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Aryana179

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Réputation sur la communauté

  1. Ouah !! Y'en a pleins...Malheureusement, vu qu'on a apparemment pas le droit de mettre d'extraits (dommage...), moi, je vais arrêter. Faites ce que vous voulez, mais merci beaucoup d'avoir participé !!
  2. Non, des passages de livre que tu aimes, c'est tou ! C'est pas obligé d'être, ni drôle, ni poétiquee !
  3. Et le suite ! - Je ne crois pas. Peut-être qu'on devrait téléphoner à Mister blunt. Mulch grogna à nouveau. si la bêtise était un crime puni par la loi, ces deux-là seraient immédiatement déclarés ennemis publics numéro un et deux. - Ce que vous deviez faire, c'est me tuer. C'était ça, l'idée de départ, non? Me tuer sans laisser de traces et on en parle plus. - Qu'est-ce que tu en penses, Chips ? Tu crois qu'il suffit de le tuer ? chips mâchonna une poignée de chips parfum barbecue. - Ouais, bien sûr. Les ordres sont les ordres. - Mais moi, je ne me contenterais pas simplement de me tuer, intervint Mulch. - Ah bon ? - Oh,non. Après avoir insulté votre intelligence ? Non, je mérite un traitement spécial. On voyait presque de la fumée sortir des oreilles de Pex, comme si son cerveau était en surchauffe. - Tu as raison, petit bonhomme. Tu vas avoir droit à quelque chose de spécial. On ne va pas laisser personne nous insulter. Mulch ne se soucia pas de lui faire remarquer sa faute de grammaire. - Bien dit. Je parle toujours trop et je mérite tout ce qui va m'arriver. Il y eut un silence pendant lequel Pex et chips essayèrent de trouver une manière de tuer plus douloureuse que l'habituelle balle de pistolet. Mulch leur laissa une minute de réflexion, puis il leur fit une suggestion polie. - Si j'étais vous, je m'enterrerais vivant. Chips sembla horrifié. - T'enterrer vivant ? Mais ce serait affreux. Tu te mettrais à hurler et à gratter la terre la terre avec les ongles. J'en aurais des cauchemars. - Je promets de me tenir tranquille. De toutes façons, je le mérite. Je vous ai traités d'hommes de Neandertal hypertrophiés. - Tu nous as dit ça ? - En tout cas, maintenant, c'est fait. Ce fut Pex qui se montra le plus impulsif. - Très bien, Mister Digence, lança-t-il. Dans ce cas tu sais ce qu'on va faire ? On va t'enterrer vivant. Mulch se plaqua les mains sur les joues. - Quelle monstruosité ! s'exclama-t-il. - Tu l'auras voulu, l'ami. - Ca, c'est vrai . Pex alla prendre une autre pelle dans le coffre de la voiture. - Personne ne m'a jamais traité d'homme de nez en métal hypertruffé. Mulch s'allongea dans sa tombe. - Je le crois volontiers. A grands gestes furieux, Pex jeta dans le trou de grandes pelletées de terre. (...) Chips ressentait un certain malaise. - C'est horrible. Horrible. Ce pauvre petit bonhomme. Pex, en revanche, n'éprouvait aucun remords. - Il l'a voulu. A force de nous traiter de...tout ce qu'il a dit. - Quand même ! Enterré vivant ! C'est comme dans ce film d'horreur. tu sais, celui où il y avait...plein d'horreur. - Je crois que je l'ai vu. Avec des as de noms à la fin qui défilaient sur l'écran ? - Ouais, c'est ça. D'ailleurs, j'ai pensé u'il y en avait beaucoup trop, des noms. Ca m'a gâché le spectacle. Pex piétina la terre pour la tasser. - T'inquiète pas, vieux. Dans ce film-là, on ne trouvera jamais aucun nom. Ils remontèrent dans la Chevrolet. Chips était encor un peu remué. - Tu sais, quand c'est pour de vrai c'est encore beaucoup plus vrai que dans les films. Pex ignora un panneau qui interdisait l'accès à l'autoroute et s'engagea dans le flot de la circulation. - C'est à cause de l'odeur. Dans les films, il n'y a pas d'odeur. chips renifla sous le coup de l'émotion. - Digence devait être drôlement secoué, vers la fin - Pas étonnant. pleurer - Je le voyais. Ses épaules remuaient comme s'il riait mais, à mon avis, il pleurait. Il faudrait être cinglé pour rigoler quand on se fait enterrer vivant. - C'est sûr, il devait pleurer. chips ouvrit un autre sachet, parfum bacon cette fois. - Ouais, il devait pleurer, c'est sûr. Mulch riait si fort qu'il faillit s'étouffer en avalant la première bouchée de terre. Quelle équipe de clowns ! (...) A bientôt!!
  4. Marrant !! Voilà un passage de Artemis Folw 3. Deux abrutis ont l'ordre de tuer un nain féérique, qui peut creuser des tunnels avec sa machoire, du nom de Mulch (ou Mo). Jon Spiro n'avait pas engagé Pex et chips pour leur aptitude au débat intellectuel. Lors de l'entretien d'embauche, une unique épreuve leur avait été imposée. On avait demandé aux cents candidats rassemblés de casser une noix de la manière qui leur convenait le mieux. Seuls deux d'entre eux s'étaient montrés à la hauteur. Pex avait hurlé des injures à la noix pendant un bon moment puis l'avait écrasée entre ses paumes gigantesques. La méthode de Chips était plus contestable. Après avoir posé la noix sur la table, il avait saisi son examinateur par les cheveux et s'était servi de son front pour briser la coquille. Engagés sur le champ, Pex et Chips étaient très vite devenus les deux meilleurs lieutenants d'Arno Blunt qui leur confiait la tache interne de la maison. En revanche, on ne les laissait pas sortirde Chicago, de peur qu'ils aient à lire une carte, ce qui dépassait nettement leur compétences. Pour le moment, Pex et Chips bavardaient sous la pleine lune tandis que Mulch creusait une tombe de la taille d'un nain derrière une usine de ciment abandonnée. - Tu veux savoir pourquoi on m'appelle Pex ? demanda Pex en gonflant les muscles de sa poitrine pour mettre son interlocuteur sur la piste. Chips ouvrit un nouveau paquet de chips. Il en grignotait sans cesse. - J'en sais rien. C'est un diminutif ? De quoi par exemple? J'en sais rien, répéta Chips Il utilisait souvent cette expression. - Francis ? risqua-t-il. Même pour Pex, l'hypothèse semblait stupide. - Francis ? Comment tu veux que Pex soit le diminutif de Francis ? Chips haussa les épaules. - Ben, par exemple, mon onble Robert, tout le monde l'appelait Bobby. On ne comprend pas plus pourquoi. Pex leva les yeux aux ciel. - C'est le diminutif de pec-to-raux, crétin. Pex, pectoraux, parce que les miens sont très développés. Tu comprends ? Au fond de son trou, Mulch grogna. Ecouter ces sornettes était aussi pénible que d'avoir à creuser la tertre avec une pelle. (...) Là-haut, Chips avait envie de poursuivre le jeu. -Devine pourquoi on m'appelle chips, dit-il en cachant le sachet de chips derrière son dos; Pex se tritur le front. Celle-là, il la connaissait. - Ne me dis rien, surtout. Je vais trouver tout seul. Mulch pointa la tête hors du trou. - C'est parce qu'il mange tout le temps des chips, espèce d'idiot. Chips mange des chips. Vos êtes vraiment les hommes de Boue les plus obtus que j'aie jamais rencontrés. Vous feriez mieux de me tuer tout de suite. au moins, je n'aurais plus à écouter vos balivernes. Pex et chips étaient stupéfaits. Avec tous les exercices intellectuels auxquels ils venaient de se livrer, ils en étaient venus à oublier le petit homme dans son trou. Et puis, ils n'étaient guère accoutumés à entendre leurs futures victimes déclarer autre chose que: "Oh non, s'il vous plaît, mon Dieu, pas ça !" Pex se pencha au bord du trou. - Qu'est-ce que tu veux dire pas "balivernes" ? - Je veux dire cette histoire de surnoms, Pex et chips. Pex hcha la tête. - Je ne te parle pas de ça, je te parle du mot "balivernes". C'est quoi, ça ? Je ne l'avais jamais entendu. Mulch se fit un plaisir de le lui expliquer. - Ca signifie: balourdises, absurdités, fadaises, sornettes, crétineries. C'est clair, maintenant ? chips comprit le dernier mot de la liste. - Crétineries ? Hé, mais alors, c'est une insulte ! £Tu nous insultes, petit bonhomme ? Mulch joignit les mains en signe de prière. - Ah, enfin, la lumière se fait. Les deux gros bras ne savaient pas comment réagir à un véritable affront. - Il faut vraiment qu'on écoute ce petit malin? demanda Pex à son partenaire . - Je ne crois pas. Peut-être qu'on devrait téléphoner à Mister Blunt. La suite une prochaine fois !!
  5. Aryana179

    Les photos de vos animaux

    Voilà mon chaton ! Fang: /Users/Anne/Public/PartageiPhoto/Originals/2010/Rouleau 476/P1020373.JPG Désolée, je ne peux pas la mettre, mais c'est pas grave !
  6. Ben si, justement, ça choque les enfants !! Moi, personnellement, je suis contre, je ne trouve pas ça joli, c'est idiot quand on est pas top-model et ça doit être horriblement inconfortable...
  7. Je m'en rappelle, ce passage est génial .... Il y a souvent ces paroles dans beaucoup de livres. Lucy Van Pelt, Mad_World. Je crois que je vais lite On the Road et Le Petit Prince, ces passages sont vraiment sympa ! Par contre, je ne sui spas sîure que je lirais Cyrano de Bergerac, pour des raisons personnelles, mais le passage est bien aussi !
  8. J'ai des centaines d'images de loups avec une lune géante, d'elfes, de dessins style "mangas", d'animaux, de paysages...Si quelqu'un en veut, dites-le moi, avec le style qui vous intéresserai et je vous en propose !!! J'ai des trucs de dessins animés, aussi !
  9. C'est dommage qu'on ne puisse rien savoir sur vous, mais vous êtes quand même la seule personne à être passée chez moi, alors merci beaucoup !!!

  10. - C'est bon, message reçu. Regarde ! Un magnifique sourire illumine mon visage, mes oreilles frétillent d'impatience dans l'attente de révélations transcendantes, je suis calmes, serein, mon âme brûle de s'élever jusqu'à toi, alors je t'en supplie, ô Ewilan, daigne m'expliquer pourquoi on se crève la santé à randonner dans ce putain pays de merde à la con alors que tu pourrais nous transporter en un clin d'¿il à l'endroit où nous nous rendons ! - A randonner dans ce quoi ? - Dans cette contrée aride dont les cailloux inhospitaliers agressent la plante de mes pieds et épuisent ma patience, c'est ce que j'ai dit, non ? "La Forêt des captifs", de Pierre Bottero Bruno serra les mâchoires. La rame allait repartir. Les bones seraient libres de¿ ¿ Pardon¿ Excusez-moi¿ Pardon¿ Un adolescent, faisant fi du barrage, venait de se faufiler dans le wagon. Un garçon d'une quinzaine d'années, noir, des dizaines de tresses encadrant un visage rond et souriant. « Il a du cran », ne put s'empêcher de penser Bruno Vignol en observant les regards haineux que lui lançaient les boneheads. Comme s'il n'avait pas conscience de leur présence, le garçon se glissa jusqu'à lui alors que toutes les autres banquettes étaient libres. ¿ Je peux m'asseoir à côté de vous, m'sieur ? s'enquit-il. Bruno Vignol acquiesça de la tête, incapable de parler tant la situation lui semblait irréelle. Lui, un haut responsable de l'état, coincé dans le métro par un groupe de nazillons décidés à lui trouer la peau et ce jeune Noir qui se mettait au milieu comme si de rien n'était¿ ¿ Beau temps, non ? demanda le garçon au bone qui lui faisait face. L'homme, un échalas aux oreilles et au nez couverts de piercings, arborant ostensiblement une croix gammée au bout d'une chaîne, lui renvoya un regard dans lequel brillait une flamme malveillante. ¿ Toi, le black, au prochain arrêt tu descends ou alors c'est moi qui te descends. Compris ? La brute sourit, satisfaite de son jeu de mots. ¿ Ce serait indécent. ¿ Hein ? ¿ ¿Décent. C'est bien ce que je prétends, expliqua l'adolescent avec un grand sourire. ¿ Tu¿ ¿ Je ? Le bonehead explosa. Avec un grognement de fureur, il balança son poing dans la figure de son vis-à-vis. Bruno Vignol poussa un cri catastrophé. Il aurait dû agir, intervenir¿ Mais l'adolescent avait évité le coup en effaçant souplement ses épaules. Il profita du déséquilibre de son adversaire pour lui attraper le nez et lui tirer sauvagement la tête sur le côté, lui arrachant quelques piercings au passage. Il colla la nuque du bone contre sa poitrine et descendit la main jusqu'à son mollet. Avec un bruit feutré, une lame surgit entre ses doigts. Non pas le couteau à cran d'arrêt que Bruno Vignol se serait attendu à découvrir, mais un impressionnant poignard long de trente centimètres. Son propriétaire en appuya le fil contre la gorge du bone qui, au contact de l'acier, se figea. ¿ Descendre, descendre¿ On va changer de verbe, histoire d'enrichir ton vocabulaire, annonça le garçon sur un ton presque joyeux. Toi, crâne d'¿uf, tu conjugues « pas bouger » et tes copines conjuguent « reculer jusqu'au bout du wagon ». é la moindre erreur je vous explique « égorger » et « baigner dans son sang ». Exécution ! Il se tourna vers Bruno Vignol alors que les boneheads obtempéraient en maugréant. ¿ Je m'appelle Salim, m'sieur, et je descends à la prochaine. éa vous dit ? La rame s'arrêta en douceur. D'une pression de son poignard, Salim fit lever le bonehead. Il le guida jusqu'à la porte et s'effaça pour permettre à Bruno Vignol de sortir. Lorsque celui-ci fut sur le quai, Salim se pencha à l'oreille de son otage. ¿ Cia, mon biquet, ce fut un plaisir de voyager avec toi. ¿ Je te retrouverai, cracha le bone. Je te retrouverai et ce jour-là, je te crèverai. En prenant tout mon temps ! ¿ C'est ça, ironisa Salim, personne n'est pressé. ¿ Tu vas souffrir ! Beaucoup souffrir ! ¿ éa c'est cruel, s'indigna Salim, et ingrat. Je t'ai quand même tenu dans mes bras pendant tout le trajet. D'ailleurs, à ce sujet, tu devrais te laver plus souvent, tu sais ? Et encore¿ je crois que c'est de l'intérieur que tu pues ! Maintenant, si ça ne te fais rien, je te quitte. C'est pas que je m'ennuie mais je ne peux quand même pas passer la journée à m'amuser avec tous les rigolos que je rencontre. é la prochaine, vieux ! Il appuya la semelle de sa chaussure contre le postérieur du bone et, d'une brutale poussée, l'envoya s'étaler au pied de ses copains. Sans attendre, il rejoignit Bruno Vignol qui, stupéfait, avait assisté à la scène sans bouger. - On se tire, ils n'ont généralement pas le sens de l'humour !dit Salim. "La forêt des captifs, de Pierre Bottero Ce passage me fait trop rire, impossible de m'arrêter, alors il a bien fallu que je le mette !!! ^^
  11. C'est super beau !! J'adore Roméo et Juliette, mais je n'ai jamais lu, faudra que je m'y mette !! Merci d'avoir répondu ! C'est si vrai, c'est vraiment gentil de participer, j'adore toutes ces phrases...Merci beaucoup !! - Où tu veux, Camille, chuchota-t-il. J'irai où tu voudras. Je te suivrai partout, même dans les étoiles...Je veux juste que tu saches que vivre sans toi m'est impossible. Alors je t'en supplie, ne meurs plus, parce que sinon, moi, je vais mourir pour de bon...Parce que la vie sans toi n'a pas de goût, pas de sens...Parce que sans tes yeux, je suis aveugle. Sans tes mots, je me perds. Parce que sans toi, mon âme est nue...Sans toi, je ne suis rien...Parce que...je t'aime... Sa voix, malgré lui, avait porté et ses paroles avaient été reçues dans un silence complet. Il s'en moquait. Elle le fixait et, dans ses iris, il lisait les étoiles dont elle avait parlé. Ellana leva la tête et défia les autres du regard. « Que quelqu'un se permette la moindre réflexion... » semblait-elle promettre. Ses menaces étaient inutiles. Déclaration d'amour de Salim à Ewilan dans "Les frontières de glaces" de Pierre Boterro. Quand il vit Camille perchée à la proue de l'Algus Oyo au-dessus de l'eau sombre, il bondit vers elle. - Descends de là ! hurla-t-il. Tu vas tomber ! Elle sauta au sol et le contempla un instant avant de lui offrir un large sourire. - Cool, mon vieux. Je sais ce que je fais et... - Non, tu ne sais pas ! Tu es inconsciente de te pencher comme ça. Il suffirait que le bateau heurte une grosse vague pour que tu plonges. N'essaie pas de me faire croire que tu réfléchis quand tu fais une idiotie pareille. Je sais où est le danger ! Les autres, attirés par les éclats de voix, s'étaient approchés et Camille les regardait, stupéfaite. Ses yeux croisèrent ceux de d'Ellana puis ceux de Siam. Salim était hors de lui, et la présence des spectateurs semblait attiser sa fureur. - Quand on ne sait pas, on ne fait pas ? Tu entends ? Il ne lui avait jamais adressé la parole sur ce ton. Camille se demanda brièvement si, seul face à elle, il se serait comporté de cette manière, mais le moment n'était plus à la réflexion. Le discours d'Ellana et de Siam prenait sens tout à coup. Elle pivota sur ses hanches en serrant le poing droit et le balança dans la mâchoire de Salim. Le coup le prit au dépourvu. Sous l'impact, il partit en arrière et s'affala sur le pont. Camille s'était fait mal à la main, mais il était hors de question qu'elle laisse quelqu'un s'en apercevoir. Elle s'approcha de Salim, étendu sur le dos, qui la regardait avec des yeux stupéfaits. - Je fais ce que je veux ! aboya-t-elle. Où je veux, comme je veux et quand je veux ! Compris ? Sans attendre de réponse, elle lui tourna le dos et, avec un sourire satisfait, traversa le bateau jusqu'à la poupe. Bjorn jeta un coup d'¿il suspicieux à Ellana. - Qu'est-ce que tu es allée raconter à la petite ? Un air de naïve sincérité se peignit sur le visage de la marchombre. - Je ne voix pas de quoi tu veux parler. Bjorn se pencha vers Salim. - Viens, mon ami, lui lança-t-il en l'aidant à se relever. Il va falloir que je t'explique certaines vérités sur les femmes... "Les frontières de glaces", de Pierre Bottero Oui, je sais, je suis en train de vous mettre tous les moments que j'aime dans ses livres.... °
  12. Quand j'étais plus petite, j'adorais Roal Dah, mais mon auteur préféré maintenant est Pierre Bottero... Passage d'Ellana: « -Tu reviendra quand ? - Il y a deux réponses à ta question. Comme à toutes les questions, tu le sait bien. Je commence par laquelle ? A l'extérieur, un bruit terrifiant s'éleva. Le bruit des armes qui s'entrechoquent, fendent la chair, donnent la mort. La fillette tressaillit mais sa mère en lui caressant la joue, réussit à l'enfermer dans l'univers de son regard. - Laquelle ? - Celle du savant. - Je ne reviendrai peut-être jamais, ma princesse. - Elle est nulle cette réponse. Donne moi celle du poète. Isaya se pencha pour la lui murmurer à l'oreille; - Je serai toujours avec toi. Où que tu te trouves, quoi que tu fasses, je serai là. Toujours. Elle avait passé sa main sur sa poitrine. La petite la regarda avec attention. - Dans mon c¿ur ? - Oui. - D'accord. » p. 19 Quand j'étais plus petite, j'adorais Roal Dah, mais mon auteur préféré maintenant est Pierre Bottero... Passage d'Ellana: « -Tu reviendra quand ? - Il y a deux réponses à ta question. Comme à toutes les questions, tu le sait bien. Je commence par laquelle ? A l'extérieur, un bruit terrifiant s'éleva. Le bruit des armes qui s'entrechoquent, fendent la chair, donnent la mort. La fillette tressaillit mais sa mère en lui caressant la joue, réussit à l'enfermer dans l'univers de son regard. - Laquelle ? - Celle du savant. - Je ne reviendrai peut-être jamais, ma princesse. - Elle est nulle cette réponse. Donne moi celle du poète. Isaya se pencha pour la lui murmurer à l'oreille; - Je serai toujours avec toi. Où que tu te trouves, quoi que tu fasses, je serai là. Toujours. Elle avait passé sa main sur sa poitrine. La petite la regarda avec attention. - Dans mon c¿ur ? - Oui. - D'accord. » p. 19
  13. Je vous propose de mettre dans ce sujet les passage de livres que vous aimez particulièrement (pour leur humour, leur poésie...). Personnellement, j'en ai pleins rien que dans les livres de Pierre Bottero, alors j'en mettrais de temps en temps !! Merci.
  14. C'est vrai ! C'est idiot, ils ont peut-être pas fait exprès de le tuer, et c'est pas parce qu'une personne est morte qu'il faut en tuer une deuxième !!
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