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Disserte Urgent


Lily157

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Lily157 Membre 8 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour les gens ! bon jvous explique je dois rendre une disserte sur un énoncé et je bloque completement :blush: ! jai besoiin de votre aide!

voici l'énoncé :

" Nous verrons ici dans la création poétique comme une tentative pour posséder et humaniser le spirituel "

Jean-Pierre Richard

merci d'avance ! =)

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Invité Cinetix
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Dis nous déjà tes premières idées. As-tu cherché avant de poster ton message ?

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Invité château_musée
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Invité château_musée
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Posté(e)

un lien où y a des idées pas mal... bon faut pas reprendre scrupuleusement le plan, car c'est pas le même sujet de dissert, mais bon ça peut inspirer : http://sergecar.perso.neuf.fr/cours/art6.htm

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Lily157 Membre 8 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

ouii !

-alors on peu dire que le poète se considère comme un être supérieur et qu'il va nous transmettre à nous qui somme ignorant le spirituel ! Il nous explique cela a travers ces poèmes

- le poète est le seul a savoir dechiffré les symboles du spirituel

... mais bon c est pas grand chose !

un lien où y a des idées pas mal... bon faut pas reprendre scrupuleusement le plan, car c'est pas le même sujet de dissert, mais bon ça peut inspirer : http://sergecar.perso.neuf.fr/cours/art6.htm

mercii beaucoup!! ca va surement m'aider ! :blush:

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Invité château_musée
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Invité château_musée
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Posté(e)

à ta place je ne réfléchirais pas comme ça

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Lily157 Membre 8 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

a bon ?

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Invité château_musée
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Invité château_musée
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Posté(e)

eh bais le poète n'est pas ton ennemi, or est-ce possible s'il se considère supérieur à toi ? le verbe posséder est ambigu, je le reconnais, mais bon sans parler du commerce de l'art, y a peut-être à creuser cette idée..... je pensais à la maîtrise de soi notamment ; en tout cas, à ta place je rechercherais le sens de ces deux verbes : posséder et humaniser ; quant au spirituel, ce mot aussi est important, dans l'intro de la dissert faudra que tu montres une réflexion personnelle sur tous ces mots -la problématique devra s'inspirer de ça

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Membre, 39ans Posté(e)
Steph du 02 Membre 449 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)
eh bais le poète n'est pas ton ennemi, or est-ce possible s'il se considère supérieur à toi ?

Ennemi et supériorité ne sont pas la meme chose.

La suppériorité d'une connaisance ne fait pas d'un inférieur un ennemi.

Il serait meme mieux que l'inferieur soit ami avec le supérieur pour acquérir des connaissances

Ennemi = conflit

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Invité château_musée
Invités, Posté(e)
Invité château_musée
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Posté(e)

ouais non mais en fait l'art t'apporte des connaissances sur quoi ? tu regardes le guernica de Picasso et tu te dis : ah tiens y a eu une guerre en Espagne.... c'est tout ? tu lis du Malraux et tu crois que ça va te rendre plus savant sur l'art de la guerre ? sinon, que penses-tu du connais toi toi-même de Socrate ? moi ça me parle bien.... c'est pour ça que les grands auteurs, je les considère pas comme mes supérieurs, d'ailleurs c'est pas eux qui me versent des sous :blush:

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Invité KARBOMINE
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Invité KARBOMINE
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Posté(e)
" Nous verrons ici dans la création poétique comme une tentative pour posséder et humaniser le spirituel "

Jean-Pierre Richard

saloperie de JP Richard... lui et Julien Gracq... ils en auront commis des sujets de siddertation !

LA priorité, c'est de trouver un sens à cette citation. d'abord, ça vient d'où ? c'est tiré de Poésie et Profondeur ? vous avez eu des indications peut-être ? c'est où, "ici" ?

je note :

- création et pas créature : on parle du processus et non du résultat, quoique le mot puisse signifier également le résultat, le produit (le poème).

- on parle de tentative, pas de réussite. mais la question de la réussite ou de l'échec est induite. avec JP Richard et toute la clique des structuralistes, on peut s'attendre à ce que des notions d'échec fertile et de réussite stérile soient valorisées dans ta copie... ainsi le carré des spleen qui ne parle que de l'impuissance d'écrire, et "ma chandelle est morte, je n'ai plus de feu", et "el desdichado" de Nerval, et tant d'autres, notamment Villon et son "encre gelée"*, de la peur de la page blanche, est-il fertile... alors qu'u propos dit avec évidence semblera creux, loupé.

* VILLON, Lais, XXXIX

«Puis que mon sens fut a repos

Et l'entendement demêlé,

Je cuidai finer mon propos;

Mais mon encre trouvai gelé

Et mon cierge trouvai souillé;

De feu je n'eusse pu finer.

Si m'endormis, tout emmouflé,

Et ne pus autrement finer.»

- posséder et humaniser, c'est-à-dire matérialiser dans une image, dans une métaphore, trouver le contenant adéquat pour un contenu de pensée et de vie... par définition spirituel et qu'il faudrait huaniser ? diable, moi qu ipensais que la pensée (et donc le spirituel) était le propre de l'homme, voilà qu'il faut l'humaniser... humaniser, alors qu'est-ce que c'est ?

je te donne un indice : l'homme aime les choses stables, alors que la pensée fuit, qu'elle court... Sous le pont Mirabeau coule la Seine, n'est-ce pas ? comment donc traduire la fluidité d'une pensée dans la rigidité d'un mot ?... eh bien c'est là que la poésie devient plus qu'un ornement mais un moyen propre d'expression...

"ici" figure certainement comme un déictique impliquant ce qui précède, mais ce serait amusant - quoiqu'un peu attendu - de retourner en disant qu'en fait c'est ailleurs et non ici que la création poétique tente de posséder et d'humaniser le spirituel, une course vaine et absurde qu'illustre à merveille le personnage de Sisyphe présenté par Baudelaire dans «Le guignon» comme un avatar du poète... alors, face à cet échec, à ce «Flacon» introuvable, c'est le spleen qui s'impose :

Ainsi, quand je serai perdu dans la mémoire

Des hommes, ¿ dans le coin d'une sinistre armoire

Quand on m'aura jeté, vieux flacon désolé,

Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé,

Je serai ton cercueil, aimable pestilence !

Le témoin de ta force et de ta virulence,

Cher poison préparé par les anges ! liqueur

Qui me ronge, ô la vie et la mort de mon c¿ur !

c'est ainsi que de l'échec Baudelairien à saisir la vie naît cette nouvelle définition, que l'on doit à Rimbaud : «la vraie vie est ailleurs.». or, quel est cet ailleurs ? eh bien c'est l'ailleurs de la pensée, c'est un ailleurs précisément sprituel dont il retourne ; la représentation, le rêve, la pensée. là où l'être-là n'est pas, c'est-à-dire partout ou l'être s'arrache à et de lui-même pour en quelque sorte se transcender, dès qu'il se trouve alibi (c'est-à-dire ailleurs, en latin...).

la recherche esthétique participe pleinement de cette démarche créative d'une parole juste, qui imite ce qu'elle dit : le rythme est là pour suppléer au signifiant, et le son au sens... on arrive alors au royaume de l'harmonie imitative...

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Membre, 39ans Posté(e)
Steph du 02 Membre 449 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Toute personnes qui t'apporte des connaissance est supérieur à toi dans un sujet.

Jean de la fontaine, il décrit les principes de la vie, il apprend à des enfant (et parfois adulte) sur les certaines chose de la vie.

Il est donc supérieur à l'enfant dans une généralité pour ce sujet.

Certain artiste n'apporte qu'un divertissement

Exemple, les livres policier ou romantique ne nous apporte rien, il nous occupe. Mais un livre d'un philosophe ou politique nous fais comprendre des choses (si on ne le savait pas avant)

Et encore, c'est réellement utile si il nous est utile dans notre propre vie.

Un tableau représentant les conditions de vie de 1900 n'est pas utile, sauf si on aime comprendre le passé, et les évolution que l'on a eu le droit et pourquoi on en est arrivé là.

J'avoue qu'un "Picasso"cubisme n'est réelement pas utile, sauf si on aime trouvé ce qui est passé par la tête de cette artiste pour en arrivé là. (pour celui là, il n'y a pas de supériorité, il est égale à nous, il fait ce qu'il veux dans ça peinture sans but d'instruire autruis, bien qu'il nous pousse à réfléchir pour comprendre le pourquoi de sa toile)

Par supériorité ne rentre pas en compte le coté financier, d'une héarchie, mais parfois juste la connaissance sur un sujet

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Invité château_musée
Invités, Posté(e)
Invité château_musée
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Posté(e)

Non moi je regarde le guernica de Picasso (pinaise, je mets une majuscule :blush: ) parce que ça m'inspire des émotions, c'est un témoignage dont on fait ce qu'on veut après

La Fontaine, je pensais comme toi aussi avant de commencer à faire des commentaires composés dessus, au lycée, eh bais purée c'est pas forcément si divertissant quand on se penche dessus

je précise : les gens qui me versent mes sous, je les respecte, mais ça ne signifie pas que je suis leur pantin, enfin en tout cas j'essaye de ne pas l'être, effectivement la notion de supériorité est relative, mais les poètes, s'ils se contentent de t'expliquer des choses que tu es sensé ne pas connaître déjà, au moins par ton vécu, eh bais c'est plus des poètes, c'est des profs

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Invité KARBOMINE
Invités, Posté(e)
Invité KARBOMINE
Invité KARBOMINE Invités 0 message
Posté(e)
Toute personnes qui t'apporte des connaissance est supérieur à toi dans un sujet.

Jean de la fontaine, il décrit les principes de la vie, il apprend à des enfant (et parfois adulte) sur les certaines chose de la vie.

Il est donc supérieur à l'enfant dans une généralité pour ce sujet.

La Fontaine peut se lire de mille et une manières ; si l'on prête attention à sa rythmique, qui cache encore ses secrets plutôt bien gardés, on se rend compte que la morale apparente est à l'exact opposé de la morale évidente ! donc lire la Fontaine n'est pas un exercice d'ingurgitation doctrinaire ; c'est pleinement un exercice de réflexion d'ordre philosophique, et c'est être bien naïf de voir des moralités enfantines chez l'un des auteurs les plus ardus intellectuellement de la littérature française, les plus virulents dans ses critiques, les plus profonds dans ses propos.

Certain artiste n'apporte qu'un divertissement

Exemple, les livres policier ou romantique ne nous apporte rien il nous occupe. Mais un livre d'un philosophe ou politique nous fais comprendre des choses (si on ne le savait pas avant)

inepte, comment peut-on écrire cela ? les romans policiers ne nous apprennent-ils pas quelque chose de ce qu'est l'homme dans ses tréfonds ? ne déploient-ils pas des trésors d'ingéniosité qui nous éclairent sur certains mécanismes ? et puis, n'oublions pas l'effet cathartique de la lecture, que ce soit pour le polar ou pour le roman à l'eau de rose, puisque j'imagine que tu ne parlais pas ici du romantisme, qui est un mouvement majeur de la littérature du XIXème siècle et qui d'ailleurs déborde largement la littérature ! et encore, je ne suis pas exhaustive dans mes corrections, mais lire n'est pas que récréatif sous prétexte d'un genre... comme si la description d'un homme n'apprenait rien !

Et encore, c'est réellement utile si il nous est utile dans notre propre vie.

j'imagine qu'apprendre à parler et à écrire ne t'a jamais semblé utile... du moins à te lire c'est ce que j'en déduis !

Un tableau représentant les conditions de vie de 1900 n'est pas utile, sauf si on aime comprendre le passé, et les évolution que l'on a eu le droit et pourquoi on en est arrivé là.

sauf quand ces ouvrages ont été écrits au XIXème et ont participé pleinement des évolutions de l'histoire ! d'ailleurs parlons-en de l'histoire ; j'imagine que de garder une mémoire du passé, ça ne sert à rien non plus et donc ce n'est que relégué au goût, pas de besoin de savoir d'où l'on vient ? que les mots aient un sens, ça ne sert à rien non plus ?

J'avoue qu'un "Picasso"cubisme n'est réelement pas utile, sauf si on aime trouvé ce qui est passé par la tête de cette artiste pour en arrivé là. (pour celui là, il n'y a pas de supériorité, il est égale à nous, il fait ce qu'il veux dans ça peinture sans but d'instruire autruis, bien qu'il nous pousse à réfléchir pour comprendre le pourquoi de sa toile)

on atteint le comble de l'ineptie là. ainsi que de la nullité grammaticale ; "cubisme" est un substantif, non un adjectif !!!! franchement, je doute que Picasso soit ton égal.

Par supériorité ne rentre pas en compte le coté financier, d'une héarchie, mais parfois juste la connaissance sur un sujet

et par utile, entends-tu quelque chose exactement ? si oui, à quelle échelle ?

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Membre, 39ans Posté(e)
Steph du 02 Membre 449 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Pour la fontaine, il expose une réalité de vie perçu, qui parait la plus juste à faire comprend au premier plan. Après on peut recherché ce que l'on souhaite, on arrivera toujours à l'inverse des choses

Un livre policier, si c'est pour faire une analyse des choix personnel du criminel à en arrivé là, autant faire cours que 300 pages d'intrigue

Pour la lecture, ou l'écrit, je pense que c'est un minimum pour vivre dans notre société. Certain peuple n'ont pas d'écrit car ça leur est inutile pour leur groupe

Savoir d'où l'on viens n'as pas de sens pour vivre, ni le sens d'un mots si on ne l'utilise pas courament dans la vie, les autres mots on le sens de celui que l'on a bien voulu nous apprendre.

Pour Cubisme, il est vrai que ma phrase n'a pas de sens, j'ai rajouté le mots une fois le texte fini pour précisé le style de peinture dons je voulais parler.

Je parle d'utile à toute les echelles, que ça soit pour notre vie, notre vie en société, notre connaisance, notre plaisir, d'une façon général.

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Membre, 39ans Posté(e)
Steph du 02 Membre 449 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)
mais les poètes, s'ils se contentent de t'expliquer des choses que tu es sensé ne pas connaître déjà, au moins par ton vécu, eh bais c'est plus des poètes, c'est des profs

auf qu'un prof ne t'enseigne que des chose constante n'ayant qu'un résulta final, ou si ce résultat peu etre divergent, il ne doit que tu soumettre les différents points sans t'obligé à en choisir plus l'un que l'autre, il ne doit pas prendre parti à ta place.

Dans le cas de la Fontaine, au premier plan, il montre aux gens les plus basique le choix logique à prendre.

Alors qu'après analyse, on voit tous les choix possibles.

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Membre, Posté(e)
Lily157 Membre 8 messages
Baby Forumeur‚
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saloperie de JP Richard... lui et Julien Gracq... ils en auront commis des sujets de siddertation !

LA priorité, c'est de trouver un sens à cette citation. d'abord, ça vient d'où ? c'est tiré de Poésie et Profondeur ? vous avez eu des indications peut-être ? c'est où, "ici" ?

je note :

- création et pas créature : on parle du processus et non du résultat, quoique le mot puisse signifier également le résultat, le produit (le poème).

- on parle de tentative, pas de réussite. mais la question de la réussite ou de l'échec est induite. avec JP Richard et toute la clique des structuralistes, on peut s'attendre à ce que des notions d'échec fertile et de réussite stérile soient valorisées dans ta copie... ainsi le carré des spleen qui ne parle que de l'impuissance d'écrire, et "ma chandelle est morte, je n'ai plus de feu", et "el desdichado" de Nerval, et tant d'autres, notamment Villon et son "encre gelée"*, de la peur de la page blanche, est-il fertile... alors qu'u propos dit avec évidence semblera creux, loupé.

* VILLON, Lais, XXXIX

«Puis que mon sens fut a repos

Et l'entendement demêlé,

Je cuidai finer mon propos;

Mais mon encre trouvai gelé

Et mon cierge trouvai souillé;

De feu je n'eusse pu finer.

Si m'endormis, tout emmouflé,

Et ne pus autrement finer.»

- posséder et humaniser, c'est-à-dire matérialiser dans une image, dans une métaphore, trouver le contenant adéquat pour un contenu de pensée et de vie... par définition spirituel et qu'il faudrait huaniser ? diable, moi qu ipensais que la pensée (et donc le spirituel) était le propre de l'homme, voilà qu'il faut l'humaniser... humaniser, alors qu'est-ce que c'est ?

je te donne un indice : l'homme aime les choses stables, alors que la pensée fuit, qu'elle court... Sous le pont Mirabeau coule la Seine, n'est-ce pas ? comment donc traduire la fluidité d'une pensée dans la rigidité d'un mot ?... eh bien c'est là que la poésie devient plus qu'un ornement mais un moyen propre d'expression...

"ici" figure certainement comme un déictique impliquant ce qui précède, mais ce serait amusant - quoiqu'un peu attendu - de retourner en disant qu'en fait c'est ailleurs et non ici que la création poétique tente de posséder et d'humaniser le spirituel, une course vaine et absurde qu'illustre à merveille le personnage de Sisyphe présenté par Baudelaire dans «Le guignon» comme un avatar du poète... alors, face à cet échec, à ce «Flacon» introuvable, c'est le spleen qui s'impose :

c'est ainsi que de l'échec Baudelairien à saisir la vie naît cette nouvelle définition, que l'on doit à Rimbaud : «la vraie vie est ailleurs.». or, quel est cet ailleurs ? eh bien c'est l'ailleurs de la pensée, c'est un ailleurs précisément sprituel dont il retourne ; la représentation, le rêve, la pensée. là où l'être-là n'est pas, c'est-à-dire partout ou l'être s'arrache à et de lui-même pour en quelque sorte se transcender, dès qu'il se trouve alibi (c'est-à-dire ailleurs, en latin...).

la recherche esthétique participe pleinement de cette démarche créative d'une parole juste, qui imite ce qu'elle dit : le rythme est là pour suppléer au signifiant, et le son au sens... on arrive alors au royaume de l'harmonie imitative...

:blush: :coeur: Mercii beaucoup ca m'a aidé !

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Invité château_musée
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Invité château_musée
Invité château_musée Invités 0 message
Posté(e)

nan il ne disait pas ce qu'il faut faire de sa vie (Steph)

un truc qui m'a marqué : la raison du plus fort est toujours la meilleure

c'est un constat, uniquement, et encore même pas

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