

Arianew
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En effet Rebelote Merci de penser que je suis quelqu'un de bien, ça me touche. Je crois que vous ressentez ceci parce que je ne vous ai pas attaqué personnellement, je ne vous ai pas rabaissé, je ne vous ai pas dévalorisé. Je vous ai écouté et je respecte votre différence et vos visions Peut-être n'est-ce pas impossible. Peut-être que le temps pourrait aider. Ou pas, c'est vrai qu'on ne peut pas forcer les choses, et certaines différences sont trop marquées pour qu'il y ait un point de connexion. Personnellement, j'ai toujours envie de croire qu'il y a toujours une solution, même si parfois ça prend du temps, beaucoup de temps. Tant qu'on n'est pas mort, il y a de l'espoir J'entends bien que cette vidéo répond à vos questions et soutient vos arguments. J'ai tendance à croire - mais j'ai peut-être tort - qu'elle utilise (comme j'en ai vues d'autres) des sous-entendus, des arguments partiels, pas forcément contradictoires. Personnellement, j'aime l'esprit critique (à ne pas confondre avec la critique de la société qui est simplement une critique), l'esprit critique - avant tout - remet en question ses propres arguments, les confronte avec les arguments contradictoires, va jusqu'au bout des choses, dans les détails, pour en vérifier la validité, bien au-delà de ses impressions, intuitions, etc. Je ne suis pas à l'aise avec les sous-entendus et les arguments qui n'intègrent pas les avis contraires et j'avoue ne pas réussir à regarder jusqu'au bout les vidéos qui usent de ce type d'argumentation (qui n'en est pas une en réalité, puisque basée majoritairement sur les émotions, les accusations, les dénigrements, sans éléments factuels concrets).
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Dernières attaques personnelles : - vous êtes très susceptible - Si vous ne faîtes pas preuve de plus réceptibilité inutile de continuer - C'est pourtant trés clair et trés simple, on dirait que vous le faîtes expres ou alors que vous ne suivez pas du tout ce qui se passe N'est-ce pas du dénigrement ? En tout cas, moi, je le ressens ainsi. Personnellement, non, je ne trouve pas que vos questions ouvertes et vos sous-entendus soient clairs, pas du tout, bien au contraire. Nos façons de pensées sont très différentes, donc je ne peux pas deviner comment vous pensez, vous. J'entends bien que pour vous, il y a des évidences, mais je ne vois pas du tout lesquelles. C'est à ça que sert une discussion, je crois, c'est à éclaircir ce genre de choses. Si je reprends vos points : 1a- abstention (défaussement des parlementaires) 1b- non-experssion d'avis divergents (parlementaires, but intéressé : pouvoir) 1c- population pas représentée/protégée par les conseils 1d- corruption Tout ça, ce sont effectivement des choses plutôt graves. J'entends que pour vous c'est un des signes de la fragilisation des contre-pouvoirs. Mais pour moi, j'ai besoin de revenir plus en amont. Qu'est-ce que sont les parlementaires ? Par qui sont élus les parlementaires ? Quel est leur pouvoir ? quel est leur intérêt ? Pour information, je ne suis pas française, je suis suisse, donc même si je m'y intéresse un peu, je ne connais pas tout du système français. Les parlementaires, je crois, sont élus de façon locale par la population. 1a - les parlementaires font souvent mal leur boulot : j'ai en effet entendu dire ça. Quelle en est la raison (je le répète, moi, les sous-entendus, je ne les entends pas, je ne les comprends pas) ? Y a-t-il des études sur la question ? je ne peux pas me faire d'avis sur la question sans en savoir plus 1b - Cet argument me semble contradictoire. Si les parlementaires sont élus par la population, s'ils votent dans le sens du pouvoir et pas de la population, c'est pas comme ça qu'ils vont se faire ré-élire. Ma logique voit la chose plutôt en sens inverse. Si les parlementaires votent dans le sens du pouvoir, en contradiction avec ceux qui les élisent, alors ils ne vont pas être réélus 1c - Je ne connais pas trop le fonctionnement des conseils, mais j'imagine qu'il s'agit des chambres basses et hautes, également composées de représentants élus. S'ils valident "tout", même les lois liberticides, pourquoi ? 1d - la corruption, c'est très grave, et c'est généralement sanctionné. Il existe des mécanismes internationaux auprès desquels on peut dénoncer les cas et qui interviennent. Il faut analyser si les faits sont avérés, et si oui, les dénoncer aux organes de régulation. Quand on parle de sujets aussi complexes, il est nécessaire, à mon avis d'entrer dans tous les détails, si on veut vraiment en parler sérieusement. Sinon, on fait des raccourcis qui en change le sens, qui en réduit la complexité, et on ne peut pas analyser la question de façon juste. Donc pour tous ces points, qui sont très importants, en résumé, je dirais seulement : ce sont des pistes intéressantes, il faut creuser encore pour en savoir plus et en avoir le coeur net
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On en revient aux attaques personnelles Sur les points que vous citez, je vois les choses en effet d'une autre façon que vous, mais je n'ose même plus le développer, j'ai l'impression que si j'exprime mon point de vue, je vais m'en prendre encore plein la figure, ce que je n'ai pas envie. A vous lire, j'ai l'impression que soit on voit les choses comme vous, soit on a tort. Ben, moi, je vois les choses à ma façon, vous pouvez me dévaloriser tant que vous voulez, mais je vis bien avec. Personnellement, je respecte à 100% que vous les voyiez les choses autrement et n'ai aucunement l'intention de vous dévaloriser. J'arrive à en discuter sans problème avec beaucoup de personnes qui voient les choses autrement que moi, dans des discussions respectueuses. C'est à vous de savoir si vous souhaitez ou non discuter sans dévalorisation ni attaques personnelles, avec une personne qui pense et s'exprime différemment de vous. Si vous cherchez une personne qui dise "oui, bien sûr", sans analyse critique, donc sans entrer dans les détails, chercher les éléments concrets, confronter, valider, faire des recherches, etc, je ne suis pas la bonne personne.
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J'ai certainement la vilaine tendance à vouloir être super précise, et je pense que c'est un élément essentiel pour avoir un bon esprit critique , si on raccourcit, on manque forcément des éléments importants, je crois Si je comprends bien, les éléments qui vous indiquent qu'il n'y a plus de contre-pouvoir, ce sont : 1- les votes à l'assemblée, au sénat, au conseil d'état. Qu'indiquent-ils pour vous ? si j'essaie de deviner - mais je ne suis pas sûre du tout de mon interprétation - vous voudriez dire que les votes ne sont plus un contre-pouvoir ? tout le monde vote dans la même direction ? ou bien que c'est toujours la majorité qui gagne ? enfin, j'avoue ne pas vraiment voir ce que ces votes ont d'autre que d'exprimer ce que ceux qui sont élus veulent dire. Qu'entendez-vous par là ? 2- la presse et les médias appartiennent et sont financés par ... ? vous souhaitez dire qu'ils appartienennt à des personnes très riches qui leur font dire ce qu'ils veulent ? Et ... ? je ne comprends pas cet argument-là précisément non plus Merci d'expliciter vos arguments. Les sous-entendus ne sont pas clairs du tout pour moi, je ne vois pas ce que vous voulez dire, et c'est sacrément sujet à interprétation et à malentendus. Si on veut pouvoir discuter, il faut dire ce que vous avez à dire, les sous-entendus ne sont pas des arguments, les questions ne sont pas des arguments. Les sous-entendus sont des interprétations subjectives, les questions sont des pistes. Merci d'utiliser des arguments factuels pour que je puisse les comprendre et qu'on soit sûrs de se comprendre.
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Si je comprends bien, certains des points qui vous semblent les plus essentiels sont : 1- manque de contre-pouvoirs en France 2- censure omniprésente 3- corruption généralisée (en tout cas pour les médecins de plateaux télé et pollitiques) C'est cool, ce sont des éléments concrets et précis que j'aurais du plaisir à développer avec vous, si vous le souhaitez Je propose qu'on commence à analyser le point 1 : manque de contre-pouvoirs Je n'ai pas d'idée préconçue sur la question. Je crois que la première chose à faire, c'est de réfléchir à quelles seraient les directions, informations utiles pour pouvoir valier ou invalider ce point. Pour pouvoir faire des recherches factuelles, complètes et précises. En évaluant autant les arguements pour que contre. C'est ça l'esprit critique. Confronter tous les arguments, d'un côté comme de l'autre. Quelle est la définition des contre-pouvoirs ? Quels sont les types de contre-pouvoir - théoriquement - qui doivent exister pour garantir une démocratie ? Dans quelle mesure les contre-pouvoirs ont changé ces dernières années ? Y a-t-il un manque de contre-pouvoirs, et si oui dans quelle mesure et avec quelles conséquences ? Pour quelles raisons ? Si cette démarche vous convient, je vous propose donc d'analyser ces éléments, point par point
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Vous me demandez de regarder au moins un des 2 vidéos pour montrer de la "bonne volonté" ? De la bonne volonté pour quoi ? Pour prouver que je suis ouverte à une discussion ? J'avoue ne pas comprendre Il me semble que c'est une décision qui doit me revenir et correspondre à une envie que je pourrais avoir, ou non, et non pas une condition pour l'ouverture d'une discussion. Pour le moment, l'envie n'est pas là et me forcer pour vous donner une preuve de ma bonne volonté me semblerait un peu étrange. Il me semble qu'on entre à nouveau sur un terrain plus émotionnel qui sort de l'échange d'arguments factuels. Mais c'est toujours très volontiers que j'échangerais avec vous au sujet d'arguments concrets, selon votre vision
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Est-ce que ce n'est pas l'inverse ? N'est-ce pas en fonction de ce qu'on ressent au fond de soi qu'on se reconnaît d'un bord politique ou d'un autre ? N'est-ce pas ce que nous sentons nous-mêmes au fond de nous qui devrait nous guider (toujours dans le respect des autres) plutôt que de suivre ce que d'autres (qui peuvent nous sembler légitimes soit) disent qu'il faudrait penser ? Mes émotions sont justes, elles m'appartiennent et expriment ce que moi - être unique - je ressens profondément. Elles sont totalement justes, comme également celles que ressentent les autres, qui sont toutes aussi justes pour eux aussi. Personne n'a plus raison qu'un autre. La question est de trouver le moyen de faire co-exister les façons différentes de voir, de ressentir, de penser, de donner de l'importance. On est tous profondément différents, mais personne n'est mieux, personne n'a plus raison. Seul le respect des différences peut nous aider à fonctionner ensemble
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Je suis peut-être "trop" sensible, mais personnellement, je le ressens vraiment comme quelque chose de violent. Evidemment, cela dépend très probablement du "ton" utilisé, et par écrit, il est bien difficile de faire entendre ce ton, ce qui peut générer parfois malheureusement bien des malentendus. Si vous me traitez de "stupide", je vais me sentir insultée, d'autres n'en auront rien à faire. L'insulte est répréhensible, mais où commence l'insulte ? Je trouve justement très intéressant de définir les contours de cette haine dont parle ce sujet. Où s'arrête la colère tolérable et où commence la haine non tolérable ? Quelle est la limite ? Comment la mettre ? Qui peut la mettre d'une manière légitime ? Une piste de réflexion : https://justice.ooreka.fr/astuce/voir/616255/insulte
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Toujours encore des attaques personnelles, ce qui provoque en moi une envie de réagir sur le même plan, mais ce ne serait pas constructif Ce qui m'intéresse, c'est votre vision personnelle à vous, ce que vous avez compris, vous, de ce que vous avez vu et lu. Pour que nous discutions, vous, être unique, et moi, être unique. Une conversation normale, quoi. Je crois que ni vous ni moi ne représentions des entités quelconques. Est-ce que vous souhaitez simplement que je sois convaincue, sans discussion, ou est-ce qu'une confrontation critique et constructive d'arguments factuels différents peut vous intéresser ? Je suis persuadée que vous avez de très bons arguments et je suis très curieuse de les entendre. Je pense en avoir également. Je vous demande par contre de ne pas utiliser d'attaques personnelles. Donc, quels sont les arguments factuels, pour vous, les plus flagrants du déclin de notre démocratie ?
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"je trouve stupide" me semble plutôt violent pour l'usage d'un mot au lieu d'un autre Chacun est libre de penser ce qu'il veut, de ressetntir ce qu'il ressent, de s'exprimer au mieux de ce qu'il peut/veut. Personnellement, je ne me sens pas le droit de juger, ni ceux qui apprécient les anglicismes, ni ceux qui les rejettent
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Pourquoi tant de haine ? "Amusant" dans un sujet dédié aux "haters"
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Voici un élément qui démontre que le totalitarisme n'est PAS là : https://www.lematin.ch/story/jamais-une-poignee-de-milliardaires-na-eu-une-emprise-aussi-forte-sur-la-presse-862001429599
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Je vous fais volontiers le début de la liste de vos attaques personnelles : - la discussion (sous-entendue avec vous) est vaine et inutile => je ne vaux même pas la peine qu'on gaspille du temps pour parler avec moi - vous ne pourrez être détrompé que si le mal vous touche directement => je suis incapable de comprendre le problème - discréditer tout esprit critique [...] (par extension vous m'associez à ces gens-là) => je nen vous laisse pas le droit d'avoir vos idées - vous n'êtes pas informé => vous pensez pouvoir prétendre que je ne suis pas informée, donc vous dévalorisez ma façon de m'informer ou mon droit de m'exprimer - vous ne comprenez pas du tout le monde dans lequel nous vivons => infantilisation - ... je peux poursuivre, si vous le souhaitez, la liste de vos attaques personnelles => pourquoi m'associer à "la grande majorité des personnes [...]" et pas déjà commencer à parler avec moi comme être humain unique, moi qui suis juste un interlocuteur normal (et pas du tout la représentante de dieu sait quel groupe) ? Oui, très volontiers, j'apprécierais beaucoup si vous commenciez une liste avec les arguments qui vous semblent les plus pertinents. On peut ensuite en discuter - factuellement - point par point
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Vous continuez les attaques personnelles (d'une violence incroyable) Merci de commencer avec des arguments factuels ! Car - bien au contraire - je suis très informée et ai un esprit particulièrment critique C'est d'ailleurs assez intéressant que vous incluiez la dimension psychologique (l'expérience Milgram), parce que je m'interroge justement beaucoup sur les mécanismes psychologiques des personnes qui n'argumentent pas, mais qui utilisent uniquement des attaques personnelles. Je développe une théorie qui va dans ce sens : les personnes qui "attaquent" les autres, au lieu de discuter avec des arguments factuels, les accusent très souvent de faire ce qu'ils font eux-mêmes ... la paille et la poutre en fait
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Je ne partage pas, bien au contraire Heureusement d'ailleurs qu'il y a des avis contradictoires ... sinon, on pourrait justement craindre d'être dans un régime totalitaire Mais il y a des choses qui me dérangent dans cette façon de présenter son opinion personnelle : le sentiment de supériorité, le jugement, le dénigrement de l'autre, voire carrément une accusation que je ressens comme plutôt violente. C'est comme si celui qui ne pense pas comme vous est votre ennemi et est coupable. Alors que seules la diversité des opinions et la liberté de les exprimer garantissent la démocratie Et pour qu'une démocratie puisse fonctionner, il faudrait que cette expression soit respectueuse et se base sur des faits, des arguments, dans le respect de la vision de l'autre, sans usage d'attaques personnelles, de dénigrement de l'autre, de jugements. Je me sens attaquée, je me sens blessée et je me sens dévalorisée quand on prétend que ma conscience est tellement embrumée que je favorise l'avènement d'un potentiel totalitarisme. Je vous demande le respect de ma vision et suis bien sûre tout à fait prête à discuter de tous les arguments, pour autant qu'on laisse les attaques personnelles au placard.