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jbhvgcdrdfv

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Tout ce qui a été posté par jbhvgcdrdfv

  1. enfaite j'ai l'impression que je chercher à garder cet amitié malsaine aussi. Je l'ai connu tellement petit que pour moi c'est limite normale et que c'est juste une amitié un peu trop forte
  2. je sais pas si je suis son équilibre (car dit comme ça on dirait que je suis l'amour de sa vie) mais oui je pense qu'il vit énormément à travers moi il ne veut pas s'attacher, il est assez... matcho ? pour lui les femmes sont juste des ""vides couilles""" (désolé madames pour ses mots). franchement je pense qu'il va s'en foutre, je vois pas pourquoi il se sentirait offensé (après j'ai jamais été en couple encore, donc je ne sais pas)
  3. En fait, il est très instable mentalement. Pourtant, ça ne se voit pas : il paraît froid, calculateur... alors qu’à l’intérieur de lui, c’est un vrai bordel. "Bien pire", je sais pas. Peut-être que c’est moi qui exagère. Mais les rares fois où j’étais bourrée en soirée (3 fois seulement), je me suis retrouvée à rigoler et jouer un peu avec un pote. Bon, on aurait dit qu’il m’embêtait, mais c’était de l’humour, on était tous les deux un peu éclatés. Et là, mon meilleur pote a débarqué. Il m’a chopée par le col, pas violemment, mais brusquement et a commencé à me réprimander, me disant que je devais pas boire, que c’était dangereux, etc. Sauf que l’autre pote (qui connaissait pas mon meilleur ami) a cru que je me faisais agresser. Il a tenté de lui attraper le bras pour me défendre... et mon meilleur ami lui a foutu une droite. Mais genre une vraie. C’était tellement violent que le mec est resté au sol, limite inconscient. Et plus tard, quand je lui ai reparlé de l’histoire (quand on était sobres), il m’a regardée avec un sang-froid qui m’a glacée. Zéro remords. C’était pas lui. C’était un inconnu. Il comprenait même pas où était le problème. Pour lui, il m’avait « sauvé d’un pervers » (c’est ses mots) et que si je voulais pas revivre ça, je devais arrêter de boire et arrêter de traîner avec "n’importe qui". C’est l’un des rares moments où j’ai vraiment été confrontée au "mauvais côté" de mon meilleur pote. Mais en même temps, une part de moi trouve ça... normal ? Genre il a toujours été comme ça, protecteur à l’extrême, parfois trop. ouais mais d'un côté je me dit qu'il à trop à perdre pour sombrer, il est énormément dans l'apparence, le paraitre ouais je vais essayer de lui en parler la semaine prochaine
  4. mais il le fait déjà ? c'est pas un mec en manque de confiance en lui qui reste enfermer chez lui. Il va en soirée, il a des plans d'un soir très régulièrement, malgré le fait qu'il soit assez distant émotionnellement comment ça ? genre j'invente l'histoire
  5. j'ai demandé à un pote en commun, qui avait son frère au collège. et les grenouilles, je ne m'inquiète pas trop pour ça, je pense juste qu'il était curieux c'est à dire ?
  6. *il, je suis un homme j'ai pas le courage de le confronter, j'ai peur de sa réaction
  7. je vous remercie de me défendre, c'est très gentil. Juste au passage, je suis un gars. et en vrai, je peux comprendre que ça choque, car certains pourrait se dire "va tout simplement le voir, c'est ton meilleur ami, il va comprendre". Oui peut-être, mais si ce n'était pas le cas ? il a toujours été "obsédé" par moi (je ne sais pas pourquoi, peut-être que je suis arrivé à une période de sa vie ou il était plus bas et il a du trouver un refuge). Et honnêtement ça me bouffe, j'ai pas envie de faire face au côté méchant de mon meilleur ami, c'est quelqu'un qui a vécu des atrocités sans nom, et je culpabilise de vouloir prendre mon envol car je sais que je suis un pilier dans sa vie. Il m'a souvent dit que j'étais un peu comme sa mère (pourtant je suis bien un gaillard) mais il me dit que j'ai un côté maternel (il a jamais connu sa mère), et ça me brise le coeur. À chaque fois que je leur regarde, je le revois petit et terrorisé et j'en ai pas envie non vous en êtes pas une, vous avez juste votre point de vue oui je suis d'accord, ce n'est pas un psychopathe, il n'a juste pas les normes sociale. Pour lui c'est normale de venir chez moi à 3 du mat par exemple. mais qui peut lui en vouloir ? il n'a jamais été un enfant, dès sa naissance il est devenu l'objet de son père, qui, si je le retrouve, lui couperai les couilles
  8. son père est un homme froid et méprisant, il à fait des horreurs sur son propre fils dont vous ne pouvez même pas imaginer la cruauté. Et honnêtement, heureusement que son père est parti car je pense honnêtement, que moi ou mon meilleur ami on l'aurait massacré. non cet éducation est extrême, mais c'est vrai que par chez nous, on est un peu plus froid et distant émotionnellement.
  9. vous croyez que je ne l'ai pas fait ? d'abord clarifions quelque chose, ce n'est pas simple de parler. quand on était enfant il n'y avait pas de soucis. Mais maintenant nous sommes 2 adultes, j'ai peur de le brusquer, tout simplement. Depuis petit il m'idéalise, m'a souvent fait des déclaration et moi-même je l'aime d'un amour sans faille, mais depuis quelques années notre amitié est devenu très pesante. et j'ai peur de le vexer si je le freine dans notre amitié. et les "bruits de couloir", je les ai vérifié (sauf pour la grenouille) et ça c'est avéré vrai (la minute de silence, et le gars envoyer à l'hopital). De plus, vous vous doutez qu'il n'y a pas que ça ?
  10. J’ai déjà essayé de prendre mes distances une fois. Il l’a remarqué et a commencé à débarquer dans ma résidence universitaire, à stalker mes nouveaux potes (qu’il connaissait même pas de base). Et quand j’ai voulu en discuter avec lui, en lui expliquant que j’avais le droit à mon intimité, que ça se fait pas de débarquer chez les gens comme ça, il a commencé à me faire des reproches (toujours sur un ton calme hein, jamais violent). Il m’a sorti qu’en primaire il était là pour moi (ce qui est vrai), qu’il a le droit de savoir ce qui se passe dans ma vie, que c’est le rôle d’un pote, que c’est la base, etc. Ce jour-là, j’ai craqué. Je lui ai dit de dégager. Il est parti sans un mot. Et même pas quelques jours après, il est revenu en disant qu’il était désolé. C’est pour ça que je dis que c’est un gentil au fond. Il se remet toujours en question, mais au final… il recommence un peu toujours les mêmes erreurs
  11. je pense pas qu'il soit fou (le titre choisi est exagéré) mais je sais qu'il n'est pas stable, il est très intelligent mais niveau émotion, c'est une machine. Et je le remarque de plus en plus quand on traine ensemble avec d'autre.
  12. alors en effet au début j'ai douté (oui des grenouilles apparemment), mais certains de ses comportements ne sont pas commun, le coup ou il a explosé la mâchoire à un de ses camarades à été vérifié. mais c'est plus le moment présent, enfaite j'ai l'impression de pas connaitre mon meilleur ami et que notre relation n'est pas saine, je le trouve très dépendant de moi. mais j'ai de l'empathie, je l'aime, et c'est même pas question de coupé contacte avec lui, en aucun cas je parlais de ça, mais plutôt la peur qu'ils deviennent quelqu'un de mauvais. jsp. il y a certaine déception qui sont dure, et c'est pas question d'être parfait, loin de là
  13. c'était de l'humour minimum de ?
  14. j'ai peur de sa réaction, il est assez lunatique, et bon assez gênant d'en parler, on est assez pudique malgré qu'on soit proche. et je pense aussi que je ne veux pas affronter le "méchant" côté de mon meilleur ami, peur d'être déçu, ou d'y faire face tout simplement. j'ai besoin d'avis neutre et honnête, d'ou le forum.
  15. c'est de l'humour si jamais... vous vous doutez bien que je ne ferai jamais ça ? c'est de l'humour ?
  16. je suis d'accord avec vous mais je ne pouvais rien y faire ? ça se soigne ? ou je dois l'enfermer à double tour en hôpital psy ?
  17. c'est normale que ça choque, surtout la notre c'est à dire ? non là c'est extrême
  18. Oui, le post est un peu chelou, mais c’est véridique. Nous sommes tous les deux russes, arrivés en France quand nous étions enfants. On s’est connus à l’école primaire. À noter que je suis quelqu’un de… comment dire… très timide, je parle peu, je reste dans mon coin, et (un peu) victime sur les bords. Lui, c’est tout l’inverse : il a un caractère fort, un faux calme. Il m’a un peu “décoincée” et on est devenus très proches, on venait du même pays et on pouvait parler russe entre nous. Problème : avec le temps, il est devenu de plus en plus… possessif ? (Ce n’est pas vraiment le bon mot, parce que ça pourrait faire croire qu’on parle d’amour, alors que ce n’est pas le cas). Mais au collège/lycée, je n’avais pas le droit de traîner tard le soir. À chaque fois que je rentrais chez moi, je devais lui envoyer un message. Tous les matins et tous les soirs, il venait me chercher en voiture (avec son père dont j’ai toujours eu peur, et j’y reviendrai). Petite précision : pendant mon enfance, il a pris un peu le rôle du “grand frère” qui protège la victime (moi, donc). Une fois arrivés à la fac, on a suivi des chemins différents (il a intégré une école très prestigieuse). Mais malgré ça, j’ai appris des choses assez choquantes sur lui. Il faut savoir qu’il avait passé une année dans un autre collège, quand son père avait changé de boulot. Un jour, en soirée, je discute avec un gars qui était dans ce collège. Moi, innocemment, je lui dis qu’il est super sympa. Là, son visage se ferme d’un coup et il me balance que c’est un enfoiré : il tuait des grenouilles dans la cour, jouait avec des cadavres d’oiseaux, ne s’est pas levé pour une minute de silence après un décès au collège, et il aurait même tabassé un gars jusqu’au sang (il lui aurait cassé la mâchoire… au collège). Et pourtant, à cette époque-là, mon meilleur pote me disait que tout allait bien, qu’il s’était fait des amis (alors que ce gars en soirée m’assure qu’il était toujours seul). Et là, je ne sais pas pourquoi, mais tout me revient en mémoire. Je sais qu’il a eu une éducation “à la russe”, mais en bien pire. Il me racontait qu’enfant, il était enfermé dans une cave quand il pleurait. Que son père le jetait, nu, dans des orties quand il était fiévreux ou se plaignait. Moi, à l’inverse, j’ai eu une éducation très religieuse, très calme. Je ne pouvais même pas imaginer qu’on puisse vivre des choses pareilles. Et pourtant… jamais je ne l’ai vu violent avec moi. Jamais. Il n’a jamais été méchant ni autoritaire. Il me sourit tout le temps. Il prend souvent de mes nouvelles (parfois de manière un peu pesante, c’est vrai). Il est très à l’écoute. Mais les autres me décrivent un portrait de lui complètement différent. Un gars violent, sans valeurs, presque inquiétant. Et je ne sais pas quoi penser. J’ai peur qu’il devienne comme son père. Mais en même temps, je me dis qu’il y a de l’espoir. Qu’il n’est pas “fou”, puisqu’il reste encore humain avec moi… Vous ne pensez pas ?
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