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C'est triste quand on songe à la carrière qu'ils ont bâtie ensemble.. espérons qu'ils sauront restés bons amis

L'histoire de mariage consanguins se confond avec celle de l'humanité : celle des reines et rois a atteint des sommets à travers les siècles. La consanguinité se définie comme le résultat de la reproduction sexuée entre deux individus apparentés c'est-à-dire ayant un ou plusieurs ancêtres communs. Pour un descendant donné, elle est d’autant plus importante que le lien de parenté entre les géniteurs est étroit. Celle-ci représente actuellement au niveau mondial : 25 % pour une union frere-soeur ou parent-enfant ; 12,5 % entre oncle-nièce ; et 6,25% pour une union entre cousins germains (un couple de grands-parents identique). Néanmoins, il existe des phénomènes souvent inexpliqués dans une population très réduite comme, par exemple, celle des Esquimaux, que l'on dénomme maintenant sous le terme politiquement correct de "peuple Inuit". Si je ne me trompe pas, le mot "esquimaux" signifie "mangeur de viande crue". Ils sont actuellement un peu moins de 50 000 parsemés dans différentes zones de l'Arctique Malgré tous les ennuis que leur apportaient l'homme blanc, les Inuits ne s'en méfiaient pas vraiment . En fait, il arrivait que l’un de ceux-ci adopte les coutumes d’un peuple inuit et finisse par s’en faire adopter. Comme les populations étaient généralement parsemées de part et d’autre (au Canada) en petits groupes, l’arrivée d’un nouvel individu était souvent bien vue, puisqu’elle leur offrait la possibilité d’éviter la consanguinité. Le rôle de l’homme et de la femme dans un couple inuit était très bien défini. L’homme se chargeait de construire la maison et de ramener la nourriture, pendant que la femme préparait les vêtements et s’occupait des repas. L’alliance que représentait le mariage était une véritable nécessité pour survivre dans un milieu aussi hostile. Leur taux de consanguinité est l'un des plus faible. Mais, il existe d'autres populations isolées qui répondent aux mêmes critères. Alors, la consanguinité serait-elle une pratique de l'homme dit "évolué" ? Cherchant à préserver des intérêts communs entre les deux parties ? Ce n'est bien évidemment qu'un élément de réponse que je soumet et non pas un jugement.