La grande leçon que les Américains ont à tirer de la mort de l'ambassadeur de Lybie est de mieux défendre leurs embassades et surtout de ne pas céder au chantage des extrémistes qui voudraient l'interdiction du blasphême.
Blasphémer ne tue personne et on ne tue pas les blasphémateurs dans les pays où la liberté d'expression existe.
Le blasphémateur (le réalisateur du film) n'est pas complice du meurtre de l'ambassadeur de Lybie et encore moins un meurtrier.
Affirmer que blasphêmer est aussi répréhensible que de tuer est d'un profond ridicule.