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J'ai commencé une histoire, je ne suis pas écrivain mais celle ci me trote dans la tête. J'ai donc des lacune lors de la tournure de mes phrases et les fautes d'orthographe. La préhistoire sur une planète étrangère Je regardais à travers la fenêtre de mon train laissant divaguer mes pensées. Immeubles après immeubles, quelle civilisation… L’homme n’est pas fait pour rester entre quatre murs et se laisser transbahuter par d’immonde machines, je senti mon voisin tousser et transpirer à pleine goutte dans mon dos, mais il est vrai que l’on est au mois de juin. D’ailleurs j’ai du mal à me souvenir la dernière fois qu’il a plu. Un nouveau ressentit, cette fois plus brute. Ce n’est qu’un lycéen plus grand que moi blond, et maigre, c’est son sac que je ressenti dans mes côtes. Il faut dire qu’aux heures de pointes ce n’est pas agréable de prendre les transports en commun. Surement ai-je ressenti un livre d’histoire lourd et épais… quelle matière inutile pensai-je. Lorsque j’étais étudiant je profitais de mes cours d’histoire pour m’assoupir. Il est vrai le passé, c’est le passé pourquoi m’y serai-ai-je attardé ? Le futur c’est l’avenir c’est ce sur quoi nous devons réfléchir. Pourtant ce domaine me sauvera la vie à maintes reprises. Ayant mal au dos, debout sous une chaleur infernale, j’essayais de laisser libre court à mon imagination. Que ferai-je par la suite ? Trouverai-je une copine ? Quelle sera ma prochaine destination de vacances ? « Suite à un accident, le prochain arrêt sera terminus » entendis-je. Cela évoqua en moi juste une exaspération car toutes les semaines ce type de situation arrive. De ce fait deux minutes plus tard je descendis telles les centaines de voyageurs présent dans cet infâme conteneur mécanique avançant soi-disant sur les rails (quand par chance cela fonctionne ce qui est rare). Il était dix-neuf heures, et si quelqu’un avait posé les yeux sur ce quai, il aurait pu croire à un concert à tel point la foule était serrée. Je rentrais chez moi, je n’avais qu’une envie c’était de poser mon sac, mon PC, et de prendre une bonne douche. Quel bonheur se rafraichir, se laver après une grosse journée de travail. Le ressentit de chaque goutte coulée le long de ma peau dans sous cette pluie artificielle nous redonne un gain d’énergie cela permet aussi d’aider son cerveau à dire « Stop je ne suis plus au travail mais à la maison ». Il est vrai que de nos jours, il est difficile de ne pas céder à la tentation de finir le dur labeur que l’on a commencé la journée, « le droit à la déconnexion » inventé en France en 2017. - J’étais ingénieur en informatique seul et célibataire, Je concevais des logiciels pour une entreprise de la défense française. Je me trouve naturel, ni trop gros, ni trop maigre. Je n’étais pas musclé, je suis un blond de 29 ans. J’avais étudié dans une modeste université parisienne les mathématiques et l’informatique. Ce qui m’a toujours fasciné dans les mathématiques c’est leurs utilisations pour bâtir des monuments incroyables. Notamment des œuvres incroyables Pyramides, monolithes, … Quitter le travail quel bonheur toute la journée sur le pc. Personnellement sans ordinateur ou smartphone, je ne peux rien faire. Aujourd’hui nous en sommes si dépendants que s’en est navrant. En revanche ce que j’apprécie tout en travaillant c’est d’écouter toutes sortes de reportage historique, news, animalier, peu importe. Je me concentre sur mon travail mes yeux rivé sur l’écran, cependant j’imagine assimiler un dixième de ces reportages qui m’apaisent. Après la douche comme à mon habitude, je regarde une série ou un reportage. Ce soir c’est une série d’épouvante. Je trouve amusant de voir des « Monstre » ou des « Alien » terroriser un petit groupe. J’apprécie beaucoup les films de science-fiction. Puis à minuit, je m’endors tout en pensant à ma journée et à ce que je devrai faire demain au travail. L’expression « transport, boulot, dodo » prend ici tout son sens. C’est à ce moment que l’on sait que les seuls moments de détentes sont le week-end et les vacances exception faite pour le peu d’individus qui apprécient leurs travails. Le Réveil sonne il est six heures du matin. C’est toujours pénible de me réveiller à une heure aussi matinale. Comme chaque jour ouvré je prends ma douche, je m’habille mais je n’ai pas le temps de déjeuner. Il faut arriver au travail de bonne heure afin de faire bonne figure devant les responsables et les collègues. Je songe toujours que les employés et responsables te juge sur ton arrivé, ta qualité de travail, ton apparence (physique et vestimentaire) mais aussi sur ton heure de départ. Avant de prendre le RER ma routine matinale, je m’arrête prendre une viennoiserie et un jus d’orange, habituellement je prends le petit déjeuner dans le RER. « Problème de RER le prochain départ est dans trente minutes ». Je pense que ce doit être l’heure de la pause-café de leur côté. Une demi-heure plus tard celui-ci arrive. En attendant, j’ai consommé sur les quais ce que j’avais acheté précédemment. Par chance, je suis au terminus, j’ai donc une place assise. A la station suivante les sièges du wagon étaient plein, puis après deux arrêts, plus personnes ne peut monter dans les wagons. De plus, il y a du ralentissement sur le trafic, j’imagine qu’ils doivent être accro au café il ne peut n’y avoir d’autres explications. J’arrive à neuf heures moins le quart… Je suis parmi les derniers arrivé. Réflexion de mes collègues « le réveil a été dur ? ». Je ne préfère pas répondre. Un peu plus tard on fait un point de ce qui a été fait la veille et sur ce que chacun va faire aujourd’hui. On m’assigne chaque jour de plus en plus de tâches comme à tous mes collègues qui eux aussi ont des cernes au niveau des yeux. -- Je me souviens de cette illustration où il y avait 5 personnes soutenant un rocher puis l’illustration en montrait 4 puis 3 puis deux personnes finir enfoui sous ce rocher. Je m’imagine cette fois 5 personnes qui tiennent un bloc de pierre qui deviendrait de plus en plus gros jusqu’à ce qu’il les écrase. C’est la situation dans laquelle je me sens tous les jours. Avant midi, le manager vient vérifier mon avancement et m’encourage gentiment « il faut absolument que tu avances plus vite sinon on ne tiendra pas nos objectifs. Ah, j’ai oublié de te dire Paul a démissionné, il ne sera pas remplacé tu reprendras ses projets. ». Effectivement Paul avait perdu 20 kilos en un an, ne mangeait plus et ne dormait quasiment plus il s’était confié à moi. Désespéré par la quantité de travail que j’avais, cela ne fait qu’empirer les choses. Du coup, vu que je suis arrivé en retard et que j’ai plus de tâches, je décide de quitter à vingt heures. Heureusement nous sommes vendredi et donc demain c’est le week-end. De ce fait, je passe un coup de fil à mon ami Marc avec qui je devais prendre un apéro vers vingt-heure pour annuler. Je savais qu’après une grosse journée j’aurais été fatigué. Donc, au lieu de décaler j’ai préféré annuler. Finalement je me rends compte que j’ai fini à vingt et une heure sans avoir eu le temps de faire toutes mes tâches. Quand j’ai pris le RER effectivement peu de monde était présent et il n’était pas en retard (peut-être que les conducteurs ne prennent pas de café le soir ?). Rituel du soir, douche, on est vendredi soir et je n’ai pas envie de cuisiner je me fais livrer une pizza. Je regarde une émission stupide de téléréalité sur la survie (je ne sais même pas pourquoi je la regarde, surement par fatigue de chercher un bon film), puis je me couche tôt. Finalement, je me dis que cette vie est vraiment difficile et fatigante (j’étais loin de m’imaginer ce qu’il allait arriver par la suite ce qui me fera changer d’avis). Et encore moi qui travaille, je suis au calme devant mon ordinateur mais je pense à toutes ces personnes qui accomplissent un dur labeur physique. Puis viens le samedi, comme tous les samedi matin je me prélasse jusque tard (vers midi) de ma semaine épuisante. Puis je vais faire mes courses, je lis un peu (du Bernard Werberd) qui est l’un de mes auteurs préféré). Enfin apéro avec Marc et d’autres amis puis resto et ciné ce que je fais quasiment chaque week-end. Le dimanche réveil tardif puis je déjeune (je me suis levé si tard que je saute le petit déjeuné). Epuisé par cette semaine si fatigante. Puis je vais voir ma famille pour un l’anniversaire de ma mère. J’ai toujours eu du mal à trouver les cadeaux donc je lui ai offerte une tablette (je doute qu’elle sache se servir d’un ordinateur). D’ailleurs je me demande comment font les gens pour ne pas se servir ni de tablette ni d’ordinateur. Personnellement, je ne pourrais pas m’en passer. Je rentre je dine et je me couche tôt car demain réveil à six heures. L’inexplicable Nous voici lundi matin réveil trop pour moi, mais je fais avec. Je prends ma douche je m’habille je mets mes chaussures et là trou noir ! Je perds connaissance. Je me réveil dans une pièce noir, j’entends des paroles de toutes langues je reconnais de l’anglais de l’espagnol de l’arabe (je ne sais quel dialecte) et bien d’autres langues que je ne connais pas. On nous laisse là, durant un bon moment. Puis la lumière vient, elle était aveuglante car on avait passé un bon moment dans le noir absolu tel une nuit à la campagne sans lune ni étoiles. Dans la salle, il y dégageait une réelle pression dans cette salle avec toutes ces personnes angoissées. Nous étions dans une grande pièce carrée aux murs blanc sans porte avec devant soi chacun une chaise, une table de la nourriture du riz avec du poisson (il me semble que c’était du saumon avec du riz) en grande quantité avec des couverts et des baguettes dans une assiette plate. Cette sobriété je l’avais déjà connu plusieurs fois mais uniquement dans les hôpitaux. Dans la salle nous étions très nombreux, je ne voyais que les personnes âgées il semblerait entre 15 et 30 ans, la salle était immense. Il y avait la même disposition (table chaise et même nourriture). Toutes les tables étaient séparées d’environ trois mètres. Nous étions en face d’une estrade très haute. Puis une voix s’exprime résonne dans ma tête qui me dit : -Prends une place et mange tu auras besoin de force pour ce qui va suivre. C’est étrange car on dirait que chaque personne entendait et comprenait ce qu’il disait comme si c’était dans leurs langues natale. Je me regarde j’étais vêtu comme au moyenne âge d’une sorte de cap avec capuche et des vêtements primitifs. Je me rends compte que j’ai perdu tous mes accessoires : montre, bague, collier, bracelet, jusqu’à mes vêtements. Ma première idée fût de m’enfuir mais je ne voyais aucune porte. Etant méfiant je ne voulais pas manger. Puis la voix me dit « n’ai pas peur ce n’est pas empoisonné et c’est même bon ». Je mange donc tout en observant les gens qui ne se parlaient pas entre eux. Faut-il dire qu’on n’avait pas le même dialecte. Après un bon moment, sur l’estrade une lumière verte apparut puis une immense créature d’au moins 3 mètres apparût comme par magie avec des yeux comme des mouches de couleur violette. Elle était bleue avait 6 pattes et quatre « bras » de dix doits chacun avec deux doigts opposables de chaque côté (un peu comme si vous aviez un autre pouce après votre auriculaire (petit doigt) et possédait 4 paires d’ailes. Ses pates étaient solides au début comme une mante religieuse puis vers la fin finissaient comme des tentacules (un peu comme une pieuvre). Cette créature violette n’avait ni bouche ( ni nez ni oreille juste des trous tout autour de la tête qui faisait le triple de la nôtre sur le front (je supposais que c’était ses « oreilles » et ou des trou pour respirer ou pour entendre). Ces trous étaient espacés d’environ 4 cm au-dessus des yeux. Elle n’avait ni poils ni cheveux ni même de bouche, comment mangeait-il. Au-dessus d’elle un immense hologramme d’elle surement pour les personnes éloignées car moi je voyais bien j’étais au cinquième rang. Puis la voix résonnait dans ma tête : - Bonjour, chers terriens vous avez été choisi de manière arbitraire pour faire une expérience interplanétaire. Vous allez être placé sur une planète avec deux millions de vos espèces animaux et végétaux et chacune d’entre elle aura une population de cent cinquante milles individus. Nous expliquerons cela dans le langage approprié à chaque espèce et langue de votre terre. Vous devrez survivre pendant 500 000 ans. Si vous survivez vous retournerez sur votre planète au même moment où vous avez été capturé. Les espèces qui ont des chefs comme vous où les loups qui ont un male alpha auront une vie éternelle au niveau de la santé et de la vieillesse. Pour ceux-là, l’âge et la condition physique que vous aurez restera bloqué à trente ans. Vous serez sur une planète similaire à la vôtre la gravité sera adaptée artificiellement à votre planète sauf que la planète sera quatre fois plus grosse que la vôtre. Je ne comprenais pas le but de cette expérience. Je me sentais vraiment effrayé. Pourquoi moi, je n’ai rien demandé à personne. - Le climat de cette planète sera compris entre moins vingt degrés et quarante-cinq degrés. Vous serez répartie par population de 500 habitants vous serez le leader de 499 habitants crée artificiellement qui eux n’auront aucune protection (âge limité, santé), ils seront parlés votre langue natale mais n’auront aucunes connaissances. Par exemple ils ne connaitront pas les espèces, les nombres, le calcul ou encore ils ne savent pas lire ni écrire. Vous n’aurez aucune technologie à votre disposition, à vous de vous adaptez, juste parler votre langue. Le but de cette expérience est de voir si nous pouvons établir un contact avec des races intelligentes. Ce qui signifie que si vous survivez et que nous vous jugeons apte à avoir des relations pacifiques avec vous vous serez des ambassadeurs entre nos deux races. Je comprenais mieux la situation ils veulent nous étudier pour pouvoir établir un contact. Savoir si nous pourrions nous adapter à d’autres extraterrestre et reproduire une civilisation. Le projet me plait mais encore une fois j’ai été choisi par malchance. - Il y a une chose importante, vous serez mélangé avec 500 autres planètes qui subissent le même sort. Attention, il y aura des extraterrestres hostiles, carnivore, des microbes (peu nombreux, non totalement destructeur), et des races pacifiques. Nous voulons créée une alliance interplanétaire. Si vous réussissez et que vous êtes choisi vous vous souviendrez de tout, si vous survivez et que vous n’êtes pas choisi tous vos souvenir seront effacés. Bien entendu vous pouvez mourir (dévoré ou tué). A vous de vous adapter pour survivre. Les premiers humains artificiellement créés vous obéissent comme il se doit mais les prochaines générations peuvent se révolter ou autre. Les habitants créer artificiellement auront les mêmes vêtements que vous. Avez-vous des questions ? J’entendis une voix « can we refuse and coming back ?». C’était de l’anglais quelqu‘un demandait si on pouvait refuser et rentrer la voix fût retranscrite à tous dans leur langue natale. Ce que j’aurais souhaité au plus haut point. La réponse fût négative - Pas d’autres questions ? Aucune question ne fût posée - Vous allez être téléporter vous et vos espèces à différents endroits de la planète avec des température allant de 15 à 30 degrés. Vous aurez des portions de riz et de viandes pour vous et vos 200 compagnons chaque jour pendant 10 jours de cette planète en quantité minimum dans des assiettes et des couverts en plastique ou des baguettes qui disparaitrons au bout de 10 minutes pour chacun. Au début il vous sera distribué des graines de blé ainsi que des pépins de pomme, des noix de coco, ainsi que des pommes de terre que l’on vous conseille de plantez. Pour information toutes les planètes arriveront en même temps. Pour le reste à vous de trouver de la nourriture, il y a parmi les extraterrestres des plantes comestibles et d’autres non, ainsi que des animaux que vous pouvez chasser ou domestiquer certains de ces aliens, et vous trouverez aussi des animaux de votre planète. Vous allez être téléporté dans deux heures et une minute pour que toutes les planètes soient téléportées au même moment. Vous arriverez au matin de cette planète. Pour information, nous avons fait l’expérience il y a 2000 de vos années et le résultat était décevant pour votre planète. Le commencement Nous venons d’être téléportés. Il est difficile de décrire tout ce que je vois. Néanmoins nous sommes arrivés dans une immense clairière capable de supporter 300 hommes avec de l’herbe et de la terre autour de celle-ci des arbres de notre planètes il me semble apercevoir des chênes, des châtaigné, des palmiers, des bambous et des bananier et d’autres arbres dont je ne connais pas le nom. Je reconnais des pierres rocheuses au loin et par terre différents caillou dont du silex. Au loin j’aperçois une rivière voici ce que je reconnais de ma planète. Par terre près des arbres on pouvait apercevoir des branches sèches ainsi que des feuilles mortes et dessécher ainsi que sur les arbres des champignons. On pouvait voir des rochers coller entre eux d’environ 3 à 8 mètres de hauteurs. Plus loin on pouvait voir des montagnes d’environ 1000 mètres de hauteurs Pour ce qui est méconnaissable : · Des sortes « d’herbes » différentes grises et d’autre jaune. Elles étaient rassemblées sur des parcelles d’environ 50 mètres carrés il y en avait à plusieurs endroits ils étaient assez nombreux. · D’immense « arbres » mais qui ont une sorte de tronc qui s’élève d’environ 20 mètre de haut avec ce qui semblerait être des branches souples qui redescendaient au sol avec ce qui semblerait être des fruits et des feuilles. Le tronc était violet fluorescent les feuilles bleues et les fruits rouges. · On pouvait voir des « cailloux » parmi les herbes jaunes ils étaient bleus et d’environ 3 à 10 centimètres. Alors que les « cailloux » des herbes grises étaient verts et d’environ 2 à 5 cm et de couleurs vertes. Pour ne pas être trop long dans ma description je continuerai au fur et à mesure. Je définis 3 type de groupes des petits groupe de 10 personnes, des groupes moyen de 20 personnes et de grand groupe d’au moins 30 personnes. La première chose que je fus c’est de prendre un petit groupe d’ados et de leur demander de crier à tout le monde de ne pas bouger et de rester sur l’herbe verte tout en se déplaçant à travers cette immense foule. Par la suite, afin de juger la population je demande pendant un moment à 30 personnes de venir chacun leur tour. Je défini 4 classes les personnes qui semble être -des enfants, -des adolescents, -de jeunes adultes -et des adultes (sachant que le plus jeunes des enfants devait avoir cinq ans au maximum et le plus âgée des adultes 30 ans. Je pris un petit groupe de jeune ados et leur montrer comment classer les personnes dans leur catégorie grâce à des signes distinctifs). Les personnes dont on a défini la catégorie doivent retenir leur catégorie. Nous en fîmes ensemble une bonne centaine de personnes et je laissais faire le reste par les jeunes ados avec moi. On a notre disposition tous les outils nécessaires à avoir pour faire du feu (silex, feuille sèche, brindilles, bois). Je sais que sur notre terre natale les traces l’invention du feu remonte à 1,5 millions d’années en Afrique au Kenya ainsi qu’en Éthiopie. Je pris un autre grand groupe afin de ramasser du bois ou des feuilles sèches, mais les bloquer sous du bois pour qu’elle ne s’envole pas. « Restez bien sur l’herbe, essayez de trouver des branches qui ressemble à notre planète, vous êtes des bucheron, retenez bien cette fonction » répétai-je. Je leur explique ce qu’est une branche une brindille ou des feuilles. Je choisis autre grand groupe je leur demande de ramasser uniquement les pierres ou de la roche et de le déposer à un endroit eux aussi je leur répète de rester sur l’herbe verte. Je pris un grand groupe d’enfant et leur appris à compter jusqu’à 10. Je ne peux gérer seul 500 personnes. J’essaye de trouver des enfants avec de la mémoire. Il me faudra par la suite de l’aide donc je leur appris à compte jusqu’à 10. Je vis en eux 3 potentiels. Je les pris à part et leur dis : -Quelles est votre nom ? -les enfants me disent : Louis, Caesar, et l’autre Alexandre -Caesar, Alexandre vous êtes des professeur et Louis sera mon adjoint il me suivra partout et je lui configurerai d’autres tâches. Louis, Caesar choisissez 10 élèves enfant chaque jour, je vous interrogerai sur un point d’un reçu vu auparavant afin de voir si vous n’oubliez rien. Je vous donnerai une leçon à vous 3 et les professeurs donneront la leçon de la veille. C’est étrange car il s’agit de 3 prénoms qui ont marqués l’histoire de la terre. J’avais remarqué que Louis retenait plus vite. Je vis un Je vis un champignon un Amadouviers. Cette espèce de champignon est très facilement reconnaissable grâce à sa forme de casque et il se pose sur le tronc des arbres. Je dis à Louis de me suivre, nous allons chercher le groupe de bucheron et nous leur montronc ce champignon pris une pierre et frappa dessus jusqu’à ce qu’il se casse. « Bucheron si vous voyez ce champignon fait de même et déposer le près du bois ramassé ». Par avance merci