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Onyx

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Tout ce qui a été posté par Onyx

  1. Bonjour, J'ai encore tardé à répondre, mais une fois de plus je n'ai pas eu beaucoup de temps à moi ces jours ci... ce sont les vacances scolaires, et mes enfants et leur papa occupent tout mon temps... Pour ce qui est du coût des études à Paris IV, en fait c'est la même chose que dans toutes les facs, tu payes les mêmes droits d'inscription et les mêmes droits de sécurité sociale étudiante + la mutuelle étudiante mais qui est facultative. Donc aujourd'hui je ne sais pas où ces prix en sont, mais ce n'est pas plus cher qu'ailleurs. Ceci dit, la vie est plus chère à Paris qu'en province et les logements sont plus délicats à trouver, mais si tu t'y prends suffisament tôt et que tu te déplaces, tu finiras par trouver. Sinon, je sais que certains amis étudiants se logeaient dans des foyers d'hébergement. Ce n'est pas l'idéal, mais ça peut dépanner en attendant de trouver un appart. Moi j'ai eu beaucoup de chance, car l'amie d'une amie connaissait un ami qui travaillait dans une agence immobilière et qui m'avait réservé un appart (enfin il a attendu que je le visite avant de le mettre sur le marché) qui n'était pas trop cher (toute proportion gardée 600 ¿ pour deux pièces, ça restait super cher quand tu viens de Brest !) et qui était très sympa ! Donc demande autour de toi, des fois on connait quelqu'un qui connait quelqu'un... et de fil en aiguille on trouve des bons plans ! Ce qu'il faut savoir aussi c'est que la CAF à Paris a un sens de l'humour très à elle ! On va t'expliquer que le prix que tu payes réellement est surévalué ( ) et donc qu'on ne peut prendre en compte qu'environ un tiers de ce que tu payes comme base de calcul ! Donc on ne peut te donner qu'une misère en APL... Si je me souviens bien j'avais moins de 7 ¿ (en francs ça faisait un peu moins ridicule ). Donc il faut se renseigner avant sur le financement de ton logement... moi c'étaient mes parents et ceux de mon chéri qui payaient, mais ce n'est pas toujours faisable. DONC si je résume : Les études en elles-même ne sont pas plus chères qu'ailleurs :smile2: . Mais tout le reste l'est ! Voila ! En espérant ne pas t'avoir découragé :D
  2. Rouen, je ne sais pas... Moi j'ai fait mon DEUG d'histoire à Quimper, dans le Finistère qui est une petite fac de province :smile2: mais où j'ai passé deux années vraiment sympas et je n'ai jamais eu à rougir de mon niveau, même à Paris IV ! L'avantage d'une petite fac, c'est qu'elle reste à taille humaine, il y a moins d'étudiants, les profs te reconnaissent et les étudiants se connaissent entre eux et s'entre-aident. A Paris, c'est un peu moins le cas, mais en contre partie, l'offre de cours est beaucoup plus diversifiée et par conséquent plus attractive. Dans une petite fac, tu auras un parcours plus généraliste, mais au final ton niveau sera sensiblement le même qu'ailleurs ! Après, il faut faire au mieux avec les objectifs professionnels que tu as définis ! Mais je ne voudrais pas paraître condescendante envers les petites facs et ceux qui y ont étudié, car j'en fais partie et je ne regrette rien ! A toi de voir !
  3. Désolée, je n'ai pas trop eu le temps pour le forum ces derniers jours... Chargé de cours, ce sont des étudiants "avancés", souvent en pleine thèse qui assurent les TD d'un enseignant chercheur. Ce qui leur permet de gagner leur vie et d'améliorer le quotidien tout en se faisant une expérience de l'enseignement intéressante. Dans certaines facs, des enseignants de collège-lycée peuvent donner des cours. Mais ce sont souvent de petites facs de province qui manquent de moyens et donc de postes. Quoi qu'il en soit, il faut au minimum le master 2 pour que ça soit intéressant !
  4. Pour devenir enseignant chercheur à l'université, il faut avoir un doctorat dans la matière concernée, pour cela il faut commencer par la licence, puis le master 1 et 2, puis enfin le doctorat, en tout cela équivaut à 8 années d'études. Ensuite, il faut passer un concours qui donne accès à un poste d'enseignant chercheur. Prècisons tout de même qu'il n'est pas facile de devenir enseignant chercheur , mais ce n'est pas impossible non plus ! Il faut être le meilleur, c'est tout ! (Je sais ça peut sembler décourageant, mais il ne faut pas non plus être naïf ! ) Donc pour être enseignant en égyptologie, il faut bien débuter des études d'histoire ou d'histoire de l'art et archéologie ( en ce qui concerne la période antique, la distinction entre les deux disciplines est assez faibles, car les sources sont absolument les mêmes et les connaissances se rejoignent donc de facto, donc les deux licences peuvent mener au but !). Sinon, on peut toujours être chargé de cours, ou maître de conférence, là aussi il faut sacrifier au rituel concours... Voila, en espérant avoir pu t'éclairer :smile2:
  5. C'est vrai qu'en faisant les premières années dans une autre fac, tu auras du retard sur les autres en intégrant Paris IV, mais ça n'est pas insurmontable si tu n'as pas peur d'en faire un peu plus pour combler ton retard... et puis tu peux toujours apprendre par toi même, tu vas dans une bonne bibliothèque ou librairie et tu trouveras des livres d'égypto... Evite les ouvrages de vulgarisation... désolé pour les fans d'Indiana Jones ! Sinon pour les études d'Egypto, le must c'est l'école du Louvre... Je ne sais pas comment cette école recrute, mais en 2001 c'était ce qui se faisait de mieux pour préparer aux concours du patrimoine et aux carrières intéressantes en histoire de l'art et archéo . Un conseil : renseigne toi ! L'avantage d'être étudiant en histoire de l'art ou archéo à Paris, c'est que tu as l'entrée aux musées nationaux gratuite sur présentation de ta carte d'étudiant... ça aide vraiment, notamment le Louvre que tu peux visiter en entier ! La collection égyptienne y est riche ! :smile2: Prépare bien ton parcours, ce sera plus simple pour toi par la suite. Les problèmes de logements sur Paris se règlent. Il y a pas mal de chambres de bonnes abordables dans le VI° et le VIII°, donc à deux pas de l'institut d'histoire de l'art et archéo, qui est près de l'observatoire, et non pas à la Sorbonne (c'est de l'autre côté du jardin du Luxembourg), même si c'est la même fac ! Bon courage !
  6. Alors, pour la filière L... moi j'ai un bac L... ce que j'ai pu remarquer c'est que quelle que soit ton choix d'études futures, mieux vaut un Bac S ! J'ai une amie qui a fait Lettres Sup avec un bac S, puis elle a fait une licence (ou maitrise, je ne sais plus, mais bref...) d'espagnol. Maintenant elle est professeur des écoles. Avec un Bac S toutes les portes te sont ouvertes, avec un bac L seule la fac de lettres t'est accessible, ou presque ! A moins d'avoir un dossier impressionnant, que se soit en BTS, IUT ou grandes écoles, on recrute d'abord les S, ensuite les ES, puis on voit s'il reste de la place pour les meilleurs L. :smile2: J'exagère à peine, et pourtant ce n'est pas si simple d'avoir son bac L ! Donc, ne t'en fait pas pour ton choix de filière, à la fac du moment que tu as ton bac... Pour les langues anciennes, ben moi je n'ai jamais fait de latin, et pourtant je n'ai pas eu de soucis pour la suite ! Mais c'est sûr que de maitriser une langue ancienne offre plus d'opportunités dans les choix de sujets en masters notamment ! A toi de voir !
  7. C'est vrai que les premières années mèlent histoire de l'art et archéo, mais ça te permet de te réorienter au cas où, et puis ça developpe ta culture générale... c'est toujours bon à prendre ! Tu seras peut être surpris, peut être aimeras tu la peinture, vas savoir... Moi non plus je n'aime pas tout dans l'art... :smile2:
  8. Bonjour, Avant, je n'aimais pas qu'on m'offre des fleurs... parce que je n'aime pas les voir se fâner, flétrir... Mais depuis que mon petit garçon est en âge de me cueillir des fleurs par lui même, je suis inondée de pissenlits, marguerites, et autres fleurs (ou mauvaises herbes des champs... )... Et là, mon coeur de maman n'y résiste pas ! Il est trop mignon avec ses petites fleurs, et ça lui fait tellement plaisir ! Parcontre son père ne m'en offre toujours pas ! Il a bien essayé les plantes vertes... mais il a abandonné... je suis du genre serial killer de plantes vertes :smile2: . Maintenant, il m'offre des chocolats. J'aime bien mieux !
  9. Bonjour, pour répondre à ta question sur Paris IV... Ben non ! Ce n'est pas prétentieux du tout ! J'y ai fait ma troisième année d'histoire de l'art (en fait licence d'histoire à Brest, équivalence DEUG histoire de l'art à Paris IV et 3° année histoire de l'art). Moi aussi j'adore l'égyptologie, j'ai d'ailleurs suivi les cours d'égypto (en 2001, ça a peut être changé ) qui comportent des cours magistraux, des TD (exposés) et des cours d'apprentissages de hyéroglyphes (ça j'ai moins aimé, un peu prise de tête à mon goût !). Ceci dit Paris IV est une très bonne fac avec une grande diversité de cours qui s'offrent à toi. J'ai beaucoup aimé les cours sur la Chine et sur les jardins japonais. Voila, en espérant avoir pu t'être utile, Bonne journée :smile2:
  10. Bonjour, Pour répondre à la question initiale, je réagirais très très mal si qui que ce soit se permettait de frapper mes enfants ! Je ne les frappe pas. Il me semble que pour arriver à éduquer un enfant il vaut mieux se faire respecter que se faire craindre. Mon fils de cinq ans a intégré le fait que nul ne doit être soumis à la violence et l'autre jour il est rentré choqué de chez son copain parce que celui-ci s'était fait corrigé par son père. Pour lui c'était super violent et je suis très contente qu'il trouve la violence choquante et anormale. Une fessée ça reste toujours l'agression d'un grand sur un petit qui n'a aucun moyen de se défendre ! De ce point de vue, comment être fier d'avoir frappé son enfant ? Mais ce n'est que mon opinion.
  11. Nous sommes donc d'accord... :smile2:
  12. Bonjour, Ma fille est ce que l'on appelle un bébé aux besoins intenses. Pour expliquer brièvement ce que c'est, je dirais juste que ces bébés pleurent énormément, ont un énorme besoin de succion, sont hyper toniques (quand je prend ma fille contre moi face à face elle se raidit comme un arc et est incapable de se blottir et ce depuis sa naissance !), et face à ces bébés, on a toujours un sentiment d'urgence... Bref, elle passait son temps au sein... à 2 mois, je devais la mettre au sein toute l'après-midi... Je n'exagère pas ! Je faisais une pause le temps d'aller chercher le grand à l'école et de lui donner son goûter. Pendant tout ce temps Stella hurlait, sans s'arrêter ! Je la remettait au sein dès que possible, pour avoir un peu de silence. C'est vrai que je n'ai pensé à l'écharpe de portage que trop tard, dommage ! J'ai eu un peu de répit quand je lui ai donné quelques biberons dans la journée. Elle a commencé à faire quelques siestes toute seule. Puis elle a fait de longues nuits, donc moi aussi... Avant de tenter les biberons, j'avais tenté la sucette, mais elle la recrachait pour pouvoir pleurer... Je peux comprendre que mon témoignage puisse donner à réfléchir, mais il faut savoir que le choix de l'allaitement demande un investissement personnel assez lourd et ce n'est pas rendre service aux futures mamans qui hésitent que de leur dire que c'est tout beau, tout merveilleux pour finalement qu'elles tombent de haut ! Juste un petit rappel, si j'ai tenu 8 mois et demi (en mixte) c'est peut-être parce que j'y ai trouvé un certain bonheur, non ? C'est une expérience enrichissante, que je ne regrette pas et si c'était à refaire je le referais sans hésiter, mais c'est parfois éprouvant et il vaut mieux être prévenue. Mais ce n'est que mon avis...
  13. Bonjour, J'ai fait le choix de ne pas allaiter mon premier, parce que je n'avais pas envie d'allaiter. Je n'ai pas eu le moindre regret. Tout s'est bien passé. Pour ma deuxième, j'ai fait le choix de l'allaitement. Pourquoi ? Je ne sais pas vraiment, mais je le sentais comme ça. J'ai allaité exclusivement pendant deux mois, puis je suis passé en allaitement mixte car j'étais fatiguée, stressée et que donner le sein me prenait beaucoup de temps... Je n'avais pas assez de temps pour mon grand ! Je l'ai complètement sevrée à 8 mois et demi. J'ai trouvé que l'allaitement mixte était "notre" solution. J'ai pu combiner les avantages de l'une et l'autre méthode. Je n'ai pas eu de crevasses, ni d'engorgement, ni aucun soucis d'ailleurs. Ma fille va bien, mais son frère biberonné aussi, soit dit en passant. Je crois que le mieux à faire est de tenter de passer outre les pressions sociales et de n'en faire qu'à sa tête. C'est la maman ET le papa qui savent ce qui est le mieux pour leur enfant. Le choix du mode d'allaitement doit être une décision prise à deux, mais c'est finalement la mère qui doit se lever toutes les nuits, qui doit donner le sein, qui n'a jamais de pause... mais en même temps c'est elle qui a le peau à peau, la relation fusionnelle, le regard intense du bébé à ce moment très particulier, les premiers sourires au sein (très tôt !)... Bref, c'est un vrai bonheur et en même temps une vraie galère... Choisir l'allaitement maternel demande d'être franchement motivée !
  14. Bonjour, Mon expérience me porte à répondre arnaque ! Même si tout est légal, on a beaucoup à y perdre et bien peu de chance d'y gagner quelques euros ! Pour ma part, j'y ai laissé 2000 euros environ... :smile2: Je me sens vraiment idiote de m'être fait avoir de la sorte, mais j'étais dans une impasse professionnelle et j'ai cru à leur opportunité commerciale, comme ils disent ! Donc prudence, car on finit par se retrouver dans une situation délicate : accepter d'avoir perdu de l'argent ou accepter d'en faire perdre à d'autres pour "se refaire" ! C'est ce qui explique "l'agressivité" commerciale des recruteutrs d'herbalife qui vous harcèlent sans vous laisser réfléchir trop longtemps pour vous faire signer à tout prix. Ils savent qu'ils ont été crédules et ils ont besoins de récupérer leur mise. C'est là qu'à défaut d'être illégal, ça devient amoral ! A fuir !
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