- A l'école primaire, c'étaient les grands classiques : cheveux tirés par les pattes où le maitre nous décollait du sol, coups de règle sur les doigts ou tout simplement des tartes dans la figure, qui nous faisaient quasiment traverser la classe, et ce, parfois juste parce qu'on avait bavardé.
- A la maison, c'était plus sévère : coups de martinet sur les cuisses avec la mère qui ne s'arrêtait que lorsque les lanières de cuir avaient fait de belles boursouflures sanguines, et parfois une variante, les coups de ceinture, côté boucle, bien sur.
Le seul "avantage" de ces traitements, c'est qu'on n'allait plus à l'école pendant un certain temps. La mère écrivait un mot bidon au maître, le temps que les blessures guérissent un peu et que les traces se voient moins... ce qui pouvait prendre parfois bien plus d'une semaine.
J'ai plus de 60 ans aujourd'hui et rien que d'évoquer ces faits, j'en frémis encore...