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nouvelle svp aidez moi


Han@

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Membre, Posté(e)
Han@ Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour, J'aimerais beaucoup que vous m'aidiez a modifié m'a nouvelle avec les consigne de mon professeur, les voici:

_ faire un incipit (il faut intriguer le lecteur¿)

_ Enrichir la nouvelle avec une description détaillée du personnage représenté (15 ligne maximum)

_ Utiliser au moins une fois toute ces vitesse: développer, sommaire , ellipse , analepse , prolepse .

_ faire une chute

La nouvelle doit faire 3 à 4 pages¿

voici ma nouvelle :blush: c'est un peu long mais svp aidez moi c'est pour demain !!!

:coeur:

INCIPIT:

Elle m'a cognée. Une fois, deux fois, trois fois. Les coups pleuvaient sur mon visage.

La lèvre en sang, les joues bleuies, le front marqué.

Refoulant mes larmes, je descendis rapidement l'escalier pour me terrer dans ma chambre. Assis sur une chaise immobile devant ma coiffeuse. Je pris une lame

Je sentis la lame froide s'enfoncer dans ma chair, le sang tiède perler sur ma peau¿ s'était presque agréable. éa me permettait d'oublier quelque seconde la vie que j'avais et je fini par m'endormir sur mon lit.

Je m'étire. La lumière du jour à peine levée me fait mal aux yeux. Mes pantoufles aux pieds, je descends les dix marches qui s'étendent devant moi. Mes parents devant moi me regardaient d'un air dégoûté et dans leurs yeux je vis de la haine. Sans même dire bonjour je m 'assis a table, la tête baisser. Mon père me regarda quelque seconde est dit « Rose! Mange tu va être en retard allé ton bus passe dans quelque minute ». Je pris donc un pain au choucroute, le mit dans mon cartable.

A l'école je m'étais fais une amie. Jour après jour je commencé a lui faire confiance et je lui raconta quelque petit secret sur ma vie, comme le comportement de mes parents qui me traitaient comme une chose sans valeur , qui ne me laissaient pas un seconde tranquille, qui me battaient jusqu'à me mettre en larmes, qui ne m'avaient jamais montré une simple marque d'affection puis comment il se servaient de moi comme une marionnette a tout faire et comment ils me faisaient faire toute sorte de chose m'obligeant à suivre leur chemin qu'il appelaient « le droit chemin »

En rentrant de l'école je m'étais rendue compte que j'avais oublié mon livre chez mon amie, alors je fis demi tour. Et c'est ici où j'avais enfin ouvert les yeux. je les aperçue en train de rire derrière mon dos, je l'aperçue elle en compagnie du reste de la classe en train de se raconter l'intégralité de toutes ces petites choses qui me tracassaient tant, ou quelques unes seulement.

Toutes ces paroles me frappaient fort, tous ces mots augmentaient ma tension, toutes ces insultes acharnées me statufiaient.

Une larme m'échappa, puis deux... je me retournai et reprit mon chemin vers la maison, tant pis pour les devoirs...

En me voyant pleurer, un homme assis sur le trottoir me regardait fixement et il m'appela en disant :

" Hey ma p'tite, qu'est ce qu'y a ? T'as mal a l'intérieur hein ? J'ai tort ? Tu veux te débarrasser d'tes bleus mais tu ne peux pas, tes prisonnière de s'foutu monde..."

Je m'arrêtai un instant, bouche bée, je m'approchai et l'homme su qu'il avait raison, alors il continua :

"Tiens ça, ça te permettra de fuir du réel, chaque fois que ça ne te plaira pas prends en un peu et tu oublieras tout ce que tu rencontreras comme obstacle...

C'était de la cocaïne. Je lui en ai pris et je lui ai demandé combien il lui fallait il m'a répondu "Cadeau d'la maison".

J'ai eu a peine le temps de lui dire merci que l'homme se volatilisa, me laissant 2kg de drogue entre les bras. Je me pressai de tout mettre dans mon cartable avant que quelqu'un ne s'en aperçoive, puis je continuai ma route plus pensive que jamais.

En rentrant je couru vers ma chambre et m'enferma à clef.

En sortant le sac de 2kg de cocaïne de mon cartable, j'en ai pris un peu puis pris soin de cacher le reste là où personne n'aurait l'idée de chercher, au fond du placard dans un de mes anciens sacs à main...

Je me sentais envahie, envahie par une sensation pas comme les autres, une sensation qui me semblais plutôt agréable. J'avais tout oublié. Couchée sur mon lit j me sentais libre.

Mais le bonheur ne durait pas assez longtemps, pas plus longtemps que quelques heures, mais ça ne faisait rien, j'avais encore tout un sac, je pouvais en prendre autant que je voulais, je pouvais me libérer chaque fois que je le désirais.

Au moment où j'en voulais en ajouter un peu, une voix surgit : "Rose ! Viens ici !"

C'était ma mère qui m'appelait pour le dîner. Le dîner ?! Mais je venais à peine de rentrer de l'école ! Non en réalité cela faisais trois heures que j'étais rentrée pendant tous ce temps j'étais plongée dans le bonheur.

Je descendis à pas lents et m'assis sur une chaise autour de la table. je n'avais pas faim, mon appétit était coupé, mais j'était obligée si je ne voulais pas qu'on fasse attention à moi.

Mon père ouvrit grand la bouche et dit : "Alors qu'as tu fais cette journée ?"

Je ne montrais pas l'aspect de peur ni de tristesse sur mon visage, je lui ai jetai un sourire mécanique et répondis joyeusement : " Rien d'intéressant, maths, français, chimie puis deux heures d'histoire..."

mes yeux étaient rouges mais mes parents ne dirent rien, ils pensaient que c'était un simple signe de fatigue après une longue journée à l'école.

Le lendemain, la routine.

J'allais à l'école presque à moitié endormie à cause de mon insomnie la veille mais rien de très grave, tout le monde à l'école -ou presque- savait que j'étais insomniaque donc je ne craignais rien.

Ce n'était que lors du TP en chimie que je m'étais aperçue que j'avais oublié ma veste dans la salle précédente, comme il faisait trop chaud et personne ne prêtait attention à moi, je l'avais enlevée.

J'espérais qu'on ne remarquerait pas toutes mes blessures sur mes bras mutilés mais dans des cas pareils, il est pratiquement impossible de ne pas les voir.

Mon professeur aussi les a vu mais a fait comme si de rien n'était. A la fin du cours, Je courus voir si ma veste était toujours à l'endroit où je l'avais laissée. je l'a reprit, l'a mis, puis partie.

Mes cours finissaient à 6 h du soir alors toutes les rues étaient vides et sombres, normal on était en plein hiver.

Une fois chez moi je me précipitai une fois de plus vers ma chambre et m'enferma à double tour. Je pleurais sans arrêt, j'avais une seule envie : celle de disparaître.

J'ouvris grand mon placard et commençais à chercher... mon sac... Où est mon sac?... Non... Mais où est-il?... Non...

Quelques instants de panique passèrent, mais j'eus finis par le retrouver.

Je respirais un bon coup et pris une bonne dose de cocaïne. Ah, ça me faisais presque du bien, presque, je n'arrivais toujours pas à oublier ce que je venais de vivre...Encore... Encore !

je pensais alors que peut être ma lame à rasoir me consolerait. Je la saisis alors, les larmes me brouillant la vue, et je commençais à me caresser. Ah c'était doux, c'était... sanglant!

Soudain, un cri retentit... C'était encore ma mère, mais cette fois ci elle ne m'appelait pas pour le dîner, cette fois ci elle m'appelait pour autre chose...

Je sentis qu'elle était juste derrière la porte. Je m'essuyais les larmes, remit ma veste, cacha tout ce que j'avais mis sur mon lit et j'avançais d'un pas feutré vers la porte.

Ma mère m'appela une deuxième fois, tellement fort qu'elle en fit trembler la porte.

Je n'osais pas lui ouvrir, j'avais peur, mais j'essayais quand même de me calmer et laissant ma mère pénétrer.

ma mère m'enleva ma veste d'un geste brusque et vit toutes mes blessures, tout ce sang dans mes bras toute tremblante. Je n'en pouvais plus, la pression m'écrasais, j'explosais en pleurs... Cette journée était pour moi le pire cauchemar que je n'ai jamais vécu.

Mais ma mère n'avait eu aucune réaction de gentillesse avec moi, elle était en colère, elle était en rage, elle aurait voulu me tuer -si ce n'était pas illégal-... Elle me jeta un regard cruel et commença à me bombarder de questions. Le pourquoi du comment, sans oublier le quand et le où. Je ne voulais pas répondre, je ne pouvais pas répondre à celle qui me battait jour après jour.

Pendant un instant j'eus un sentiment fort, pendant un instant j'aurais voulu plonger dans les bras de ma maman et pleurer comme une vraie petite fille dans ses bras. Mais je me désillusionnais vite, je ne pouvais pas pleurer sur l'épaule de la femme qui m'avais toujours maltraitée... Je me contentais de répondre en inventant question après question des réponses bidons... Je ne savais plus où j'en étais, je ne savais plus si je rêvais ou si j'étais encore dans la réalité. Au bout de quelques instants j'avais laissé ma mère parler toute seule. J'étais perdue dans mes idées.

Ma mère était une simple folle qui venait encore de me gifler, une fois, deux fois, une dizaine de fois. Elle ma aussi confisqué mon Ipod, mes tableaux tous sordides et tous mes cahiers où je conservais mes dessins... Puis elle sortit en claquant la porte...

J'étais là, seule, avec comme seul compagnon mon chagrin intense, entre quatre murs pour avoir essayée de fuir ce qui me hantais.

Je pleurais jour et nuit et personne n'était la me pour la consoler. J'aurais voulu crier, hurler mais je n'en avais pas la force. J'étais épuisée. J'aurais pu faire n'importe quoi pour me jeter dans les bras de quelqu'un, n'importe qui, et pleurer, tellement j'allais mal. Mais ce "n'importe qui" n'existait malheureusement pas.

Quelques jours passèrent et mon état ne faisait que s'aggraver. Je ne mangeais rien, je n'osais même pas toucher la nourriture, mon appétit était définitivement coupé.

Je pris alors quelques feuilles et un stylo pour pouvoir écrire. Après tout, je ne pouvais rien faire d'autre pour tuer le temps qui semblait s'être arrêté.

J'observe de ma fenêtre un homme¿

Il s'étire.

La lumière du jour à peine levé lui fait mal aux yeux mais la douceur du soleil lui arrache un sourire.

Il est en peignoir, sur le pas de la porte.

Pantoufles aux pieds, il descend nonchalamment les marches,

ouvre la boîte aux lettres et prend le courrier.

Fatras de papiers :

Facture + facture + facture + publicité + rappel etc.

Tiens, quelle drôle d'enveloppe !

Il prend un couteau et l' ouvre .

Elle est blanche, comme toutes les autres, avec une adresse.

Pas n'importe laquelle pourtant .

Oui, c'est son adresse : xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Mais il n'y a ni son nom, ni même son prénom.

Comme si l' on eût écrit une adresse au hasard, en se moquant du destinataire.

Comme si ? Peut-être pas, après tout.

Il n'y a pas de nom au dos de l' enveloppe .

Juste une espèce de tampon, avec deux initiales et une flèche, pour les relier: A=>Z.

La première lettre à la dernière lettre ?

Il ne comprend pas.

Il se décide enfin à décacheter l' enveloppe dont il extirpe un papier bleu océan, parfumé.

C' est alors qu' il découvre une écriture enfantine, dont les points sur les "i" sont de petits coeurs ¿

« Cher/Chère Inconnu(e).

Vous trouverez sûrement étrange de ne mettre ni nom, ni prénom sur une enveloppe.

Vous trouverez sûrement étrange de mettre un tel tampon au dos d' une enveloppe.

Ce ne sont pas des initiales. C'est un code.

Vous comprendrez à la fin de ma lettre .

J'ai un prénom, comme beaucoup de gens. Pas comme tout le monde, malheureusement.

J'ai un âge aussi, 15 ans, pleine adolescence, dit-on .

Je suis mûre pour mon âge, je suis au lycée depuis septembre.

Je suis l'union d'amour, mais ma naissance n'a causé que problèmes.

Je ne puis m' offrir le luxe de m' apitoyer sur mon sort .

Bref, la raison pour laquelle j'écris, c'est simplement pour vider la peine de mon c¿ur, la souffrance de mon être.

La haine qui coule dans mes veines.

Crise d'adolescence d'une gamine maltraitée.

J'ai revu mon petit ami. Avec une autre.

Une blondasse montée sur talons, maquillage multicolore, mini-jupe et décolleté.

Une pouffiasse. Une caricature de Barbie.

Pitoyable .

Il m'a dit ce que tous les pauvres mecs disent quand ils ne savent pas quoi dire:

"C'est pas ce que tu crois!".

Comment puis-je croire en qui ou en quoi que ce soit ?

Je ne crois pas même en moi .

J'ai retrouvé une photo de mon amie, la seule que j'ai gardée.

Les autres, je les ai laissées, dans mon casier au lycée. Cette photo m'est sacrée .

C'est le jour où je me suis vengée. C'est aussi le jour où elle est morte.

J'ai aussi retrouvé mes cahier de dessin que ma mère m'avais confisquer et mes feuille de papier bleu océan parfumée¿

Mes parents me battent. C'est aussi a cause d'eux que je me suis pour la première foi j'ai cassé les poignés avec une lame. Oui je me suis mutilée. J'ai aussi pris de la drogue pour oublié mais ça n'a pas suffis¿

Je suis sortie en douce, avec une enveloppe, un timbre.

Et un couteau.

J'ai écrit ce que vous avez lu .

J'ai posté ma lettre au hasard .

Et puis je me suis tuée.

Je ne sais pas qui vous êtes.

Vous ne savez peut être qui je suis>>

Alors il s' est assis et a pleuré .

merci d'avance

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Membre+, Vache Normande, 43ans Posté(e)
Maïwenn Membre+ 16 546 messages
43ans‚ Vache Normande,
Posté(e)

Mais bien sûr :blush:

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Membre, Posté(e)
Han@ Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

???

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Membre, Posté(e)
Han@ Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

moi je suis sûre que si quelqu'un lit ma nouvelle , il s'en lassera pas avez vous lu la nouvelle je sais que c'est long mais bon ... :blush:

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