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  1. gjtg

    Non à l'homoparentalité.

    Le fait que des homosexuels vivent à deux ne justifie ni le mariage gay ni la reconnaissance juridique de l'homoparentalité.. Le mariage concerne deux personnes, soit, mais parce que l'espèce humaine est composée d'hommes et de femmes, soit deux catégories. L'important ce n'est pas le chiffre deux mais le fait que l'"Homme" ne soit complet que parce qu'il y a des hommes et des femmes. Un homme plus un homme cela fait deux, mais il manque une femme et il y a un homme de trop. Une femme plus une femme cela fait deux, mais il manque un homme et il y a une femme de trop. Un homme et deux femmes c'est la polygamie car il y a une femme de trop.
  2. gjtg

    Non à l'homoparentalité.

    nous sommes tous homophobes. Prenons l'exemple de notre amie Elaïs : elle est née d'un père et d'une mère son père a eu une mère et un père, de même sa mère et ainsi de suite jusqu'à Cro-Magnon aucun homo dans ses ascendants Nous prouvons ainsi que Elaïs rejette l'homosexualité et qu'elle est homophobe
  3. gjtg

    La fessée interdite

    Ce problème de la fessée est un élément parmi d'autre qui montre que l'état s'immisce de plus en plus dans la vie de la famille La famille s'occupait jadis de l'éducation des enfants. Entre temps l'état au lieu de son ministère de " l'instruction publique" a crée le ministère de " l'éducation nationale", dépossédant ainsi la famille de son rôle essentiel dans ce domaine. Depuis l'état donne dans ses écoles la "pilule du lendemain" aux filles, celles-ci ne pouvant ainsi que le trouver plus "sympa" que les parents. Il crée une procédure permettant aux filles d' avorter sans en avertir les parents. Il prévoit la mise à l'école des enfants dès deux ans, il prévoit de mettre en place une législation interdisant la "fessée".... L'état infantilise les parents, les remplaçant de plus en plus dans leur rôle d'éducateur. La famille c'est un lien juridique, le mariage, permettant de stabiliser les couples , de stabiliser leurs enfants. Cet élément juridique voit son importance diminuée par les assouplissements apportés aux cas de divorce. De plus on ne peut désigner avec le mot "famille" que les couples avec enfants. Si ce nom est donné à tort et à travers, il perd de sa spécificité , de même que perd alors de sa spécificité l'institution "famille" qu'il désigne. Il n'existe pas par exemple de "famille monoparentale" , il existe des filles mère, des veufs avec enfants, des veuves avec enfants. La famille c'est un lien biologique : un homme, une femme et leurs enfants. Ce lien est contesté lorsque l'état envisage de créer le mariage gay. Deux homos qui ont un gosse, c'est un fantasme, pas un fait biologique, deux lesbiennes qui font un gosse par insémination artificielle c'est un fantasme mis à exécution, c'est donner la vie à un gosse que l'on a programmé comme étant orphelin de père. L' état qui envisage le mariage gay ou la reconnaissance juridique de l'homoparentalité, affaibli la portée du lien biologique, fondateur de la famille. L' état ne cesse d'affaiblir la famille. Le mariage gay et la reconnaissance juridique de l'homoparentalité participe à faire perdre à la famille toute spécificité. Le débat actuel sur le mariage gay porte également sur la politique d'envahissement de la sphère publique et privée par l'état, et en particulier sur sa politique d'affaiblissement de la famille.
  4. gjtg

    Non à l'homoparentalité.

    L'état , la famille et l'homoparentalité. La famille s'occupait jadis de l'éducation des enfants. Entre temps l'état en remplacement de son ministère de " l'instruction publique" a crée le ministère de " l'éducation nationale", dépossédant ainsi la famille de son rôle essentiel dans ce domaine. Depuis l'état donne dans ses écoles la "pilule du lendemain" aux filles, celles-ci ne pouvant ainsi que le trouver plus "sympa" que les parents. Il crée une procédure permettant aux filles d' avorter sans en avertir les parents. Il prévoit la mise à l'école des enfants dès deux ans, il prévoit de mettre en place une législation interdisant la "fessée".... L'état infantilise les parents, les remplaçant de plus en plus dans leur rôle d'éducateur. La famille c'est un lien juridique, le mariage, permettant de stabiliser les couples , de stabiliser leurs enfants. Cet élément juridique voit son importance diminuée par les assouplissements apportés aux cas de divorce. De plus ne peut recevoir le nom de "famille" que les couples avec enfants. Si ce nom est donné à tort et à travers; il perd de sa spécificité , de même que perd alors de sa spécificité l'institution qu'il désigne. Il n'existe pas par exemple de "famille monoparentale" , il existe des filles mère, des veufs avec enfants, des veuves avec enfants. La famille c'est un lien biologique : un homme, une femme et leurs enfants. Ce lien est contesté lorsque l'état envisage de créer le mariage gay. Deux homos qui ont un gosse, c'est un fantasme, pas un fait biologique, deux lesbiennes qui font un gosse par insémination artificielle c'est un fantasme mis à exécution, c'est donner la vie à un gosse que l'on a programmé comme étant orphelin de père. L' état qui envisage le mariage gay ou la reconnaissance juridique de l'homoparentalité, affaibli la portée du lien biologique, fondateur de la famille. L' état ne cesse d'affaiblir la famille. Le mariage gay et la reconnaissance juridique de l'homoparentalité participe à faire perdre à la famille toute spécificité. Le débat actuel sur le mariage gay porte également sur la politique d'envahissement de la sphère publique et privée par l'état, et en particulier sur sa politique d'affaiblissement de la famille.
  5. gjtg

    Perquisition chez Emmaüs

    Une des sources des problèmes liés à l'immigration : les associations. Le sans-papiers qui avait été arrêté chez Emmaüs à Marseille a été renvoyé en Algérie. Maintenant des associations demandent une loi pour le droit au soutien aux immigrés illégaux . Elles ont signé un manifeste en ce sens. Aux informations régionales hier soir la revendication était clairement le droit à l'hébergement pour toute personne qui le souhaite de recueillir des sans-papiers illégaux sans encourir aucun risque. ( courageux mais pas téméraires donc) Ci-dessous l'article de "20 minutes" suivi du texte de la pétition et de la liste des premiers signataires. Pour que l'accueil inconditionnel ne soit plus un délit, « il faut une loi ». Hier matin, les responsables du collectif à l'origine du manifeste pour le droit à l'accueil inconditionnel étaient réunis à Marseille dans les locaux de la fondation Abbé-Pierre. « Nous voulons que ce droit soit inscrit dans la loi française », a annoncé Jean-Pierre Cavalier, délégué régional de la Cimade et membre du collectif. « Le manifeste que nous avons rédigé a été signé par 86 associations, qui ont toutes été indignées par la perquisition menée dans les locaux d'Emmaüs Pointe-Rouge, le 16 février dernier », a expliqué Anne Issler, responsable de la communauté d'Emmaüs Marseille-Saint-Marcel. Cette perquisition, réalisée suite à l'arrestation d'un compagnon sans papiers, a également choqué Louis Bartoloméi, ancien avocat général. « Sans concertation avec Emmaüs, j'ai lancé une pétition sur le Net : 10 500 citoyens se sont mobilisés, c'est inespéré », se félicite-t-il. Aujourd'hui, les deux appels sont hébergés sur le même site : www.pla ceauxdroits.net. Fort de ce soutien populaire, le président d'Emmaüs France, Christophe Deltombe, a rencontré le nouveau ministre de l'Immigration, Eric Besson. « Mercredi, il s'est engagé verbalement. Maintenant, il faut que cette promesse se transforme en loi », a rapporté Jean-Pierre Cavalier. Un tel texte protégerait les personnes en situation irrégulière, mais aussi celles qui leur viennent en aide. « Un bénévole est aujourd'hui passible de poursuites s'il porte secours à un sans-papiers », rappelle-t-il. MANIFESTE POUR LE DROIT A L'ACCUEIL INCONDITIONNEL Le 17 février dernier, un compagnon d'Emmaüs en situation irrégulière a été arrêté suite à une intervention des services de police dans les locaux de la communauté de la Pointe Rouge à Marseille. Une telle arrestation va à l'encontre du principe d'accueil et de secours inconditionnel des personnes démunies quelle que soit leur situation. Après avoir pris connaissance des investigations diligentées par la police au sein de la communauté d'Emmaüs de Marseille, nous, soussignés, reconnaissons avoir nous-mêmes priviligié l'accueil et le secours de personnes, fragilisées ou démunies, rencontrées à l'occasion de notre engagement professionnel, associatif ou militant, sans nous préoccuper au préalable de leur situation au regard de la loi. les premières organisations signataires sont : Communautés Emmaüs Pointe Rouge, Saint Marcel, Cabriès, Arles, Nice, La Seyne sur Mer, Toulouse - Fondation Abbé Pierre ¿ Emmaüs International - Coordination Emmaüs Europe - CIMADE PACA ¿ Médecins du Monde ¿ Ligue des Droits de l'Homme 13 - Sud Santé Sociaux 13 - CFDT Bouches du Rhône - Pastorale des Migrants Marseille - CCFD -Centre d'Information Inter Peuple - Coordination Iséroise de soutien aux sans-papiers ¿ Association de Solidarité avec les Travailleurs Immigrés ¿ Action Catholique des Enfants Marseille ¿ Coopération Missionnaire Marseille - Mille Bâbords ¿ Association de Soutien à la Médiation et aux Antennes Juridiques ¿ Sud Education 13 ¿ Solidaires 13 ¿ Association Osiris ¿ SASS La Chaumière ¿ DLPV ¿ URIOPSS PACA- Habitat Alternatif Social ¿ Habitat et Humanisme Var ¿ Esclavage Tolérance Zéro ¿ Action des Chrétiens pour l'Abolition de la Torture ¿ Union des Personnels du Pays Salonnais ¿ SICHEM - Pastorale des Migrants Toulon ¿ Association Soligone ¿ Fraternité Franciscaine PACA ¿ CSF Saint Marcel ¿ PACT
  6. Statut du "faux-parent" : réaction de Christine Boutin Le ministre du Logement s'oppose au Président de la République : " /> " Je n'accepterai pas que l'on reconnaisse l'homoparentalité et l'adoption par les couples homosexuels de façon détournée, en le glissant dans une loi sur le statut du beau-parent . Les enjeux pour les enfants comme pour les parents sont suffisamment conséquents pour qu'ils soient abordés de façon franche et débattue." "Le fait de reconnaître le statut du beau-parent risque de mener à la reconnaissance objective de l'homoparentalité et de l'adoption par les couples homosexuels. Mais je n'accepterai pas qu'on le fasse au détour d'un projet de loi censé améliorer les relations avec les beaux-parents dans le cadre des familles recomposées." " L'altérité sexuelle est un des fondements de notre société. La personnalité et l'identité de l'enfant se construisent dans le rapport au sexe opposé : l'enfant pour se structurer a besoin d'un papa et d'une maman ." "De plus, à l'instar des associations familiales, je souhaite que l'on débatte de toutes les conséquences provenant du fait de mettre en concurrence le parent biologique et le beau-parent , dans les actes du quotidien comme dans le besoin de repères psychologiques stables pour l'enfant."
  7. gjtg

    Perquisition chez Emmaüs

    Emmaüs ne bénéficie d'aucun privilège d'extraterritorialité. La police peut donc intervenir. Ci-dessous une opinion sur les sans papiers : L'appellation de sans-papiers est incorrecte. Les étrangers en cause avaient des papiers : visas, titres de séjour ou récépissés de demandes d'asile. Ils connaissaient de ce fait la date de la fin du séjour dont ont leur refuse la reconduction. Cette autorisation non renouvelée, ils prennent volontairement le risque d'être dans l'illégalité. S'ils n'ont pas de papiers c'est du fait de cette situation illégale. L'expression "étrangers illégaux" est plus appropriée que celle de "sans-papiers" qui transforme un manquement à la loi en privation d'un droit. Les autorités n'ont pas à fléchir face à la pression des personnes qui encouragent ces illégaux. Les Français ont en effet organisé leur destinée dans le cadre d'un état de droit ce qui postule qu'une situation illégale ne puisse être créatrice de droit. Les associations qui tentent d'orienter la gestion de l'immigration ne doivent pas influer sur les décisions du gouvernement représentatif de tous les Français et, de fait, le remplacer pour la délivrance de titres de séjour. Nos concitoyens verraient alors qu'ils sont dessaisis de ce qui caractérise un pays démocratique : confier à des gouvernants la gestion du pays, y compris l'immigration. Les autorités n'ont pas à céder à ces associations, cela d'autant plus que la délivrance d'une autorisation de séjour entraîne des conséquences financières importantes : adhésion à la sécurité sociale, aide sociale. Les militants des sans papiers ne prennent pas en charge sur leur propre budget les frais : hôtel, pécule, école, sécurité sociale, garderie, centre aéré et autres, des personnes auxquelles les autorités compétentes refusent des papiers. Ce serait pourtant à eux de payer et non à la collectivité puisque celle-ci, par ses représentants, estime qu'il n'y a pas lieu à délivrance d'un titre de séjour. Les groupes qui tentent d'imposer les étrangers sans papiers obligent en fait leurs concitoyens à prendre en charge l'accueil de personnes non désirées, tout en dédaignant les conséquences que peuvent avoir des arrivées non légitimes, en particulier la montée de l'extrême droite. La régularisation d'illégaux peut en effet amener les Français à critiquer la présence d'étrangers et donc détériorer les relations de ces derniers avec nos concitoyens. Les sans papiers créent de plus un trouble spécial dans une société où le citoyen ne peut sortir sans une multitude de papiers. Pour aller en voiture à la pêche à la ligne il lui faut le permis de pêcher, l'assurance de l'automobile, la carte grise, le permis de conduire. L'obtention d'un passeport, d'une carte d'identité, tient du parcours du combattant. Et chaque fois que l'on va chez le médecin ou le pharmacien il faut sortir la carte vitale. Les Français qui préparent leur retraite doivent retrouver tous leurs papiers, sinon ils sont financièrement sanctionnés. La théorie des "sans papiers" ne fonctionne pas non plus lorsque l'on veut inscrire un enfant à l'école. Les Français semblent être devoir les seuls, dans leur propre pays, à être obligé d'être des « avec papiers » pour vivre. Dans ces conditions les Français peuvent être choqués par le fait que l'on puisse obtenir des papiers avec pour seul motif le fait que les autorités compétentes ne veuillent pas les délivrer. Par ailleurs les Français d'origine étrangère et les étrangers en situation régulière sont victimes d'un effet pervers résultat de la non expulsion systématique des étrangers illégaux. Faute de mettre en ¿uvre la police de l'immigration on devient plus sévère à l'égard des étrangers ou des Français d'origine étrangère qui ont de la famille à l'étranger. Un membre de cette dernière peut souhaiter venir en France pour raison familiale. Cependant si cette personne ne peut justifier d'un travail suffisamment rémunéré on lui refusera un visa. En effet on pense qu'une fois en France cet étranger peut être tenté pour «s'incruster» de devenir un illégal qui tentera de se faire qualifier de sans papiers afin d'obtenir une carte de résident. Le refus d'expulser se fait au détriment des Français d'origine étrangère et de leurs familles restées dans leur pays d'origine. Comme l'on suspecte systématiquement ces dernières de vouloir tricher lorsqu'elles demandent un visa, c'est aux Français d'origine étrangère de se rendre à l'étranger s'ils veulent voir leur famille, le territoire national, leur territoire, étant de fait interdit à leurs proches. C'est pourquoi les procédures d'expulsion des étrangers illégaux doivent être mises en ¿uvre ainsi que celles réprimant les personnes qui aide au séjour irrégulier. Ces dernières pour essayer d'imposer leur loi dénaturent les dispositions du code pénal en affirmant que le délit d'aide au séjour irrégulier qu'il prévoit constitue en fait un délit de solidarité. Il n'a pas à être tenu compte des personnes et des groupes qui font pression sur les gouvernants en les accusant à tort de vouloir réprimer la solidarité. De même les étrangers qui sont incités par des groupuscules à faire la grève de la faim n'ont pas à bénéficier d'un passe droit et ceux qui les manipulent doivent être poursuivis dans le cadre des textes relatifs à la mise en danger d'autrui. Il n'est également pas admissible que certains utilisent de plus en plus le principe de la scolarisation de tous les enfants, y compris de ceux qui ne sont que temporairement en France, pour ensuite revendiquer, du fait de cette scolarisation, un droit au séjour permanent. Il s'agit là du détournement d'une disposition généreuse. Depuis des années et avec persévérance les groupuscules inventent des méthodes, l'utilisation des enfants est la dernière, afin de remettre en cause le pouvoir que les citoyens ont délégué aux gouvernants légitimes afin de traiter les problèmes d'immigration. Pour permettre la liberté de circulation des étrangers qui sont respectueux du pays d'accueil il faut une police de l'immigration. Il serait également important que les pouvoirs publics cessent de considérer comme des interlocuteurs valables les associations qui, en mettant en avant les étrangers délinquants, compliquent l'intégration des étrangers réguliers et des Français d'origine étrangère. Le problème de l'opportunité de verser des subventions à ces associations se pose également. Plus généralement, concernant ce problème des sans papiers, il convient de constater que tous les pays au monde pose comme préalable la délivrance d'une autorisation à tout étranger désirant devenir résidant. De plus nul ne proteste lorsqu'un tel ou tel pays expulse un Français dépourvu de titre de séjour. Les accusations lancées à chaque expulsion de clandestins sont incompréhensible. Notre pays est un pays d'immigration qui ne peut accepter que des gens imposent leur présence avec comme seul argument le slogan "j'y suis j'y reste". Un pays de 60 millions d'habitants, qui accueille des gens de toute race, religion, origine, ne peut survivre à l'application de slogans démagogiques
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