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Israël - Palestine : 60 ans de violence.


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Israël - Palestine : 60 ans de violence.

Israël-Palestine : 60 ans de violence Présenté par : Bernard de La Villardière Durée : 1 heure Cette vidéo est libre de droits. Cette bataille pour une même terre revendiquée par deux peuples se poursuit depuis soixante ans. Retour sur les événements à travers cinq destins : Leila Khaled, réfugiée palestinienne est institutrice quand elle s'engage dans la lutte armée. Elle devient pirate de l'air. Uri Hurvitz est un fils de pionnier israélien. Ce commandant de l'armée participe à toutes les guerres pour défendre le kibboutz. Salah al Tamari, étudiant palestinien, est un des premiers compagnons de route de Yasser Arafat. Yariv Horowitz, réalisateur israélien, a grandi dans l'atmosphère des attentats. Abdel Salam Shehadeh est né dans un camp de réfugiés de la bande de Gaza. Il y a tout vécu depuis quarante ans, de l'invasion israélienne en 1967 à l'arrivée du Hamas en 2007.

http://video.google.com/videoplay?docid=2679314842200180180#

Au vu de l'actualité et au vu des déclarations d'Obama, ce documentaire pour mieux comprendre la situation avant et après 1967...

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Nétanyahou prêt à des "compromis" mais pas au retour aux frontières de 1967

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Le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, s'est dit prêt, mardi 24 mai, à "des compromis douloureux", pour atteindre la paix avec les Palestiniens, assurant devant le Congrès américain qu'il "n'abandonnera jamais la quête de la paix".

S'il a affirmé que son pays saurait se montrer généreux pour les frontières d'un futur Etat palestinien, il a cependant réitéré son refus d'un retour aux lignes d'armistice de 1967 et à une division de Jérusalem. Or, ces deux conditions sont les principales revendications des Palestiniens pour un accord de paix.

"Ce n'est pas facile pour moi, car je reconnais que dans une paix véritable, nous devrons abandonner des parties de l'ancestrale patrie juive. Il faut comprendre qu'en Judée-Samarie, les juifs ne sont pas des occupants", a-t-il ajouté en référence à la Cisjordanie. M. Nétanyahou a ainsi admis la perspective qu'après un accord de paix, certaines colonies d'implantation juives se retrouveraient à l'extérieur des frontières d'Israël.

COMBAT ENVERS LE HAMAS

Le Premier ministre israélien n'a par ailleurs rien lâché de sa combativité envers le Hamas, jurant qu'Israël ne négocierait pas avec la "version palestinienne d'Al-Qaïda". Le Hamas, au pouvoir à Gaza, est désormais lié par un accord de gouvernement avec le Fatah du président Mahmoud Abbas.

Selon le premier ministre israélien, la paix n'a pu être atteinte au Proche-Orient jusqu'à présent faute d'acceptation de l'existence d'Israël de la part des Palestiniens. "Ces dernières années, les Palestiniens ont refusé deux fois des offres généreuses (...) Ils n'étaient tout simplement pas désireux de mettre fin au conflit", a-t-il déclaré.

"RIEN DE NOUVEAU"

Les Palestiniens ont rapidement réagi au discours de B. Nétanyahou : "il n'y a rien de nouveau dans le discours de Nétanyahou sinon qu'il ajoute des obstacles sur la voie d'une paix véritable, sérieuse, durable et globale", a déploré un porte-parole du président Mahmoud Abbas.

Le porte-parole a réaffirmé que la paix exigeait des références internationales telles que la reconnaissance des lignes de 1967 comme base de négociations et que les Palestiniens "n'acceptaient aucune présence israélienne sur le Jourdain" à l'intérieur de leur futur Etat.

REMERCIEMENTS À OBAMA

M. Nétanyahou, qui a eu un désaccord public avec le président américain Barack Obama sur la question des frontières, était sous pression pour annoncer des concessions suspectibles de ressusciter le processus de paix entre Israël et les Palestiniens.

L'un des enjeux, pour lui, est d'empêcher par une initiative la tentative des Palestiniens de faire voter à l'ONU, en septembre, la reconnaissance de leur Etat.

Tout l'article (Le Monde)

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le merle Membre 21 605 messages
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Nétanyahou prêt à des "compromis" mais pas au retour aux frontières de 1967

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Le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, s'est dit prêt, mardi 24 mai, à "des compromis douloureux", pour atteindre la paix avec les Palestiniens, assurant devant le Congrès américain qu'il "n'abandonnera jamais la quête de la paix".

S'il a affirmé que son pays saurait se montrer généreux pour les frontières d'un futur Etat palestinien, il a cependant réitéré son refus d'un retour aux lignes d'armistice de 1967 et à une division de Jérusalem. Or, ces deux conditions sont les principales revendications des Palestiniens pour un accord de paix.

"Ce n'est pas facile pour moi, car je reconnais que dans une paix véritable, nous devrons abandonner des parties de l'ancestrale patrie juive. Il faut comprendre qu'en Judée-Samarie, les juifs ne sont pas des occupants", a-t-il ajouté en référence à la Cisjordanie. M. Nétanyahou a ainsi admis la perspective qu'après un accord de paix, certaines colonies d'implantation juives se retrouveraient à l'extérieur des frontières d'Israël.

COMBAT ENVERS LE HAMAS

Le Premier ministre israélien n'a par ailleurs rien lâché de sa combativité envers le Hamas, jurant qu'Israël ne négocierait pas avec la "version palestinienne d'Al-Qaïda". Le Hamas, au pouvoir à Gaza, est désormais lié par un accord de gouvernement avec le Fatah du président Mahmoud Abbas.

Selon le premier ministre israélien, la paix n'a pu être atteinte au Proche-Orient jusqu'à présent faute d'acceptation de l'existence d'Israël de la part des Palestiniens. "Ces dernières années, les Palestiniens ont refusé deux fois des offres généreuses (...) Ils n'étaient tout simplement pas désireux de mettre fin au conflit", a-t-il déclaré.

"RIEN DE NOUVEAU"

Les Palestiniens ont rapidement réagi au discours de B. Nétanyahou : "il n'y a rien de nouveau dans le discours de Nétanyahou sinon qu'il ajoute des obstacles sur la voie d'une paix véritable, sérieuse, durable et globale", a déploré un porte-parole du président Mahmoud Abbas.

Le porte-parole a réaffirmé que la paix exigeait des références internationales telles que la reconnaissance des lignes de 1967 comme base de négociations et que les Palestiniens "n'acceptaient aucune présence israélienne sur le Jourdain" à l'intérieur de leur futur Etat.

REMERCIEMENTS À OBAMA

M. Nétanyahou, qui a eu un désaccord public avec le président américain Barack Obama sur la question des frontières, était sous pression pour annoncer des concessions suspectibles de ressusciter le processus de paix entre Israël et les Palestiniens.

L'un des enjeux, pour lui, est d'empêcher par une initiative la tentative des Palestiniens de faire voter à l'ONU, en septembre, la reconnaissance de leur Etat.

Tout l'article (Le Monde)

bonjour , l ' une des cause du refus des israéliens est militaire et pour cause , la sécuritée . pendant les premiers conflits , les militaires israéliens s ' apperçurent qu ' israel était à 10 ou 20 minutes de vol d ' un avion ennemis et , en cas d ' attaque surprise , ils ne pourraient réagir à temps . en élargissant leurs territoire , les chasseurs adverses mettraient plus de temps pour atteindre jérusalem ou tel-aviv . c 'est aussi , peut-étre , qu ' ils conservent le golan ? cela n ' à peut-ètre plus d ' importance maintenant ? mais , tout cela reste une hypotése car le probléme est aussi religieux et complexe . bonne soirée .

Nétanyahou prêt à des "compromis" mais pas au retour aux frontières de 1967

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Le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, s'est dit prêt, mardi 24 mai, à "des compromis douloureux", pour atteindre la paix avec les Palestiniens, assurant devant le Congrès américain qu'il "n'abandonnera jamais la quête de la paix".

S'il a affirmé que son pays saurait se montrer généreux pour les frontières d'un futur Etat palestinien, il a cependant réitéré son refus d'un retour aux lignes d'armistice de 1967 et à une division de Jérusalem. Or, ces deux conditions sont les principales revendications des Palestiniens pour un accord de paix.

"Ce n'est pas facile pour moi, car je reconnais que dans une paix véritable, nous devrons abandonner des parties de l'ancestrale patrie juive. Il faut comprendre qu'en Judée-Samarie, les juifs ne sont pas des occupants", a-t-il ajouté en référence à la Cisjordanie. M. Nétanyahou a ainsi admis la perspective qu'après un accord de paix, certaines colonies d'implantation juives se retrouveraient à l'extérieur des frontières d'Israël.

COMBAT ENVERS LE HAMAS

Le Premier ministre israélien n'a par ailleurs rien lâché de sa combativité envers le Hamas, jurant qu'Israël ne négocierait pas avec la "version palestinienne d'Al-Qaïda". Le Hamas, au pouvoir à Gaza, est désormais lié par un accord de gouvernement avec le Fatah du président Mahmoud Abbas.

Selon le premier ministre israélien, la paix n'a pu être atteinte au Proche-Orient jusqu'à présent faute d'acceptation de l'existence d'Israël de la part des Palestiniens. "Ces dernières années, les Palestiniens ont refusé deux fois des offres généreuses (...) Ils n'étaient tout simplement pas désireux de mettre fin au conflit", a-t-il déclaré.

"RIEN DE NOUVEAU"

Les Palestiniens ont rapidement réagi au discours de B. Nétanyahou : "il n'y a rien de nouveau dans le discours de Nétanyahou sinon qu'il ajoute des obstacles sur la voie d'une paix véritable, sérieuse, durable et globale", a déploré un porte-parole du président Mahmoud Abbas.

Le porte-parole a réaffirmé que la paix exigeait des références internationales telles que la reconnaissance des lignes de 1967 comme base de négociations et que les Palestiniens "n'acceptaient aucune présence israélienne sur le Jourdain" à l'intérieur de leur futur Etat.

REMERCIEMENTS À OBAMA

M. Nétanyahou, qui a eu un désaccord public avec le président américain Barack Obama sur la question des frontières, était sous pression pour annoncer des concessions suspectibles de ressusciter le processus de paix entre Israël et les Palestiniens.

L'un des enjeux, pour lui, est d'empêcher par une initiative la tentative des Palestiniens de faire voter à l'ONU, en septembre, la reconnaissance de leur Etat.

Tout l'article (Le Monde)

bonjour , l ' une des cause du refus des israéliens est militaire et pour cause , la sécuritée . pendant les premiers conflits , les militaires israéliens s ' apperçurent qu ' israel était à 10 ou 20 minutes de vol d ' un avion ennemis et , en cas d ' attaque surprise , ils ne pourraient réagir à temps . en élargissant leurs territoire , les chasseurs adverses mettraient plus de temps pour atteindre jérusalem ou tel-aviv . c 'est aussi , peut-étre , qu ' ils conservent le golan ? cela n ' à peut-ètre plus d ' importance maintenant ? mais , tout cela reste une hypotése car le probléme est aussi religieux et complexe . bonne soirée .

p.s , attention , je ne prend partis ni ne juge les deux adversaires et je souhaite que çe conflit finisse au bénéfiçe des deux pays .

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