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Musique du monde arabe

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Aziz Sahmaoui et son groupe ONB

Chalini Modifié par samira123
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Aziz Sahmaoui (ONB)

Ghofrane
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Warda Djazairia ,Cheb Khaled et Baaziz


Mazel wa9fin
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Bonjour,

Kazem AL SAHER (Irakien)

L'école de l'amour

(écrit par le poète syrien Nazar Kabani composé et interprété par Kazem Al Saher)

Traduction en français

Modifié par samira123
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Je suis pour le terrorisme.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous prenons la défense, d’une rose, d’une femme,

Et d’un infaillible poème, d’une patrie qui n’a plus, ni eau ni air,

Ni tente ni chamelle, ni même de café noir.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous avons le courage de défendre, la chevelure noire de Balkis,

Les lèvres de Maysoun, Hind, Daad,

Ou Loubna et Rabab et une pluie de khôl noir,

Tombant de leurs cils comme une inspiration !

Vous ne trouverez pas chez moi, de poème secret, de langage secret,

Ni de livre secret enfermé derrière portes closes,

Et je ne garde pas de poème, arpentant les rues, voilé par un hijab.

On nous accuse de terrorisme,

Quand nous écrivons sur les dépouilles de notre patrie,

Foulée, démembrée, déchiquetée aux moignons dispersés,

Une patrie cherchant son nom et un peuple innommé,

Une patrie qui a perdu ses anciens grands poèmes,

À l’exception de ceux de Khansa.

Une partie qui a perdu sa liberté rouge, bleue ou jaune,

Une patrie qui nous interdit d’acheter un journal, d’écouter les informations,

Une patrie où les oiseaux sont interdits de pépiement,

Une patrie dont les écrivains écrivent sur le vent, par peur.

Une patrie à l’image de notre poésie,

Faite de mots abandonnés hors du temps importés,

Avec une face et une langue étrangères…

Sans début, ni fin.

Sans lien avec son peuple ou son pays, impasse de l’humanité,

Une patrie allant aux négociations de paix,

Sans dignité, nu-pieds et sans aucune dignité,

Une patrie où les hommes pris de peur se sont pissés dessus,

Et où seules restent les femmes !

Le sel est dans nos yeux, le sel est sur nos lèvres,

Ou dans nos paroles, La sécheresse de nos âmes,

L’avons-nous héritée des Beni Kahtane ?

Il n'y a plus de Mouaouya dans notre nation,

Ni d’Abou Sufiane, plus personne pour dire « NON ! »

À ceux qui ont bradé nos foyers, notre terre,

Et ont fait de notre histoire radieuse, un bazar !

Il n’est plus un seul poème dans notre vie,

Qui n’ait perdu sa virginité dans le lit du Pouvoir,

Nous nous sommes accoutumés à l’ignominie.

Que reste-t-il donc d’un homme,

Lorsqu'il s'est habitué au déshonneur ?

Je cherche dans le livre de l'histoire, Oussama Ibn Munqidh,

Okba Ibn Nafi, je recherche Omar, je recherche Hamza,

Et Khalid chevauchant vers Damas,

Je recherche Al Mutasim Billah,

Sauvant les femmes de la barbarie des envahisseurs,

Et des furies des flammes.

Je recherche l’homme de la fin des temps,

Mais ne trouve que des chats effrayés dans le noir,

Craignant pour leur vie menacée par le règne des souris.

Sommes-nous atteints de cécité nationale ?

Ou sommes-nous devenus daltoniens ?

On nous accuse de terrorisme,

Quand nous refusons la mort sous les bulldozers d’Israël,

Qui dévastent notre terre, notre histoire, nos Évangiles, notre Coran,

Les reliques de nos prophètes, si c'est là notre crime,

Que le terrorisme est beau !

On nous accuse de terrorisme,

Si nous refusons notre extinction,

Par les Mongols, les Juifs, les Barbares,

Si nous lançons des pierres sur les vitres du Conseil de Sécurité,

Aux mains des Tsars de notre temps.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous refusons de tendre notre main à l’Amérique,

Ennemie des cultures humaines, elle-même sans culture,

Ennemie des civilisations humaines, elle-même sans civilisation,

L'Amérique, bâtisse géante sans murs.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous refusons une époque où l’Amérique,

Est devenue suffisante, riche, puissante.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous lançons une rose vers Jérusalem,

Vers Al Khalil, vers Gaza, vers Nazareth,

Si nous livrons du pain et de l’eau aux Troyens assiégés.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous élevons la voix contre les dominateurs qui veulent nous isoler,

Contre tous ceux qui ont changé de selle,

Et d’unionistes sont devenus laquais.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous faisons profession de culture,

Si nous lisons un livre de juridiction ou de politique,

Si nous en appelons à notre Dieu,

Si nous la lisons la Sourate Al Fatah,

Et écoutons le prêche du Vendredi,

Nous commettons là un acte terroriste.

On nous accuse de terrorisme,

Si nous défendons notre pays et la dignité de son sol,

Si nous nous révoltions contre l’extorsion de notre peuple,

Notre propre extorsion,

Si nous protégeons le dernier palmier de notre désert,

Et la dernière étoile de notre ciel et les dernières lettres de nos noms,

Et la dernière goutte de lait du sein de notre mère,

Si tel est notre crime que le terrorisme est magnifique !

Je suis un terroriste,

Si le terrorisme peut me préserver des immigrants de Russie,

De Roumanie, de Hongrie, de Pologne,

Qui se sont installés en Palestine sur notre dos,

Pour voler les minarets de Jérusalem,

La porte d’Al Aqsa, ses ors et ses dômes.

Je suis pour le terrorisme,

Si nous pouvons libérer le Christ,

La Vierge Marie et la Ville sainte,

Des émissaires de mort et de dévastation,

Hier, la route nationale traversait nos terres,

Triomphante comme un pur-sang arabe,

Et nos parcs étaient des rivières coulant avec vigueur et fierté,

Après Oslo, nous avons perdu nos dents,

Et sommes devenus un peuple frappé de surdité et de cécité.

Je suis pour le terrorisme,

Si cela peut me préserver des Tsars juifs et des Césars romains.

Je suis pour le terrorisme,

Tant que ce nouveau monde sera également divisé,

Entre Amérique et Israël.

Je suis pour le terrorisme,

Tant que ce nouveau monde nous classera comme loups.

Je suis pour le terrorisme,

Tant que le Congrès américain fera la loi,

Et décidera des récompenses et des châtiments.

Je suis pour le terrorisme,

Tant que ce nouveau monde,

Détestera profondément l’odeur des Arabes.

Je suis pour le terrorisme,

Tant que ce nouveau monde,

Massacrera mes bébés et les jettera aux chiens.

Pour tout cela, je veux crier haut et fort,

Je suis pour le terrorisme, je suis pour le terrorisme.

Nizar Qabbani, poète Syrien.

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Bonjour un autre poète d'une grande sensibilité: David Ben Gourion

David Ben Gourion, à l'origine David Grün ou David Gryn, né le 16 octobre 1886 à Płońsk, mort le 1er décembre 1973 à Sde Boker, est un homme politique sioniste, fondateur de l'État d'Israël

LE VRAI VISAGE DU SIONISME

PAR SES FONDATEURS

David Ben Gourion : Octobre 1936 :

"Nous ne suggérons pas d'annoncer maintenant notre but final qui va très loin ? plus loin encore que les révisionnistes qui s'opposent à la partition. Je ne veux pas abandonner la grande vision, la vision finale qui est une composante organique, spirituelle et idéologique de mes (..) aspirations sionistes, "

(David ben Gourion, " mémoires " , volume trois, page 467).

"Les frontières des aspirations sionistes sont l'affaire du peuple juif et aucun facteur externe ne pourra les limiter. " (Ouvrage cité ci dessus, discours en 1937).

Ben Gourion, lettre à son fils (1936) :

"Un Etat juif partiel n'est pas une fin, mais seulement un commencement. Je suis convaincu que l'on ne peut nous empêcher de nous établir dans les autres parties du pays et de la région."

Ben Gourion, 1938 :

"Les frontières des aspirations sionistes, incluent le Liban-Sud, le sud de la Syrie, la Jordanie d'aujourd'hui, toute la Cisjordanie, et le Sinaï "

(Rapport au Conseil mondial de Poalei Zion ( futur Parti Travailliste ) à Tel-Aviv).

Ben Gourion, discours de 1938 :

"Après être devenus une force importante grâce à la création de l'Etat, nous abolirons la partition et nous nous étendrons à toute la Palestine. L'Etat ne sera qu'une étape dans la réalisation du sionisme et sa tâche est de préparer le terrain à l'expansion. L'Etat devra préserver l'ordre non par le prêche mais par les mitrailleuses. ".

1940, Joseph Weitz, chef du Service de colonisation de l'Agence juive :

"Entre nous, il faut qu'il soit clair qu'il n'y a pas place pour les deux peuples dans le pays. Nous n'atteindrons pas notre but s'il y a des Arabes dans ce petit pays. Il n'y a pas d'autre issue que de transférer les Palestiniens d'ici dans les pays avoisinants, de les transférer tous. Il ne doit pas rester un seul village, une seule tribu. ".

Le même Joseph Weitz explicitait ce que signifiait pratiquement " rendre la Palestine "juive" " :

"Il y en a qui croient que la population non juive même en pourcentage élevé, à l'intérieur de nos frontières, sera plus facilement surveillée par nous ; et il y en a d'autres qui croient le contraire, c'est à dire qu'il est plus facile de surveiller les activités d'un voisin que celles d'un locataire. (Je) tends à soutenir ce deuxième point de vue et j'ai un argument supplémentaire : la nécessité de renforcer le caractère de l'État qui sera désormais juif ( .. ) avec une minorité non juive limitée à 15 %. J'étais déjà arrivé à cette conclusion fondamentale dès 1940 (et) je l'avais notée dans mon journal. ". " Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation des terres et la suppression de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe. "

( Rapport Koenig - Al Hamishar ( journal israélien ), 7 septembre 1976.

1948 : fondation de l'état d'israel :

Ben Gourion, En mai 1948 :

"Nous devrions nous préparer à lancer l'offensive. Notre but c'est d'écraser le Liban, la Cisjordanie et la Syrie. Le point faible c'est le Liban, car le régime musulman y est artificiel et il nous sera facile de le miner. Nous y établirons un Etat chrétien, puis nous écraserons la Légion arabe, éliminerons la Cisjordanie ; la Syrie tombera dans nos mains. Nous bombardons alors et avançons pour prendre Port-Said, Alexandrie et le Sinaï. " (Recommandations devant l'Etat Major Suprême. "

Ben Gourion, une biographie ", par Michael Ben Zohar, NewYork : Delacorte, 1978).

Question du général Yigal Allon à Ben Gourion :

"Que ferons nous de la population de Lydda et Ramle ?" (environ 50 000 habitants )

Ben Gourion, selon son biographe, agita la main et dit "Chassez-les !"

(Juillet 1948- M. Ben Zohar).

Première visite de Ben Gourion à Nazareth.

" Ben Gourion regarda autour de lui avec étonnement et dit : "Pourquoi y a-t-il autant d'Arabes, pourquoi ne les avez vous pas chassés ?" "

( source, opus cité supra M. Ben Zohar )

Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes du Premier ministre israélien David Ben Gourion en 1960.

"Nous réduirons la population arabe à une communauté de bûcherons et de serviteurs. "

(Sabri Jiryis, " les arabes en Israel " ( the Arabs in israel - New York : Monthly Review Press, 1976 ).

Raphaël Eitan, chef d'état-major des Forces armées israéliennes :

"Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont aucun droit à s'établir ne serait-ce que sur un centimètre d'Eretz Israël. Vous autres bonnes âmes et modérés devriez savoir que les chambres à gaz dAdolf Hitler seraient pour eux un palais de récréation... La force est la seule chose qu'ils comprennent et qu'ils comprendront jamais. Nous utiliserons la force extrême jusqu'à ce que les Palestiniens viennent à nos pieds en rampant. "

(Gad Becker, " Yediot Aharanot ", 13 Avril 1983, New York Times, 14 Avril 1983.).

Le même Eitan précisa:

"Lorsque nous aurons pacifié le pays, tout ce que les Arabes pourront faire ce sera de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille. " (Idem supra).

Heilbrun, président du Comité pour la réélection du général Sholom Lahat, le maire de Tel-Aviv :

"Nous devons tuer tous les Palestiniens à moins qu'ils se résignent à vivre ici comme des esclaves. "

(Octobre 1983)

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Caricatures de divers artistes :
Naji Al Ali (Hanthala), Omayya Joha, Latuff et Emad Hajjaj...

Hanthala-Revolution-Until-Victory1.jpg

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Bonjour Herman :bisou:

Barış Manço (Turquie)

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Barış Manço

Kervan
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Omar Faruk Terbilek (Turquie)

Wildflower
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Omar Faruk Tekbilek et Brian Keane


Desert Twilight
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