lost flame

:smile2: c'est bizarre, mais je savais que tu allais répondre ça... "tout risquer pour aimer..."... en tout cas, je n'y risquerais plus ma santé. mais tu n'as pas répondu à ma question : c'est être mesquin ou pas, d'attendre quelque chose en retour ? c'est ce qu'un proche m'a dit. pour moi, être mesquin, c'est exiger quelque chose après un "don" (de soi, une attention, etc...). mais il me semble que c'est légitime que d'attendre que tous ces petits dons ne soient pas faits par une seule et même personne, non ? ou bien ?? (du coup, on me dit que je ne sais pas aimer, et tutti quanti). étant toujours la première à me remettre en question, voilà... ça c'est du house tout craché, laisse jamais rien passer, le bougre

merci... l'avenir dira si je suis confiante à raison ou bien indécrottablement naïve !!

je ne sais pas si c'est possible de "revenir" au début : tant de choses se sont produites. par contre, il veut, lui, consulter quelqu'un car son séjour dans sa famille lui a ouvert les yeux sur bien des choses de son vécu et il voudrait avancer par rapport à ça. sans plus nous faire souffrir (surtout les enfants. disons qu'il a été maltraité, que sa mère n'avait pas à l'époque le courage de les aider et qu'il a été jaloux de la manière dont moi, je m'occupais de mes fils. et que par moment, il en était désagréable avec eux. il ne veut plus ça, et la médiation familiale commence à porter ses fruits : c'est vrai que c'était source de tension, parce que, bien sûr, je protégeais mes poussins... ce qui le forçait à admettre que sa mère avait elle aussi certains torts... mais là, je m'égare, ce n'est pas à moi d'en parler, je crois). je pense qu'il faut qu'on trouve une suite satisfaisante pour chacun, mais revenir au début... ouh là !! j'espère de tout coeur qu'il pense vraiment ce qu'il te dit, car ce serait une nouvelle formidable pour toi !!! mais après tout, pourquoi en douter ? il te semble sincère ? courage à toi, j'attends des nouvelles !

tu crois que je suis mesquine, d'attendre quelquechose de lui en retour ? je me demande juste parce qu'on me dit souvent que l'amour ne doit rien attendre en retour... alors j'admets aussi les critiques constructives, et tu es le mieux placé pour cela. mais je crois qu'on a retrouvé le bon chemin, le tout est d'en parler encore et encore, et je crois que tu as raison : nous allons dialoguer sur ce qui nous a plu chez l'autre au début, si c'est encore là, qu'est-ce qui a changé, en mieux ou en moins bien. c'est une bonne piste. on semble éprouver autant de plaisir l'un que l'autre à s'être retrouvés (dans tous les sens du terme, j'en aurais pleuré !!) et même si notre histoire malgré tout se termine, on aura vraiment fait tout ce qu'on aura pu. merci pour tes conseils.

agis et prends patience. il y a des secteurs d'activité qui recrutent fort bien ! les métiers de bouche ( :smile2: je parle de restauration, s'pas...) et le secteur de l'aide à domicile.

quel âge ont tes deux enfants ? ne pourrais-tu reprendre une activité même à temps partiel ? parce qu'évidemment, si tu dépends entièrement de lui, il peut penser que tu ne vis rien d'intéressant et le dialogue s'étiole... je vois comment ça se passait lorsque j'étais en congé parental ! enrichis-toi, fais du théâtre (si tu n'en fais pas déjà), peu importe... revis un peu pour toi, il en sera sans doute le premier surpris... le fait que j'ai fait des efforts pour le reséduire ces dernières semaines a fait que bien entendu, il n'a pas été le seul à être séduit... le fait de voir que les autres pouvaient être sensibles à "mon charme" lui a fait prendre conscience que c'est la routine qui a dénaturé et diminué, à ses yeux, mon pouvoir de séduction... c'est dur, de retrouver un regard neuf sur quelqu'un que l'on connaît depuis 7 ans ou plus ! tu peux reprendre ta vie en mains, formations, associations, etc et t'occuper de toi. TU dois être ta priorité. une chose après l'autre. courage ! merci à toi voisin ! il faut travailler encore et encore, mais ce sera plus facile si on est deux à avoir le même objectif !

merci !! à confirmer, car "rien n'est jamais acquis" et je voudrais qu'il s'en souvienne sur le long terme... merci beaucoup :smile2:

bonjour ! les dernières nouvelles de notre ptite Sibérie française... je suis finalement restée à la maison ce week-end, vendredi soir a été un moment décisif... j'ai enfin retrouver un partenaire qui dialogue "vrai", qui ne s'emporte pas et j'ai moi aussi pu garder mon calme. il m'a dit qu'il avait beaucoup réfléchi à cette dégradation de notre couple, et que ce processus lui semblait avec le recul inéluctable : si je résume, il a quitté son travail, sa région, sa famille, ses amis pour venir vivre avec mes garçons et moi-même. sa famille, surtout, trouvait cette démarche insensée MAIS admirable et zomme a fini par penser que côté efforts, il en avait assez fait pour les 20 prochaines années. il m'a dit ses regrets de ne rien avoir partagé avec moi, de m'avoir laissé tout lui donner sans rien savourer de ces moments de don de soi et de les avoir considérer comme "dûs". il m'a dit qu'il comprenait le fait que j'ai arrêté durant des mois de faire des efforts... pour ma part, je me suis excusée de tous ces mots durs que j'avais pu lui dire, pour me venger sans doute... et il me répondait, et nous nous faisions de plus en plus mal, nous étions devenus une entreprise de démolition à l'efficacité redoutable. je lui ai enfin parlé de notre sexualité, et ça m'avait beaucoup aidée d'en parler ici : vos réponses m'ont fait comprendre que sous nimporte quel prétexte, je n'avais pas à accepter cette situation. je lui ai dit ma gêne, voire ma souffrance et pourquoi j'acceptais cela. et pourquoi je ne l'acceptais plus. vous allez rire, mais cela faisait une éternité que nous n'avions pas passé un moment comme celui-ci : lui, sur le canapé, moi allongée, la tête sur ses genoux (et pour autre chose qu'une pipe, on est bien d'accord !!! incroyable !!!) et lui me caressant les cheveux et essuyant mes larmes (j'y vais un peu fort dans le mélo :smile2: , me direz-vous ? mais c'est la réalité)... un moment qui fait penser au retour du soleil, à la glace qui fond doucement. samedi et dimanche ont vu cette trêve se confirmer, avec bien des efforts faits... dur de ne plus massacrer l'autre en paroles quand c'est devenu une habitude malsaine. dur mais faisable malgré tout. alors nous allons tenter de continuer et de laisser de côté les rancoeurs... et de durer dans cette optique et cet état d'esprit. qui vivra, verra...

c'est clair que house a encore raison... en vrai, que peut-on répondre d'autre que "ô parents irresponsables, et/pervers, pauvres petits à l'innocence volée, que font les services sociaux, hein ??????"... personne ne viendra écrire ici "moi je fais souvent l'amour devant mes enfants, je trouve ça super bon etc etc etc". d'autant que je me rappelle qu'étant gamine, j'adoptais des postures équivoques (seule dans mon lit, pas avec un tonton pédophile, hein !) et que je n'avais jamais rien vu d'obscène avant (le truc le plus cochon à l'époque c'était les playmates dans "cocoricocoboy", et c'était bien marrant de les imiter après). je ne nie pas l'existence de parents assez inconscients pour laisser traîner des films de q ou pour "baisoyer" devant leur progéniture, mais voilà... donc en réponse à ta question : soit ils imitent, soit ils sont très vicieux, comme moi je l'étais :smile2:

mon fils et moi on est morts de rire, ça fait du bien !!!!

mais il sait pourtant que je suis capable de provoquer une rupture, je l'ai bien fait avec le père de mes deux fils, au terme d'une histoire longue de dix années... au prix d'une galère financière pas possible, de grands moments de solitude et de big problèmes de santé (forcément que j'ai pris du poids : quand j'ai connu mon mari actuel, et donc le père de ma fille - pour ceux qui auraient du mal à suivre ^^ - je sortais d'une chimio au terme de laquelle j'avais perdu 18 kgs en 3 mois, alors...), mais aussi de bons moments avec mes fils. il sait que si je devais le refaire, je le referais, et je le lui ai dit... alors pourquoi diable ne me prend-il pas au sérieux ?? des efforts ? bien sûr ! je soigne mon look dès que je le peux, bijoux achetés à petit prix en lot sur ebay, parfums idem !! je parle avec lui, je n'ai qu'une exigence : le partenariat et le partage au sein de notre couple.parce que c'est facile, de dire ou d'écrire (comme je le lis parfois ici) "l'amour, c'est donner sans rien attendre en retour, blablablabla"... l'amour est un partage, pas un don total et gratuit de soi... du moins pas sur la durée... en février, cela fera sept ans que l'on est ensemble... il m'a dit hier qu'il me trouvait désirable et intelligente, et qu'il prenait mes menaces au sérieux... de là, je lui ai dit que le coup du nonosse qu'on lance à "lassie, chien fidèle" pour éviter les morsures et les coups de griffe, ça ne marchait plus... (donc, il s'est fâché) parce qu'enfin, s'il me trouvait réellement toutes ces qualités et que j'étais crédible à ses yeux, il ne ferait pas ça ! et enfin, en ce qui concerne les fellations, ça va paraître con... mais c'était le seul moyen que j'avais d'être près de son corps et d'en sentir la chaleur et la douceur et que, malgré tout, je voulais lui faire plaisir ... et là, je sens qu'on va me traiter de pauvre conne et de "fille soumise de plus" ! on a traversé tant de choses ensemble, qu'on a réussi à surmonter, et finalement il faut s'avouer KO... j'arrive pas à y croire...

j'ai culpabilisé une fois de plus en me disant que j'étais moins désirable qu'avant avec mon 42 , et que je m'étais laissée aller... alors bien sûr je laissais faire, en me dégoûtant moi-même un peu plus à chaque fois. tu demandes où il est le partage : tu sauras qu'un égoïste, ça ne partage pas. bien pour ça que je vais rester chez une amie samedi et dimanche, parce que je ne supporte plus. et puis ben... voilà. je n'ai pas grand chose à rajouter. j'ai réessayé d'en reparler hier soir, monsieur s'est énervé alors coucouche panier. et comme il se couche toujours très tard (2 h du mat), il ne risque pas d'avoir à faire quoi que ce soit avec moi : je me lève à 6 h, faut bien que je dorme aussi... je sais que je m'épuise. une semaine d'hôpital en avril, pour m'entendre dire par les médecins "symptômes de la sclérose en plaque, mais rien... que du stress et de l'épuisement"... on va reconsidérer, je crois...

le problème global c'est l'EGOISME et il l'admet. mon problème à moi c'est que je ne m'en contente pas. quant au break, je ne passe pas le w-e à la maison, pas pour lui faire les pieds mais parce que je n'ai pas envie de lui reprocher sans cesse les mêmes choses et de finir par crier ou pleurer. un peu de légèreté en fait... c'est bizarre, je ne pensais pas que ce serait un mec qui manifesterait sa "choquitude" :smile2: face à ma situation. étroite d'esprit que je suis.

bien sûr c'est difficile. mais encore une fois, c'est peut-être de ma faute aussi ? parce qu'à un moment donné, je lui ai parlé du fait que je ne ressentais plus grand-chose au lit (fatigue mal-être dans le couple, formation d'un an durant laquelle je ne dormais souvent pas plus de 4 ou 5 heures par nuit etc.) et lui a compris que je critiquais ses performances, ce qui n'était pas le cas. ma remarque n'a abouti sur rien de constructif, puisque le résultat a été qu'il ne faisait plus d'approche et n'était plus réceptif aux miennes. à ce jour, nous ne pratiquons plus que la sexualité dite orale, moins risquée pour son ego mais moins satisfaisante pour moi. je ne rentrerais pas dans les détails, c'est juste que je n'arrive pas à inverser cette tendance, et je finis par lui en vouloir. et par ne plus me sentir désirable, ce qui est dangereux parce que dans l'exercice de mes fonctions, je me fais assez souvent courtiser. mais bon... ça va. je tiens le cap, je ne veux pas trahir ce que nous avons été. il vaut mieux que ça. il accpte le dialogue, mais celui-ci n'est pas suivi de changements. alors j'enrage, seule dans mon coin.

ça se dégrade peu à peu depuis grosso modo la naissance de ma fille il y a 5 ans. ce qui me tracasse, c'est la médiocrité de la situation (sentimentalement parlant) : c'est le fait d'être tenue pour acquise, le fait de me sentir un peu comme un objet sexuel (ses envies comptent, pas les miennes) TRES occasionnel, le fait que nous ne fassions jamais rien ensemble alors que je suis demandeuse, le fait que la séduction est éteinte, le fait que... mais... c'est déjà beaucoup. et je le redis, ce n'est pas QUE de sa faute (je tiens à le préciser. et de toute façon si je disais le contraire, personne ne me croirait). rien que du très banal, somme toute...

bonjour eolune... hier soir il m'a demandé ce qui me tracassait... je lui ai répondu que j'en avais plein le dos et que j'étais en période d'observation... je résume : j'ai l'impression de ne plus vivre mon couple mais de l'observer de l'extérieur de plus en plus froidement, comme si je me résignais. un peu comme si je faisais une autopsie ou que je disséquais une grenouille (désolée, c'est la seule image qui me vienne à l'esprit). et que d'ici peu, je prendrais une décision. réaction : le boulot va mal, et toi tu vas me licencier aussi, tu sais que je vais finir SDF etc etc etc. et là, grosse méchanceté de ma part : "ce n'est plus mon problème". je reviens du travail à midi, et là je retrouve un homme affectueux qui a envie de parler avec moi et me fait des bisous. j'en ai marre car rien n'est jamais durable dans ce registre et j'en ai finalement assez d'espérer à chaque fois pour rien. alors après réflexion, je dirais que oui, je l'aime encore (au moins un peu) mais que la souffrance sur le long terme, non merci. peut-être j'attends trop ou j'espère trop. et toi, toupine, comment vas-tu ? mieux qu'eolune et moi, je l'espère sincèrement ! bah... c'est rien... je suis totalement découragée, ce putain de temps jouait contre nous de toute façon. c'est dur de ne pas s'habituer à l'autre et de conserver un regard neuf, un esprit d'équipe et tout le tralala. et puis malgré tout, il y a encore une infime partie de moi qui arrive encore à y croire... je me suis tellement battue dans la vie (pour mes enfants, pour mon mari, pour moi) que je n'arrive pas totalement à baisser les bras... sans me battre ! ps : j'adore comme tu écris... c'est aussi pour ça que je n'arrive pas totalement à laisser tomber. parce que lui, à une certaine période de ma vie, a été là pour moi malgré la distance, malgré mon état, malgré tout...

mais on a tous des avis différents sur la question ! le mien comme celui de certains autres forumeurs est que des hommes qui se disent experts peuvent être de piètres amants contrairement à certains puceaux. et non, pour ma part, la virginité n'est pas un critère de séduction mais bien un handicap quand elle devient une condition sine qua non à toute union : parce que ça ressemble à de la stigmatisation et à de l'intolérance. en résumé, non, je ne considère pas la virginité comme étant indispensable et A MES YEUX en tout cas ne rend pas le puceau plus séduisant qu'un autre. que voudrais-tu que l'on te réponde ? je respecte ta culture et tes idéaux, mais ne les partage pas, et cela ne fait pas de moi une personne dévoyée ! :smile2: de toute façon tu ne réponds jamais à mes messages, alors... je vois même pas pourquoi je me prends le chou. tu remarqueras juste que je n'essaie pas de te ranger à ma cause, j'expose juste mon opinion. je ne cherche à contaminer personne avec mes idées impures, moi...

c'est notre dieu à tous pour qui croit. mais l'existence de dieu relevant du domaine de la foi, il me semble qu'elle ne doit pas être érigée en vérité absolue.

OK. et après ? je ne comprends pas vraiment le sens de la question... le puceau, plus ou moins séduisant... d'abord, ça dépend... tous les puceaux n'ont pas la même ouverture d'esprit et comme le sexe et ses pratiques dépendent de la personnalité de chacun, chaque puceau est différent. aussi, je pense que pour ma part le fait d'être vierge n'entrerait pas en ligne de compte pour juger du degré de "séduction" du puceau concerné. maintenant, je suis occidentale, croyante mais ne se réclamant d'aucune religion "officielle"... aussi bien, même pour mes convictions religieuses, cela n'a pas d'importance... j'ai eu une amie algérienne dont la soeur a été maltraitée (et répudiée, par dessus le marché) parce que, la nuit de ses noces, ses draps n'ont pas été tachés de sang... au final, il s'est avéré que c'est en se masturbant qu'elle avait rompu son hymen... alors je me méfie de ce type de critères qui encouragent un archaïsme et un extrémisme qui ne peuvent que nuire à l'individu. enfin, je trouve presque qu'il est dommage de ne pas savoir, avant de "s'installer" avec son partenaire, ce qu'il (elle) a "dans le ventre" au lit, parce que, et beaucoup ici pourront en témoigner, une sexualité insatisfaisante au sein d'un couple peut le mener à sa perte.

on a commencé une médiation familiale... puisqu'en filigrane et par dessus le marché, mon mari et mon fils ne s'entendent pas. mon mari est parfois impulsif, la médiatrice va tenter de comprendre l'origine de tout cela. mais malgré tout, ce n'est pas une thérapie de couple. j'ai un peu le blues aujourd'hui, et je me dis... que quand les couleurs sont délavées, fades, on ne parvient jamais à les récupérer... "est-ce qu'on peut ravoir à l'eau de javel, les sentiments, la couleur qu'on croyait éternelle avant..." (souchon). en clair, ma question c'est : on peut vraiment récupérer ce genre de situation ? qui a réussi ?

merci pour ta réponse... je sais pas... j'ai un peu le sentiment que tout fout le camp ! un week-end, oui, pourquoi pas ? et puis le lundi, dur retour à la réalité ? il fait des efforts un jour, puis relâche tout les jours d'après... on n'est plus en phase ! je fais des efforts, il n'en fait pas, donc j'arrête d'en faire, lui en refait, etc etc etc. "si tu ne m'aimes pas, je t'aime, et si tu m'aimes prends garde à toi..."... je suis si fatiguée de tout ça. et on est mariés que depuis 18 mois... :smile2: cette cruauté sarcastique me manquait !!!!!!!!!

bonjour à tous et bonne année... alors voilà : bilan un peu mitigé... lost flame sur le quai de la gare, féminine pour une fois... monsieur émoustillé, mais trop de pression, de fatigue pour lui... sentiment d'échec, pas terrible... puis les jours suivants, efforts communs pour créer un espace-couple plus présent et plus vivant... les enfants ne le vivent pas très bien, la petite dernière tente bec et ongles de défendre ce qu'elle pense être "son" territoire, mais on s'en sort ! et puis passée la semaine, les habitudes prennent le dessus : il faut gérer le quotidien, mon mari ne s'investit pas alors que j'aurais tant besoin qu'on forme une équipe... je suis les conseils de house, et lui expose clairement mes desiderata... mon mari me comprend, trouve mes remarques justifiées, mais sa "force passive" est immense et je crois qu'il mise sur ma fatigue et mon ras-le-bol et espère une paix royale. il est égoïste et le dit, mais ne fait rien pour changer. alors même si on a passé de bons moments ces derniers temps, depuis son retour, je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire hier soir que le jour où mes sentiments seraient morts, il serait trop tard. que je ne voulais pas être la seule à faire des efforts et que me faire prendre pour une c.... n'était plus ma tasse de thé. et que j'étais déçue. voilà... j'attends peut-être trop trop vite ? il me dit qu'il ne peut pas changer d'un seul coup... mais si j'éprouve le besoin qu'il change, ça veut dire que notre couple n'est qu'un malentendu ? si je l'aimais vraiment (comme je le crois), je l'aimerais tel qu'il est, non ? je suis TOTALEMENT perdue... where's the truth ?

oui, mais je souffre de la maladie auto-immune appelée "découragite rapide"... bon... c'est vrai, je ne peux agir que sur moi-même. et c'est déjà bien que je me remette en question, finalement. merci pour ton aide, house !

plus que six heures à attendre... j'espère qu'il sera aussi heureux de me voir que moi de le voir lui ! j'ai essayé de me mettre à sa place et de lui apparaître comme lui il désirerait que je sois. et je pense que ça fait des années qu'il ne m'a pas vue comme il me verra ce soir. je ne serai pas la plus belle femme du monde, c'est sûr, mais je serai sa femme, celle qui veut lui plaire. j'espère qu'il y sera sensible. si ça ne marche pas, je serai démollie :smile2: