poser de problèmes que le refus de Céline soit critiqué sans aucun fondement, sans aucun argument sur le fond de son ¿uvre.. Que des "quel génie !" etc.. étre incohérent ne te pose pas beaucoup plus de problème qu'à Marinelou apparemment. Et ne t'en déplaise mon bonhomme je n'ai pas dit que 'Céline c'est caca', tes caricatures de lecture d'étudiant en L1... J'ai utilisé des mots, que rien ne t'empêche de citer à part la fainéantise, ni de contredire à part l'incapacité à t'avancer sur ce terrain visiblement mal connu de toi... Car Céline ne m'est pas étranger, et l'enjeu vaut bien ce coup de gueule, oui, vu le bêlement continue de mouton (mais si, tout à fait) durant les 3 premières pages (avant le premier pas de Danaos). Alors quand tu auras quelque cohérence et des arguments, n'hésite pas
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Le problème n'est pas de se battre, mais tu te rends tout de même compte j'espère que ta vision de l'Artiste à la Flaubert et aux Goncourt, légitime un ordre, de celui qui a sur les mains le sang des communards, comme plus tard d'un autre qui aura celui des juifs, et Céline avec ? Et on attendra toujours une brillante analyse du 'génie' de Céline... As-tu lu "L'élite artiste" de Heinich ?
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babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
On ne fait pas des enfants avec n'importe qui... Ou alors on l'assume. C'est là ma perception de la faculté de juger d'un être humain sur ce terrain. S'il s'agit d'un décès, on revient à la protection sociale de l'accident, mais si c'est une séparation, c'est de la convenance personnelle imputée à la société toute entière, je ne suis pas pour la portection sociale de l'insouciance, des changements d'humeur qui ont pour conséquence la mise en danger d'une vie humaine qui n'a pas demandé à venir... Je l'attendais celle-là... La grosse bonne excuse qui fait pleurer dans les chaumières et justifie tout. Non, ce n'est pas de l'amour, c'est de l'égoïsme. On fait un enfant pour soi, pour son plaisir personnel, que ce soit pour donner ou recevoir de l'amour, pour s'occuper, pour se donner un statut, une position sociale, un état, un entourage etc... Je ne qualifie pas cela d'humain. Et je ne suis pas pour la prise en charge par la collectivité de ces passéismes comportementaux. Tout comme je suis contre le financement de l'église par l'état, ou l'aide aux entreprises privées sans contreparties salariales ou d'emplois, par exemple. Il faut une limite à la solidarité : la logique mutualiste de l'accident, mais certainement pas celle de l'assurance des risques privés librement choisis et même revendiqués ! On veut des enfants, on y réfléchi. Chacun sait qu'il peut y avoir fin du couple, mésentente, etc.. Ce sont des possibilités facilement envisageable et hautement probable. On peut s'y préparer, prévoir. Si on s'y engage, on assume, on s'organise. Prendre les célibataires en otage et comme vache à lait vous semble normal ? -
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babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Des évènement suffisamment important pour rater l'école ? C'est une blague ? Et il y en a pour aller dans ce sens ? Mais c'est vraiment devenu du grand n'importe quoi les pratiques parentales... Et la sortie du dernier Harry Potter ? L'anniversaire de la cousine de tante Berthe ? L'achat d'une nouvelle paire de boots avec mamie suzette... A Londres ? On nage vraiment en plein délire... Avec invocation de la vie privée et du droit constitutionnel Je rêve, dites-moi que je rêve, non, je cauchemarde... -
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babrius a répondu à un(e) sujet de Hamourabi dans Education et Famille
Je vais encore me faire des amis, mais j'aimerais poser quelques questions ? Sommes-nous des animaux ? Sommes-nous doté de facultés de jugement et d'anticipation ? Existe-t-il des contraceptifs remboursés ? Un planning familial ? Un IVG remboursé ? Est-il si difficile de faire des enfants en fonction des capacités que l'on a de les assumer ? Une maladie, un accident de la route, le chômage, sont des accidents de la vie. Une protection sociale solidaire me semble justifiée. Mais la venue d'un enfant n'est plus un 'accident'. Quelles justifications ? Merci d'éviter les laïus sur les retraites et autres bouffonneries démographiques pour spectateur de TF1 -
Voilà bien le genre d'affirmation très 19e siècle... L'art pour l'art... Le comble de l'idéalisme dans ce qu'il porte de vestiges platoniciens dépassés, transfuges du religieux. Une oeuvre est une vie, une formation, des lectures, une place dans une histoire, dans une culture, dans l'Histoire... Il y a des causes et des conséquences. S'en extraire est une attitude d'aveuglement volontaire pour justifier de sa dépendance aux jugements de ses maîtres à penser. Cela permet de se dispenser d'esprit critique, d'une analyse personnelle. Qui ne remarque pas que tu sembles incapable jusqu'à présent de parler de Céline autrement que pour colporter les vieux lauriers que d'autres lui ont tressé. Oublier qu'une ¿uvre est d'abord un homme (ou une femme) c'est également glorifier le génie, cette substance absconse et malodorante qui légitime la supériorité d'êtres humains sur d'autres, en oubliant de retracer les conditions matérielles et morales du travail, de la création. Mais comme par hasard, dés qu'on attaque l'une de tes divinités, il te semble paradoxalement important de lui donner des excuses biographiques (la guerre, le handicap)... Pourrais-tu être cohérente ? Ignore-t-on ou n'ignore-t-on pas la vie de l'auteur ? Oui, je trouve une partie de l'écriture de Ionesco facile, comme celle Beckett, ou de Breton (mais tu ne te prononces étrangement pas sur ce dernier...) ne t'en déplaise. Je comprends bien que pour toi dés qu'on est édité, lu et joué, par exemple, on est un grand, si ce n'est un génie. Cartland et Levy devrait alors faire parti de ton panthéon... Mais non, bien sûr... Ils sont 'commerciaux'. L'étiquette donnée par les magazines littéraires et leur gotha communautaire prime sur tout sens critique ou capacité d'analyse, Les classiques le sont nécessairement puisqu'ainsi sanctifiés par une tradition. Ma pauvre amie...
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Ce n'est pas mauvais mais je ne vois là aucune trace de génie. Il y a un avant et après Proust, un avant et un après Poe, un avant et un après Sade, un avant et un après Balzac, Flaubert etc, etc... Pour les gens qui ont besoin d'un dieu, de déités secondaires, de toute une hiérarchie dans laquelle ils cherchent à prendre place ou à trouver des maîtres à penser, à dire, à faire, à vivre, à écrire etc... Il y a toujours des "Grands Hommes". C'est une petite position, non pas d'humilité mais infantile, d'impuissance. Céline aurait probablement lui-même pissé sur de tels comportements. Non, Céline n'a rien de génial... Beaucoup se gargarisent ici de son génie mais sans jamais le démontrer, en exposer l'analyse littéraire et culturelle. On entrerait pourtant là dans une matière autrement utile. Et les amalgames sont très problématiques. Je ne parle même pas des allusions à Soral ou Dieudonné, qui n'apportent rien que de dilatoire. Le déisme manipulatoire et cynique de Voltaire n'a rien à voir en conséquence et en régression humaniste avec l'anti-sémitisme de Céline. Céline n'est pas un salaud, c'est une ordure. Une ordure qui a proliféré littérairement sur des lecteurs complices, et ensuite sur une mode existentialiste qui prenait plaisir à une écriture semi-poétique, baveuse, houleuse, qui ne rechigne pas à la scatologie, au vulgaire... Une invitation démagogique au fiel du monde. C'est tout aussi idiot et facile que le nihilisme de Breton ou l'absurde de Ionesco. Ce sont des modes littéraires qui n'apportent quelque chose qu'aux adolescents en mal d'affirmation drôle et puissante de leur inexistence, de leur vacuité et d'une quête identitaire à travers quelque particularité de goût. Rien à voir avec la force d'un Tolstoï, d'un Zola, d'un Gide, d'un Camus etc.... Mettre Céline à côté de ces auteurs est triste et signe surtout du besoin morbide de morgue, de crachat, de souillure et de brassage de matière fécale d'une époque sombre de l'être humain.
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Avoir des définitions est utile pour savoir de ce dont on parle et qui entend quoi. Maintenant, je pense également qu'il ne faut pas trop pinailler non plus ou pas trop longtemps... Le concept de race pure est inopérant. Comme tu le souligne la nature mélange, en fait elle ne fait même que ça. La seule pureté possible est celle du clonage, et encore, l'altérité à l'environnement va y apporter des différences.. Et cela veut dire que la première phrase est inutile et légitime tout à fait à tord et contradictoirement avec la deuxième phrase l'idée de race pure. Il n'y a pas de race pure, DONC elles ne dégénèrent pas... Il faudrait tordre le cou à cette idée survalorisée du metissage, surtout extrême : - Non cela ne fait pas de plus individus, rien n'est moins vrai. - Non cela ne rend pas la physiologie meilleure Ce n'est que la face positiviste d'un même racisme, tout aussi détestable à mon sens. Que quelques biologistes y apportent occasionnellement leur caution n'en fait pas une vérité. ce sont aussi des hommes qui défendent des idéologies, souvent... (comme Allègre sur le climat). L'immense majorité des travaux scientifiques ignorent ces valorisations idéologiques. Je pense qu'il y a bien une "doctrine pro-metis". Une idéalisation du metissage, même si elle touche un peu à la fin de son cycle, qui a démarré dans le milieu des années 80. Le métissage culturel est plus souvent subit et difficile à gérer que l'inverse. Il introduit des facteurs psycho-sociaux et psycho-culturels qu'il ne faut pas ignorer sous prétexte de 'bonus' linguistiques, qui ne sont pas toujours si facile que ça à valoriser sur le marché du travail et moins encore à l'école. Plus on s'élève dans la hiérarchie sociale et plus ces éléments sont des atouts, mais plus en descend et plus ils se formulent en handicap... De fait, s'ouvrir, je te rejoins, ne nécessite aucunement un métissage. C'est même souvent le contraire qui s'observe dans la réalité. Savoir d'où on vient, ce qu'on est, de façon défini, presque monolithique est souvent une meilleure base d'ouverture SI l'éducation y associe de la curiosité et du respect égalitaire de l'autre.
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Magus, Je ne suis pas sûr que ta dernière phrase apporte quoique ce soit au débat... On peut éviter ça ? Ce que tu appelles de l'empathie, si tu me lis bien est à peu près le contraire, un réel manque d'identification. Les pays d'émigration sont encore et pour de nombreuses années des pays 'jeunes'. Je te suggère l'utilisation de l'outil de visualisation dynamique des pyramides des âges de l'Ined (un organisme avec lequel il m'arrive de travailler ). http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_populati...las_population/ Et ce que je critiquais porte justement sur la captation d'une ressource, humaine. Mais si tu veux par là souligner que ce modèle migratoire n'est, qui plus est, pas pérenne à plus long terme, nous nous rejoindrons très justement... Sur l'économie et la crise du capitalisme, j'étais allé vite car mes interlocuteurs me donnaient l'impression de ne pas avoir besoin de ces précisions... Concernant Malthus, il me semble avoir bien précisé que les conditions ont changé et que les opportunités techniques, organisationnelles, sociales, culturelles et culturales qu'il ne prenait pas ou trop peu en compte l'était largement dorénavant dans les réflexions qui intègrent justement cette perception méthodologique. As-tu bien compris ce que désignais ce "30 %" dont je parle ? Quelle signification penses-tu que je lui donne ? Que représente-t-il pour moi selon toi ?
