titeflo

plats chinois à emporter ... miam .. j'avoue, ce soir, on la joue "paresseuse" :blush:

Honnêtement, je ne suis absolument pas sure que l'âme en tant qu'entité à part entière et qui survive après la mort est qqch qui existe. On m'a demandé cmt, à mon humble échelle, j'envisageais que l'âme soit constitué, je la considère plus comme une somme intime de tout ce que nous sommes et ressentons au cours de notre vie ... une somme de sensibilité, de qualités et de défauts, de besoins, de doutes, ... après, est-ce que cela perdure après la mort, je n'en ai aucune idée, et je ne suis pas sure de vouloir savoir ... par gourmandise (ou sadomasochisme) je dirai que je souhaiterai oui, dans un sens, que la somme de ce que j'aurai été et vécu perdure au-delà de ma vie mortelle actuelle ... pcq j'trouve forcément qu'on a pas assez d'une vie pour profiter et tirer les leçons aussi de tout ce qui nous est possible de vivre et ressentir... Mais, mm si je n'ai pas vmt l'âme cartésienne, scientifique, j'veux bien admettre que les perspectives qui ont l'air de s'offrir à nous ne laisse pas bcp "d'espoir" de ce côté là ... Alors pr répondre à ta reformulation de question, je dirai, d'un point de vue purement égoiste sans doute, que j'aimerai que l'âme reste/soit qqch qui nous "appartienne" et que mm au délà de la mort, elle nous reste personnelle, sans pr autant exclure qu'elle "rencontre" d'autres "âmes" pour construire "autre chose" que ce que nous connaissons humblement les pieds en plein sur notre chère planète ... j'me sens divaguer là, c'est normal? ... (j'avoue, je suis encore novice en débat spirituel et métaphysique :blush: )

J'pense qu'en fait c'est déjà qqch de tellement difficile à envisager et définir de manière personnel (quand on y "croit") .. que finalement on cherche pas à faire encore plus complexe en la rendant Une et Multiple, divisible et appartenant à tous... Enfin moi, c'est là ma "limite", c'est pt-être naïf mais c'est l'idée que réfléchir sur soi et sur le monde, oki, mais pq tjs aller de plus en plus loin et chercher à "couper le cheveux en quatre" comme on dit :blush:

quand je parlais de Yéti ... :blush:

c'est vrai aussi ( :blush: ) .. mea culpa

mais moi j'suis accro aux nounours et j'ai bien essayé de me débarrasser de ce côté femme-enfant mais honnêtement tjs pas trouvé de remède ... Attention hein, peux être femme forte et pleine de caractère si envie ou besoin c'est sans problème mais n'empêche qu'une pose "douceur" de tps en tps au creux du torse et des bras poilu d'un chtit homme ... miam ('ttention, j'ai pas dit Yéti non plus hein :blush: ) ... Enfin vla, et pr moi, me semble qu'un midinet tt lisse tt net peut s'avérer qd mm le pire des machos parfois alors ... chacun son péché mignon mais pr moi " VIVE LES NOUNOURS" héhé

J'suis assez d'accord avec Savannah par rapport à l'idée qu'elle puisse se mettre en forme dans nos gestes, nos actes, ... l'idée un peu forcément que c'est pas forcément toujours ce qui est dit clairement qui fait le mieux passer et mettre en scène ce qu'on est, mais que bcp de ce qu'on ressent et pense profondément se dévoile inconsciemment et plus subtilement dans notre façon d'être, que ça soit dans un geste du quotidien ou un acte supposé plus "marquants" ... quant à savoir si elle s'incrit de manière concrète et ciblée qqs part "charnellement"... honnêtement, je n'arrive pas à trancher ... pour moi ce serait un tout alors, le coeur et/ou l'esprit (cerveau) pcq c'est bateau sans doute mais aussi pcq ce sont qd mm des éléments vitaux à notre existence, à notre ressenti personnel envers le monde, ensuite le regard (on le dit souvent miroir de l'âme .. même s'il peut être plein de mystère)... Puis pq pas les tripes en général, y a pas que le coeur qui s'affole qd notre moi profond est chamboulé ... c'est dur de lier le spirituel et le charnel comme ça, même si c'est pourtant notre dilem quotidien ... enfin vla, mon humble avis ... :blush:

intriguée :blush:

de ma vie qui s'écoule au ralenti (je sais, j'suis forcément en gde partie responsable ms bon pas pr autant que j'en ai pas ras-le-bol :blush: ) ...

Pour moi, ça dépend des jours ... J'me considère pas diminué par le fait d'être célibataire, loin de là ... Pas besoin d'être avec qqn pour se sentir exister, poser des choix, et rentrer dans un moule "standardisé" qui fonde un foyer, etc. pr se sentir "progresser", être qqn... Mais comme j'ai plutôt une personnalité pour qui l'affectif compte plus le simple épanouissement personnel, y a forcément des moments où je ressens un manque. J'ai besoin de partager ce que je vis, bon comme moins bon, tout comme j'aime être là pour ceux qui compte pr moi .. Bien sûr, famille et amis tiennent déjà une place importante dans ma vie et me permettent de trouver une certaine forme d'équilibre selon ma façon de voir la vie... Cependant, y a forcément des moments où ça ne suffit pas ... J'suis trop fleur bleue pour aller chercher la tendresse, la complicité, les "prises de tête et réconciliations passionnées" qui me manquent dans les bras d'une histoire d'un soir après l'autre, ou d'une amitié amoureuse, d'une "union libre" ... Eh oui, j'avoue, j'attends encore et tjs "le big love" ... et tant pis si je suis naïve, trop rêveuse, ça fait partie de moi, je fais avec... tout en essayant de me surveiller histoire de pas tomber dans le piège de l'idéalisation non plus. Voilà... j'considère qu'effectivement, à notre époque, s'il relève véritablement d'un choix perso, y a pas de honte à s'épanouir et trouver son équilibre dans le célibat.. maintenant est-ce que cette état de fait peut durer et rendre heureux "éternellement", j'avoue que je suis perplexe, mais chacun son chemin après tout :blush: