Les parasites, évoluent différemment de leur congénères, et agissent à la manière de Dreamcachers, aspirent tout sur leur passage, pour ne régurgiter que les immondices animant leur sordide existence . Ne sont perceptibles que les serres, leurs gueules béantes, l'appétit vorace, comme s'ils n'avaient jamais mangé de leur vie, comme s'ils venaient de se réveiller après un coma ayant duré cent ans, s'accaparant les idées, comme s'ils étaient jaloux, de ce qu'ils perçoivent, mais de ne comprennent